0220-/- ACTUALITES Du Jeudi 09 AOÛT 2018
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Jeudi 09 AOÛT 2018
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Jeudi 09 Aout 2018
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أحوال الطقس في الجزائر ليو الخميس 9 أوت 2018 م centurion dz
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Prévisions Météo-Algérie pour jeudi 9 Août 2018 centurion dz
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JT 19H: 09-08-2018 Canal Algérie
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Sahara occidental : Horst Köhler presse le Maroc à reprendre les négociation avec les sahroauis
التلفزيون الجزائري | نشرة أخبار الظهيرة ليو الخميس 09 أوت 2018 م
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16ES RENCONTRES CINÉMATOGRAPHIQUES DE BÉJAÏA
"Etre à la hauteur des attentes..."
Organisée du 1er au 6 septembre, cette édition qui sera marquée par plusieurs nouveautés aura, comme film d'ouverture, le documentaire Des figues en avril de Nadir Dendoune, qui sera projeté en présence de l'héroïne du film, c'est-à-dire la mère du réalisateur.Nationale
TIZI OUZOU
Encore un autre sacrifice...pour les bourses
09-08-2018 - Aomar MOHELLEBI
Devant le prix du mouton qui ne cesse de flamber, de nombreux pères de familles ont décidé de faillir à la règle en optant seulement pour l'achat d'une quantité raisonnable de viande. ... LireBOUIRA
Le marché toujours fermé
09-08-2018 - Abdenour MERZOUK
L'Aïd, c'est une ambiance faite de bêlements des moutons depuis les balcons, le foin étalé partout et les enfants qui débattent autour du mouton le plus cornu. ...LireANNABA
Le bélier vend trop cher sa peau
09-08-2018 - Wahida BAHRI
Les familles désirant sacrifier un mouton à l'occasion de l'Aïd El Adha, sont contraintes et par obligation de la Souna, de subir une autre saignée pour acheter le bélier symbole du prophète Ibrahim El Khalil (sls). ... LireL'AGRICULTURE, LE COMMERCE, LA SANTÉ, L'ÉNERGIE, L'INDUSTRIE ET L'INTÉRIEUR MOBILISÉS POUR L'AÏD
Six ministères pour le "Sacrifice"
09-08-2018 - Nadia BENAKLI
Contrairement aux années précédentes, cette fois le gouvernement affiche un intérêt particulier au bon déroulement de cette fête. ... LirePOUR RATIONALISER LA CONSOMMATION ÉNERGÉTIQUE
Du solaire pour les écoles primaires
09-08-2018 - Madjid BERKANE
Bedoui a indiqué que 500 écoles primaires sont déjà dotées d'équipements d'énergie solaire et que l'opération permettra de fournir l'énergie classique pour d'autres besoins publics. ... LireACCIDENTS DE LA ROUTE À BOUIRA
Qui arrêtera l'hécatombe?
09-08-2018 - Abdenour MERZOUK
En moins de 48 heures, on a enregistré trois morts et cinq blessés dont deux se trouvent dans un état critique. ... LirePRIX INABORDABLES, FIÈVRE APHTEUSE ET SYNDROME DE LA VIANDE BLEUE
Ce mouton qui fait peur
09-08-2018 - Walid AÏT SAÏD
Les consommateurs craignent de payer une fortune pour un mouton qui va se retrouver à la poubelle. Certains ont décidé de boycotter l'Aïd, d'autres hésitent encore. Le «kebch» hante leurs nuits... ... LireREJETANT LES APPELS VOULANT L'IMPLIQUER DANS LE CHAMP POLITIQUE
L'Armée persiste et signe
09-08-2018 - Hasna YACOUB
Dans l'éditorial de la revue El Djeïch, l'ANP tranche: «(...) Les lourdes responsabilités dont est investie l'ANP font que son attachement à demeurer éloignée des questions qui ne sont pas de ses prérogatives constitue un devoir national motivé par l'intérêt suprême de l'Algérie.» ... LireSAHEL, LIBYE, PRÉSIDENTIELLE MALIENNE...
Messahel et Le Drian accordent leurs violons
09-08-2018 - Mohamed TOUATI
Le chef de la diplomatie algérienne et son homologue français ont passé en revue les crises qui secouent la région et se sont concertés en vue de la 2ème session du dialogue stratégique qu'ils coprésideront en octobre à Paris. ... LireAPRÈS LA LABELLISATION DE L'HUILE
La Kabylie assure ses oliviers
09-08-2018 - Aomar MOHELLEBI
Durant l'été de l'année 2017, pas moins de 100.000 oliviers sont partis en fumée dans les quatre coins de la wilaya de Tizi Ouzou suite à des incendies de forêts. ... Lire
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PRIX INABORDABLES, FIÈVRE APHTEUSE ET SYNDROME DE LA VIANDE BLEUE
Ce mouton qui fait peur
Les consommateurs craignent de payer une fortune pour un mouton qui va se retrouver à la poubelle. Certains ont décidé de boycotter l'Aïd, d'autres hésitent encore. Le «kebch» hante leurs nuits...
