027-/-LUNDI 27 JANVIER 2014
LUNDI 27 JANVIER 2014
|
|
|
|
|
|
|
- |
|
++++++++++++++++++++
|
|
|
|
الإثنين 27 جانفي 2014 م
|
الإثنين 25 ربيع الأول 1435 ه
|
|
|
|
Les islamistes perdent du terrain Fait inhabituel, les partis islamistes boudent dans leur majorité, pour la première fois depuis le multipartisme, l’élection... |
Les islamistes perdent du terrain
le 27.01.14 | 10h00
Fait inhabituel, les partis islamistes boudent dans leur majorité, pour la première fois depuis le multipartisme, l’élection présidentielle. Signe d’un repli tactique ou volonté d’un repositionnement stratégique, les islamistes semblent en tout cas perdre du terrain.
S’il y avait encore un dernier doute sur une candidature du courant islamiste à l’élection présidentielle d’avril prochain, il est désormais levé. L’annonce samedi par le Mouvement pour la société et la paix (MSP) du boycott de ce scrutin a définitivement clos le débat timoré de la participation des partis islamistes à ce rendez-vous électoral. Le parti de Abderrazak Makri, qui a fréquenté les allées du pouvoir sous la présidence de son ancien patron, Bouguerra Soltani, a emboîté le pas à une autre formation islamiste, Ennahda de Djaballah qui avait ouvert le premier les hostilités contre le prochain scrutin. Ces réactions en solo des partis islamistes ont fait oublier l’attelage islamiste de l’Alliance verte composée de certains partis islamistes, dont le MSP. Une coalition que ses animateurs ont présentée comme un foudre de guerre, et qui a disparu des radars depuis les élections législatives, où le courant islamiste avait été laminé. L’arrivée de Abderrazak Makri à la tête du MSP, qui a recadré les positions idéologique et politique du parti en le situant dans le camp de l’opposition, avait laissé penser que ce parti s’est affranchi de la tutelle du pouvoir pour mieux sauter et se lancer à l’assaut du pouvoir.
Se posant comme le fer de lance et le creuset de l’opposition avec ce secret espoir de mobiliser, au-delà de sa famille naturelle, les autres forces et sensibilités plurielles opposées au régime. Les calculs de ce parti et de la formation de Djaballah de ramasser la mise en puisant dans l’électorat du parti dissous – si tant est que ce gisement électoral existe toujours – se sont révélés vains quand on analyse les résultats électoraux de cette dernière décennie, même s’il est admis que ces consultations électorales ont été entachées de fraude à grande échelle. Mais il reste que les tendances lourdes de la nouvelle carte politique, qui se sont dessinées ces dernières années, font apparaître un courant islamiste éclaté, divisé et doutant comme jamais auparavant de sa capacité de mobilisation et de son étoile pour gouverner. Le forfait déclaré par le courant islamiste avec toutes ses sensibilités participe-t-il d’une analyse froide et objective des réalités politiques du pays qui n’encouragent pas les acteurs politiques à se jeter dans la bataille électorale parce que l’on considère que les dés sont pipés, encore une fois ? L’argument, bien que partagé par d’autres courants politiques dont les forces démocratiques, cache mal néanmoins, selon nombre d’observateurs, les véritables raisons du climat de fronde électorale dans lequel s’est installé le courant islamiste.
«L'Algérie devra se battre pour maintenir ses parts de marché»
Affaire Alliance Assurance-Tahkout : Les avocats de Khelifati demandent une expertise intellectuelle des documents litigieux
Le feuilleton judiciaire opposant le PDG d’Alliance Assurance et Tahkout Mahiedine rebondit à nouveau. Le procès en appel de cette...
Béjaïa : Quatre fermetures de route et une déviation tragique
Béjaïa était isolée hier. Pour les conducteurs, l’accès était impossible. Les habitants de...
Les prix du pétrole détermineront les priorités économiques
L’Algérie risque de payer cher sa dépendance aux hydrocarbures à moyen et long termes.
Affaire Alliance Assurance-Tahkout : Les avocats de Khelifati demandent une expertise intellectuelle des documents litigieux
Le feuilleton judiciaire opposant le PDG d’Alliance Assurance et Tahkout Mahiedine rebondit à nouveau. Le procès en appel de cette...
Béjaïa : Quatre fermetures de route et une déviation tragique
Béjaïa était isolée hier. Pour les conducteurs, l’accès était impossible. Les habitants de...
Les islamistes perdent du terrain
Fait inhabituel, les partis islamistes boudent dans leur majorité, pour la première fois depuis le multipartisme, l’élection...
Le MSP s'installe dans l'opposition
Après deux décennies d’entrisme, le Mouvement de la société pour la paix (MSP) opte pour le boycott de...
Les Verts prennent leur revanche
Les handballeurs algériens ont pris leur revanche en s’adjugeant le sacre africain qui leur échappait depuis le titre de 1996, au...
Le handball national à la croisée des chemins
Défiant toutes les prévisions, les Verts se sont imposés avec brio, lors de cette 21e CAN de handball, en remportant toutes leurs...
Slahdji, artisan d'une consécration
L’attraction du Championnat d’Afrique de handball 2014 était incontestablement le gardien Abdelmalek Slahdji.
Ce qui attend le prochain Président
Que ce soit avec le Président sortant ou avec son successeur, la prochaine administration aura fort à faire pour relancer une...
«L'Algérie devra se battre pour maintenir ses parts de marché»
Les prix du pétrole détermineront les priorités économiques
L’Algérie risque de payer cher sa dépendance aux hydrocarbures à moyen et long termes.
