0114-/-ACTUALITÉS Du Mardi 24 Avril 2018
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ACTUALITÉ

Des dizaines de médecins résidents arrêtés à Alger (vidéo)
Khaled Nezzar présente la nouvelle version de ses mémoires : «Octobre 88 a été provoqué par le pouvoir politique»
Colloque international du HCI : L’éducation islamique fait polémique
Il a été enterré hier à Zéralda : Décès du journaliste écrivain Hamid Ali Bouacida
Politique des privatisations : Les preuves irréfutables du bradage de Temmar
Mésentente avec l’UE sur l’accord d’association : Arrivée à Alger d’un directeur de la Commission européenne
Débat sur le projet relatif à la loi sur la santé : Le ministre peine à convaincre
Les principales organisations de l’éducation concernées : 13 syndicats interdits d’exercer
Colloque à Béjaïa : La démocratie participative à l’épreuve du terrain
Vive polémique autour de l’augmentation des salaires : Le complexe Sider El Hadjar menacé de blocage
SPORTS

AG Ordinaire de la FAF : Les bilans adoptés à la majorité absolue
Les réserves de Raouraoua sur le bilan financier
Commentaire : Zetchi a gagné une (première) bataille
EN : Madjer soutient Chaouchi
Commission de discipline de la LFP : La séance programmée pour aujourd’hui
Ministère de la jeunesse et des sports : Quel avenir pour les cadres supérieurs ?
ECONOMIE

Natixis Algérie : Lancement de la banque mobile Banxy
Assises nationales de l’agriculture : Les cinq commandements d’Ahmed Ouyahia
Perspectives moroses pour le secteur du BTP : Les professionnels s’inquiètent…
Opportunités d’affaires au Canada et en Algérie : Un forum économique pour les jeunes Algériens
Agriculture, énergies renouvelables, industrie, commerce… : Des rencontres en série sans efficacité
Kouider Boutaleb . Professeur à l’université de Tlemcen : «Une confusion générale d’idées se traduisant par le désarroi dans l’action»
INTERNATIONAL

En prévision du sommet intercoréen : Séoul cesse sa propagande à la frontière avec son voisin du Nord
Nucléaire iranien : Pékin et Moscou bloqueront tout «sabotage» de l’accord
Immigration clandestine : Plus de 1500 migrants secourus au large de la Libye
Crise libyenne : Lutte sournoise pour la succession du maréchal Haftar
Élections en Mauritanie : L’opposition abandonne la politique de la chaise vide
En bref
CULTURE

Générale de Hymne à l’identité au théâtre Kateb Yacine : Opérette à la mémoire de Matoub Lounès
Chanson kabyle : Yugurten de retour
Deuxième salon du livre AlgerAuvergnat : Pour le plaisir de la lecture
Festival culturel européen : «L’offre est assez variée»
4e Salon international de la créativité à Alger : Les jeunes auteurs algériens et le cinéma
Institut espagnol Cervantès d’Oran : L’œuvre de l’écrivain espagnol Miguel Cervantès revisitée
RÉGION EST
Clinique Ibn Rochd à Constantine : L’incinérateur contesté est hors service depuis février
Hammam Guergour (Sétif) : Une histoire de passeport de Hadj
Vive polémique autour de l’augmentation des salaires : Le complexe Sider El Hadjar menacé de blocage
Jijel : Focus sur le diabète de type 2
Des étudiantes en Mlaya à Skikda : Quand les citoyens s’approprient leur patrimoine
Vol Alger-Batna AH 6038 : Les passagers dénoncent le mépris du chef d’escale
Biskra : Trois enfants noyés dans une mare d’eau
Prévue à El Chatt (El Tarf) : La station de dessalement délocalisée
RÉGION OUEST
Oran : Vaste opération de nettoyage des plages
Mostaganem : Un mort et vingt-six blessés dans un accident de bus
Oued Sly (Chlef) : La révision du PDAU, une menace pour les terres agricoles ?
Ghazaouet : Le port de nouveau paralysé par une grève
Entretien de la ville de Sidi Bel Abbès et actions de solidarité pour le mois de Ramadhan : Le chef de daïra se substitue au maire
Mascara : Affichage des listes des bénéficiaires des 602 logements sociaux
Tiaret : La gestion des psychotropes en débat
Relizane : Un riche patrimoine en ruine
RÉGION KABYLIE
Azazga (Tizi Ouzou) : L’ADE aux abonnés absents

Béjaïa : Une forêt récréative à Sidi Boudrahem en attendant Kefrida
Bouria : Deux morts dans un accident de la route
Aquaculture à Boumerdès : Des investisseurs en quête de financement et de terrains
Khaled Nezzar présente la nouvelle version de ses mémoires
«Octobre 88 a été provoqué par le pouvoir politique»
le 24.04.18 | 12h00

