154-/-Mardi 03 Juin 2014
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Diaspora algérienne : Soutien aux projets de Cevital
le 03.06.14 | 10h00
La diaspora algérienne apporte son soutien à Issad Rebrab, patron du groupe Cevital, dans son œuvre d’étendre son investissement sur le vieux continent.
«La présence en France d’Issad Rebrab, comme investisseur algérien, a donné, sans conteste, une image très positive de notre pays. De son cabinet d’expert-comptable, en passant par la Socomeg, une entreprise de construction métallique, à celui du conglomérat Cevital, cette success story révèle les énormes potentialités d’une Algérie dont la croissance et les besoins sont considérables.» Ce témoignage de sympathie provient de maître Chems Eddine Hafiz, avocat au barreau de Paris. Depuis l’acquisition, par Cevital, de deux fleurons de l’industrie française, Oxxo et FagorBrandt, l’entreprise a pris du galon en réputation. «Jusqu’à présent, à l’étranger, lorsque l’on évoquait l’Algérie, c’était l’insécurité et le terrorisme qui revenaient le plus souvent. Très rarement, on associait les affaires et encore moins les opportunités d’investissement vers notre pays.»
Pour remédier à ces conversations pleines de clichés, «des membres de la communauté nationale établie en France ont lancé des initiatives pour attirer l’attention des entreprises françaises sur les potentialités algériennes. Un regard attentif s’est posé sur ces possibilités», nous dira Me Hafiz, qui croit dur comme fer que seules les potentialités que recèle le pays sont à même de relever l’immense défi de contribuer au développement. A la condition que l’on ait parfait le climat des affaires en Algérie. Sur la contribution de la diaspora algérienne à l’édifice économique, Chems Eddine Hafiz, contacté par El Watan, pose certaines conditions. Primo, il est important, à ses yeux, que «les ressortissants algériens établis en France trouvent facilement les relais et les réseaux de soutien».
Secundo, bien que nombreuses soient les initiatives individuelles, la diaspora algérienne elle-même doit s’organiser dans un cadre à même de permettre à ses membres de se rencontrer pour échanger et identifier ensemble les domaines qu’ils pourraient investir, estime notre interlocuteur. Tertio, il estime nécessaires des mesures de l’Etat, mais non spécifiques, à l’adresse des investisseurs algériens établis à l’étranger.
47e édition de la Foire internationale d’Alger
Investir ou vendre en Algérie, le dilemme des partenaires étrangers
le 02.06.14 | 10h00
Ouverte mercredi, la 47e édition de la Foire internationale d’Alger (FIA) s’achèvera aujourd’hui. Environ 600 entreprises étrangères venues de 37 pays, dont la Turquie, l’Allemagne, les Etats-Unis, la France, le Portugal, le Japon, l’Iran… ont pris part à cette manifestation économique annuelle, qui s’est avérée un excellent point de rencontre entre les investisseurs étrangers désirant s’implanter ou se développer sur le marché algérien, et les 453 exposants locaux, l’occasion pour eux de nouer des partenariats.
En effet, conscients des opportunités économiques qu’offre ce marché émergent et prometteur, de nombreux pays encouragent leurs entreprises à investir en Algérie, c’est le cas notamment de la Pologne, le Portugal, la France, l’Allemagne et les Etats-Unis. Et ce, en dépit de la règle 51/49 régissant l’investissement étranger dans le pays et qui constitue pour elles un obstacle majeur, en particulier les petites et moyennes ; à cela s’ajoutent les difficultés pour rapatrier les dividendes.
C’est du moins le constat qui nous a été livré par différents représentants d’institutions rencontrés en marge de leur participation à l’événement, notamment le service de la promotion du commerce et des investissements de l’ambassade de Pologne, la Chambre algéro-allemande de commerce et d’industrie, l’associassion des entreprises germano-africaines, la Fédération françaises des très petites entreprises (FTPE), l’Office commercial du Portugal, ainsi que la Chambre de commerce algéro-américaine. Nos interlocuteurs considèrent que le risque à prendre par les investisseurs étrangers est énorme du fait que la majorité soit accordée aux acteurs locaux et qu’ils soient obligés de mettre leurs expériences et savoir-faire à la disposition de parfaits inconnus.
