Mardi 06 Juillet 2010 -lesoir

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--°°-**LESOIRDALGERIE du MARDI 06 JUILLET 2010 -*+*-- ActualitĂ©s ALGER Deux corps criblĂ©s de balles retrouvĂ©s sur la plage des Sablettes ASSASSINAT DE ALI TOUNSI Zones d’ombre sur le procĂšs TRONÇON AUTOROUTIER LARBAÂTACHE-LAKHDARIA Le projet livrable aprĂšs le mois de Ramadan ÉQUIPEMENT DE L’AUTOROUTE EST-OUEST Mille hectares ont Ă©tĂ© expropriĂ©s, selon Amar Ghoul VOIE EXPRESS AÏN-BENIAN-BOUFARIK La finalisation attendue dans une quinzaine de jours PROJET DE L’AUTOROUTE DES HAUTSPLATEAUX Les Ă©tudes en cours de finalisation LE TRONÇON DE BOUZEGZA DE L’AUTOROUTE BIENTÔT OUVERT Qu’en est-il de la sĂ©curitĂ© ? PORTES OUVERTES SUR LA SOCIÉTÉ DES EAUX ET DE L'ASSAINISSEMENT D’ALGER Moderniser le service public KARIM TABOU À BOUIRA : «Le rĂ©gime actuel n’a fait que remplacer le colonialisme» FRÉHA (TIZI-OUZOU) EnlĂšvement d’un jeune entrepreneur BORDJ-BOU-ARRÉRIDJ Les citoyens de Aouina-Zeriga et d’El-Collo coupent les routes Ă  la veille de la fĂȘte de l’IndĂ©pendance MATERNITÉ DE BELFORT Une femme se suicide quelques heures aprĂšs son accouchement ALGER Un jeune kidnappĂ© en plein public Ă  El-Harrach PĂ©riscoop PremiĂšre sortie de l'A340 Retour Ă  l’ancien examen de la sixiĂšme Le statut de l’avocat au menu du gouvernement La France invente la «rilance» RĂ©gions SKIKDA Visite d’inspection et de travail du DGSN par intĂ©rim TISSEMSILT Mise en service du premier centre d'enfouissement technique DÉVELOPPEMENT RURAL À BOUIRA Stage de formation Ă  Tikjda MASCARA Deux dĂ©cĂšs par noyade en un week-end TIZI-OUZOU Plusieurs rĂ©alisations inaugurĂ©es le 4 juillet DIRECTION DE L’ÉDUCATION D’OUMEL- BOUAGHI CrĂ©ation de 320 postes d’emploi GUELMA Un cortĂšge nuptial pas comme les autres SÉTIF PrĂšs de 70 % des Ă©lĂšves bĂ©nĂ©ficient de la cantine scolaire CEM GUÉ-DE-CONSTANTINE II À ALGER Des rĂ©sultats satisfaisants au BEM,malgrĂ© des conditions de vie dĂ©plorables des Ă©lĂšves Sports HANDIBASKET MONDIAL 2010 L’EN prĂ©sente Ă  Birmingham MAROC Eric Gerets officiellement sĂ©lectionneur TANZANIE Le BrĂ©silien Marcio Maximo passe le tĂ©moin SPORT SCOLAIRE Un programme riche et variĂ© À L’INITIATIVE DE OULED-EL-HOUMA La coupe d’AlgĂ©rie des interquartiers dĂ©butera en aoĂ»t Bahia-Foot entame sa 13e Ă©dition Chronique du jour A FONDS PERDUS La leçon de Berriane Par Ammar Belhimer ambelhimer@hotmail.com Culture SPECTACLE Le Ballet algĂ©rien en Turquie BIBLIOTHÈQUE JACQUES-BERQUE DE FRENDA Don de l’universitĂ© de Grenoble LE FILM A ÉTÉ PROJETÉ EN AVANT-PREMIÈRE Africa is back Ă  Alger Actucult Femme magazine Testez votre endurance Rouleaux de poulet aux Ă©pinards Le miel hydrate et adoucit les lĂšvres GĂąteau bananachoc Le sommeil, essentiel pour perdre du poids Trucs & astuces Monde DEUX MEMBRES DU GOUVERNEMENT FRANÇAIS «DÉMISSIONNENT» «Un Ă©cran de fumĂ©e», selon l’opposition IRAN Londres, Berlin et les Emirats refusent de ravitailler les avions iraniens MÉDIAS 59 professionnels de la presse assassinĂ©s dans le monde durant le 1er semestre 2010 PALESTINE Moratinos, Kouchner et Frattini Ă  Ghaza courant juillet SOMALIE Mogadiscio demande «plus d'efforts» face aux violences des insurgĂ©s shebab Contribution Le Mondial est terminĂ© pour les AlgĂ©riens, place Ă  l’avenir Ă  prĂ©sent Mondial PAYS-BAS - URUGUAY, CE SOIR (19H30) AU GREEN POINT À CAPE TOWN Vigilance Oranje face au miracle Celeste LA MANNSCHAFT VEUT PERPÉTUER L’ORDRE ALLEMAND CONTRE L’ESPAGNE LibertĂ©, fraternitĂ© et... insouciance Merkel reste au pays Le pronostic du Kaiser Les arbitres des demi-finales connus RĂ©unification du joueur Fifa et du Ballon d’Or L’ESPAGNE S’INTERROGE Avec ou sans Torres, telle est la question --**-- MARDI 06 JUILLET 2010 --http://www.http://www.lesoirdalgerie.com-

