133-/-Mardi 13 Mai 2014
Mardi 06 Mai 2014 الثلاثاء 6 ماي 2014 م الثلاثاءـ 6 رجب 1435 ه
Mardi 13 Mai 2014
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Le casse-tête des familles algériennes A chaque saison estivale, les Algériens s’offrent un petit dépaysement. Chacun selon sa bourse et ses envies d’évasion. |
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Le casse-tête des familles algériennes
A chaque saison estivale, les Algériens s’offrent un petit dépaysement. Chacun selon sa bourse et ses envies d’évasion.
«Les voyagistes nationaux font le bonheur des destinations étrangères»
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Vacances d'été : Le casse-tête des familles algériennes
le 13.05.14 | 10h00
A chaque saison estivale, les Algériens s’offrent un petit dépaysement. Chacun selon sa bourse et ses envies d’évasion.
Les destinations qui ont la cote sont toujours les mêmes. Il y a bien sûr la traditionnelle Tunisie, qui n’est plus une terre de sérénité, mais qui se présente comme la plus accessible des destinations. Il y a de la part des Tunisiens une volonté de mettre la clientèle algérienne comme appoint. Ils estiment qu’elle est disponible, qu’elle n’est pas exigeante, qu’elle est disparate et, par conséquent, elle peut par moments être utilisée pour venir en appoint au marché traditionnel de la Tunisie. La destination Maroc arrive progressivement.
La Turquie, berceau des civilisations, a la cote également. Un pays qui se voudrait moderne, mais qui reste attaché à la vieille Istanbul. Il y a beaucoup de cadres moyens, notamment des enseignants, célibataires en majorité, qui fréquentent cette destination qui offre un attrait incontestable de découverte. Le renforcement des vols de la Turkish Airlines permet d’avoir de la disponibilité de sièges. Elle profite de l’immense potentiel d’Istanbul et de sa position stratégique pour en faire un hub incontournable. Une destination tente une percée : Malte, surtout après le lancement des vols sur Alger de la compagnie Air Malta, avec une fréquence de 2 vols par semaine et des possibilités de continuation sur la Sicile, Venise, Istanbul et Prague.
Selon Alex Fezouine, directeur de l’agence XL Travel et représentant de la compagnie en Algérie, «6000 sièges sont alloués au marché algérien pour les vacances de cette année. En effet, avec la collaboration des services consulaires de Malte, la compagnie est confiante pour l’attribution des visas pour les touristes algériens désirant découvrir cette destination. Malte était une destination très prisée des Algériens de 2002 à 2009 avec des vols affrétés»
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Un ambassadeur français d'origine algérienne démissionne, se disant victime de discriminations raciales
le 13.05.14 | 12h38
L'ambassadeur de France en principauté d'Andorre, Zair Kedadouche, a démissionné de son poste en se disant victime de discriminations raciales au sein du ministère des Affaires étrangères, des accusations rejetées mardi par le Quai d'Orsay, rapporte l'AFP.
"C'est au ministère des Affaires étrangères que j'ai rencontré le racisme le plus abject et ressenti l'humiliation de ne pas faire partie de la même classe sociale", écrit l'ex-ambassadeur et ancien footballeur dans une lettre de démission adressée au président François Hollande, datée du 5 mars 2014 et rendue publique mardi.
L'ancien diplomate y explique s'être vu refuser des affectations en raison de son nom, avoir subi des humiliations de ses collègues et avoir dû supporter des différences de traitement. "Certains dirigeants du Quai d'Orsay considèrent mon origine et mon nom comme un handicap", affirme-t-il.
Lors de son point de presse quotidien, le porte-parole du ministère, Romain Nadal, a jugé "inacceptables" les attaques de l'ancien diplomate. "Les accusations graves de racisme et de discrimination portées par M. Kedadouche à l'encontre du ministère n'ont aucun fondement et sont inacceptables. Les inspections et évaluations menées régulièrement ne les ont jamais étayées", a-t-il dit. Selon lui, dans son dialogue régulier avec l'administration lors des diverses inspections, M. Kedadouche n'a jamais fait état de ces discriminations.
Dans sa lettre, Zair Kedadouche, qui avait été nommé en 2008 consul général de France en Belgique, affirme avoir saisi le Défenseur des droits et déposé plainte auprès du procureur de la République "pour comportements racistes et discriminations sociales de l'administration du Quai". Il précise dans sa missive avoir demandé à revenir à l'Inspection générale de l'éducation nationale, où il avait été intégré sous la présidence de Jacques Chirac.
Zair Kedadouche est aussi directeur des relations internationales au sein du haut conseil à l'intégration et est un des fondateurs de la Cité nationale de l'histoire de l'immigration. Il préside également l’association Intégration France dont l’objet est de favoriser l’intégration économique, sociale et culturelle des jeunes d’origine étrangère.
Zaïr Kédadouche est issu d'une famille algérienne kabyle de 6 enfants arrivée en France dans les années 1950.
Voici la lettre de M Kedadouche
Nouria Benghebrit, ministre de l’éducation nationale
«Nous avons le devoir de réussir ces épreuves»
le 13.05.14 | 10h00
Pour sa première sortie médiatique, la nouvelle ministre de l’Education nationale, Mme Nouria Benghebrit, a rencontré hier les directeurs de l’éducation à travers les wilayas du pays et les représentants des différents partenaires sociaux.
