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Dimanche 10 Juin 2018
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Actualité

« Mouwatana », une initiative pour « faire hâter le départ du régime » en Algérie
Montréal : Rassemblement de soutien au blogueur Merzoug Touati
Une TVA de 19% réinstaurée dans le PLFC-2018 : Les voitures encore plus chères
L’hommage d’Aigle Azur à Idjerouidène : L’Airbus A330 «Arezki» dans le ciel d’Alger
Dysfonctionnements lors de l’examen de fin du cycle primaire : Des chefs de centre d’examen pointés du doigt
Rencontre nationale sur la saison estivale : Faire face aux squatteurs des plages
Après l'incarcération de 3 personnes pour l'affaire des 701 kg de cocaïne saisis à Oran : Kamel Chikhi et ses deux frères placés sous mandat de dépôt
Sétif : Rassemblement à Bousselam pour réclamer la libération du blogueur Merzoug Touati
Il détaille la feuille de route de l’instance présidentielle du FFS : Mahamed Hadj Djilani tacle le «cabinet noir»
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ES Sétif : Les risques d’un recrutement mal étudié
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CAN-2018 (dames). Ethiopie-Algérie : A 90 minutes du bonheur
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Investissements directs étrangers : Baisse de 26% des flux vers l’Algérie
Commerce : La loi sur le e-paiement entre en vigueur
Marché pétrolier : Les cours reculent
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Société générale Algérie (SGA) : 226 milliards de dinars de crédit à l’économie
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Chute du pouvoir d’achat et corruption des élites : Mobilisation contre la cherté de la vie au Maroc
Massacre par Israël de Palestiniens à Ghaza : Les Arabes se tournent vers l’Assemblée générale de l’ONU
En bref…
Crise malienne : Guterres veut revoir les priorités de la Minusma
Conflit du Sahara Occidental : Rassemblement à Bruxelles pour dénoncer les manœuvres de l’UE
Autriche : Offensive contre l’«islam politique»
Culture

En exclusivité dans les salles de cinéma de l’ONCI : Escobar s’affiche à Oran
Soirées nocturnes à Tizi Ouzou : Hamidou a toujours la cote
A l’initiative de l’Institut Cervantès d’Oran : Camus revisité par Carme Riera et Fatéma Bakhaï
Hommage au journaliste Bakhti Benaouda : Contre l’oubli
Parution : Un nouveau livre traite de la citoyenneté
Journée nationale de l’artiste Une célébration mitigée
Région Est

Grogne à la coordination des souscripteurs aux programmes LPA : Une grande marche prévue prochainement
Association Nour d’aide aux enfants et jeunes diabétiques de Sétif : Un SOS est lancé pour l’acquisition d’un local
Vol Marseille-Annaba : Un commandant de bord fait descendre un passager français de l’avion
El Milia (Jijel) : Attaque d’une bijouterie par des individus encagoulés
Skikda accueille les célébrations de l’anniversaire du HCA : Un numéro vert et un nouveau dictionnaire pour généraliser la langue amazighe
Batna : Des cafés «non-fumeurs» à Aïn Touta
Biskra : Prise en charge des déficients mentaux errants
Ramadhan à El Tarf : Les dos-d’âne et le commerce informel font bon ménage
Région Ouest

Saison estivale : Oran s’engage à «bien accueillir les vacanciers»
Mostaganem : Quatre communes seront alimentées en gaz de ville
Chlef : Des projets de la DJS s’enlisent dans la bureaucratie
Ghazaouet : 12 harraga interceptés au large
Sidi Bel Abbès : Cap sur l’intégration de la pisciculture dans l’agriculture
Mascara : Une application informatique pour contrôler les écoles
Tiaret : Le wali assure qu’il n’y aura pas de cession des espaces verts
Parution : Un nouveau livre traite de la citoyenneté
Région Kabylie

Collecte des déchets à Tizi Ouzou : Un sursis pour les communes

Festival à Ighram (Béjaïa) : Des caricaturistes exposent à Ighil Nacer
Bouira : Lancement du plan de lutte contre les feux de forêt
Boumerdès : Bousculades et protestations devant les mairies
Son enseignement reste symbolique en dehors de la Kabylie : Seulement 4% des candidats au Bem ont passé l’épreuve de tamazight
Région Centre

