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Les campagnes de lutte contre la corruption, salvatrices tant quâelles ne glissent pas vers le rĂšglement de comptes entre clans se disputant une meilleure assise au pouvoir, induisent, comme consĂ©quence collatĂ©rale immĂ©diate, la paralysie de lâaction des cadres gestionnaires. Sofiane AĂŻt-Iflis - Alger (Le Soir) - Les grosses affaires de corruption qui tiennent en haleine lâopinion nationale, voire mĂȘme internationale, ont eu un ricochet foudroyant sur la vie Ă©conomique nationale. Par crainte, les cadres gestionnaires, Ă quelques niveaux que ce soit, sont en passe de devenir maĂźtres de la prudence excessive. Au point oĂč la conclusion de marchĂ©s tend Ă relever de la bravade. Non que ces cadres gestionnaires, prĂ©sidents-directeurs gĂ©nĂ©raux, directeurs gĂ©nĂ©raux, chefs de dĂ©partement et autres, souffriraient dâun manque de probitĂ© mais, par les temps qui courent, il nâest pas bien indiquĂ© dâĂȘtre particuliĂšrement entreprenant. Ce qui est arrivĂ© au directoire de la Sonatrach, aux hauts cadres des ministĂšres des Travaux publics et de la PĂȘche et des Ressources halieutiques et Ă dâautres gestionnaires, semble avoir semĂ© un vent dâinertie chez ces derniers. La peur est lĂ , mĂȘme si les pouvoirs publics nâont de cesse de rĂ©pĂ©ter que les enquĂȘtes Ă©conomiques diligentĂ©es et les procĂšs intentĂ©s aux prĂ©sumĂ©s coupables ne procĂšdent pas de rĂšglements de comptes comme suggĂ©rĂ© par la chronique politique et, plus souvent, par le commentaire mĂ©diatique. Il plane, en effet, depuis la mise en branle de la campagne de lutte contre la corruption, comme un air de nouveau Maccarthysme. Ce qui nâest pas pour rassĂ©rĂ©ner les cadres gestionnaires, lesquels, Ă raison ou Ă tort, finissent par percevoir leur poste et leur fonction comme lâantichambre de la prison. InquiĂ©tudes lĂ©gitimes puisque dans toutes les affaires de corruption rĂ©vĂ©lĂ©es Ă lâopinion, Ă lâinstar des plus grosses que sont lâaffaire Sonatrach et celles de lâautoroute Est-Ouest et du thon rouge, la responsabilitĂ© des ministres Ă charge des dĂ©partements ne semble pas retenue comme engagĂ©e. Ni Chakib Khelil, le ministre de lâEnergie et des Mines, ni Amar Ghoul, ministre des Travaux publics, ou encore SmaĂŻl Mimoun, le ministre de la PĂȘche et des Ressources halieutiques, nâont Ă©tĂ© citĂ©s Ă rĂ©pondre dâune quelconque responsabilitĂ©, celle politique notamment, dans les affaires scabreuses qui Ă©claboussent leurs secteurs respectifs. Seuls, pour le moment, les cadres gestionnaires rĂ©pondent pĂ©nalement de leurs actes de gestion. DiligentĂ©es autour de la conduite et la gestion des opĂ©rations Ă©conomiques, notamment la passation de gros marchĂ©s publics dâĂ©quipements ou de rĂ©alisation, les enquĂȘtes menĂ©es ont gĂ©nĂ©rĂ© un climat de peur gĂ©nĂ©ralisĂ©e Ă la quasi-entiĂšretĂ© de la sphĂšre Ă©conomique. Au point oĂč, dit-on, des cadres gestionnaires prient de nâavoir pas de marchĂ©s Ă conclure ou de contrats Ă parapher. Ce qui, Ă©videmment, se rĂ©percute nĂ©gativement sur lâessor de dĂ©veloppement Ă©conomique pour lequel lâEtat dĂ©gage des enveloppes bien touffues de devises. S. A. I.