Au menu de cette rencontre, les préparatifs de l’année scolaire 2014-2015 et ceux des prochains examens de fin de cycle. La ministre a tenu avant tout à rassurer les prochains candidats quant aux «meilleures conditions» dans lesquelles sont préparés les futurs examens (entrée en 6e, BEF et baccalauréat). Ce qui l’amène à formuler sa première priorité, celle «d’entrer dans l’apaisement des examens de fin d’année» qui sont, selon elle, «la résultante d’un effort gigantesque de tous les intervenants du secteur». «Nous avons le devoir de réussir ces épreuves et de ne pas stresser et angoisser les élèves», a-t-elle dit.
La nouvelle ministre de l’Education nationale ne semble pas «gober» le seuil du programme à réviser pour le baccalauréat, qu’elle compte carrément supprimer une fois la réorganisation des programmes réalisée. Tout en rappelant le contexte «particulier» marqué par «les grèves dures» tenues dans les établissements scolaires, Mme Benghebrit estime que fixer un seuil du programme «porte atteinte à la réputation des examens». «Cela a des incidences sur le taux d’échec en première année universitaire», a-t-elle souligné.
Révision d’étape
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L'Arabie saoudite prête à "négocier" avec l'Iran
le 13.05.14 | 15h55
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Saoud al-Fayçal, a affirmé mardi que son pays était prêt à "négocier" avec son voisin iranien pour améliorer les relations entre Ryad et Téhéran.
"L'Iran est un voisin, avec lequel on a des relations, et avec qui nous allons négocier", a déclaré à la presse le prince Saoud, précisant qu'une invitation avait été envoyée à son homologue iranien, Mohammad Javad Zarif, à venir à Ryad.
L'Arabie saoudite, puissance sunnite régionale, avait jusqu'ici ignoré les appels du pied de son voisin chiite.
Le président iranien Hassan Rouhani, un modéré, avait multiplié les "messages de fraternité" envers les pays arabes du Golfe depuis son investiture en août dernier.
Il a répété le même message lors d'une visite en mars à Oman, pays arabe du Golfe qui entretient traditionnellement de bonnes relations avec Téhéran.
En décembre, M. Zarif avait lancé une offensive de charme envers les voisins arabes de l'Iran lors d'une tournée dans quatre pays de la région. Il n'a pas pu se rendre toutefois en Arabie saoudite, faute d'invitation.
Le prince Saoud, dont le pays était très critique de l'Iran sur son soutien au régime de Damas ou son programme nucléaire, a tenu mardi un tout autre discours.
"Nous allons parler avec eux (les Iraniens) et nous espérons que les divergences, si elles existent, seront réglées de manière satisfaisante pour les deux pays", a-t-il dit.
"Notre espoir est de voir l'Iran s'associer aux efforts pour rendre la région plus sûre et plus prospère et non pas être un élément d'insécurité de cette même région", a encore dit le prince Saoud.
Cette déclaration coïncide avec une visite en Arabie saoudite du secrétaire américain à la Défense, Chuck Hagel, qui doit rencontrer mercredi ses homologues du Conseil de coopération du Golfe (Arabie saoudite, Bahreïn, Emirats arabes unis, Oman, Qatar et Koweït).
La plupart de ces pays s'inquiètent des conséquences de l'accord intérimaire conclu en novembre entre l'Iran et les grandes puissances qui prévoit un gel du programme nucléaire iranien en contrepartie d'un allègement des sanctions frappant ce pays.
Lors d'une visite à Ryad fin mars, le président américain Barack Obama s'était employé à dissiper les appréhensions du roi Abdallah d'Arabie saoudite au sujet de la politique américaine sur la Syrie et l'Iran en lui assurant que les intérêts stratégiques de leurs pays restaient "alignés".
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Européennes: les députés français moins influents que les Allemands
le 13.05.14 | 11h24
Beaucoup en conviennent: nombre de postes-clés au Parlement européen sont aux mains des Allemands, dont le pays, à la faveur de la crise, a renforcé son influence sur la marche de l'Union. A l'inverse, beaucoup d'élus français pêchent par manque d'expérience et d'assiduité.
Alors que l'influence allemande est déjà très nette au Conseil européen - représentant les Etats membres - où la chancelière Angela Merkel et son ministre des Finances, Wolfgang Schäuble, font prévaloir leur ligne de fermeté budgétaire, les élus allemands sont également très impliqués à Strasbourg.
Outre le perchoir occupé par le social-démocrate Martin Schulz, ils disposaient dans le Parlement sortant de quatre présidences de commissions. Surtout, nombre d'entre eux ont été rapporteurs de textes législatifs importants, par exemple sur la pollution des voitures ou les brevets.
"Les Allemands sont très présents et très organisés. Des députés aux conseillers, ils trustent les postes clés", résume l'écologiste Michèle Rivasi.
Du fait du poids démographique de l'Allemagne, ses députés sont les plus nombreux à Strasbourg. Le futur Parlement comptera 96 Allemands, à comparer par exemple avec les 74 Français, 73 Britanniques et 73 Italiens.
Les eurodéputés allemands, qui n'exercent pas d'autres mandats, s'impliquent au quotidien dans le travail parlementaire. Plus globalement, les partis dont ils sont issus "ont une vraie politique de ressources humaines dans le choix de leurs candidats", note l'élu UMP Alain Lamassoure, fin connaisseur des arcanes de l'institution.
"Ils ont de vrais spécialistes sur les sujets importants pour l'Allemagne: industrie, recherche, agriculture…." et "pèsent sur tous les dossiers", sans pour autant s'imposer de manière hégémonique, observe-t-il. Ils "défendent les intérêts allemands, mais dans un esprit totalement européen", une vertu "inégalement partagée" parmi les Français, tacle M. Lamassoure.
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ÉDUCATION - Réforme des examens de fin d’année. |
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