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Après Abdelkader Bounekraf, qui a démissionné de la direction pour dénoncer le régionalisme, le clanisme et la médiocrité lors des dernières législatives, Abdelhamid Mehri qui a déploré l'absence de débat au sein du parti dans une longue lettre adressée aux congressistes du 9e congrès, Abderrazak Bouhara, dépité de voir son message de Novembre, un texte sur les valeurs de la Révolution remanié et réduit à sa plus simple expression, c'est au tour du trio Abdelkrim Abada, Salah Goudjil et Saïd Bouhadja, «évincés» de manière peu cavalière du bureau politique du FLN, alors qu'ils espéraient être reconduits dans l'équipe dirigeante, d'afficher leur mécontentement. Selon une source sûre, la vieille garde du parti a été très secouée par «l'ingratitude de Belkhadem, lequel, sous la pression, a cédé en la sacrifiant alors qu'elle assurait l'équilibre entre les légalistes et les redresseurs et montrait sa bonne foi envers le président de la République».
Par Fatma Haouari
Les trois hommes jadis forts n'ont pas eu une sortie honorable, à la hauteur de ce qu'ils ont fait pour aider et soutenir Belkhadem dans son entreprise de réunification du FLN, suite à la crise induite par le 8e congrès tenu en 2004. Ce «lâchage» par l'actuel SG du vieux parti est déterminant pour l'avenir du parti comme ce fut le cas pour Ali Benflis. Notre source ajoute que «les trois anciens dirigeants ne mettent plus les pieds au siège du parti depuis qu'ils ont été écartés. Pour ceux qui veulent les rencontrer, ils leur donnent rendez-vous à l'APN (ils sont tous les trois députés) ou en dehors de l'hémicycle de Zighoud-Youcef». Une manière de bouder Belkhadem qui ne les a pas ménagés, eux qui vaquaient pendant des années dans les couloirs de la bâtisse cossue d'Hydra en maîtres des lieux. Pour un ancien ministre du FLN, que nous avons rencontré, «tout le monde sait qu'au fond, on a eu un bel enterrement, si grandiose, du parti lors du 9e congrès. Quand vous voyez les militants en venir aux mains pour siéger au comité central et la manière avec laquelle les structures organiques verticales ont été mises en place, sans discussions, sans débat, sans concertation, vous comprenez vite que le parti a perdu tout ce qui faisait sa grandeur et son lustre». Pour Belkhadem, difficile d'être timonier à la barre d'un bateau qui vacille. On lui prête un comportement autoritaire, intransigeant et revanchard, mais certains disent qu'en réalité, il ne fait qu'exécuter les directives de Bouteflika, étant statutairement président organique du parti, ce qui reste toujours énigmatique car le président ne s'était pas déplacé à la Coupole du 5-Juillet pour inaugurer le 9e congrès. Il s'était juste contenté, comme l'avaient fait Mehri et Ben Bella, pour des raisons différentes, d'adresser une lettre exhortant la direction d'ouvrir les portes aux jeunes et aux femmes. Ceci dit, même s'il est dans les bonnes grâces du président jusqu'à maintenant, les données politiques actuelles ont totalement changé et laissent entrevoir de nouvelles perspectives qui ne sont pas du tout en sa faveur. La grogne sourde, continue à «tonner » dans la maison FLN, la composante du bureau politique et notamment le comité central sont vilipendés, et des bruits courent qu'une nouvelle crise risque de pointer à l'horizon comme ce fut le cas pour le défunt conseil national, où était contenue la protesta. On pense même que des coupes sombres y seront faites pour épurer l'entité. «L'ostracisme, le départ, voire l'exclusion de la vieille garde, qu'elle soit antagoniste ou protagoniste, ne constituent pas la meilleure décision que Belkhadem ait prise sur le plan stratégique, selon notre source, car cette dernière a eu largement le temps, durant «son règne», de tisser des réseaux et des liens qui peuvent s'opposer à l'actuel locataire d'Hydra. Sans oublier que ces retraits volontaires ou contraints affaiblissent considérablement le parti, non seulement au niveau du capital humain mais également celui de la