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Actualités : ÉTAT DE SANTÉ DE BOUTEFLIKA Retour au silence
La communication officielle autour de l’état de santé de Bouteflika, admis samedi dernier à l’hôpital militaire français de Val-de-Grâce vers lequel il a été évacué, suite à un accident ischémique transitoire (AIT), s’est effilochée au fil des jours. On ne sait plus si le président est toujours à l’hôpital ou s’il est sorti et observe une convalescence quelque part.
Sofiane Aït Iflis - Alger (Le Soir) - Aux communiqués de son médecin traitant, le Pr Rachid Bougharbal, rendus publics le jourmême du malaise du président, et celui du cabinet du Premier ministre, diffusé le lendemain, a succédé en effet un pesant silence. Rien n’a filtré depuis, sur la nature des soins prodigués au chef de l’Etat à l’hôpital de Val-de-Grâce, encore moins sur la conclusion des examens complémentaires qu’il a dû certainement y subir. Tout ce que l’on sait, à en croire le Pr Bougharbal, c’est que Bouteflika ne devrait pas séjourner longtemps à l’hôpital. «C’est une affaire de quelques jours», avait-il indiqué dans un entretien au journal Echourouk. Or, voilà une semaine que Bouteflika a été admis au Val-de-Grâce et on ignore s’il s’y trouve toujours. Dans son message, mardi 30 avril, aux travailleurs, à l’occasion de la Fête internationale du travail, Bouteflika a fait savoir qu’il se trouvait toujours en soins à l’étranger. «Alors que je continue à recevoir des soins médicaux, je tiens à remercier Dieu Tout-Puissant de m’avoir permis de me rétablir et d’être à présent sur la voie de la guérison.» Ce qui pourrait supposer qu’il était encore à l’hôpital. Jeudi, dans son autre message à la presse, à l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse, Bouteflika affirme qu’il se trouve toujours à l’étranger mais ne fait pas référence à la poursuite de soins. «Bien que me trouvant à l'étranger, je tenais à m'exprimer à cette occasion, pour réaffirmer l'engagement de l'Etat à doter la presse nationale et le secteur de l'information de mécanismes juridiques et de différentes formes de soutien à même de lui permettre de s'acquitter de ses nobles missions sans restriction à sa liberté afin qu'elle puisse accéder à la place de choix qui lui revient dans le monde de l'information et du savoir.» Serait-il, depuis, sorti de l’hôpital ? Dans son édition du jeudi, le journal El Khabara rapporté, citant des sources informées, que Bouteflika avait quitté le Val-de- Grâce le mardi 30 avril et qu’il poursuit sa convalescence dans une des résidences de l’ambassade d’Algérie à Paris. Aucune voix officielle n’est venue depuis, confirmer ou infirmer l’assertion d’ El Khabar. Si vraiment le chef de l’Etat a fini avec les soins et entame sa convalescence, comme l’avait préconisé son médecin qui n’avait pas fait mystère de l’obligation d’un repos post-soins, il serait incompréhensible qu’il n’en soit pas fait cas officiellement. Surtout que le malaise dont a souffert Bouteflika a fait l’objet d’une communication assez prompte, comparée à l’épisode de l’hospitalisation de 2005 où c’était le président du Front national français, Jean-Marie le Pen qui en avait parlé le premier. La communication officielle autour de la santé du président serait-elle juste une parenthèse ouverte et vite fermée ? S. A. I.
