MARDI 11 Janvier 2011
ĂĂĄĂĂĄĂĂĂĂ 06 ĂŁĂĂĂŁ 1432
ĂĂĄĂĂĄĂĂĂĂ 11 ĂĂĂ€ĂĂ 2011
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Le dicton météorologique du jour:
"Brouillard en janvier,
c'est une année mouillée".
"Lune pùle, l'eau dévale"
La citation du jour:"Les mots sont comme des verres qui obscurcissent tout ce qu'ils n'aident pas à mieux voir" (J. Joubert, Pensées).
Le proverbe du jour:"La précipitation est un mauvais guide" (proverbe latin)
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Au soulÚvement populaire particuliÚrement violent qui a secoué nombre de wilayas du pays, le gouvernement a répondu par une prise de mesures économiques, en l'occurrence des exonérations fiscales, parafiscales et douaniÚres pour les producteurs et les importateurs de l'huile et du sucre. A travers sa démarche, le gouvernement atteste comprendre la révolte juvénile comme une émeute de la faim, sans plus. Suite... Consulter toute l'édition d'aujourd'hui
Consultez l'Hommage :lique ICI ● L'article 5 de la discorde Entre retour «indispensable» de l'Ătatgestionnaire et les critiques sur son caractĂšre jugĂ© «quelque peu rĂ©pressif», la nouvelle loi sur le cinĂ©ma, adoptĂ©e par l'APN et en voie de l'ĂȘtre au SĂ©nat, est loin de faire l'unanimitĂ© parmi les diffĂ©rents intervenants du secteur. Entre retour «indispensable» de l'Etat-gestionnaire et les critiques sur son caractĂšre jugĂ© «quelque peu rĂ©pressif», la nouvelle loi sur le cinĂ©ma, adoptĂ©e par l'APN et en voie de l'ĂȘtre au SĂ©nat, est loin de faire l'unanimitĂ© parmi les diffĂ©rents intervenants du secteur. Dans l'ensemble, beaucoup de spĂ©cialistes du septiĂšme art considĂšrent que la nouvelle lĂ©gislation, adoptĂ©e derniĂšrement par l'APN, donne Ă l'Ătat les instruments d'une «centralisation» de la production et de l'exploitation cinĂ©matographiques, ce qui se traduirait, immanquablement, Ă leur dires, par un «contrĂŽle public plus accru» sur l'industrie du cinĂ©ma. Pour Ahmed Rachedi, partisan d'un retour de la puissance publique, c'est l'absence de l'Ătat et son dĂ©sengagement du secteur au cours des derniĂšres dĂ©cennies qui est Ă l'origine du dĂ©clin du cinĂ©ma algĂ©rien. Le rĂ©alisateur de «L'Opium et le bĂąton» soutient que «les choses allaient bien lorsque c'Ă©tait l'Ătat qui gĂ©rait» l'industrie du film pendant les annĂ©es 1960 et 1970. Plaidant, lui aussi, pour l'implication de l'Ătat dans la relance de l'industrie cinĂ©matographique, le journaliste et scĂ©nariste Boukhalfa Amazit voit dans ce retour de la puissance publique un aspect «bĂ©nĂ©fique» Ă condition, prĂ©ciset- il, qu'il soit accompagnĂ© de garanties de libertĂ© d'expression, seules Ă mĂȘme de libĂ©rer la crĂ©ativitĂ©. Dans le camp opposĂ©, le journaliste et ancien directeur de la tĂ©lĂ©vision algĂ©rienne, Abdou Bouziane, juge «étouffant » ce retour de l'Ătat-gestionnaire dans le secteur du cinĂ©ma consacrĂ© par la nouvelle loi. Pour lui, cette loi signe le retour d'une vision dĂ©passĂ©e qui consacre, paradoxalement, la «centralisation » comme axe de relance du cinĂ©ma algĂ©rien. «Partout dans le monde oĂč le privĂ© a pris les rĂȘnes, le cinĂ©ma a Ă©tĂ© florissant », a-t-il expliquĂ© L'ARTICLE 5 DE LA DISCORDE http://www.lecourrier-dalgerie.com/papiers/actualite.html#15
Culture : rendre hommage Ă Albert Camus
DIVISE LES PROFESSIONNELS DU SECTEUR
● Exploitation des salles : l'autre problĂšme
● La pub Ă la rescousse