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Le gouvernement algérien retire la gestion de l’eau aux sociétés étrangères
le 11.06.14 | 16h40 Réagissez
Le gouvernement a décidé de renoncer à la gestion déléguée des services publics de l'eau dans les grandes métropoles, confiée depuis 2005 à des entreprises internationales, en optant pour une nouvelle formule d'assistance technique, a annoncé mercredi le ministre des Ressources en Eau, M. Houcine Necib.
"Nous avons décidé avec l'accord du gouvernement d'aller vers une nouvelle formule de gestion de l'eau où l'intervention des opérateurs étrangers devra s'opérer selon une nouvelle formule du contrat d'assistance technique", a déclaré M. Necib dans un entretien accordé à l'APS.
Afin d'améliorer la distribution de l'eau dans les grandes villes, l'Etat avait délégué sa gestion en 2005 à des opérateurs internationaux. Le Français Suez Environnement s'est vu confier la gestion de l'eau dans la capitale et Tipaza. En plus de Suez environnement l'Etat avait signé des contrats de gestion des services publics de l'eau avec la Société des eaux de Marseille pour Constantine et aussi avec l'espagnol Agbar pour la wilaya d'Oran. La distribution de l'eau dans les wilayas de Annaba et d'El Taref a été confiée à l'Allemand Gelssen Wasser.
Les entreprises qui seront reconduites à la fin de leur contrats de gestion déléguée seront retenues comme des partenaires techniques qui vont assister les filiales de distribution algériennes dans des domaines bien précis, selon les explications du ministre. "Actuellement nous nous orientons vers une autre forme de partenariat, celle de l'assistance technique, nous estimons que nos filiales peuvent aujourd'hui se suffire d'un encadrement décisionnel exclusivement algérien qui sera soutenu par une expertise internationale choisie et ciblant les domaines où le déficit est encore présent", indiqué M. Necib.
Les domaines enregistrant toujours des déficits et nécessitant l'expertise étrangère ont été déjà définis selon une évaluation objective, a enchaîné le ministre, citant en cela le domaine de la relation avec les clients qui n'est pas encore maîtrisé par les entreprises algériennes. "On va aller vers une reconduction aménagée nous allons gérer avec l'objectif de préserver les acquis pour ne pas reculer voir même les améliorer", a souligné M. Necib.
L’Allemand Gelssen Wasser veut un règlement à l'amiable
Evaluant l'ancienne formule de gestion de l'eau, le ministre a relevé qu'à l'exception de l'expérience de Annaba et d'El Taref qui s'est avérée non concluante et pour laquelle les actionnaires l'Algérienne des Eaux (ADE) et l'Office national de l'assainissement (ONA) ont pris à temps les dispositions nécessaires en résiliant le contrat, les autres partenariats ont été globalement positifs.
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الأربعاء 11 جوان 2014 م
الأربعاء 12 شعبان 1435 ه
Les trois principales menaces pour le Mondial au Brésil
le 11.06.14 | 18h04
Grèves, manifestations et problèmes de sécurité laissent planer une menace sur le bon déroulement du Mondial qui débute jeudi au Brésil, un pays continent de 200 millions d'habitants à fortes inégalités et taux élevé de criminalité.
MOUVEMENTS SOCIAUX Le Brésil est agité depuis plusieurs mois par des grèves sectorielles, de policiers, chauffeurs de bus, employés de métro, susceptibles de perturber les accès aux stades ou aux aéroports. Les embouteillages monstres provoqués la semaine dernière par la grève du métro de Sao Paulo ont donné une idée du chaos que peuvent provoquer ces mouvements dans des villes gigantesques remplies de touristes et déjà d'ordinaire congestionnées.
Les employés du métro de Sao Paulo devaient décider mercredi s'ils cessaient de nouveau le travail jeudi pour le match d'ouverture Brésil-Croatie. Les employés des autobus de Natal (nord-est), seul transport public de cette ville hôte, ont décidé d'entrer en grève jeudi. Natal accueillera notamment la vice-président américain Joe Biden lundi pour le match Ghana - Etats-Unis. Les transports constituent "un risque important avec de potentielles grandes retombées, affirme André Cesar, analyste du consultant Prospectiva à Brasilia. "Les autorités doivent le prendre au sérieux". Il est évident selon lui que les mouvements profitent de la visibilité du Mondial pour faire pression sur le gouvernement. "Vu de l'extérieur, même si le mouvement est opportuniste, on peut en croire le bien fondé. Le gouvernement n'est pas très habile pour communiquer".
