Vendredi 11 Avril 2014
Vendredi 11 Avril 2014
Vendredi 04 Avril 2014
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**** LE PRINTEMPS EST LA****
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الجمعة 3 جمادى الآخرة 1435 ه
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Maâmar Benguerba : «C’est un véritable hold-up de la souveraineté populaire»
le 10.04.14 | 10h00
Dans cet entretien, Maâmar Benguerba, ancien député et ancien ministre des Affaires sociales et du Travail du gouvernement de Ahmed Benbitour, s’exprime sur le contexte politique dans lequel se tient l’élection du 17 avril. Pour ce fin observateur de la vie nationale, qui a prévu bien avant tout le monde les soubresauts qui agitent les régions du sud du pays du fait de leur marginalisation par les politiques publiques de développement, la candidature de Bouteflika n’est que la partie apparente de l’iceberg. «C’est le système qui est candidat», affirme-t-il.
-La candidature de Bouteflika pour un 4e mandat divise la classe politique et l’opinion publique. Selon vous, l’équation politique est-elle bien ou mal posée ? Le sort de Bouteflika est-il dialectiquement lié à celui du système en place ?
Il faut se souvenir que sa cooptation par les décideurs, en 1999, ne faisait déjà pas l’unanimité. J’étais parmi ceux qui la contestaient en soutenant une autre candidature. Néanmoins, de larges couches de la population s’y étaient ralliées. Subjuguées par la rhétorique, les ambitions et les promesses. L’énergique accroissement du prix du pétrole dans les années qui suivirent a contribué à la valider, avec une mise en œuvre boulimique de projets publics. Avec le temps, beaucoup de gens se sont ravisés. Les résultats escomptés n’ont pas été au rendez-vous. Les affaires de corruption, la gabegie des finances publiques, l’incompétence des responsables, la multiplication des problèmes sociaux et l’usure du pouvoir ont amplifié la désaffection.
Aujourd’hui, il est soutenu essentiellement par ceux qui tirent des profits personnels de sa mandature ou qui redoutent, pour une raison ou une autre, son départ. Pour ce qui est de la deuxième partie de votre question, je vous rappelle que le Président est le produit d’un système qui fonctionne selon des règles claniques. Imaginer qu’il peut entreprendre, comme il est dit ça et là par ses partisans, des initiatives antinomiques à la pérennisation du système est totalement exclu. C’est d’ailleurs le système lui-même qui est candidat puisque Bouteflika n’est que la partie apparente de celui qui aurait à diriger effectivement le pays après l’élection. Son identité n’est connue que par un groupe très limité au sein du système. C’est un véritable hold-up de la souveraineté populaire qui est programmé avec cette candidature.
-Des personnalités politiques en vue, à l’instar de l’ancien président Liamine Zeroual, ou des anciens chefs de gouvernement (Hamrouche ou Ghozali) sont intervenues dans le débat électoral. Quelle lecture politique en faites-vous ?
Au risque de schématiser à l’extrême les interventions des éminentes personnalités que vous citez, je dirais qu’elles présentent deux aspects. Le premier a trait au constat unanime qu’elles font de l’Etat et des sombres perspectives qui s’offrent au pays. Le niveau des responsabilités assumées leurs permettent de connaître les différents et d’estimer le rapport des forces à l’intérieur du cœur du système de pouvoir. Leur évaluation est, à mon avis, extrêmement précieuse. Elle nourrit une effrayante inquiétude quant à l’avenir. Pour le deuxième aspect, j’ai perçu, paradoxalement, une divergence fondamentale quant aux recommandations.
Le mandat de toutes les inquiétudes
le 11.04.14 | 10h00
Ils ont une entreprise, sont au chômage, s’engagent dans une association... Tous expriment la même crainte : le 4e mandat ne réglera pas la crise de système. Il ne permettra pas d’affronter les importants défis, internes et régionaux, qui attendent le pays. Il risque même d’hypothéquer notre souveraineté et la cohésion de l’armée et de la société au nom de l’intérêt suprême : le contrôle de la rente, seule logique économique et politique.
Les jeux sont faits. Tout le monde a compris que le scrutin était plié, le 4e mandat acquis, l’histoire préemptée. Aux propos alarmistes tenus par la classe politique – Ali Fawzi Rebaïne a estimé que le refus du pouvoir de tout dialogue sérieux avec les forces de l’opposition fait «courir le plus grand risque au pays», Karim Tabbou a qualifié le scrutin de «stérile et infécond», d’«opération de confiscation du temps», Karim Younès a prévenu qu’une «dérive risquait d’entraîner le pays dans le chaos»…– se greffe une actualité particulièrement anxiogène.
La flambée de colère à Béjaïa, la reprise des violences à Ghardaïa, la virulence de la contestation contre les représentants de Abdelaziz Bouteflika. Et mercredi, l’appel à la révolte à peine maquillé de Ali Benflis sur le plateau de l’ENTV en cas de fraude. Si les plus défavorisés commencent à stocker des denrées alimentaires et si les plus riches envoient leurs enfants à l’étranger, si l’armée a annulé toutes les permissions en mettant les troupes en alerte, et si les opérateurs économiques reportent tous leur projets pour l’après-présidentielle, c’est que les craintes ont métastasé le corps algérien dans sa profondeur.
Deal
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La justice espagnole a tranché : FagorBrandt passe dans le giron de Cevital
le 11.04.14 | 14h35
« L’accord de cession des marques est validé. C'est une excellente nouvelle qui ouvre la voie à une levée de la condition suspensive à la reprise posée par Cevital
Fin de suspens pour le groupe algérien Cevital et pour les travailleurs de FagorBrandt. La justice espagnole a donné ce vendredi son feu vert à Cevital pour la reprise du fabricant français d'électroménager.
Le tribunal de commerce espagnol de Saint-Sébastien a finalement accepté l'accord de cession des marques de FagorBrandt (Brandt, Vedette, Sauter, De Dietrich...) conclu pour 25 millions d'euros entre Cevital et le groupe espagnol Fagor, maison-mère en faillite de FagorBrandt, a rapporté l’AFP.
Le succès du groupe d’Issad Rebrab survient après de longues tractations qui ont duré plusieurs mois. Le dernier épisode remonte au 14 mars dernier quand le tribunal de commerce basque a bloqué la cession, en exigeant 35 millions. L'administrateur judiciaire français et Cevital ont fait appel et le tribunal a accepté leur recours.
« L’accord de cession des marques est validé. C'est une excellente nouvelle qui ouvre la voie à une levée de la condition suspensive à la reprise posée par Cevital, et un immense soulagement pour l'ensemble des salariés », a déclaré Christian Legay, délégué CFE-CGC, cité par l'AFP.
Le groupe algérien a proposé de garder 1200 emplois sur les 1800 que compte FagorBrandt en France.
Elwatan.com
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