formation politique et des repères historiques». Et c'est ainsi, conclut notre source, que «le FLN se départit doucement de sa famille révolutionnaire». Par ailleurs, le dernier remaniement ministériel travaille pour le renforcement d'un autre parti qui monte et qui a su en temps opportun contracter des alliances lors des sénatoriales pour se voir propulser au-devant de la scène et rafler la mise en termes de sièges et d'ancrage populaire. Le parti d'Ahmed Ouyahia, principal concurrent du FLN, prépare déjà les prochaines élections en douceur. Le fait que l'énarque Ouyahia ait été reconduit à la tête du gouvernement en s'assurant les portefeuilles de l'énergie et de l'économie est une victoire significative qui en dit long sur ce qui se trame en haut. Il y a des signes qui ne trompent pas, et pour Belkhadem, la roue est en train de tourner et peut-être pas dans le bon sens, car il faut beaucoup d'ingéniosité et d'intelligence pour se placer dans une classe politique frappée d'incompétence et d'immobilisme. Il faut croire aussi que la succession de Bouteflika se prépare en sourdine, et le FLN, de toute évidence, ne part pas favori.
F. H.
Actualités
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FRONT DE LIBÉRATION NATIONALE
La vieille garde boude Belkhadem |
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Après Abdelkader Bounekraf, qui a démissionné de la direction pour dénoncer le régionalisme, le clanisme et la médiocrité lors des dernières législatives, Abdelhamid Mehri qui a déploré l’absence de débat au sein du parti dans une longue lettre adressée aux congressistes du 9e congrès, Abderrazak Bouhara, dépité de voir son message de Novembre, un texte sur les valeurs de la Révolution remanié et réduit à sa plus simple expression, c’est au tour du trio Abdelkrim Abada, Salah Goudjil et Saïd Bouhadja, «évincés» de manière peu cavalière du bureau politique du FLN, alors qu’ils espéraient être reconduits dans l’équipe dirigeante, d’afficher leur mécontentement. Selon une source sûre, la vieille garde du parti a été très secouée par «l’ingratitude de Belkhadem, lequel, sous la pression, a cédé en la sacrifiant alors qu’elle assurait l’équilibre entre les légalistes et les redresseurs et montrait sa bonne foi envers le président de la République». Suite... |
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Vent de colère sur le FLN à Béjaïa |
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La crise larvée qui mine depuis plusieurs mois déjà le FLN vient d’éclater au grand jour à Béjaïa. En effet, une très forte «ébullition» est observée au sein de la formation de Belkhadem. Fraîchement élue — lors du dernier congrès du FLN — au comité central et à la tête de la mouhafadha, Mme Fourar fait face à une grogne sans précédent de la base militante du plus vieux parti algérien, dans la wilaya de Béjaïa. Suite... |
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OULD-ABBÈS À PROPOS DE LA CAMPAGNE DE VACCINATION DE L'OMS CONTRE LA GRIPPE H1N1 :
«C'est une imposture !» |
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Le ministre de la Santé et de la Réforme hospitalière a affirmé, hier, en marge du séminaire international sur «le droit des brevets et ses implications sur le développement de l'industrie pharmaceutique en Algérie», organisé par l'Union nationale des opérateurs de la pharmacie (Unop), que le Premier ministre Ahmed Ouyahia l'a instruit au lendemain de sa nomination à la tête du département de la santé de «préparer dans un délai de 15 jours un rapport sur les pénuries cycliques des médicaments ». Le document doit être remis aujourd'hui au chef de l'exécutif, a-t- il indiqué. Il a ajouté que «le rapport sera dévoilé d'ici la fin du mois en cours». Suite... |
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AFFAIRE DU FOSC DU GROUPE SONELGAZ
La justice innocentera-t-elle les 17 cadres ? |