La panne du rĂ©seau informatique dâAlgĂ©rie Poste est-elle rĂ©vĂ©latrice dâune certaine fragilitĂ© du systĂšme informatique dans notre pays ? Au-delĂ de lâorigine de la panne, nâest-il pas opportun de mettre en place, en urgence, un systĂšme de sĂ©curisation du rĂ©seau Ă mĂȘme de pallier ce genre de situation ? Abder Bettache - Alger (Le Soir) - Les spĂ©cialistes en informatique sont unanimes : la modernisation des institutions passe incontestablement par la sĂ©curisation de leur systĂšme informatique. Intervenant, hier, sur les ondes de la ChaĂźne III de la Radio nationale, le directeur gĂ©nĂ©ral par intĂ©rim dâAlgĂ©rie Poste, M. Sayeh, a indiquĂ© que «la panne du rĂ©seau national CCP de la Poste qui sâest produite en fin de semaine derniĂšre est liĂ©e au basculement vers le rĂ©seau IP (Internet Protocol) du systĂšme informatique de lâopĂ©rateur public. «Les bureaux qui fonctionnaient avec lâancien systĂšme X25 nâont pas connu de perturbation», a soulignĂ© M. Sayeh ajoutant que «la coupure de la fibre optique au niveau de Ben- Aknoun, Ă Alger, a Ă©tĂ© quelque peu Ă lâorigine de cette situation». Par ailleurs, selon M. Sayeh, les nombreuses demandes au niveau central concernant des consultations de soldes ou des commandes de carnets CCP ralentissent le systĂšme. «Notre systĂšme reboote sâil nây a pas de rĂ©ponse au bout de 60 secondes. Le redĂ©marrage freine un peu le service. Mais ce nâest pas un bug. Notre nouvelle application permet dâavoir plus dâinformations sur les comptes», a-t-il expliquĂ©. Au-delĂ de la panne dâAlgĂ©rie Poste, la vĂ©ritable question qui se pose est celle de savoir Ă quel niveau se situe aujourdâhui «le dĂ©ficit des institutions algĂ©riennes dans le domaine de la sĂ©curisation de leur systĂšme informatique ».En effet, les systĂšmes informatiques, devenus aujourdâhui un outil incontournable de gestion, d'organisation, de production et de communication pour lâentreprise, sont exposĂ©s aux actes de malveillance de diffĂ©rentes natures. Faire face Ă la menace extĂ©rieure constitue pour lâentreprise le vĂ©ritable dĂ©fi Ă relever. Sachant que cette mĂȘme institution, Ă savoir AlgĂ©rie Poste, avait fait lâobjet, dans un passĂ© rĂ©cent, dâune attaque informatique. Selon M. Sayeh, le piratage du systĂšme informatique dâAlgĂ©rie Poste remonte Ă 2005, dâoĂč lâurgence dâinvestir 7 millions dâeuros, soit lâĂ©quivalent de 70 milliards de centimes, pour le renforcement de la sĂ©curitĂ© du systĂšme informatique au niveau central. Selon des spĂ©cialistes, les sites informatiques appartenant aux entreprises publiques et privĂ©es et autres institutions ne sont pas Ă lâabri de piratages. Le hacking (piratage informatique) pourrait intervenir aussi bien Ă court quâĂ moyen terme. Les consĂ©quences ? «Elles sont identiques Ă la crise financiĂšre mondiale qui sĂ©vit en ce moment», explique-t-on. A. B.
