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 Saturday,JANUARY 09, 2010
SAMEDI  09 JANVIER 2010


ألسبت 23 محرم 1431 

     
 
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Dilem du Samedi 09 Janvier 2010 | Vu 2385 fois

ألسبت 09جانفي2010


 


   


Edition du Samedi 09 Janvier 2010

RADAR

Du Canali pour les Verts et non Cavalli
Rectif

Dans notre Ă©dition de mercredi, nous Ă©crivions dans ces colonnes que les joueurs de l’équipe nationale seront habillĂ©s, pour leur dĂ©part en Angola, en costume de la marque Cavalli. En rĂ©alitĂ©, il s’agit de la marque Canali et non Cavalli comme Ă©crit par erreur. Toutes nos excuses. 

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LE RADAR
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À jeter un Ɠil attentif sur le calendrier des compĂ©titions de la Coupe d'Afrique des nations, il est aisĂ© de remarquer que l’AlgĂ©rie affrontera, pour le compte de son premier match


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 L’ambassadeur de Chine Ă  Alger, M. Liu Yuhe, a tenu Ă  prĂ©senter ses vƓux pour la nouvelle annĂ©e aux AlgĂ©riens, mais Ă  sa maniĂšre.


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 Tirant les bons enseignements des cas Roman Polanski et Bertrand Contat, remis en libertĂ© pour le premier et rapatriĂ© en France pour le second suite aux affaires que l’on connaĂźt


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Les demandeurs de formation professionnelle pourront effectuer leurs inscriptions préliminaires via Internet à partir de l'année en cours, a annoncé jeudi le ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnels


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 La France a expulsĂ© de son territoire 29 000 Ă©trangers en situation irrĂ©guliĂšre en 2009, un chiffre comparable Ă  l'annĂ©e prĂ©cĂ©dente, mais supĂ©rieur Ă  l'objectif de 27 000 assignĂ© par le prĂ©sident Nicolas Sarkozy, a annoncĂ© jeudi le ministre de l'Immigration, Eric Besson.


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 â€œClair-Obscur” (noir et blanc), ou la redĂ©couverte de la capitale de l'Ouest, est le thĂšme choisi par Abdelhamid Aouragh, pour son exposition photo organisĂ©e jeudi Ă  Oran


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Dans notre Ă©dition de mercredi, nous Ă©crivions dans ces colonnes que les joueurs de l’équipe nationale seront habillĂ©s, pour leur dĂ©part en Angola

Edition du Samedi 09 Janvier 2010


Edition du Samedi 09 Janvier 2010

RADAR

1 552 Algériens expulsés de France au premier semestre 2009
29 000 étrangers en situation irréguliÚre renvoyés

 La France a expulsĂ© de son territoire 29 000 Ă©trangers en situation irrĂ©guliĂšre en 2009, un chiffre comparable Ă  l'annĂ©e prĂ©cĂ©dente, mais supĂ©rieur Ă  l'objectif de 27 000 assignĂ© par le prĂ©sident Nicolas Sarkozy, a annoncĂ© jeudi le ministre de l'Immigration, Eric Besson.
Selon un document de l'AssemblĂ©e nationale consultĂ© par l'AFP et analysant les 14 844 reconduites exĂ©cutĂ©es au premier semestre 2009, les Roumains arrivent en tĂȘte (4 346), suivis des AlgĂ©riens (1 552) et des Marocains (1 550). Sur le chiffre de 29 000 reconduites annoncĂ©, M. Besson n'a pas prĂ©cisĂ© le nombre de retours contraints et celui des retours volontaires. Il n'a pas non plus prĂ©cisĂ© le nombre de sans-papiers expulsĂ©s hors du territoire de l'Union europĂ©enne.

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Edition du Samedi 09 Janvier 2010

Actualité

La CIA renforcera sa présence en Afrique et au Yémen
Obama annonce de nouvelles mesures contre le terrorisme