Les sachets en plastique, un danger pour la santé : Distribution de paniers dans les marchés de la capitale
Tipasa : Diminution des plages pour la saison estivale 2018
Centre anticancer de Blida : Entre pléthore de malades et manque de personnel
Taounza (Laghouat) : Des agriculteurs interpellent le wali
Région Sud
Séminaire national de la CNEFA à Tamanrasset : L’usage des TIC pour un renouveau pédagogique
Une TVA de 19% réinstaurée dans le PLFC-2018
Les voitures encore plus chères
le 10.06.18 | 12h00
La décision de réintroduire une TVA de 19% dans le projet de loi de finances complémentaire 2018 induira immanquablement une hausse des prix des véhicules neufs. L’Exécutif justifie sa démarche par le gel des importations étant donné qu’aucune licence n’a été distribuée. Serait-ce la fin des importations pour les concessionnaires, hormis celles qui entrent dans le cadre de l’industrie de montage ? Pourquoi et comment ?
Après le gel des importations de véhicules, le gouvernement juge que certains avantages fiscaux dont bénéficient les industries de montage automobile n’ont plus de raison d’être.
En effet, dans le projet de loi de finances complémentaire 2018 (PLFC-2018), soumis mardi dernier au débat en Conseil des ministres, l’Exécutif explique que l’exemption de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA), appliquée jusqu’ici à l’importation des kits SKD/CKD destinés aux industries de montage automobile, visait à rendre la voiture «made in Algeria» plus compétitive en termes de prix par rapport au véhicule importé. Maintenant qu’aucun véhicule n’est importé, l’exonération portant sur l’importation des collections SKD/CKD ne doit plus exister, à en croire l’Exécutif.
Dans la première version de l’avant-projet de LFC-2018, le gouvernement avait dit qu’une étape avait été franchie dans l’activité de montage automobile et qu’il était temps que les incitations fiscales soient orientées vers d’autres industries de montage.
Quelques jours plus tard, à un intervalle de deux semaines marqué par l’ajournement à trois reprises de l’examen de l’avant-projet de LFC-2018, l’Exécutif lève le voile sur un article de loi qui rompt totalement avec l’exposé des motifs justifiant l’institution d’une TVA applicable aux kits CKD/SKD.
Tout en relevant le taux à 19% — contre un taux réduit de 9% dans la première version de l’avant-projet de LFC et 0% aujourd’hui — le gouvernement explique que les exemptions de TVA cesseront d’être en vigueur à compter de la date de la promulgation de la LFC-2018. Cette exemption vise à rendre le véhicule produit en Algérie plus compétitif en termes de prix par rapport aux véhicules importés.
Cependant, cette mesure, sans effet, ne doit plus exister puisque les importations de véhicules sont soumises au système de licences qui n’ont pas été accordées dernièrement, tandis que la production nationale couvre actuellement la quasi-totalité de la demande nationale, souligne le projet de loi de finances complémentaire 2018.
Dans son exposé explicatif joint à la décision de soumettre à la TVA les collections CKD/SKD destinées aux industries de montage automobile, le gouvernement tente ainsi de justifier sa démarche, tout en rassurant les industriels quant à une concurrence qui serait probablement nulle pour de nombreuses années encore.
Dit autrement, l’Exécutif explique à qui veut l’entendre que les mesures fiscales, qui permettaient à la «voiture algérienne» un avantage comparatif par rapport au véhicule importé, n’ont plus raison d’être puisqu’il n’y a plus de véhicule importé sur le marché. L’institution de la TVA portant sur les kits SKD/CKD laisse penser que l’Exécutif ne compte pas renoncer de sitôt à sa décision de geler les importations de véhicules.
Il juge d’ailleurs que la production nationale de véhicules couvre actuellement la quasi-totalité de la demande nationale, un jugement symptomatique de ce que sera sa stratégie future sur le marché de l’automobile.
Le PLFC-2018, dont les grands axes ont été dévoilés par l’APS, rappelle également que l’exemption a été accordée, au titre de la commercialisation du produit et ne représentant en aucun cas un avantage, à l’investisseur en question à la date fixée par cet article.
La suppression de l’exemption n’annule pas les avantages accordés à l’investisseur, lit-on également. Cette mesure n’affectera pas les avantages accordés directement aux investisseurs car cette exonération concerne uniquement le produit.
Selon l’article 6 du PLFC-2018, les autres avantages supplémentaires fixés dans l’article 18 demeurent en vigueur, y compris la taxe sur les transactions des nouveaux véhicules, précise-t-on. Ainsi, après avoir suscité un tollé tant chez les industriels que chez les consommateurs, le gouvernement s’est saisi des termes du débat pour tenter de restaurer la lisibilité de sa décision de remettre en cause certains avantages fiscaux dont bénéficient les industries de montage automobile.
Dans son premier avant-projet de LFC-2018, qui était fortement critiqué pour son volet fiscal jugé trop pesant, mais aussi pour la proposition d’ouvrir l’agriculture à l’investissement étranger, le gouvernement avait justifié sa décision de soumettre à la TVA au taux réduit par le fait que l’activité de montage automobile «a connu depuis quelques années un essor et une évolution remarquables en termes de réalisation d’investissements publics et privés ainsi qu’en partenariat et a commencé à asseoir un tissu industriel automobile devant répondre, en termes de rapport qualité/prix, à la demande nationale et dans le futur à l’exportation».
Le gouvernement dit également que «les objectifs tracés par les pouvoirs publics en faveur des industries de montage automobile ayant été atteints, particulièrement avec l’émergence de la sous-traitance dans ce domaine, leurs efforts en termes d’incitations fiscales seront orientés vers d’autres industries de montage qui ont encore besoin des aides publiques sous toutes leurs formes».
Les justificatifs contrastent entre eux et cette tentative de rassurer les industriels ne change rien à la nature instable de la réglementation régissant l’investissement étranger.
Ali Titouche
Dysfonctionnements lors de l’examen de fin du cycle primaire
Des chefs de centre d’examen pointés du doigt
le 10.06.18 | 12h00