UN JOUR, UN SONDAGE

UN JOUR, UN SONDAGE

Etes-vous pour un rĂ©chauffement des relations entre l’Égypte et l’AlgĂ©rie ?

L’instruction du dossier de l’assassinat du patron de la police a donnĂ© le ton : le chemin vers la vĂ©ritĂ© s’annonce pĂ©rilleux, voire impossible. La procĂ©dure a Ă©tĂ© entachĂ©e d’irrĂ©gularitĂ©s. Ni la dĂ©fense, ni la partie civile n’en sont satisfaites. Mais fallait-il s’attendre Ă  un autre scĂ©nario lorsque, quelques heures Ă  peine aprĂšs l’annonce de la mort de Ali Tounsi, le ministĂšre de l’IntĂ©rieur rendait public un communiquĂ© dans lequel il affirmait que le prĂ©sumĂ© coupable Ă©tait atteint de dĂ©mence ? Fallait-il espĂ©rer que la justice auditionne le ministre de l’IntĂ©rieur de l’époque ? La recherche de la vĂ©ritĂ© suppose une instruction sans faille.

Mais la justice a visiblement choisi de conforter la thĂšse selon laquelle l’assassinat de Tounsi ne serait dĂ» qu’à «un problĂšme personnel» entre les deux hommes. Quelles sont les parties qui tirent profit de ce scĂ©nario ? Qui dĂ©ploie autant d’énergie pour empĂȘcher la manifestation de la vĂ©ritĂ© ? Visiblement, la justice a, une fois de plus, ratĂ© le coche. Et ce n’est certainement pas un hasard qu’elle subisse aujourd’hui un tir groupĂ© de la part des avocats de la dĂ©fense et ceux de la partie civile. Si les premiers dĂ©noncent le non-respect de la scĂšne du crime, la non-prĂ©sence du mĂ©decin lĂ©giste au moment de la levĂ©e du corps de l’ex-patron de la DGSN, la partie civile dĂ©plore que l’instruction ait Ă©tĂ© bĂąclĂ©e. L’audition de Zerhouni demandĂ©e par les avocats de la famille Tounsi n’a pas Ă©tĂ© souhaitĂ©e par le juge d’instruction. Pas un mot sur l’objet du diffĂ©rend entre Tounsi et Zerhouni. Ce dernier n’avait-il pas dĂ©jĂ  devancĂ© la justice Ă  deux reprises ? Une premiĂšre fois en affirmant que Oultache Ă©tait atteint de dĂ©mence au moment des faits et la seconde en certifiant que l’objet du conflit entre les deux hommes Ă©tait de l’ordre du «personnel» ? L’ex-ministre de l’IntĂ©rieur avait, en effet, montrĂ© la voie. La justice n’aura plus qu’à la suivre en maintenant les zones d’ombre sur une affaire dont les tenants et les aboutissants ne peuvent en aucun cas ĂȘtre rĂ©duits au rang de fait divers. L’instruction donne dĂ©jĂ  un aperçu sur ce que sera le procĂšs. La crĂ©dibilitĂ© de la justice a bien survĂ©cu Ă  d’autres procĂšs