Lâun des deux jeunes blessĂ©s par balles par un policier en civil, lors de lâĂ©meute du 17 mars courant Ă Boukhadra (Annaba) a entamĂ©, dimanche dernier au centre de soins de la maison dâarrĂȘt de BouzaĂąroura, une grĂšve de la faim pour protester contre sa mise sous mandat de dĂ©pĂŽt. Pour leurs familles, les deux jeunes blessĂ©s, mis sous mandat de dĂ©pĂŽt, sont «des victimes et non des agresseurs» du policier blessĂ© Ă la tĂȘte, lors des Ă©chauffourĂ©es quâa connues ce quartier situĂ© Ă la pĂ©riphĂ©rie du chef-lieu de wilaya entre policiers en civil, venus arrĂȘter un dangereux malfaiteur, et des jeunes qui se sont opposĂ©s Ă son arrestation. Cette opposition a permis au malfaiteur de sâĂ©chapper avec les menottes aux poignets. Par ailleurs, huit personnes sur les neuf interpellĂ©es pour leur participation aux Ă©meutes qui avaient secouĂ© jeudi dernier la localitĂ© populeuse de Sidi-Salem, commune dâEl-Bouni, ont fait lâobjet, lundi aprĂšs-midi, dâune procĂ©dure de mise sous mandat de dĂ©pĂŽt. Etant mineure, la neuviĂšme personne, a bĂ©nĂ©ficiĂ© dâune citation directe. Il est reprochĂ© aux neuf Ă©meutiers des actes de rĂ©bellion, dâatteinte aux biens dâautrui et de troubles Ă lâordre public. A lâaide de jets de pierres et dâautres objets dangereux, ils ont essayĂ© dâempĂȘcher les forces de lâordre de protĂ©ger les engins chargĂ©s par les autoritĂ©s locales dâune opĂ©ration de dĂ©molition de 35 constructions illicites sur un terrain appartenant Ă un privĂ© au quartier Bouakkadia. Ces Ă©meutes ont provoquĂ© des blessures plus ou moins graves Ă 18 personnes dont cinq policiers. A. Bouacha
LâAlgĂ©rie nâadhĂ©rera Ă aucune autre zone de libre-Ă©change avant dâavoir adhĂ©rĂ© Ă lâOMC. Le ministre du Commerce justifie cette dĂ©cision par lâimpĂ©ratif de ne pas gĂȘner les nĂ©gociations avec lâOMC. Nawal ImĂšs - Alger (Le Soir) - Lâannonce a Ă©tĂ© faite hier par El Hachemi DjaĂąboub qui a expliquĂ© que lâAlgĂ©rie va devoir boucler le dossier OMC avant dâenvisager dâadhĂ©rer Ă une zone de libre-Ă©change. Lâobjectif : ne pas parasiter les discussions avec lâOMC et ne pas offrir Ă cette derniĂšre lâoccasion dâexiger plus de concessions. Pourtant, des nĂ©gociations avancĂ©es sont en cours avec les pays de lâAfrique de lâOuest et lâAssociation du libre Ă©change europĂ©en (ALEE) mais rien ne sera dĂ©cidĂ© avant que le dossier OMC ne soit clos. LâadhĂ©sion, lâannĂ©e derniĂšre, de lâAlgĂ©rie Ă la zone arabe de libre-Ă©change (Zale) aura Ă©tĂ© donc la derniĂšre dĂ©cision prise dans ce sens. Une adhĂ©sion qui avait suscitĂ© beaucoup dâinquiĂ©tudes auprĂšs des opĂ©rateurs Ă©conomiques algĂ©riens. Des apprĂ©hensions injustifiĂ©es, selon le ministre du Commerce. Chiffre Ă lâappui, il a voulu dĂ©montrer que la Zale nâa pas eu pour effet lâinondation du marchĂ© algĂ©rien de produits arabes. Il assure quâil nây a pas plus de marchandises provenant des pays arabes quâavant lâadhĂ©sion de la Zale. LâÉgypte arrive en tĂȘte avec 34 % des exportations, suivie de la Tunisie et de lâArabie saoudite. Pour prĂ©server le marchĂ© algĂ©rien, lâAlgĂ©rie a mis au point une liste nĂ©gative de 1 294 produits pouvant ĂȘtre importĂ©s mais ne pouvant bĂ©nĂ©ficier dâexonĂ©rations de droits de douane. DjaĂąboub dĂ©plore, cependant, que les opĂ©rateurs nationaux ne profitent pas de ce moratoire pour se mettre Ă niveau. N. I.