Le mouton de l'Aïd empêche les Algériens de dormir! Habituellement très attendu, cette fête religieuse fait faire des cauchemards aux chefs de foyer. Le mouton fait peur...Et ce n'est pas pour ses cornes ou sont gabarit, mais à cause de ses prix inabordables qui n'assurent pas forcément sa bonne santé. «Ce n'est pas une façon de parler, le mouton de l'Aïd m'empêche de dormir», avoue, Slimane, un père de famille qui hésite encore entre «boycotter» le sacrifice d'Abraham ou se sacrifier lui-même... «Les prix sont inabordables. Ce n'est certes pas une nouveauté, mais il y a cette fois-ci le risque de payer une fortune pour un mouton qui va se retrouver à la poubelle», souligne Slimane, avec beaucoup d'inquiétude. Les craintes de Slimane sont partagées par la majorité des citoyens. Et pour cause, le spectre de la viande bleue hante toujours les mémoires. La joie de l'Aïd dernier a été de courte durée. Un phénomène des plus inhabituels avait touché les moutons sacrifiés à travers les quatre coins du pays: ils sont carrément putréfiés! Leur viande a viré vers une couleur verdâtre et leur odeur est nauséabonde. Plusieurs centaines, pour ne pas dire des milliers de cas avaient été enregistrés à travers les quatre coins du pays. Leurs propriétaires ont été obligés de les jeter après les avoir payés une fortune. «J'ai acheté un mouton à 76.000 dinars pour avoir à la fin une...peau», confie Fouad, victime de cette viande bleue. «Le lendemain du sacrifice, la viande est devenue toute bleue, accompagné, d'une odeur des plus nauséabonde. J'ai dû le jeter à la poubelle, je n'avais que la peau de mouton pour pleurer...», avoue ce commerçant, toujours sous le choc. «Pourtant, j'avais acheté un beau et gros mouton chez un vendeur que je connais. Mais ni le prix ni la ´´maârifa´´ n'ont empêché que je tombe sur une bête malade», peste-t-il en soutenant que malgré sa mésaventure il hésitait encore à sacrifier un mouton ou non cette année. «Je suis un mordu de l'Aïd, c'est une Souna (pratique religieuse musulmane fondée sur la tradition de Mohamed (Qsssl), NDLR). En plus, j'ai de jeunes enfants, je ne veux pas les priver de cette fête», assure-t-il. Si Fouad hésite encore, ce n'est pas le cas de Amine. «Il n'est pas question que je paye un mouton trois fois son prix pour qu'ensuite il soit jeté à la poubelle», tranche-t-il. Ce cadre dans une multinationale avoue avoir été incertain au début, mais un nouvel élément est venu «acter» définitivement son choix. Il s'agit de la fièvre aphteuse. Car, en plus de la crainte de voir son mouton devenir bleu, il faut y ajouter le risque de le voir infecté par la fièvre aphteuse dont une grave épidémie frappe le cheptel bovin du pays. Les spécialistes ont beau rassurer que le virus actuel ne touchait pas les ovins et que même si c'était le cas la contamination de l'humain était presque rare, cela n'a en rien dissipé les craintes. «Il s'agit là, de ma santé et celle de ma famille. Je ne préfère prendre aucun risque», soutient Mehdi, un autre «boycotteur» du mouton de l'Aïd El Adha. Il faut dire que ce mouton est celui de toutes les angoisses. Le citoyen lambda ne comprend pas grand-chose à cette fièvre aphteuse. Le manque d'explications fournies par les services vétérinaires du ministère de l'Agriculture n'arrange pas les choses. Quand on y ajoute le problème de la viande bleue on obtient un cocktail explosif qui hante les consommateurs. Ce qui profite pleinement aux «pros» de la spéculation. Ils ont trouvé avec ces maladies une bonne excuse pour faire flamber les prix. Un climat de psychose est né! Les spéculateurs en profitent donc pour clamer une «rareté» qui justifie ces hausses vertigineuses des prix. La fermeture des marchés, qui ne seront rouverts qu'après la fin de la campagne de vaccination, n'a pas manqué de jeter de l'huile sur le feu. La même bête qui se vendait, il y a quelques jours, à 40.000 dinars est aujourd'hui à 60.000 dinars. Un mouton moyen n'est pas cédé à moins de 50.000 dinars! De la vraie folie. L'Aïd El Adha s'annonce donc des plus chauds. Et c'est le citoyen qui risque d'être sacrifié.AU LENDEMAIN DE L'ENTRÉE EN VIGUEUR DES SANCTIONS AMÉRICAINES
L'Iran dénonce "les symboles du soupçon"

l'Union européenne, la Russie et la Chine réaffirment encore leur détermination à sauver l'accord de Vienne de juillet 2015, qui encadre les activités nucléaires de l'Iran en échange d'une levée progressive des sanctions économiques contre l'Iran.