N. I.

LA PARTIE CIVILE DÉNONCE :
«Il y a volonté maladroite de fermer le dossier»

Fin de la premiĂšre Ă©tape de l’enquĂȘte sur l’assassinat du patron de la police. La partie civile en profite pour dĂ©noncer le dĂ©roulement de l’instruction. MaĂźtre Bourayou, avocat de la famille Tounsi, dĂ©nonce une volontĂ© «maladroite» de rĂ©duire le dossier Ă  un problĂšme entre deux personnes.
Nawal ImĂšs - Alger (Le Soir) - DĂ©fendant les intĂ©rĂȘts de la famille de la victime, MaĂźtre Bourayou estime que l’instruction «incomplĂšte» et «insuffisante» n’a pas permis de lever les zones d’ombre. L’avocat dit ne pas comprendre pourquoi le juge instructeur a refusĂ© l’audition de l’ancien ministre de l’IntĂ©rieur et de plusieurs cadres de la DGSN. La partie civile avait, en effet, introduit une demande dans ce sens mais avait essuyĂ© un refus sous prĂ©texte que les personnes citĂ©es n’avaient «pas de lien avec l’affaire». Une rĂ©ponse qui ne convainc pas l’avocat qui estime qu’on ne peut considĂ©rer Zerhouni comme n’ayant aucun lien avec l’affaire puisque c’est son dĂ©partement qui avait, quelques heures aprĂšs l’assassinat, rendu public un communiquĂ© dans lequel il se prononçait sur l’état mental de Oultache et que ce mĂȘme Zerhouni avait dĂ©clarĂ©, plus tard, que l’assassinat Ă©tait certainement dĂ» Ă  un problĂšme personnel entre les deux hommes. La partie civile souhaitait pouvoir interroger, outre Zerhouni, d’autres cadres de la DGSN car, explique l’avocat, si le fond de la discussion entre Tounsi et Oultache a portĂ© sur des transactions douteuses, c’est dans ce sens que l’instruction aurait dĂ» s’orienter. Pour MaĂźtre Bourayou, le juge d’instruction n’aurait jamais dĂ» ignorer le contexte dans lequel l’assassinat a eu lieu. Ce dernier Ă©tant marquĂ© par des dissensions entre Zerhouni et Tounsi, ce paramĂštre aurait dĂ» ĂȘtre pris en compte. RĂ©agissant au refus de l’audition de l’ex-ministre de l’IntĂ©rieur, l’avocat de la partie civile s’insurge contre ce qu’il considĂšre comme «une justice de puissants» et estime qu’à ce jour de la procĂ©dure, rien n’a Ă©tĂ© fait pour arriver Ă  la vĂ©ritĂ©. En tĂ©moigne la maniĂšre dont l’instruction a Ă©tĂ© menĂ©e : une reconstitution mal faite, pas de recherche du timing exact du jour de l’assassinat et une volontĂ© manifeste de ne pas aller au fond du dossier. L’avocat rĂ©vĂšle que le jour de la reconstitution, les propos de Oultache n’ont pas Ă©tĂ© consignĂ©s dans un procĂšs-verbal en dĂ©pit de la prĂ©sence d’un greffier. Pis encore, on ignore encore tout de l’heure exacte Ă  laquelle les balles assassines ont Ă©tĂ© tirĂ©es ou combien de temps Oultache est-il restĂ© dans le bureau de Tounsi aprĂšs avoir tirĂ©. Autant de lacunes qui, selon la partie civile, visent Ă  rapidement clore le dossier et Ă  ne pas rechercher la vĂ©ritĂ©. Tous ces Ă©lĂ©ments feront dire Ă  MaĂźtre Bourayou que la justice a ratĂ©, une fois de plus, l’occasion d’accomplir sa mission. Une justice qui, dit-il, «ne cherche pas la vĂ©ritĂ© mais plutĂŽt Ă  prĂ©server l’ordre Ă©tabli».
N. I.