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Actualités : UN PARTI MAROCAIN APPELLE À L’ANNEXION DE TINDOUF ET BÉCHAR Alger met en garde
La déclaration de guerre, exprimée jeudi par le secrétaire général du parti marocain Istiqlal, Hamid Chabat, pour gravissime qu’elle est, a soulevé la réaction prompte d’Alger. Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Amar Belani, a condamné, jeudi, avec force la déclaration qu’il a qualifiée de «dangereuse et irresponsable» ça ne pouvait attendre et ça n’a pas attendu. Alger a réagi, de suite, à la déclaration du premier responsable du parti Istiqlal qui, s’exprimant sur le site marocain Lakom, a appelé à récupérer les territoires algériens de Tindouf et de Béchar. Le chef d’Istiqlal a dégainé une vieille rengaine marocaine pour réclamer ces deux parties du territoire algérien. Les Algériens ont en mémoire la tentative marocaine d’annexer Tindouf, alors que l’Algérie sortait à peine d’une longue et éprouvante guerre anticoloniale. A cette dérive langagière qui pourrait trahir des velléités belliqueuses inavouées du royaume marocain, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères oppose une réaction ferme. «La souveraineté, l'intégrité territoriale et l'intangibilité des frontières de l'Algérie ne sauraient, en aucune manière et sous aucun prétexte, faire l'objet de manœuvres partisanes ou politiciennes irréfléchies qui minent le bon voisinage», a réagi en effet M. Belani, dans une déclaration. Belani ne se résume pas cependant à cette dénonciation. Il somme le secrétaire général d’Istiqlal à se taire et à prendre garde contre toute éventuelle récidive. «Ce responsable, qui a déjà tenu des propos similaires dans un passé récent, serait bien avisé de ne pas persévérer dans la provocation et l'aventurisme, qui consistent à contester la convention relative au tracé de la frontière d'Etat établie entre la République algérienne démocratique et populaire et le Royaume du Maroc, signée le 15 juin 1972, qui comporte des cartes annexées à la convention et qui a fait l'objet d'enregistrement auprès du secrétariat général des Nations unies.» Mais s’agit-il, de la part du chef d’Istiqlal, au demeurant un habitué de ce genre de sorties, d’une simple provocation ? Il y a matière à se poser la question, puisque sa déclaration intervient au moment où le chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika, est hospitalisé en France, suite à un accident cérébral, présenté comme minime par ses médecins. Le choix fait de formuler la déclaration en ce moment ne semble pas fortuit, mais surtout pourrait ne pas procéder du simple dérapage. Le royaume marocain, qui a dû tressaillir profondément lorsque les Américains se sont rendus à l’idée d’étendre la prérogative de la Minurso à l’observation des droits de l’homme au Sahara occidental. Même si, au final, les Américains se sont abstenus de marquer jusqu’au bout leur proposition, dissuadés certainement par la France, les Marocains ont tout de même passé une mauvaise semaine. Des plus mauvaises, puisque non seulement ils ont senti l’échec de leur diplomatie mais encore ne peuvent plus s’innocenter, aux yeux du monde, des atteintes répétées aux droits de l’homme dans les territoires sahraouis occupés. Le rapport d’Etat américain sur les droits de l’homme dans le monde pour l’année 2013 épingle le royaume. Une diversion pour faire oublier son camouflet diplomatique sur la question du Polisario ? S. A. I.
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Actualités : APRÈS QU’ILS AIENT MENACÉ DE RECOURIR À LA PROTESTATION Les hospitalo-universitaires reçus par le ministre de la Santé
Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière a reçu jeudi, le Syndicat des enseignants chercheurs hospitalo-universitaires. L’objectif : calmer la colère du syndicat dont le conseil national, tenu la semaine dernière, a menacé de recourir à la protestation. Ziari s’est engagé à répondre favorablement aux doléances des hospitalo- universitaires.
Salima Akkouche - Alger (Le Soir) - Bon point pour le ministre de la Santé. C’est ce que note le Syndicat des enseignants chercheurs hospitalo-universitaires qui sort «satisfait » de sa réunion avec le premier responsable du secteur de la santé. Ziari a vite réagi face à la menace de déclencher une grève des soins et de l’enseignement brandie la semaine dernière, par les hospitalo-universitaires qui demandaient des pourparlers pour trouver des solutions «urgentes» à leurs problèmes socioprofessionnels. La réunion qui a regroupé en fin de semaine les deux parties, n’a pas déçu et le ministre de la Santé a visiblement réussi à apaiser la tension au sein de ce corps de la santé publique. Selon le Pr Djidjeli, président du Syndicat des enseignants chercheurs hospitalo-universitaires, le ministre de la Santé a répondu favorablement aux revendications soulevées par la corporation. Il a ainsi donné son accord pour la régularisation de toutes les chefferies d’unités en attente et le report de la date de la tenue du concours de chefferie de service. Un engagement qui a soulagé le syndicat qui souligne qu’il ne peut «accepter qu’un concours aussi prestigieux pour une université que celui de Professeur, chef de service hospitalo-universitaire soit organisé d’une manière aussi cacophonique et avec autant d’amateurisme ». La sonnette d’alarme tirée par les professeurs en médecine n’a pas trouvé le même écho, auprès du département de Harraoubia, deuxième tutelle des enseignants chercheurs hospitalo-universitaires. Ce dernier, dénonce le professeur Djidjeli, joue la carte de l’indifférence. C’est pourquoi, le syndicat ne compte pas encore surseoir à la menace de la protestation et appelle à des assemblées générales, au niveau des différentes facultés en sciences médicales pour décider de l’action à entreprendre. L’enseignement dans les facultés de médecine, en pharmacie, en médecine dentaire et l’encadrement des étudiants en médecine au sein des hôpitaux ainsi que la recherche risquent d’être suspendu. Par ailleurs, le ministre de la Santé n’a pas encore réagi aux mouvements de grèves des corps communs de la santé publique et des paramédicaux, en grève illimitée depuis une semaine. Ni même au débrayage de trois jours, que compte déclencher l’intersyndicale de la santé publique, lundi prochain. S. A.