Les logiciels de contrĂŽle parental ne sont pas disponibles sur le marchĂ© ! Personne nây a pensĂ© ! Ainsi, nos enfants surfent sur le Net sans aucune surveillance. Irane Belkhedim - Alger (Le Soir) - Une tournĂ©e dans les cybercafĂ©s dâAlger nous laisse perplexes. Les enfants, qui reprĂ©sentent une clientĂšle importante pour ces endroits, et qui ne sont jamais accompagnĂ©s de leurs parents, viennent souvent aprĂšs les heures dâĂ©cole jouer sur le web, Ă©couter de la musique, regarder des films et consulter des sites pornographiques. Kamel, propriĂ©taire dâun cybercafĂ©, affirme que ces enfants ont entre 8 et 16 ans. «Je ne surveille pas tout le temps ce quâils font, ce nâest pas possible car jâai dâautres tĂąches Ă accomplir», dit-il. En effet, le cybercafĂ© assure dâautres services : impression, scanner, graveur et traitement de textes. Cependant, pour contrĂŽler ses internautes, Kamel dispose dâun petit logiciel. Ainsi, une alerte se dĂ©clenche automatiquement sur son poste de surveillance dĂšs que lâun de ses clients se connecte Ă des sites de sexe ou Ă©crit des mots obscĂšnes. «Il nây a pas une clientĂšle particuliĂšre pour ce genre de site, toutes les catĂ©gories dâĂąge sont concernĂ©es, les hommes, les femmes, les jeunes et mĂȘme les enfants», dit-il, en souriant. Kamel ne rĂ©primande pas son client, il se contente dâĂ©teindre lâordinateur et au bout de la troisiĂšme fois, si celui-ci recommence, il le fait sortir carrĂ©ment surtout sâil dĂ©range les autres internautes. Ce jeune propriĂ©taire prĂ©cise quâil a eu Ă affronter des situations similaires avec des gosses dont lâĂąge ne dĂ©passe pas 13 ans ! «Câest dingue ! Ils viennent juste pour se connecter Ă des sites de sexe alors quâils sont ĂągĂ©s de 8 Ă 12 ans !» indique-t-il, ajoutant quâil ne les accepte plus dans sa boutique. DĂšs quâils tapent Ă sa porte, il leur trouve des excuses, ne voulant plus assumer cette responsabilitĂ©. «Je leurs dis que tous les postes sont occupĂ©s, alors que cela nâest pas vrai, je me sens obligĂ© de le faire». Parfois, Kamel recourt Ă un autre moyen, il interdit complĂštement lâaccĂšs aux enfants aprĂšs 18h. Il est rare que des mĂŽmes soient accompagnĂ©s de leurs parents, Kamel a du mal Ă se rappeler la derniĂšre fois quâun enfant Ă©tait venu avec un adulte. «Il arrive que je reçoive des adultes qui accompagnent des enfants de moins de 5 ans pour leur montrer des dessins animĂ©s sur le PC. Câest vraiment rare !» explique-t-il. Des parents sont dĂ©jĂ venus solliciter son aide pour sâinitier au PC et Ă lâInternet, mais le jeune propriĂ©taire estime quâil ne peut pas assurer cette tĂąche, par manque de temps. Plus de 5 millions dâinternautes En AlgĂ©rie, plus de 5 millions de personne utilisent Internet. Selon le ministĂšre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, ils devraient dĂ©passer les 13 millions en 2013. Comme partout Ă travers le monde, Internet est devenu un outil indispensable de communication, de travail, de recherche et dâouverture sur le monde. MalgrĂ© ces chiffres, aucune Ă©tude sĂ©rieuse nâa Ă©tĂ© consacrĂ©e Ă la connexion des enfants Ă lâinternet. Tout ce qui se dit ou se fait reste de la pure spĂ©culation. Ils sont plus de 1,5 milliard d'internautes Ă se connecter Ă travers le monde sur prĂšs de 240 millions de sites. Certains de ces sites constituent un vĂ©ritable danger pour les enfants, si ces derniers ne sont pas orientĂ©s et surveillĂ©s. Aucun logiciel de protection pour les enfants Bakelli Lamine, ingĂ©nieur en informatique qui exerce Ă Kindi Technologies, une sociĂ©tĂ© nationale de services en ingĂ©nierie informatique, explique que les parents doivent contrĂŽler leurs enfants quand ils surfent sur Internet. Cela fait partie de lâĂ©ducation. Lâenfant peut, sans le vouloir, accĂ©der Ă des sites prĂ©sentant un danger certain pour lui. «Aujourdâhui, il