La Chine a-t-elle cédé à la pression internationale ou lâche-t-elle juste un peu de lest pour faire bonne figure à une semaine de la cérémonie inaugurale des JO de Pékin?
Toujours est-il qu'aujourd'hui, au centre de presse, les journalistes ont accès aux sites internet d'Amnesty International ou de Reporters sans frontières, ce qui n'était pas le cas hier.
En revanche, les sites de la BBC en chinois, de dissidents et de pro-tibétains ou ceux consacrés au mouvement spirituel Falungong, interdit en Chine, ne pouvaient être consultés.
Assouplissement