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Sports : LIGUE 1 (27e JOURNÉE) L'USM Harrach en quête de 2e place
La 27e journée du championnat professionnel de football de Ligue 1, qui sera disputée en deux parties, sera marquée aujourd’hui, par le match des extrêmes entre l'USM Bel- Abbès et l'USM Harrach, alors que le CA Batna tentera de s'extirper de la zone de relégation, à l'occasion de son match en déplacement face au CR Belouizdad.
Trois matchs de cette journée auront lieu mardi prochain : MC Alger-ES Sétif, MC Oran-USM Alger, et JSM Béjaïa-WA Tlemcen. Ces rencontres ont été reportées en raison de l'engagement de l'ESS, la JSMB, et l'USMA, aux deux compétitions africaines (Ligue des champions et Coupe de la CAF). La première partie, prévue samedi, devra profiter à l'USMH, qui pourrait reprendre la seconde place au classement, en cas de succès à Sidi Bel-Abbès, lanterne rouge avec 21 points. Les Harrachis (3e, 47 points), auront à cœur de l'emporter devant une équipe de l'USMBA, qui a pratiquement un pied en Ligue 2. Une défaite des gars de Sidi Bel-Abbés scellera définitivement leur sort en Ligue 1. Le CS Constantine (4e, 42 points), n'est pas en reste, puisqu'il tentera de s'approcher du podium, en accueillant le MCE Eulma (10e, 33 points), dans un match qui devrait, à priori, revenir aux locaux. Le MCEE, qui n'a pas assuré son maintien parmi l'élite, est appelé à sortir le grand jeu à Constantine, en dépit de la complexité de sa mission devant les joueurs de Roger Lemerre. L'ASO Chlef (11e, 31 points), sévèrement battu à Sétif (4-1) lors de la précédente journée, n'aura d'autre alternative que de l'emporter face la JS Saoura, pour éviter les calculs de la fin de saison et quitter ainsi la zone de turbulences. Un succès des coéquipiers d’Amine Aouamri, leur permettrait de respirer et de poursuivre leur parcours en toute sérénité. De son côté, la JSS (8e, 34 points) du président Mohamed Zerouati, tentera d'assurer définitivement son maintien en Ligue 1, à l'occasion de sa première saison parmi l'élite. Le CAB (14e, 25 points) sera devant l'occasion de quitter sa position peu enviable, en allant rendre visite au CR Belouizdad, et tentera de revenir avec les trois points de la victoire. Le Chabab (6e, 38 points) qui reste sur une défaite à Bordj, face au CABBA (1-0), tentera de se racheter devant son public et remonter ainsi au classement. Enfin, la JS Kabylie, dirigée par Arezki Amrouche après le limogeage de Nacer Sendjak, accueillera le CABBA avec la ferme intention de l'emporter, et d'enchaîner un second succès de rang après celui réalisé face à l'USMBA (2-1).
Start
- (Cet après-midi, 17h)
- A Constantine : CSC-MC El-Eulma
- A Alger 20-Août-55 : CR Belouizdad-CA Batna
- A Sidi Bel-Abbès : USM BA-USM Harrach
- A Chlef: ASO Chlef-JS Saoura
- A Tizi-Ouzou : JS Kabylie-CABB Arréridj.
- Mardi 7 mai (17h)
- A Oran Bouakeul : MCO-USM Alger
- A Béjaïa : JSMB-WA Tlemcen
- A Alger 5-Juillet : MCA-ES Sétif.
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Culture : LA POÉTESSE HASSIBA FERHAT La dernière des romantiques
C’est une femme comme il n’y en a plus aujourd’hui. Hassiba Ferhat est professeur en physique chimie et poétesse d’expression française. Les romantiques, dit-on, ont disparu, mais Hassiba Ferhat se revendique du romantisme dans son aspect le plus beau.