MANIFESTATIONS ANTI-MONDIAL Une série de manifestations contre les dépenses publiques investies dans l'organisation du Mondial ont été annoncées autour des stades les jours de matches. En juin 2013, des millions de Brésiliens avaient pris d'assaut les rues des grandes villes en pleine Coupe des confédérations pour réclamer l'amélioration des transports, de la santé et de l'éducation et protester contre le 11 milliards de dollars dépensés pour le Mondial, dont un tiers dans les stades. Les manifestations ont perdu en intensité mais se sont radicalisées sous l'action des anarchistes Black blocs. Echaudés par les violences, la majorité des Brésiliens ne descend plus dans la rue. Récemment les mouvements syndicaux ont repris le devant de la scène et les manifestations sont plus pacifiques. Mais la tension persiste.
SECURITE Brasilia a déployé 157.000 policiers et militaires pour assurer la sécurité des équipes, des autorités et des supporters dans les 12 villes hôtes de ce pays grand comme 14 fois la France. Le gouvernement a aussi bloqué l'entrée des supporters étrangers violents ayant des antécédents, dans le pays et dans les stades. Le Brésil est également confronté à des problèmes internes de sécurité. Il est considéré comme l'un des pays les plus violents du monde, avec une moyenne annuelle de 23 homicides pour 100.000 habitants. C'est cinq fois plus qu'aux Etats-Unis et dix fois plus qu'au Japon, selon l'expert en contre-terrorisme Marcus Reis.
Par ailleurs, selon M. Reis, le Brésil, même s'il n'a pas d'ennemi déclaré, n'est pas préparé pour faire face à une menace terroriste à grande échelle. "Le Brésil n'est pas une cible pour les organisations terroristes mais ses invités, si. Le Mondial est vu par des millions de personnes et toute organisation voulant diffuser son idéologie pourrait en profiter", affirme-t-il. Selon M. Reis, la police brésilienne, en particulier les négociateurs susceptibles d'intervenir en cas de crise, n'est pas préparée pour comprendre l'idéologie des organisations radicales religieuses ou d'autre nature. "On ne risque pas grand-chose à commettre un crime au Brésil, il n'y a pas de loi pour les manifestations émaillées de violences ni pour punir un attentat terroriste. La police n'a pas les moyens adéquats pour enquêter", avance-t-il.
Moises AVILA (AFP)
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Ould Khelifa : « Il n'y a pas de règlement de comptes entre l'Algérie et le Maroc »
le 11.06.14 | 17h22
Le président de l'Assemblée populaire nationale (APN) Mohamed Larbi Ould Khelifa a affirmé mercredi qu'il n'y avait aucun problème entre l'Algérie et le Maroc lié à un "règlement de comptes" ou autre, et que le problème résidait entre le peuple sahraoui et les autorités marocaines.
"Il n'y a pas de problème ou de règlement de comptes entre l'Algérie et le Maroc. Le problème réside entre le peuple sahraoui et les autorités marocaines qui mènent la politique du fait accompli, a précisé M. Ould Khelifa dans une allocution prononcée dans le cadre d'une journée d'évaluation de l'activité de la délégation parlementaire féminine des camps des réfugiés sahraouis à l'occasion de la célébration de la Journée de la femme (8 mars 2014).
M. Ould Khelifa a appelé les autorités marocaines "à revenir à la raison et à permettre au peuple sahraoui de décider de son sort loin de toute pression et sans que personne n'ait à parler pour lui". Il a mis en avant les efforts consentis par l'Algérie afin que le peuple sahraoui puisse concrétiser ses aspirations à l'autodetermination. Il a souligné dans ce sens que l'Algérie poursuivra "sans hésitation" ses efforts de soutien en faveur du peuple sahraoui pour le "recouvrement de ses droits spoliés dont son droit à l'autodétermination".
M. Ould Khelifa s'est dit convaincu que la lutte du peuple sahraoui est une lutte "pacifique" pour concrétiser son droit à l'autodétermination conformément aux chartes et décisions internationales. Il a qualifié la politique d'annexion menée par le Maroc de "très dangereuse" au regard de la loi et des relations internationales.