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Le verdict du procès de l’affaire du Fonds des œuvres sociales et culturelles (FOSC), relevant du groupe Sonelgaz, sera rendu dans deux jours, soit le 16 du mois en cours. L’affaire a été mise en délibéré le 19 mai dernier. Le tribunal correctionnel de Bir- Mourad-Raïs, en charge du traitement de cette affaire, aura à se prononcer sur «l’innocence ou la culpabilité des personnes poursuivies par le ministère public». Suite... |
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ILS S’APPRÊTAIENT À VISITER LA FOIRE DE BAUMA
Des entrepreneurs algériens indésirables en Allemagne ? |
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«Le Consulat d’Allemagne a refusé de nous délivrer un visa. Soit, c’est son problème. Mais cette autorité n’avait pas le droit de toucher à nos passeports, qui relèvent de la souveraineté nationale», dénoncent les entrepreneurs de la wilaya de Boumerdès affiliés à l’Union générale des entrepreneurs algériens (UGEA). Ne décolérant pas, le président de la Fédération de Boumerdès de l’UGTA s’indigne : «Ils nous traitent comme des parias, des individus infréquentables. C’est un outrage !» Suite... |
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EN PRÉVISION DU PROJET D’ÉLARGISSEMENT DES VOIES
Trente constructions démolies à Oran |
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Trente constructions seront démolies dans le cadre des travaux d’élargissement de certaines artères de la ville d’Oran. Ces travaux concerneront le deuxième boulevard périphérique, l’avenue d’Arcole et l’avenue Général- Ferradou, trois importantes voies situées à l’intérieur du tissu urbain. Le lancement de l’opération vient d’être reporté à la fin de l’année en cours ou au plus tard au début de l’année 2011. Pour les élus locaux, ce report est dû en partie aux travaux du tracé du tramway. Suite... |
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Sports
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ATHLÉTISME
Zerguelaïne deuxième à Rabat |
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Les premiers meetings internationaux de préparation des athlètes d’élite algériens n’ont pas été très favorables en termes de résultats pour la plupart d’entre eux bien que quelques performances soient satisfaisantes. Suite... |
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SPORTS MÉCANIQUES
Rallye de régularité à Sidi-Bel- Abbès |
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Dans le cadre de la célébration de la Fête nationale de l’Indépendance et de la Jeunesse, la Fédération algérienne des sports mécaniques et la Ligue de sports mécaniques de Sidi-Bel-Abbès organisent un grand événement du 15 au 18 juillet 2010 à Sidi-Bel-Abbès : Suite... | |
Culture
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ALGER, UN LIEU, UNE HISTOIRE
Commerces d’antan |
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A Alger, les quelques commerces qui ont gardé leur première vocation disparaissent les uns après les autres. Après la Grande Librairie (rue Boumendjel) et La librairie des Beaux-Arts (rue Didouche-Mourad), voici l’histoire de deux autres enseignes d’antan : Studio Merazi et La maison de la datte. Suite... |
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EXPOSITION
Le surréalisme, style de prédilection de Regane |
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Une exposition comprenant une quarantaine d'œuvres de l'artiste peintre Omar Regane, dont une grande partie est d'inspiration symbolique avec des références à l'art surréaliste, se tient jusqu'à la semaine prochaine à la médiathèque Abane-Ramdane (Alger). La collection présentée comprend des tableaux réalisés selon la technique de la peinture à l'huile sur carton, avec des compositions incluant des personnages et des êtres fantastiques sur un fond reflétant une atmosphère lyrique. Suite... |
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Actucult |
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PROGRAMME D’ANIMATION DU CAFÉ LITTÉ- RAIRE L’ÎLE LETTRÉE
- Jusqu’au 24 juin, Dalil Saci, artiste peintre, exposera une collection exclusive d’œuvres intitulée «Défragmentation».
