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Conférence de presse du procureur général de Constantine
Conférence de presse du procureur général de Constantine
«Les auteurs des crimes ont été arrêtés et sont passés aux aveux»
13-03-2013
De notre correspondant à Constantine
A. Lemili
Tout s’est bousculé au cours de la matinée d’hier, à la suite de l’assassinat de Haroun (10 ans) et Ibrahim (9 ans), les deux jeunes enfants kidnappés, samedi dernier, à hauteur de la nouvelle ville Ali Mendjeli. M. Mohamed Abdelli, procureur général près la Cour de Constantine a donné, hier, une conférence de presse au cours de laquelle il a fourni la version officielle des évènements et du coup mis fin à toutes les rumeurs et supputations qui ont tourné autour du drame qui a endeuillé deux familles.
Ainsi, il n’aurait jamais été question de mutilation des corps des deux victimes, comme il n’y a pas eu d’atrocités, d’un quelconque genre, constatées par le médecin légiste et encore moins de prélèvement d’organes comme le laissait entendre la rumeur. Le procureur général, quoique sans l’évoquer ou y faire la moindre allusion, évacuant également d’un revers de main la possible complicité d’une femme avec les présumés criminels, lesquels seraient passés aux aveux la veille même (mardi, Ndlr) déclarant avoir «étranglé les deux
La situation de l’emploi dans le sud du pays continue à faire débat à la lumière des derniers évènements dans cette région du pays. Dépassements, contraventions et passe-droits résument les conditions dans lesquelles se font les recrutements....
Le secteur des industries agroalimentaires (IAA), qui emploie plus de 140 000 travailleurs, soit 40% de la population active industrielle exerçant dans plus de 17 100 entreprises, maintient son rythme de croissance au 3e trimestre 2012 et ce depuis le 2e trimestre 2011....
La Direction générale des Douanes (DGD) a délivré, hier à Alger, 17 nouveaux agréments d’Opérateur économique agréé (OEA) dans le cadre des facilitations douanières qu’elle a initiées au profit des importateurs producteurs....
En dépit d’un cadrage macroéconomique stable, l’économie algérienne «peut faire mieux» en matière de croissance, de création de richesses et d’emploi....
Tout s’est bousculé au cours de la matinée d’hier, à la suite de l’assassinat de Haroun (10 ans) et Ibrahim (9 ans), les deux jeunes enfants kidnappés, samedi dernier, à hauteur de la nouvelle ville Ali Mendjeli. M. Mohamed Abdelli, procureur général près la Cour de Constantine a donné, hier, une conférence de presse au cours de laquelle il a fourni la version officielle des évènements et du coup mis fin à toutes les rumeurs et supputations qui ont tourné autour du drame qui a endeuillé deux familles....
La semaine dernière, c’étaient les adjoints de l’éducation. Hier, c’étaient les enseignants du primaire et du moyen qui sont aux postes dits «en voie d’extinction» qui se sont rassemblés devant l’annexe du ministère de l’Education nationale...
Le secrétaire général de l’Union générale des travailleurs algériens (Ugta), M. Abdelmadjid Sidi Saïd, a insisté, avant-hier mardi, à Ouargla, sur la voie du dialogue comme meilleur moyen de règlement des problèmes de l’emploi....
Depuis que les pouvoirs publics ont admis que le partenariat dans le domaine du bâtiment est vital pour achever dans les délais le programme national de logements, c’est tout un ballet de délégations étrangères qui proposent leur compétence au ministère de l’Habitat. ...
RAPT D’ENFANTS Comment créer un système d’alerte ?
Les affaires d’enlèvement se suivent et se ressemblent : elles se soldent toutes par des fins tragiques. Au-delà de la vive émotion que suscite la disparition de Haroun-Zaki et de Brahim, c’est toute la problématique du dispositif d’alerte-enlèvement qui est posée aujourd’hui. Comment mobiliser forces de sécurité et société civile pour éviter ces drames ? Le dispositif mis en place en Algérie est-il ...Suite
Les affaires d’enlèvement se suivent et se ressemblent : elles se soldent toutes par des fins tragiques. Au-delà de la vive émotion que suscite la disparition de Haroun-Zaki et de Brahim, c’est toute la problématique du dispositif d’alerte-enlèvement qui est posée aujourd’hui. Comment mobiliser forces de sécurité et société civile pour éviter ces drames ? Le dispositif mis en place en Algérie est-il assez efficace ? Réponses de spécialistes.
