NON CE N'EST PAS LA SOLUTION........

L'Algérie veut durcir la répression contre les candidats à l'exil

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Que faire quand l’ampleur d’un phĂ©nomĂšne social se fait acte d’accusation d’un systĂšme ? Les autoritĂ©s algĂ©riennes semblent avoir trouvĂ© la rĂ©ponse : guĂ©rir le mal par le mal. Le gouvernement prĂ©voit en effet de condamner de plus en plus durement les harragas, ces dĂ©sespĂ©rĂ©s prĂȘts Ă  mourir en mer pour quitter le pays.

Un projet de loi prĂ©voit ainsi des peines de prison de deux Ă  six mois ferme et des amendes allant de 20 000 Ă  60 000 dinars pour « sortie illĂ©gale du territoire national Â». La nouveautĂ© ne rĂ©side pas dans la dĂ©tention, mais dans la proposition du ministĂšre de la Justice de laisser le choix Ă  ces malheureux : prison ou travail d’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral. Non rĂ©munĂ©rĂ©, prĂ©cise le projet en question.

De quoi motiver une jeunesse dont le prĂ©sident algĂ©rien Abdelaziz Boutefflika avait analysĂ© le problĂšme qu’elle pose Ă  la Nation : « Les jeunes AlgĂ©riens, avait-il dit fin juillet, ne veulent ni d’un emploi dans le bĂątiment, ni d’un autre dans l’agriculture. Mais ils veulent tous un poste de veilleur de nuit. Â»

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05/08/2008
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