ONCOURS - Malika Ménard a «un petit problème de ponctualité» et rêve d'être journaliste....
«Je ne m'y attendais vraiment pas. Je ne comprends pas encore ce qui m'arrive. C'est essentiellement du bonheur». Ce sont les premiers mots de la nouvelle Miss France. Malika Ménard, 22 ans, était la candidate de la Normandie, elle a obtenu 34% des votes du public, devant Miss Rhône-Alpes (21,1%), Miss Provence (18,4%), Miss Bretagne (16,1%) et Miss Quercy-Rouerge (11,3%), qui sont ses quatre dauphines.
>> Le diaporama de l'élection de Miss France 2010 est par iciUne future journalisteEtudiante en troisième année de droit, Malika Ménard, projette d'étudier, après son expérience de Miss, dans une école de journalisme: «L'expérience que je vais vivre va me permettre d'en savoir davantage sur le métier que je rêve d'exercer», a dit Miss Normandie sous les flash des photographes.
>> Vous avez aussi désigné la Miss et le Mister 20minutes.fr. Pour les découvrir, cliquez iciLe programme de la nouvelle Miss, dans les semaines et mois à venir, va être chargé, avec de nombreuses interview et plateaux de télévision, avant de participer aux concours internationaux de Miss Monde et Miss Univers. Miss Normandie se rendra aussi dans les régions françaises où elle participera aux sélections des Miss de chaque région.
A un journaliste qui lui demandait quels étaient ses défauts, elle a répondu qu'elle était «un peu timide» et qu'elle avait «un petit problème de ponctualité».
Un onzième commandementGeneviève de Fontenay, se félicitant de l'enthousiasme du public en a conclu que la cérémonie de l'élection de Miss France «avait encore de beaux jours devant elle». Elle s'est dit certaine que la nouvelle Miss aura «une attitude digne».
Aux «dix commandements» de la Miss -parmi lesquel «être toujours disponible, être irréprochable, toujours souriante» etc...- Geneviève de Fontenay en a ajouté un onzième, à l'intention de la nouvelle Miss: «j'espère qu'elle ne s'affichera pas dans des émissions de télévision trashissime», a-t-elle dit en souriant aux journalistes.
>> Vous avez interviewé Geneviève de Fontenay par ici...