existe des logiciels performants qui permettent dâespionner lâenfant quand il est sur son ordinateurs et de savoir ce quâil fait. Il est indispensable de sâen servir pour prĂ©venir les plus jeunes des dangers de lâInternet.» Cependant, lâexpert fait remarquer quâen AlgĂ©rie, un problĂšme persiste : les logiciels de contrĂŽle parental ne sont pas mis en vente ! «Il y a des versions tĂ©lĂ©chargeables sur le net mais elles restent payantes ! Faisons alors avec ce quâil y a.» Bakelli Lamine prĂ©conise alors dâutiliser le logiciel ContrĂŽle parental mis en ligne sur Windows, qui est gratuit. «Nous avons remarquĂ© que les versions latines sont performantes, la version arabe lâest moins, le blocage des sites se fait au deuxiĂšme niveau car ces programmes sont rĂ©alisĂ©s par des entreprises Ă©trangĂšres. Mais elles restent tout de mĂȘme bonnes». Il conseille Ă©galement de recourir aux antivirus et aux bloqueurs de spams qui sont indispensables et efficaces, en plus des formules gratuites tĂ©lĂ©chargeables on-line. Dimanche dernier, la Forem (Fondation nationale pour la promotion de la santĂ© et le dĂ©veloppement de la recherche) a organisĂ© une journĂ©e de sensibilisation et dâinformation sur Internet et ses dangers sur les enfants au Centre culturel de Hussein-Dey, Ă Alger. Hormis les trois ingĂ©nieurs et les journalistes, il nây avait aucun parent ! Depuis quelques mois, Kindi Technologies assure des formations aux parents qui souhaitent sâinitier Ă lâinformatique et Ă Internet, mais les candidats ne sont pas nombreux. «Cela viendra peut-ĂȘtre avec le temps», estime notre interlocuteur. En plus, la sociĂ©tĂ© a dĂ» crĂ©er ses propres supports pour assurer ces formations puisquâil nây en a pas sur le marchĂ© national. I. B.
Dans lâarticle du lundi 29 mars consacrĂ© au livre de Abderrahmane MĂ©ziane ChĂ©rif (MĂ©moire de guerre dâun combattant), on pouvait lire, dans le 2e renvoi en bas de page, que lâauteur jouait avec ou contre des «vĂ©tĂ©rans» qui avaient 30 ou 40 ans de plus que lui. Lesdits vĂ©tĂ©rans ont Ă©videmment Ă©levĂ© une vĂ©hĂ©mente protestation contre le fait dâĂȘtre traitĂ©s comme des centenaires, et plus encore. Il sâagissait, bien sĂ»r, de «vĂ©tĂ©rans» qui ont 30 ou 40 ans de moins que notre ami, ce que les lecteurs auront dĂ©jĂ compris. A. H.
Sports
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ECHOS DE LâUSM ANNABA |
âą Tebal Ă©cartĂ© pour indiscipline Suite Ă un dĂ©saccord avec son entraĂźneur, Abdelkader Amrani, lors du match face de lâUSM Annaba au CRB, lâattaquant Tebal a Ă©tĂ© Ă©cartĂ© du groupe pour indiscipline. Nos sources prĂ©cisent quâil passera devant le conseil de discipline, en fin de semaine. Suite... |
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SPORTS ÉQUESTRES Un premier centre hippique en cours de rĂ©alisation Ă Tissemsilt |
La rĂ©alisation d'un premier centre hippique est en cours Ă Tissemsilt. Les travaux de la deuxiĂšme tranche de ce projet inscrit au titre du plan communal de dĂ©veloppement (PCD), lancĂ©s rĂ©cemment, ont portĂ© sur la construction des Ă©tables et des gradins. Le dĂ©lai de livraison de ce projet est fixĂ© Ă 8 mois. La premiĂšre tranche des travaux dĂ©jĂ livrĂ©e a consistĂ©, en la rĂ©alisation dâune clĂŽture autour du centre en question. Suite... |
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DâoĂč viennent les noms des clubs de foot ? |
Arsenal, Manchester United, FC Barcelone, Chelsea. Les noms de ces clubs sont familiers, mĂȘme pour les non-initiĂ©s. Partie intĂ©grante de la culture populaire locale, peu de supporters en connaissent toutefois les origines rĂ©elles. Pourquoi ces clubs s'appellent-ils FC ou Racing ? Ces noms sont trĂšs rarement donnĂ©s au hasard, et reflĂštent une histoire politique, culturelle, sociale, voire religieuse. Suite... |
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