LA VERSION DES FAITS, SELON OULTACHE
L’assassinat de Ali Tounsi n’a pas encore livrĂ© ses secrets

Suivant les rĂ©vĂ©lations faites hier par El Watan , sur la version des faits selon le prĂ©sumĂ© assassin de l’ancien DGSN, Oultache, la vĂ©ritĂ© serait sciemment dissimulĂ©e pour enfoncer cet «intrus» de la police, un ancien colonel de l’armĂ©e dĂ©signĂ© par le dĂ©funt afin de «donner corps Ă  des projets de modernisation de la SĂ»retĂ© nationale, Ă  la mise en place d’une unitĂ© de surveillance aĂ©rienne notamment ». SynthĂšse


Lyas Hallas - Alger (Le Soir) - La mĂ©thode de travail d’Oultache aurait, selon ses avocats citĂ©s par El Watan, «dĂ©rangé» plusieurs personnes Ă  l’intĂ©rieur de l’institution, d’autant plus que la commission des marchĂ©s qu’il prĂ©sidait ne faisait qu’évaluer les offres. «Oultache n’avait pas de dĂ©lĂ©gation de signature, et l’élaboration du contrat et la signature de ce dernier relĂšvent de la direction de l’administration gĂ©nĂ©rale (DAG). Mieux encore, et dans un souci de transparence, Oultache filmait et enregistrait tous les travaux de la commission qu’il prĂ©sidait. La commission identifiait les besoins, recherchait les solutions et Ă©laborait les cahiers des charges. Les dossiers Ă©taient, par la suite, transmis Ă  la DAG qui lançait les avis d’appel d’offres, recevait les soumissions et procĂ©dait Ă  l’ouverture des plis. La commission d’Oultache, composĂ©e de tous les reprĂ©sentants des directions concernĂ©es par le projet, Ă©valuait l’offre technique, intervenait aprĂšs l’ouverture des plis financiers classĂ©s selon un tableau comparatif des offres transmis Ă  la DAG, qui convoquait les soumissionnaires pour nĂ©gociation», a rapportĂ© El Watan dans sa livraison d’hier. Autre action qui suscita des interfĂ©rences internes Ă  l’institution : Oultache aurait, selon le mĂȘme journal, «tirĂ© du placard des compĂ©tences » qui se sont Ă©panouies par la suite. «Commencent alors les rumeurs sur la commission des marchĂ©s qu’il prĂ©sidait, selon lesquelles il y aurait eu de la corruption», souligne-t-on. Ainsi, «des accusations parviennent Ă  Ali Tounsi au sujet d’un marchĂ© qu’il a attribuĂ© Ă  la sociĂ©tĂ© ABM dans laquelle son gendre est actionnaire». Le jour du forfait, le 25 fĂ©vrier dernier, Oultache devait en effet prĂ©senter le bilan de toutes les activitĂ©s de la commission et de l’UnitĂ© aĂ©rienne. Oultache prĂ©cisera que de nombreux directeurs centraux de la DGSN Ă©taient prĂ©sents ce jour-lĂ , lorsqu’il avait demandĂ© au secrĂ©taire du DGSN d’entrer dans son bureau Ă  savoir : «L’inspecteur gĂ©nĂ©ral, le directeur de la Police des frontiĂšres, de la Police judiciaire, des Ecoles, de la Communication, des Moyens techniques (DMT), de l’Administration gĂ©nĂ©rale et le chef de la SĂ»retĂ© d’Alger, en sus des membres de la commission des marchĂ©s. » Ne pouvant le finaliser en temps rĂ©el, Oultache venait demander le report de l’examen de son rapport, selon El Watan, ce qui n’a pas Ă©tĂ© du goĂ»t de Tounsi. Une altercation a alors eu lieu entre les deux colonels qui ont Ă©changĂ© des insultes. «TraĂźtre», disait Tounsi. «C’est toi le traĂźtre, fils de harki», rĂ©pliquait Oultache. Tounsi, selon la version d’Oultache rapportĂ©e par ses avocats citĂ©s par El Watan, a eu ces mots : «Tu n’as rien fait. Ton service est restĂ© Ă  la traĂźne, tu m’as menĂ© en bateau et tu t’es arrangĂ© pour donner tous les marchĂ©s Ă  l’armĂ©e. Vous ĂȘtes tous des traĂźtres.» Or, Oultache prĂ©tend qu’il Ă©tait plutĂŽt en situation de lĂ©gitime dĂ©fense et n’a usĂ© son arme que pour immobiliser le dĂ©funt Ali Tounsi qui le menaçait Ă  l’aide d’un coupe-papier.
Les violations de la procédure judiciaire