La rencontre, jeudi, entre représentants du ministère de l’Education nationale et des syndicats et associations de parents d’élèves a été l’occasion de saisir la ministre sur ces dysfonctionnements.
Les relevés de notes de l’examen de fin du cycle primaire ont révélé un dysfonctionnement dans le système d’organisation. Des parents d’élèves et des enseignants pointent du doigt des chefs d’établissement où se sont déroulées les épreuves, le 23 mai dernier.
Des directeurs d’établissement sont accusés de tricherie, avec l’écriture des réponses sur le tableau dans certains cas et, dans d’autres cas, le remplacement des copies des réponses des élèves, accusent plusieurs associations regroupées dans l’Organisation nationale des parents d’élèves ou syndicats d'enseignants.
Les cas de tricherie n’auraient pas été possibles sans la complicité des enseignants affectés à la surveillance des épreuves, indiquent des représentants des parents d'élèves.
Un lien direct est fait avec le nombre élevé de candidats (dépassant les 10 000) ayant obtenu une moyenne record de 10 sur 10, ce qui est jugé «excessif compte tenu de la production écrite dans laquelle l’élève ne peut pas avoir une note complète», témoignent des enseignants, surpris des notes d'élèves ayant habituellement des difficultés dans certains matières, comme les mathématiques et le français, mais qui ont obtenu la moyenne de 10...
Même si l’impact des notes est sans grande importance sur le passage de l’élève qui tient compte de l’évaluation continue en cas d’échec, le ministère de l’Education nationale est saisi de la question. La rencontre, jeudi, entre le ministère et les représentants des syndicats et associations des parents d’élèves a été l’occasion d'évoquer ces cas.
Pour le ministère de l’Education, «l’évaluation du déroulement et les résultats des examens tiendra compte de tous les éléments. Le ministère réagira en fonction de la situation». Pour des représentants des enseignants, le ministère de tutelle doit se pencher sur les modalités d’organisation de cet examen.
«Les pratiques douteuses de certains responsables ont des retombées néfastes sur le rendement des élèves dès la première année moyenne avec un taux d’échec de 30%», souligne Boualem Amoura du Syndicat autonome des travailleurs de l'éducation et de la formation (Satef). Ce syndicat propose une réorganisation pour les trois examens nationaux dans des centres d’examen fermés pour éviter les retards et la fuite des sujets.
Les directeurs d'établissement ainsi que les enseignants devraient être affectés à d’autres centres pour plus de transparence, propose M. Amoura.
Il est à rappeler que le taux de réussite à cet examen a été de 87,25%, alors que le taux de passage en première année moyenne est de 96,40%. Selon le ministère de l’Education nationale, le nombre d'élèves qui ont eu une moyenne de 10/10 est de 10 351. 797 812 élèves étaient inscrits aux épreuves de l’examen de fin de cycle primaire, soit 4,8% de plus que l’année dernière (760 652 élèves).
Fatima Arab
« Mouwatana », une initiative pour « faire hâter le départ du régime » en Algérie
le 10.06.18 | 16h52

Les signataires de la lettre ouverte adressée récemment à Abdelaziz Bouteflika, dans laquelle on lui a demandé de ne pas se représenter lors des élections présidentielles de 2019, viennent de lancer une nouvelle action politique dénommée « Mouwatana ». Zoubida Assoul est désignée porte parole.
Farouk Djouadi
Mots-clés
Bouteflika • Algérie • Mouwatana
Diplomatie agressive des USA : Jusqu’où ira Trump ?
Diplomatie agressive des USA : Jusqu’où ira Trump ?
le 10.05.18 | 12h00