Selon le président de l'APN, l'Algérie considère la question sahraouie comme une "question qui interpelle la conscience internationale" et qui s'inspire de la Révolution algérienne. Il a estimé que la politique du fait accompli que le Maroc veut imposer par "l'annexion ou la division, ne pourrait réussir et ne saurait être acceptée par l'opinion publique internationale ni dans les régions d'Afrique du Nord et du Maghreb arabe".
"L'Algérie est convaincue que le peuple sahraoui triomphera, car sa cause est juste", a-t-il dit soulignant que le "soutien matériel et moral de l'Algérie est dicté par le devoir de fraternité et de voisinage".
APS
Abdelmalek Sellal l’a exclu hier au Sénat
Le FIS dissous ne reviendra plus sur la scène politique
le 11.06.14 | 10h00
Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, exclut le retour du FIS dissous sur la scène politique.
Interrogé, hier, lors d’un point de presse tenu au Conseil de la nation, sur le retour supposé de ce parti à l’origine de la décennie noire, M. Sellal a été catégorique en affirmant que cette question était définitivement «tranchée», et ce, «depuis des années». Donc pas de retour en arrière ou de nouvelles concessions.Pour étayer ses propos, M. Sellal se réfère à la loi sur les partis qui est «claire à ce sujet et a été appliquée à la lettre». «Le FIS, en tant que parti, ne figure pas sur notre agenda», a-t-il encore insisté.
L’invitation de certains dirigeants au sein de ce parti dissous a été interprétée par certains milieux comme un premier pas vers le retour dans l’arène politique de cette formation. Et c’est au Premier ministre de faire la mise au point en précisant que leur invitation aux consultations n’est nullement une offre de retour. «Ils ont été convoqués en tant que personnalités afin de participer aux consultations sur le projet de révision constitutionnelle, car le président de la République en personne a donné des instructions pour qu’aucun Algérien ne soit exclu», a souligné M. Sellal, qui enterre ainsi définitivement le fantôme du FIS dissous que certains veulent ressusciter à dessein.
C’est El Hachemi Sahnouni, un des fondateurs du FIS, qui a remis la question du retour du parti dissous sur la scène médiatique. Dans un entretien à une chaîne de télé privée, cet islamiste a affirmé avoir reçu, avec d’autres anciens dirigeants du FIS, le feu vert du pouvoir pour se relancer en politique sous un autre sigle. Trois anciens du FIS ont été invités à participer aux consultations sur la révision de la Constitution. Si les deux premiers, El Hachemi Sahnouni et Madani Mezrag, ont confirmé leur participation, Abdelkader Boukhamkham, quant à lui, a décliné l’invitation du chef de cabinet de la présidence de la République.
Sur un autre registre, celui de la probable dissolution du Parlement revendiquée notamment par le Parti des travailleurs, Abdelmalek Sellal a affirmé qu’elle aussi ne figurait pas dans l’agenda du gouvernement. M. Sellal a cependant rappelé que la question relevait des prérogatives du président de la République, conformément à la Constitution. «Le renforcement et l’élargissement des prérogatives du Parlement avec ses deux Chambres figurent, en revanche, parmi les propositions que renferme le projet de Constitution soumis actuellement aux partis et personnalités nationales pour débat et enrichissement», a ajouté le Premier ministre.
M. Sellal a été également interpellé sur la non-parution de certains titres, à l’instar du journal El Fadjr pour n’avoir pas honoré ses dettes vis-à-vis des imprimeries ; il a tenté de rassurer en attestant que «l’Etat n’avait nullement l’intention de restreindre la liberté de la presse». Abdelmalek Sellal a indiqué dans ce sillage que «l’Etat tente, autant que possible, d’aider la presse écrite, mais celle-ci doit à son tour faire montre de bonne volonté en proposant un échéancier pour honorer ses dettes contractées auprès des imprimeries et faire preuve de crédibilité».
Mokrane Ait Ouarabi
CONFÉRENCE DE LA CNLTD La Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD) a réuni sa conférence nationale, hier, à Zéralda. Les participants, fort nombreux et de qualité, ont, dans leurs interventions, affirmé partager l’idée du changement pacifique comme fonds de conviction commune. Une étape de réussie, en attendant Suite... |
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