Selon les avocats citĂ©s par El Watan, aucun cadre ayant investi les lieux oĂč Tounsi «gĂ©missait encore» n’a pensĂ© Ă  faire appel au mĂ©decin de la SĂ»retĂ© nationale, disponible Ă  ce moment. «C’est de la non-assistance Ă  personne en danger», diront-ils. Et ils Ă©numĂ©reront des vices de procĂ©dure judiciaire. D’abord, indiquent-ils, la Brigade de recherche et d’investigation s’est chargĂ©e unilatĂ©ralement de l’enquĂȘte, pour dissimuler la vĂ©ritĂ© ensuite : «La scĂšne a connu une grande anarchie, elle n’a pas Ă©tĂ© dĂ©limitĂ©e et protĂ©gĂ©e, les indices comme les balles et les douilles n’ont pas Ă©tĂ© mis sous scellĂ©s ou, du moins, sous le contrĂŽle du procureur de la RĂ©publique, qui Ă©tait inscrit aux abonnĂ©s absents dix jours durant. Pis encore, le bureau du DGSN a Ă©tĂ© laissĂ© manifestement ouvert jusqu’au 28 fĂ©vrier et personne n’a contrĂŽlĂ© ce que les policiers ont pu faire sur le lieu du crime.» Et d’ajouter que «le corps du dĂ©funt a Ă©tĂ© manipulĂ©, dĂ©placĂ© et retournĂ© dans le bureau, sans la prĂ©sence du mĂ©decin lĂ©giste». Ensuite, les avocats de s’interroger : «Le constat du dĂ©cĂšs comporte un cachet qui laisse supposer qu’il a Ă©tĂ© signĂ© par les mĂ©decins lĂ©gistes ayant fait l’autopsie. Mais le rapport de ces derniers prĂ©cise que le corps leur a Ă©tĂ© transfĂ©rĂ© de la morgue du CHU Mustapha Ă  la salle d’autopsie. Pourquoi le mĂ©decin lĂ©giste dit qu’il a fait le constat de dĂ©cĂšs dans le bureau du dĂ©funt, alors que d’un autre cĂŽtĂ©, il Ă©crit qu’il a reçu le corps Ă  la morgue ?» Autre contradiction, celle des radiographies : «Sur le rapport, il Ă©crit que ce sont eux-mĂȘmes qui ont effectuĂ© les opĂ©rations de radiographie sur la victime. Or, sur les clichĂ©s, il y a la griffe de l’hĂŽpital Les Glycines de la SĂ»retĂ© nationale», est-il soulignĂ©.
L. H.


ALGER
Deux corps criblés de balles retrouvés sur la plage des Sablettes

Hier, aux environs de 5h du matin, la brigade mobile de la police judiciaire de Hussein-Dey a Ă©tĂ© alertĂ©e par la prĂ©sence de deux corps abandonnĂ©s sur les rochers de la plage des Sablettes de Caroubier. Les Ă©lĂ©ments de la BMPJ de Hussein-Dey Ă©taient les premiers Ă  s’y rendre avant que les services de la division de la criminologie d’Alger n’arrivent. Les deux corps criblĂ©s de balles de 9mm (un pistolet de 15 coups) gisaient dans une grande flaque de sang. Suite...


TRONÇON AUTOROUTIER LARBAÂTACHE-LAKHDARIA
Le projet livrable aprĂšs le mois de Ramadan

Le tronçon autoroutier LarbaĂątache (w. BoumerdĂšs)-Lakhdaria (w. Bouira) devrait ĂȘtre achevĂ© et livrĂ© Ă  la circulation aprĂšs le mois de Ramadan. Soit, dans les dĂ©lais contractuels selon le ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, mĂȘme si aucune date prĂ©cise n’a Ă©tĂ© donnĂ©e. Suite...


KARIM TABOU À BOUIRA :
«Le rĂ©gime actuel n’a fait que remplacer le colonialisme»

PrĂ©sent Ă  Bouira pour prĂ©sider les travaux du congrĂšs fĂ©dĂ©ral de la wilaya de Bouira, qui s’est tenu Ă  la salle Lalla-Khedidja, le premier secrĂ©taire national du FFS, Karim Tabou, n’y est pas allĂ© avec le dos de la cuillĂšre pour fustiger, encore une fois, le pouvoir algĂ©rien sous toutes ses facettes. Suite...


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ËáÇËÇÁ   29 ĂŒĂŠĂ‡Ă€ 2010ĂŁ

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MARDI 06 JUILLET 2010



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06/07/2010
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