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MARDI 18 MARS 2014
Mardi 18 Mars 2014
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Qui attise le feu à Ghardaïa ?
le 18.03.14 | 10h00
Beyrouth ou Belfast. Ghardaïa, lundi, 16h. Du haut de Bouhraoua, le belvédère surplombant la Pentapole du M’zab, une vision d’Apocalypse now. La vallée du M’zab brûle, la «République» aussi, ravagée par ses vieux démons et conflits communautaires. Une plaie béante et fétide crachant son pus à la face du moribond Etat-nation.
Des survols incessants d’hélicoptère, des colonnes de fumée noire s’échappant des bas quartiers du vieux Souk, de Hadj Messaoud, de Theniet El Makhzen, Mermed... où des centaines de magasins et maisons appartenant aux communautés arabe et mozabite avaient été incendiés et pillés. Une semaine de folie. Des torrents de haine condensée. Le déchaînement de violences réciproques est sans précédent depuis mercredi dernier. Dans la nuit de dimanche à lundi, les heurts et affrontements s’étaient poursuivis jusqu’au petit matin et ce dans divers endroits de la ville, faisant plusieurs blessés, dont un jeune Mozabite et un policier, tous les deux admis en réanimation. Une ville née morte au petit matin. Le no man’s land intégral. «On aurait jamais atteint un tel niveau de violence, si les pouvoirs publics avaient maintenu le dispositif sécuritaire mis en place le mois dernier», commente un ex-haut fonctionnaire.
Des rues vides occupées par des colonnes de CRS et de gendarmes transformant la ville en casernement. Des rideaux arrachés, éventrés, des bris de verres, de la pierraille, des restes de munitions et cartouches utilisées (balle en caoutchouc, bombes lacrymogène), des carcasses de pneus brûlés, jonchaient les lieux. Le sinistre est porté à son comble. Les établissements scolaires transformés eux aussi en lieux d’affrontement – comme le lycée Moufdi Zakaria – sont fermés, «jusqu’à ce que la sécurité revienne», affirme le directeur de l’éducation et confirme avoir saisi officiellement le wali Les banques, les bureaux de poste, les échoppes et magasins également plombés par l’insécurité ambiante, le manque d’approvisionnement aussi bien en denrées alimentaires qu’en médicaments
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