Par : RN/AFP


Le prĂ©sident des États-Unis, Barack Obama, s’est mis en premiĂšre ligne, jeudi, dans l’affaire de la tentative d’attentat contre un avion de ligne Ă  NoĂ«l et a annoncĂ© une sĂ©rie de rĂ©formes du renseignement et de la sĂ©curitĂ© aĂ©rienne pour contrer les desseins d’Al-QaĂŻda. Alors que la Maison-Blanche a dĂ©voilĂ©, en fin d’aprĂšs-midi, un rapport d’enquĂȘte intermĂ©diaire sur les carences des agences de renseignement et des systĂšmes de sĂ©curitĂ© aĂ©rienne, et la façon d’y remĂ©dier, M. Obama a affirmĂ© que “toutes ces agences et leurs dirigeants sont responsables de l’application de ces rĂ©formes. Et tous seront rendus responsables s’ils ne le font pas”. ÉnumĂ©rant les champs d’action principaux, M. Obama a mentionnĂ© la nĂ©cessitĂ© pour le renseignement de systĂ©matiquement “enquĂȘter sur toutes les pistes sur des menaces prioritaires”, de faire circuler “plus rapidement” les rapports sur  ces menaces et de renforcer ses capacitĂ©s d’analyse. Il a aussi exigĂ© un “renforcement des critĂšres” dans l’élaboration des listes de personnes pouvant ĂȘtre liĂ©es Ă  la nĂ©buleuse terroriste, “en particulier la liste des personnes interdites de vol”, deux semaines aprĂšs qu’un jeune NigĂ©rian, entraĂźnĂ© et armĂ© par Al-QaĂŻda au YĂ©men, selon Washington, eut essayĂ© de faire sauter un vol entre Amsterdam et Detroit avec des explosifs dissimulĂ©s sous ses vĂȘtements. La Centrale amĂ©ricaine du renseignement (CIA) a rĂ©pondu point par point aux ordres de M. Obama, soulignant en particulier qu’elle allait augmenter le  nombre des agents dĂ©volus au YĂ©men et Ă  l’Afrique. Le conseiller de M. Obama pour l’antiterrorisme, John Brennan, a, de son cĂŽtĂ©, dit Ă  la presse avoir avouĂ© au PrĂ©sident qu’il n’avait pas Ă©tĂ© Ă  la hauteur de sa mission. “Je lui ai dit que je ferai mieux et que nous ferons mieux en tant  qu’équipe”, a ajoutĂ© M. Brennan, tandis que M. Obama a semblĂ© Ă©carter l’hypothĂšse de dĂ©mission, insistant plutĂŽt sur la notion d’échec de l’ensemble du systĂšme dont il est le garant. “Je suis moins intĂ©ressĂ© par les reproches que d’apprendre de ces erreurs et de les corriger pour que nous soyons plus en sĂ©curitĂ©â€, a dit M. Obama. “En tant que PrĂ©sident, j’ai la responsabilitĂ© solennelle de protĂ©ger notre  pays et nos compatriotes. Et quand le systĂšme Ă©choue, je suis responsable”, a Ă©noncĂ© le prĂ©sident amĂ©ricain, en soulignant que ses services de renseignement n’avaient pas failli dans la collecte ou le partage des informations, mais dans l’assemblage des piĂšces du complot qui Ă©taient en leur possession. M. Obama a aussi rappelĂ© que les États-Unis sont “en guerre contre Al-QaĂŻda”, mais a promis que les terroristes ne rĂ©ussiraient pas Ă  modifier le comportement des AmĂ©ricains. “C’est nous qui dĂ©finissons le comportement de notre pays. Pas une petite bande d’hommes qui veulent tuer des hommes, des femmes et des enfants innocents”, a-t-il remarquĂ©. Le suspect, Umar Farouk Abdulmutallab, avait rĂ©ussi Ă  embarquer Ă  bord du vol de Northwest Airlines avec des explosifs sans ĂȘtre repĂ©rĂ©, alors que son nom figurait sur la liste Ă©largie dite Tide (environ 500 000 personnes) des  personnes Ă  risque. 


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Edition du Samedi 09 Janvier 2010

Actualité

Conclave pour relancer l’accord d’Alger
Les touaregs maliens se réunissent à Alger

Venu, viendra ou ne viendra pas ? Cette question rĂ©currente est au sujet du chef militaire targui, membre influent de l’Alliance dĂ©mocratique du Mali, Ag Bahanga dont les positions tanguent entre Kidal et Tripoli oĂč il a choisi de rĂ©sider.