Nawal Imès - Alger (Le Soir) - Les questions taraudent tous les esprits : pourquoi les enlèvements se terminent systématiquement par d’abjects meurtres ? Comment les investigations se font-elles ? Comment les forces de l’ordre se mobilisent-elles après le signalement d’une disparition ? Ce dispositif est-il assez efficace ? En Algérie, il n’existe pas encore de système alerte-enlèvement. Le seul dispositif qui existe actuellement est celui que mettent en branle la police ou la gendarmerie. Une procédure souvent jugée lente par les parents puisque très souvent, les services de sécurité attendent au moins 24 heures avant de valider la thèse de l’enlèvement, lui préférant souvent celle de la fugue. Un temps précieux est ainsi perdu alors que les spécialistes des investigations sont formels : les premières heures sont déterminantes pour secourir les enfants enlevés. Au-delà de ces premières heures, les indices, les éventuelles traces laissées par les ravisseurs sont sérieusement compromis. Ce dispositif a pourtant déjà fait ses preuves ailleurs et a permis de sauver des vies. En France, à titre d’exemple, le dispositif permet la diffusion, durant trois heures, d’un message d’alerte sur les chaînes de télévision, les radios, les agences de presse, sur les sites internet ou dans les gares. Plusieurs critères, très stricts, doivent être réunis : il faut être en présence d’un enlèvement avéré et non d’une simple disparition, même inquiétante. Il faut aussi que la victime soit mineure et que sa vie ou son intégrité physique soit en danger. Il ne s’agit évidemment pas de déclencher l’alerte à chaque fois que des parents s’inquiètent pour leurs enfants mais de mettre en place en Algérie un véritable mécanisme qui puisse permettre non pas de retrouver des corps sans vie mais d’arracher des mains des assassins des enfants enlevés. Arar Abderrahmane, président du réseau Nada de défense et de promotion des droits des enfants, est formel au sujet de l’urgence de mettre en place un mécanisme efficace d’alerte. «Il faut mettre de nouveaux mécanismes d’alerte et arrêter de réagir après coup. Il nous faut un système fondé sur l’interaction de plusieurs acteurs y compris les médias qui doivent tout de suite répercuter l’information. Il faut que l’information circule de manière très rapide». Mais au-delà de ces aspects purement «techniques», le président du réseau Nada évoque «une grande faille» dans l’ensemble du dispositif de prise en charge des enfants dans l’espace public. Il déplore l’absence de structures et la démission des APC et plaide pour une prise en charge plus globale de la problématique. «Il y a une couche de délinquance qui s’installe en Algérie. C’est sur cette donne qu’il faut travailler en profondeur » dit-il, plaidant pour un système prenant en compte toutes ces dimensions. «Il faut réhabiliter le travail des travailleurs sociaux», dit-il affirmant qu’il faut fonder un mécanisme profond en plaçant des animateurs de quartier qui puissent être vigilants et à l’écoute de ce qui se passe aux alentours. Le travail de routine des forces de sécurité, dit-il, ne peut être suffisant face à l’absence d’un travail sociologique plus profond. Il déplore la dévalorisation du travail des assistantes sociales dont le rôle est primordial pour détecter les comportements asociaux ou suspects. Sans ce plan, déjà proposé aux gouvernements à maintes reprises par la société civile, il n’est pas exclu que d’autres cas d’enlèvements aux issus tragiques se reproduisent. N. I.
Le procureur général près la cour de Constantine a annoncé officiellement, hier, l’arrestation des assassins de Haroun-Zaki et Brahim. Il s’agirait de deux repris de justice résidant à la Nouvelle Ville Ali-Mendjeli, lieu de leur abominable crime.
Agissant sur information, les éléments du 5e arrondissement de la Sûreté urbaine de Chlef ont procédé à l'interpellation et à la fouille d'un véhicule de marque Renault 19, immatriculé à Relizane. Dans la malle ils ont trouvé une jeune fille de 17 ans. La jeune fille a expliqué aux policiers qu'elle entretient une relation amoureuse avec le chauffeur du véhicule et qu’elle avait convenu avec lui, de ce stratagème pour ne pas être vue par sa famille. Le propriétaire du véhicule a déclaré, quant à lui, vouloir seulement rendre service à la jeune fille qui prétendait vouloir se rendre à Chlef, pour régler des affaires très importantes, sans éveiller de soupçons dans son entourage. Une version qui n'a pas convaincu les enquêteurs qui l'ont écroué pour détournement de mineure. Medjdoub Ali
Les experts intervenant hier dans le cadre du forum du quotidien DK News, ont dénoncé l’absence de parachèvement des programmes de logements, la mauvaise qualité du bâti et les constructions inachevées.