Pour présenter une nouvelle version du tome 1 de ses mémoires, l’ancien ministre de la Défense, Khaled Nezzar, a organisé une conférence de presse. L’occasion pour lui de faire de nouvelles révélations sur la période durant laquelle il était aux affaires. L’ancien membre du HCE a par ailleurs tenu à démentir les rumeurs qui le donnent partie prenante de tractations autour d’échéances électorales, affirmant son «retrait total» de la scène politique.
Je n’ai été(étais) qu’un petit responsable loin d’Alger.» Lorsqu’il s’est présenté, hier devant les journalistes venus l’écouter à l’hôtel El Aurassi, Khaled Nezzar savait qu’il était attendu non pas sur le contenu de son livre mémoires qu’il vient de rééditer, mais sur l’actualité du moment et surtout sur la période durant laquelle l’homme avait assumé les charges de ministre de la Défense. Toujours aussi direct, la mémoire presque intacte, malgré ses 81 ans, le général Nezzar est intarissable de témoignages. Et après chaque «témoignage», il lance une pique.
C’est le cas de cette charge contre les politiques qui «allument le feu, et nous demandent après d’éteindre le brasier». Cette situation, l’orateur – qui dit écrire ses mémoires pour donner « un angle » aux générations montantes – l’a vécue en 1988. Le pays avait connu les pires manifestations de son histoire. Et cela, c’était la faute «du pouvoir politique». «Oui, je le dis aujourd’hui et vous allez le lire dans mon prochain livre, le pouvoir politique avait une responsabilité» dans les événements d’Octobre 1988. «Nous, militaires, étions appelés à faire face aux événements.
Mais j’avais compris que ce qui faisait sortir les jeunes, c’était le désarroi, la colère», tente-t-il d’expliquer. «Ce que s’est passé en 1988 et la décennie noire n’était que la résultante des mauvais choix pris depuis l’indépendance.» Un clin d’œil à ce qui se passe aujourd’hui ? «Depuis l’indépendance, les autorités politiques, au plus haut sommet de l’Etat, ont joué sur les équilibres. Des considérations régionalistes, de connivence ou d’allégeance ont toujours primé sur la compétence. C’est pour cela que cela ne marche jamais», a-t-il indiqué.
Le général connaît cependant ses limites. S’il consent à «livrer» tout sur son expérience militaire, car «je n’étais qu’un militaire», il ne veut pas s’aventurer sur les questions du présent. Il dément ainsi toute initiative visant à se mêler de la question de la succession de Abdelaziz Bouteflika. «La politique, cela ne m’intéresse pas. Je suis redevenu un simple citoyen. Comme vous, j’ai un avis, mais je n’ai plus le pouvoir», a-t-il précisé.
L’homme répondait à une question qui portait sur l’information le donnant porteur d’une initiative pour proposer un «candidat du consensus» lors de la prochaine élection présidentielle. « Avez-vous des craintes pour l’avenir du pays ?» «Oui», répond le vieux général. Mais, «je m’exprime en tant que citoyen, lorsque je rencontre mes amis. Sans plus», a-t-il encore insisté.
Car, «cela fait longtemps que j’ai quitté la politique. Et contrairement à certains, je l’ai fait de mon propre gré», a-t-il rappelé. Khaled Nezzar a en effet démissionné de l’armée, en 1994, à l’âge de 57 ans pour «me consacrer à ‘‘mes’’ enfants» et embrasser une nouvelle carrière d’homme d’affaires.
S’il a quitté l’armée, Khaled Nezzar ne s’empêche pas de revenir sur les événements qui ont jalonné sa longue carrière. Il dit aujourd’hui qu’il a «toujours été contre» la présence de «la police politique» dans les institutions. Et c’est cette image qui a donné l’impression aux Algériens que «l’armée faisait tout». «Nous avons été mêlés à la politique malgré nous.
Ce n’est pas l’armée qui avait décidé d’intégrer le comité central (du FLN, parti unique, ndlr). Nous avions nos voix comme tout le monde», a-t-il rappelé. Puis, selon lui, le rôle de l’institution militaire a été «surdimensionné» et même fantasmé. Car, même lors de la désignation de Chadli Bendjedid comme chef de l’Etat en 1979, la décision n’était prise que par «quelques officiers, Kasdi Merbah et deux autres», mais «pas par l’institution militaire».
En revanche, le général Nezzar dit toujours assumer son choix d’avoir opté pour l’arrêt du processus électoral en janvier 1992. Mais là encore, le vieux général rappelle qu’il n’était qu’une voix parmi tant d’autres. «Mais, lorsque le président Chadli avait montré des hésitations, j’avais assumé mes responsabilités.» «Et j’ai la conscience tranquille.
La seule chose que je regrette ce sont les morts, les blessés et les destructions de l’économie nationale», indique-t-il. Après le premier tome qui a porté sur sa carrière politique, le général Nezzar a promis de publier un nouveau livre. Intitulé Séquence politique, le nouveau tome couvrira la période de 1988 à sa démission en 1994. Il n’en dira pas plus. Mais il assure que ce qui l’a poussé à écrire des livres, «c’est le sang qui a coulé durant les années 1990».
Ali Boukhlef

Des dizaines de médecins résidents arrêtés à Alger (vidéo)
le 24.04.18 | 15h36 | mis à jour le 24.04.18 | 16h55

Les forces de sécurité ont empêché la marche des médecins résidents, organisée mardi à Alger. Des dizaines de manifestants ont été arrêtés et expulsés d’Alger, a dénoncé le Collectif autonome des médecins résidents algériens (Camra).
Lire aussi : Les médecins résident menacent de durcir le mouvement
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