Pourtant les travaux des reprĂ©sentants des partis de l’Alliance ont bien commencĂ© puisqu’ils sont tous reprĂ©sentĂ©s malgrĂ© l’absence de quelques leaders. Le huis clos imposĂ© dans cette rĂ©union risque de durer jusqu’à la dĂ©claration finale.
Dans ce silence, seul le porte-parole de l’Alliance, Hama Ag Sid Ahmed est autorisĂ© Ă  parler. Pour dire et redire que le but de la rencontre d’Alger est de lever les divergences internes de l’Alliance, redynamiser l’accord d’Alger et aller, peut-ĂȘtre, vers un congrĂšs de toutes les factions targuies. Outre la rĂ©organisation de l’opposition targuie, il s’agit, mĂȘme s’il n’est pas avouĂ© ouvertement, de pousser Bamako au respect de ses engagements dans l’accord d’Alger afin de passer Ă  sa mise en Ɠuvre. En effet, le gel de l’accord et la passivitĂ© du prĂ©sident Amadou Toumani TourĂ©, perçue comme une complicitĂ© dans la dĂ©gradation de la situation sĂ©curitaire au nord du pays qui a favorisĂ© l’émergence spectaculaire des actions de contrebande, de prise d’otage et de banditisme, font que la situation est des plus complexes d’autant plus que les Touaregs doivent faire face dĂ©sormais Ă  deux problĂ©matiques dont la responsabilitĂ©, du moins en grande partie, incombe aux tergiversations d’ATT.
Le prĂ©sident malien ne s’est pas contentĂ© de tenter de torpiller l’accord laborieusement conclu, mais est allĂ© plus loin en suggĂ©rant que la rĂ©bellion touarĂšgue avait une main dans les prises d’otage revendiquĂ©es pourtant par le GSPC.
MalgrĂ© les soupçons qui pĂšsent sur ATT, Hama Ag Sid Ahmed ne l’évoque pas, conscient, tout comme les autres membres de l’Alliance des enjeux et de la menace qui pĂšse sur la rĂ©gion du nord Mali, prĂ©fĂ©rant se concentrer sur le rĂšglement des dissensions internes afin de faire avancer le processus de paix. 
Les absents doivent rejoindre Alger. Ils sont juste en retard en raison des difficultés de déplacement, assure-t-on. Ils seront présents pour les résolutions finales.
En attendant, le huis clos est toujours de mise ; les reprĂ©sentants targuis se rĂ©unissent sans tutelle, pas mĂȘme celle d’Alger qui joue le rĂŽle de mĂ©diateur.
À la question de savoir pourquoi cette lenteur dans les discussions, une source diplomatique proche du dossier a prĂ©cisĂ© que cela est dĂ» Ă  la complexitĂ© de la situation.
Les dĂ©lĂ©guĂ©s doivent prendre leur temps pour s’entendre et sortir avec une position commune. La situation est beaucoup plus complexe qu’elle n’y paraĂźt, avec en plus des activitĂ©s terroristes qui minent la rĂ©gion, les tentatives d’ingĂ©rence Ă©trangĂšre.
Et cela, explique notre source, les Touaregs maliens le savent et ils sont conscients du danger.

 


Edition du Samedi 09 Janvier 2010

Actualité

Paris va-t-il faire passer les Algériens au scanner ?
la france nuance sa position sur le contrÎle des passagers aux aéroports

L’AlgĂ©rie sur la liste des 14 pays potentiellement terroristes ! En attendant que la lumiĂšre soit faite sur l’inclusion par l’Administration Obama de notre pays sur cette liste noire, la France, qui avait immĂ©diatement emboĂźtĂ© le pas Ă  cette dĂ©cision, semble aujourd’hui s’interroger sur l’inscription sur cette liste infamante de son principal partenaire de la rive occidentale de la MĂ©diterranĂ©e.