«Il faut maintenir cette condition pour les secteurs stratégiques seulement et d’en exclure les autres», estime Nassereddine Mefti, le directeur exécutif de la Chambre de commerce américaine, qui rappelle que si le domaine de l’énergie et des hydrocarbures intéressait les Américains en Algérie, l’industrie pharmaceutique également les attire de plus en plus, «d’ailleurs, ce sont les investissements dans ce domaine qui permettent à l’Algérie de rattraper la baisse des investissements américains dans le domaine gazier en Algérie du fait de l’exploitation du gaz de schiste», soutient-il.
La règle 51/49 : Un obstacle parmi d’autres
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L’Algérie refuse de remettre Khalifa à la justice française
le 03.06.14 | 14h44
«L’article 698 du code de procédure pénale interdit formellement de livrer les citoyens de nationalité algérienne pour qu’ils soient jugés à l’étranger ».
L’Algérie ne remettra pas Abdelmoumen Khalifa à la France, a affirmé, ce mardi, le ministre algérien de la Justice, Tayeb Louh, en marge des débats sur le plan d’action du gouvernement à l’APN.
«L’article 698 du code de procédure pénale interdit formellement de livrer les citoyens de nationalité algérienne pour qu’ils soient jugés à l’étranger », a indiqué Louh, en réponse à une question sur la demande de la justice française portant extradition provisoir d'Abdelmoumen Khalifa dont le procès s'est ouvert lundi dernier au niveau du Tribunal de grande instance de Nanterre (Paris).
« C’est un principe de souveraineté », a souligné Tayeb Louh, avant d’ajouter que les faits relatifs à l’affaire Khalifa se sont déroulés à l’origine en Algérie. Abdelmoumen Khalifa est poursuivi en France pour « banqueroute et détournement de fonds». Le verdict du tribunal de grande instance de Nanterre sera rendu le 20 juin prochain. Khalifa est en prison depuis son extradition de l’Angleterre vers l’Algérie, en décembre dernier.
Tayeb Louh n’a pas voulu répondre aux questions des journalistes concernant l’affaire Chakib Khalil, ancien ministre de l’Energie, qui fait l’objet d’un mandat d’arrêt international depuis 10 mois.
Farouk Djouadi
Mots-clés
Nouria Benghebrit fait marche arrière sur l’enseignement obligatoire de la langue Tamazight
le 03.06.14 | 13h13
La ministre de l’éducation nationale Mme Nouria Benghebrit qui a déclaré il y a quelques jours dans un entretien accordé à notre journal que l’enseignement de la langue Amazigh doit être obligatoire a visiblement changé d’avis.
En visite ce mardi 3 juin dans la wilaya de Bouira, la ministre a pour justifier ce « recul » affirmé que l’enseignement de la langue berbère traverse des problèmes, et ce, dira-t-elle « liées à sa normalisation ainsi que la demande sociale en la matière puisque la langue amazigh a un aspect facultatif ».
La ministre a reconnu qu’elle a déjà avancé et confirmé auparavant l’aspect obligatoire, allusion faite à son entretien accordé à watan, il y a quelques jours où elle était clairement favorable à l’engagement d’une réflexion sur l’évolution du statut facultatif de l’enseignement de tamazight, en précisant qu’elle est « tout à fait d’accord qu’il ne faut surtout pas «ghettoïser» cette langue. Eu égard à son statut aujourd’hui de langue nationale, il faut qu’elle se positionne. Et pour se positionner il faut que son enseignement soit obligatoire », a-t-elle confié dans l’interview.
Et pour justifier ses propos, Mme Benghebrit se dit favorable à mettre un dispositif qui peut contribuer à la normalisation de cette langue. «Le nombre de wilayas dans lesquelles Tamazight est enseignée a régressé. Il y a une nécessité d’établir ces dispositifs», a-t-elle précisé en insistant à ce qu’il ait une sensibilisation sur ce point important.
Dans le même sillage et dans le but d’accompagner cette démarche, la ministre a lancé un appel aux experts dans le domaine et ce afin d’accompagner cette démarche en précisant que l’Etat est favorable à la promotion de cette langue. « Il est temps d’installer une académie pour Tamazight, et il faut qu’il y ait des réflexions pour la promotion de cette langue. », dira-t-elle.
Amar Fedjkhi
BOUTEFLIKA ET SELLAL AVANCENT DES DATES CONTRADICTOIRES L’intérêt du président de la République pour l’exploitation des hydrocarbures de schiste, davantage manifeste, est-il à interpréter comme opportun ou non ? La question reste posée en l’absence d’une réelle volonté de sortir deSuite... |
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