Les sanctions économiques américaines contre l'Iran sont à pied d'oeuvre depuis mardi, ainsi que l'a voulu le président Donald Trump qui a averti hier les pays alliés de choisir entre le commerce avec Téhéran ou celui avec les Etats-Unis dont ils seraient exclus au cas où ils enfreindraient l'interdiction décrétée par Washington. La première vague de sanctions, désormais en vigueur, porte, entre autres domaine, sur les transactions financières en dollars, le commerce de l'or et des métaux précieux, ainsi que sur le charbon et le secteur automobile. Ce rétablissement graduel des sanctions américaines intervient à la suite du retrait unilatéral des Etats-Unis de l'accord de juillet 2015 - signé par l'Iran, les membres permanents du Conseil de sécurité de l'Onu (Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Chine, Russie) et l'Allemagne - dont le président américain n'a jamais cessé de dénoncer les conséquences selon lui «désastreuses». Critiquant ouvertement son prédécesseur à la Maison- Blanche, Barack Obama, Trump a même qualifié les engagements des Etats-Unis d' «affreuses erreurs». Mais face à cela, l'Union européenne, la Russie et la Chine réaffirment encore leur détermination à sauver l'accord de Vienne de juillet 2015, qui encadre les activités nucléaires de l'Iran en échange d'une levée progressive des sanctions économiques contre l'Iran. Une nouvelle loi anti-blocage de l'UE, destinée à protéger les entreprises européennes contre les sanctions américaines, est entrée en vigueur le même jour que la mise en oeuvre des sanctions, ce qui n'a pas eu l'air de rassurer un grand nombre d'entre elles compte tenu du fait que les plus en vue ont déjà annoncé leur départ du pays afin d'éviter de se retrouver en porte-à-faux avec les sanctions de Donald Trump. Le président américain a insisté auprès de ses alliés qu'ils ne pourront plus commercer avec les Etats-Unis s'ils maintiennent leurs échanges avec l'Iran. «En novembre, elles (les sanctions) atteindront un autre niveau. Quiconque fera des affaires avec l'Iran n'en fera plus avec les Etats-Unis. J'appelle à une PAIX MONDIALE, rien de moins», écrit-il sur Twitter. L'objectif manifeste du milliardaire devenu président des Etats-Unis est de contraindre l'Iran à accepter sa proposition de négocier un nouvel accord, beaucoup plus drastique dés lors qu'il inclurait la question des missiles balistiques et la présence qualifiée de «déstabilisatrice» de forces iraniennes en Syrie et au Yémen. La même tactique qui a conduit au sommet historique de Singapour avec la Corée du Nord est employée avec Téhéran, Trump étant persuadé qu'en plaçant la barre le plus haut possible, les négociations ne pourront que tourner à son avantage et l'Iran condamné à négocier avec lui, abandonnant «complètement et de manière vérifiable le programme balistique et nucléaire». C'est ce qu' a argumenté son conseiller à la sécurité nationale, John Bolton, lundi dernier dans un entretien accordé à la chaîne Fox News.»Si les ayatollahs veulent se soustraire aux pressions, ils doivent venir à la table des négociations. Les pressions ne diminueront pas tant que les négociations se poursuivent», a-t-il en outre prévenu. La réponse de Téhéran n'a ni tardé ni varié. Une négociation avec les Etats-Unis peut être envisagée seulement si Washington parvient à prouver qu'il est digne de confiance, a déjà estimé le président iranien, Hassan Rohani. Cité par la télévision publique iranienne, le chef de la diplomatie iranienne, Mohammad Javad Zarif, a affirmé pour sa part que le rétablissement des sanctions américaines va même «isoler les Etats-Unis et leurs alliés saoudiens et israéliens». «Aujourd'hui, Trump, (le prince héritier saoudien Mohamed) ben Salman et (le Premier ministre israélien Benjamin) Netanyahu sont devenus dans le monde entier les symboles du soupçon», a-t-il observé.»Leurs politiques répressives et leurs mesures violentes les ont isolés. Le monde a pris ses distances vis-à-vis de leurs politiques hostiles contre l'Iran», a ajouté Javad Zarif qui a également dénoncé les «zigzags» américains et leur manque total de fiabilité. De leur côté, l'Union européenne et les trois puissances européennes signataires de l'accord de juillet 2015 (France, Grande-Bretagne et Allemagne) ont annoncé lundi dernier qu'elles «regrettent profondément la réimposition de sanctions par les Etats-Unis du fait de leur retrait du Plan d'action global commun (JCPOA)». A l'instar de la Russie et de la Chine, les pays européens se sont dit «déterminés» à sauver le texte et à «protéger les opérateurs économiques européens engagés dans des affaires légitimes avec l'Iran», réaffirmant ainsi leur volonté de passer outre la première vague de nouvelles sanctions américaines contre l'Iran comprenant des blocages sur les transactions financières et les importations de matières premières, ainsi que des sanctions sur les achats dans le secteur automobile et l'aviation commerciale. La seconde vague, prévue en novembre prochain, devra porter quant à elle sur le secteur pétrolier et gazier ainsi que la Banque centrale.