Nicolas Sarkozy n’a pas rejetĂ© le listing de son homologue outre-Atlantique, mais le prĂ©sident français a, tout de mĂȘme, essayĂ© d’arrondir son suivisme atlantiste en rappelant le rĂŽle prĂ©curseur de l’AlgĂ©rie dans la lutte antiterroriste et les sacrifices consentis par les AlgĂ©riens, les AlgĂ©riennes et les forces de sĂ©curitĂ© de leur État pour lutter contre un phĂ©nomĂšne international d’origine Ă  la fois endogĂšne et exogĂšne. Et, pour tous ceux, nombreux, qui ont la mĂ©moire courte, sa victoire sur la barbarie, la population algĂ©rienne l’a arrachĂ© sans l’assistance d’aucun autre pays. Pas mĂȘme des “frĂšres” du monde arabo-musulman et encore moins de pays occidentaux, en mĂȘme temps, il faut se garder de l’oublier ne serait-ce que par devoir de mĂ©moire, cause et cible de l’islamisme radical. Plus est, les forces de sĂ©curitĂ© algĂ©riennes n’avaient mĂ©nagĂ© aucun effort pour le circonscrire dans nos frontiĂšres en veillant scrupuleusement Ă  ce qu’il ne s’exporte pas chez nos voisins et mĂȘme dans les capitales occidentales lesquelles pourtant avaient, au tout dĂ©but, jouĂ© Ă  fond la carte de l’islamisme radical. Les porte-parole des GIA et consorts ne se pavanaient-ils pas Ă  Washington, Londres et, Ă  un degrĂ© moindre, Paris ? C’est Ă  partir de ces capitales que se propageait et s’alimentait l’islamisme violent, leurs experts, politologues et prospectivistes ayant prĂ©dit l’arrivĂ©e imminente au pouvoir d’islamistes dans le pays de la RĂ©volution de Novembre, initiateur, par la suite, du Nouvel ordre mondial, qui n’a rien Ă  voir avec le chaos de la mondialisation d’aujourd’hui. Le ministĂšre français des Affaires Ă©trangĂšres s’est ainsi dĂ©marquĂ©, symboliquement il est vrai, de la liste Ă©tablie par le prĂ©sident amĂ©ricain concernant les ressortissants de pays Ă  humilier chaque fois qu’ils entreront dans un pays occidental, aprĂšs l'attentat ratĂ© du vol Amsterdam-Detroit le 25 dĂ©cembre. Paris ne change rien Ă  la liste incluant l'AlgĂ©rie parmi les pays Ă  risque mais prend soin de se rappeler quelques vĂ©ritĂ©s concernant l’AlgĂ©rie. La France, a dĂ©clarĂ© le porte-parole du Quai d’Orsay n'a pas oubliĂ© “le combat douloureux menĂ© par l'AlgĂ©rie contre le terrorisme dans les annĂ©es 90”, un combat, devait-il ajouter, faisant allusion aux activitĂ©s d’Al-QaĂŻda au Maghreb islamique (Aqmi) dans l’immense zone du Sahel saharien, qui n'est pas terminĂ©. Et de saluer “la dĂ©termination de nos partenaires algĂ©riens Ă  lutter contre le terrorisme”, rĂ©affirmant la volontĂ© de la France de continuer de travailler “en Ă©troite coordination” avec l’AlgĂ©rie. Il est difficile d’admettre que les nouvelles mesures ne sont dirigĂ©es contre aucun pays et ne stigmatisent aucune population, comme l’a indiquĂ© le Quai d'Orsay. Et de s’interroger sur leurs objectifs rĂ©els. Pour Paris, dont le suivisme automatique est condamnĂ© en France mĂȘme oĂč des experts antiterroristes n’ont pas manquĂ© de se demander ce que cette liste noire peut apporter de plus, le systĂšme de lutte contre le terrorisme Ă©tant bien meilleur qu'aux États-Unis, ne s’agit-il pas d’un simple alignement sur Washington pour faciliter l’entrĂ©e de Sarkozy dans les bonne grĂąces d’Obama ? Pour la capitale amĂ©ricaine, on retiendra seulement que cette liste est en porte-Ă -faux avec le discours du locataire dĂ©mocrate de la Maison-Blanche Ă  Al-Azhar (Caire) oĂč l’AmĂ©rique officielle Ă©tait censĂ©e avoir fait son mea-culpa concernant son islamophobie. Bush junior avait Ă©tabli sa liste de pays infrĂ©quentables, Obama a la sienne dĂ©sormais. Bush avait pour lui d’assumer, sans complexe, son unilatĂ©ralisme et ses guerres. Ce qui n’est pas le cas de son successeur, prix Nobel de la paix alors qu’il vient d’ouvrir un nouveau front au YĂ©men, aprĂšs l’Irak, l’Afghanistan et le Pakistan. Plusieurs États “black-listĂ©s”, notamment le Nigeria, Cuba, la Syrie et l'AlgĂ©rie, protestent d'ores et dĂ©jĂ  contre des mesures discriminatoires. Chaque pays est libre de fixer les conditions d’accĂšs sur son sol mais les tiers ont aussi le devoir, par respect pour leurs ressortissants, d’appliquer la rĂ©ciprocitĂ©. C’est un principe universel. Une rĂšgle d’or dans la diplomatie. Il reste que le terrorisme ne se rĂ©glera ni sur les listes noires ni dans les scanners. Les guerres n’en sont pas venues Ă  bout. La radicalitĂ© s’alimente dans l’exclusion, voilĂ  une piste
   

algerie.com


 
  


09/01/2010
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