Le bout du tunnel pour la Tunisie
La Tunisie tourne ainsi la page des gouvernements de la troïka, dirigés par les islamistes d’Ennahdha.
Egypte : Trois ans après, les manifestations sont toujours réprimées dans le sang
Deux images se disputent la une du quotidien égyptien Al Shorouk. D’un côté, une foule en liesse célébrant...
Une complexe histoire de... chemises
A Bangkok, le champ politique est divisé en trois mouvements : Chemises rouges pour les sympathisants du régime, Chemises jaunes pour...
Orchestral terroir
Toujours à travers l’ambition affichée d’allier une musique savante et le patrimoine, l’Orchestre symphonique national...
Réquisitoire contre l'égoïsme du Nord
Le Havre est un film qui dénude l’hypocrisie d’une société occidentale installée dans la monotonie et...
le 27.01.14 | 16h01
"Les GGF ont refusé l’accès sur le territoire national à des réfugiés syriens que les autorités marocaines voulaient expulser vers l’Algérie".
Les gardes-frontières algériens (GGF), surveillant la bande frontalière algéro-marocaine, ont refusé, dimanche après-midi, l’entrée sur le sol algérien à des ressortissants syriens, refoulés par les autorités marocaines, a-t-on appris lundi auprès du chef de groupement de la Gendarmerie nationale de la wilaya de Tlemcen.
"Les GGF ont refusé l’accès sur le territoire national à des réfugiés syriens que les autorités marocaines voulaient expulser vers l’Algérie", a indiqué à l’APS le colonel Boualleg Mohamed. "C’est suite à ce refus que les autorités marocaines avaient fait appel à leurs médias pour accuser à tort les autorités algériennes d’avoir refoulé ces Syriens, alors qu’en réalité ils se trouvaient sur le territoire marocain", a-t-il expliqué.
Le colonel Boualleg Mohamed a, par ailleurs, rappelé que "lorsque les gardes-frontières algériens interceptent des personnes tentant de s’introduire illégalement sur le territoire national, elles sont immédiatement arrêtées et présentées devant la justice et non refoulées vers le territoire du pays voisin". Le nombre de réfugiés syriens présents dans la wilaya de Tlemcen est estimé entre 250 à 300 personnes, indique-t-on de source sécuritaire. Ils bénéficient régulièrement d’aides octroyées par le comité de wilaya du Croissant-Rouge algérien (CRA), d’associations caritatives et de citoyens, a-t-on constaté sur place.
Belaiz minimise les dérapages de la police à Ghardaïa
le 27.01.14 | 15h25 Réagissez
Les témoignages élogieux rapportés par Belaiz ne peuvent pas occulter les faits réels dévoilés dans des vidéos montrant des agents de police en train de matraquer brutalement des mozabites.
Le ministre de l’Intérieur, Tayeb Belaiz, tente de « minimiser » l’ampleur des exactions commises à Ghardaïa et qui ont entraîné la mort de deux personnes au cours de la semaine écoulée. « J’ai rencontré les représentants des deux communautés (mozabites et chaambies ndlr) qui ont exprimé leur reconnaissance aux forces de sécurité », a déclaré Belaiz, ce lundi, devant les journalistes, en marge d’une séance plénière de l’APN.
Les « représentants » de la vallée du M’zab « ont salué le professionnalisme de la police », a renchéri le ministre de l’Intérieur, dans le but évident de défendre les agents de police, accusés d’impartialité et de recours excessif à la force contre des membres de la communauté mozabite.
Les témoignages élogieux rapportés par Belaiz, ne peuvent pas occulter les faits réels, dévoilés dans des vidéos montrant des agents de police en train de matraquer brutalement des mozabites. Au yeux de Belaiz, ces agissements d’une violence inouïe sont de simples « dépassements isolés » qui seront traités par des « sanctions administratives » et éventuellement par des « poursuites judiciaires » qui seraient engagées à l’encontre de leurs auteurs.
|
|
le 27.01.14 | 13h58 | mis à jour le 27.01.14 | 16h23
L'armée a donné mandat lundi à Abdel Fattah al-Sissi, son chef à peine promu maréchal, pour se présenter à l'élection présidentielle, une annonce sans surprise pour le nouvel homme fort de l’Égypte qui a destitué l'islamiste Mohamed Morsi.
Le gouvernement mis en place par Sissi, ministre de la Défense et vice-Premier ministre depuis qu'il a déposé et fait arrêter le 3 juillet le seul président jamais élu démocratiquement dans le pays, réprime implacablement et dans le sang toute manifestation de l'opposition, islamiste ou non, depuis sept mois.
La prochaine étape, attendue dans la journée selon certains médias, est la mise à la retraite ou la démission de l'armée du nouveau maréchal, la Constitution interdisant à un militaire de postuler pour la magistrature suprême.
Dimanche, Adly Mansour, nommé président par intérim par le général Sissi le jour même de la destitution de M. Morsi, avait déjà marqué une première étape en annonçant que la présidentielle se tiendrait avant les législatives et ce dans les trois mois à venir. Ce calendrier semble taillé sur mesure pour que le maréchal, de loin l'homme le plus populaire du pays, non seulement l'emporte aisément mais s'assure aussi une majorité au Parlement qui sera élu après lui, selon les experts.
|
|
|
LE RCD ET LE MSP SE PRÉPARENT
Le Rassemblement pour la culture et la démocratie et le Mouvement de la société pour la paix se préparent à un boycott actif de l’élection présidentielle du 17 avril. ...Suite |
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Consulter toute l'édition d'aujourd'hui
|
|
|
++ ++++++++++++++++++++-Lundi 20 janvier 2014+++
++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++