«Je suis une femme d’un romantisme exagéré, croyante en Dieu. Je vis loin de ce monde plein de bassesses. Ce qui m’irrite le plus, c’est cette vénération du matérialisme parce qu’elle élève le plus subjectif et le plus fugitif au rang de grandeur suprême et intangible», nous a-t-elle confié dernièrement. Hassiba Ferhat est née à Barika, au crépuscule du colonialisme français en Algérie. Sa scolarité, à l’école française, fut très brillante. «J’ai sauté le C.M.1 (cours moyen 1) et j’ai eu la sixième d’office», se rappelle-t-elle. En 1962, c’est l’indépendance de l’Algérie. Hassiba Ferhat rejoint ensuite le lycée Hassiba- Ben-Bouali à Alger, puis fut de la dernière promo de l’Ecole supérieure de physique et chimie d’Alger où elle obtient un diplôme d’ingénieur. A l’université Pierre et Marie-Curie de Paris, elle soutient une thèse de doctorat sur les problèmes de l’environnement. Mais, on revient toujours à son premier amour. Hassiba Ferhat aime trop la poésie. En feuilletant un jour la revue bimensuelle Sélection du reader’s Digest, elle tombe sur une annonce qui parle d’un concours de poésie. Elle décide de tenter sa chance. C’est ainsi que naîtra plus tard son recueil de poésie Refuge de l’âme vagabonde paru aux éditions la Pensée universelle en France. En 1999, elle publie un autre recueil intitulé Le temps, cet intrus aux éditions Attabyine à Alger. En 2007, devait sortir en France un troisième recueil avec ce titre Le lys en colère. A cause de «détails» de correction, ce recueil va finalement être publié en Algérie sous un titre légèrement différent : Le lys désenchanté. La discussion avec Hassiba Ferhat est passionnante. Elle parle de Baudelaire, Paul Valery, George Sand, Victor Hugo, Chateaubriand, Margaret Mitchell et Alfred de Musset, le poète et dramaturge français de la période romantique. Au sujet du roman Les Hauts de Hurlevent d’Emilie Brontë, publié en 1847 sous le pseudonyme d’Ellis Bell, elle explique que cette œuvre avait été auparavant rejetée par trois éditeurs. «Je n’écris pas pour écrire, mais juste quand j’ai quelque chose à dire. J’écris pour exprimer, traduire ce qui est dans mon for intérieur et il est tumultueux. J’écris pour exprimer des sentiments sous un accent lyrique assez discret, mais poignant», explique Hassiba Ferhat. Mais outre l’enseignement à l’université et les conférences, notamment l’Institut national du pétrole (IAP) de Boumerdès, elle trouve du temps pour écrire de la poésie. Kader B.
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Afin que personne n’oublie la ligne Meurice ! |
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Par Hakim Laâlam Email : hlaalam@gmail.com |
Les médecins sont formels : Abdekka a besoin de beaucoup de repos. Ça tombe bien !
Nous aussi !
Je trouve qu’on focalise un peu trop sur l’hôpital de Val-de-Grâce. Et ce faisant, on néglige une autre étape importante, sinon plus importante. Oui ! L’hôtel Meurice en plein Paris. Ce n’est pas juste ! L’hôpital militaire français a droit à tous les sunlights, son entrée est photographiée et filmée sous toutes les coutures (celle-là, je ne l’ai pas faite exprès, c’est après coup !) et ce ramdam nous fait oublier que le processus algérien de guérison compte une escale historique dans les murs du prestigieux palace Meurice. C’est une sorte de… suite logique. Car les grands hôtels parisiens, suisses ou luxembourgeois ne sont pas les lieux exclusifs de rencontres secrètes entre des firmes pétrolières étrangères et leurs «contacts» algériens. Non ! Ils sont aussi le lieu de la transparence affichée de l’état de santé de notre président. Et je dois dire que cette étape Meurisse, qui risque de sauter cette fois-ci, ça me frustre un peu. En 2005, tous mes compatriotes qui ont suivi cette scène extraordinaire d’Abdekka filmé et interrogé par une équipe de l’ENTV dans sa suite du Meurisse se souviennent de l’endroit. Nous avions tous l’impression que cet hôtel, c’était aussi un peu le nôtre. Je peux vous décrire dans le détail infime la table basse sur laquelle trônaient la carafe et le verre d’eau dans lesquels puisait notre châtelain pour étancher sa soif. Et les tentures, hein, les tentures ? D’une couleur ocre, virant presque au bordeaux, elles donnaient un volume extraordinaire à la chambre, lui conférant un air impérial. 3e empire. Le dernier selon les manuels d’histoire. Je trouve qu’aujourd’hui, et afin de ne pas heurter la sensibilité des Algériennes et des Algériens, il faut absolument respecter le protocole. Une halte au Meurice. Bien sûr, il ne faudra pas, là aussi, commettre la même erreur qu’avec le Val-de-Grâce. Accorder le même espace de communication au palace parisien, oui, certes, mais pas plus ! Parce qu’après l’hôpital, après le grand hôtel, souvenez-vous, il y a le retour triomphal en Algérie, et le fameux bain de foule place du 1er-Mai, à quelques encablures seulement de la Maison de la Presse. Eh oui ! Certains ont la mémoire bien courte. Moi pas ! Et j’ai encore gravées dans mon ciboulot les images de ce retour du petit père de la nation. Et après le Val, après le Meurice, après la Place du 1er-Mai, qu’est-ce qui est prévu ? Le 4e mandat, bien sûr. C’est dans l’ordre normal des choses. De nos choses à nous. Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue. H. L.
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