- Aujourd’hui à 15h, présentation de la collection numérique du Journal officielde 1962 à nos jours, animée par M. Benbrahim Messaoud (cadre Atral). Suite... | |
Mondial
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YAZID MANSOURI :
«Je n’ai pas encore digéré» |
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Le désormais ex-capitaine des Verts ne comprend toujours pas sa mise à l’écart de l’équipetype, ni l’acharnement de certains à lui en vouloir pour les «mauvais résultats de l’équipe». Pour Yaz’, le football est un monde cruel. Sans pitié pour ceux qui ne savent pas s’arrêter temps. Au sortir d’un échauffement des Verts à auquel il n’était même pas convié, Yazid Mansouri, toujours le sourire aux lèvres, se livre aux lecteurs et à tous les Algériens. Suite... |
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Les déboires des Verts à Polokwane |
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Aussitôt rentrés à leur hôtel, le Landmark Guest House de Polokwane, à la fin de la rencontre contre la Slovénie, les membres de la délégation ont appris que le départ vers San Lameer programmé initialement pour hier était avancé pour 18h30 dimanche. Une nouvelle qui n’a pas plu à beaucoup de joueurs qui voulaient passer la nuit à Polokwane, histoire de mieux digérer leur déception après la défaite inattendue. Et le temps leur a donné raison. Suite... |
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Le Japon bat le Cameroun 1 à 0 |
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Le Japon a créé la surprise en battant un fort décevant Cameroun (1-0) lors de l'entrée en lice des deux équipes (groupe E) au Mondial-2010 hier à Bloemfontein, profitant du manque terrible d'idées et de la fébrilité de la défense des Camerounais. Suite... |
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LA COUPE DU MONDE DE MOHAMED BENCHICOU
Belcourt, quinze ans après Yamaha, une heure après Koren |
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Belcourt ne savait déjà plus distraire le désespoir quand Chaouchi relâcha le ballon dans ses filets, ce dimanche noir où le capitaine Koren, le capitaine slovène, avait tiré et que la cité s’était écroulée, touchée en plein cœur, ramenée à sa condition misérable, tu ne seras pas champion, mon fils, il n’y aura pas de défilé, cache le drapeau et viens fumer un joint, le cortège est annulé, tu ne seras pas champion, mon fils… Du temps des frères Yamaha, Belcourt savait rire de ses désappointements. Suite... |
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«L’énorme désillusion», note la presse française |
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Retour manqué ; «L’Algérie se saborde» ou encore «Notes salées pour l’Algérie» sont, entre autres, les titres qu’ont consacrés les médias français au lendemain de la défaite (0 à 1) du 11 algérien face à la Slovénie. Ces mêmes titres et à la veille de la rencontre misaient sur une victoire algérienne, tout au moins pour cette première rencontre donnée quasiment aux footballeurs algériens. La désillusion est grande, relèvent ces titres et la déception pour les Algériens est immense. Suite... |
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ANGLETERRE
Cole et Rooney ne se sont pas entraînés hier |
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Le défenseur international anglais Ashley Cole, ainsi que l'attaquant Wayne Rooney, ont été ménagés hier par le sélectionneur Fabio Capello, à l'occasion de la séance d'entraînement qui s'est déroulée à Rustenburg (nord), quatre jours avant le match contre l'Algérie, comptant pour le groupe C de la Coupe du monde en Afrique du Sud (11 juin- 11 juillet). Suite... |
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RAMA YADE ET LES BLEUS
Je t'aime, moi non plus au township |
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«Qu'elle y soit ou pas, c'est pareil, on n'y va pas dans le but de voir Rama Yade» : Eric Abidal a donné le ton dimanche d'une journée où les Bleus et la secrétaire d'Etat aux Sports ont réussi à ne pas se croiser en visitant le même township à Knysna, près du camp de base des Français. Suite... |
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