C’est avec un mental au beau fixe que les gars de Béjaïa se préparent à donner la réplique à la formation ghanéenne de l’Ashanti Kotoko, demain sur leur terrain de Béjaïa, dans le cadre de la manche aller des 1/32es de finale de la Champions League africaine. Galvanisé par cette superbe victoire face au leader du championnat, l’Aigle noir de Sétif, le team vert et rouge qui a réappris à gagner après une longue période de disette, est animé d’une grande volonté pour réaliser un résultat positif devant les Ghanéens. Les partenaires de Si Mohamed Cedric sont décidés à se surpasser et à se transcender devant leur public pour réussir une belle performance, à même de leur ouvrir grandes les portes de la qualification et leur éviter de passer à la trappe, dans quinze jours, à l’issue de la manche retour en terre ghanéenne. Tout en n’ignorant pas la lourde tâche qui les attend face à une équipe très aguerrie à ce genre de rendez-vous et qui, faut-il le souligner, est très largement au-dessus du dernier adversaire béjaoui dans cette prestigieuse compétition africaine, à savoir le représentant nigérien, avec un prestigieux palmarès de 22 titres, 9 coupes et 2 coupes d’Afrique, les hommes de Solinas semblent néanmoins confiants et croient dur comme fer en leurs capacités pour tenir la dragée haute à la formation ghanéenne. Les Béjaouis, qui se disent prêts à entamer la partie sans complexe, sont déterminés à ne pas lâcher du lest ce vendredi. L’ambiance joyeuse observée à l’entraînement et le bon état d’esprit qui anime les Kabyles de la Soummam constituent, en tout cas, autant de bons signes rassurants pour les amoureux des Vert et Rouge quant à la réalisation d’un probant résultat par leur équipe fétiche. Connaissant très bien la délicate mission qui les attend face à l’Ashanti Kotoko, les protégés de Yemma Gouraya ont pris toutes leurs dispositions, et ce, dans l’unique objectif d’assurer un premier pas vers la qualification chez eux à Béjaïa. L’empoignade sera très rude mais avec ce très bon état d’esprit qui caractérise le groupe kabyle à la veille de ce rendez-vous africain, tout plaide pour que les partenaires de Mebarki fassent un grand match pour atteindre leur objectif. Le staff technique béjaoui, à sa tête le technicien italien Solinas, n’a rien laissé au hasard pour préparer un plan d’attaque qui va permettre à l’équipe d’atteindre son but. «Mes joueurs se sont appliqués avec sérieux et toute la rigueur nécessaire en pareille circonstance. Sur le terrain ce vendredi, j’attends de mes joueurs qu’ils fassent preuve de ce bel état d’esprit affiché lors des entraînements. Les consignes ont été claires. Le groupe doit rester très concentré tout au long du match. Essayer de construire en attaque en faisant preuve, aussi, d’une défense efficace pour éviter d’encaisser un but qui pourrait peser fatalement au retour. Cela dit, j’ai ressenti au sein du groupe une grosse envie de gagner, du courage et beaucoup de motivation qui me rassurent. Cela présage d’un très bon match», a confié le technicien italien de la JSMB à la veille de cette deuxième sortie africaine. Le coach Vert et Rouge reste toutefois très perturbé par la défection de ses deux meilleurs atouts en défense, en l’occurrence le capitaine de l’équipe Brahim Zafour et Megateli, toujours blessés. Du côté des joueurs, le ton est à la sérénité. «Même si nous ne faisons pas figure de favoris, le groupe ne se présentera pas en victime et peut réserver des surprises au vu de sa motivation. Le groupe aura à cœur de confirmer cette bonne dynamique et que la bonne performance réalisée contre le leader la semaine dernière n’est nullement le fruit du hasard. La motivation exemplaire de notre groupe à se surpasser peut faire la différence face aux Ghanéens et nous comptons, surtout, sur nos supporters pour se déplacer massivement afin de nous aider à remporter cette première manche et assurer notre qualification dès demain chez nous à Béjaïa», a déclaré le portier international de la JSMB, Si Mohamed Cedric. Dans la perspective de ce rendez- vous africain et pour s’assurer les meilleures conditions de préparation, la direction de la JSMB a décidé d’une mise au vert de son équipe depuis ce jeudi à l’hôtel Providentia. Il convient de signaler que la formation ghanéenne de l’Ashanti Kotoko est depuis mardi à Béjaïa. Arrivés à l’aéroport international d’Alger mardi vers midi, les Ghanéens ont aussitôt pris la route par car aux environs de 14h, vers la cité des Hammadites où ils devront séjourner en prévision de leur rencontre face à la JSMB prévue ce vendredi. A. Kersani
Programmes Ligue des champions Zamalek (Egypte)-Vita Club (RD Congo) Saint George (Ethiopie)-Djoliba (Mali) CA Bizerte (Tunisie)-Dynamos (Zimbabwe) Tusker (Kenya)-Al-Ahly (Egypte) Zanaco (Zambie)-Orlando Pirates (Afrique du Sud) Mochudi Centre Chiefs (Botswana)-TP Mazembe (RD Congo) Vital'O (Burundi)-Enugu Rangers (Nigeria) Recreativo Libolo (Angola)-Al-Merreikh (Soudan) JSM Bejaia (Algérie)-Ashanti Kotoko (Ghana) Primeiro Agosto (Angola)-Espérance Tunis (Tunis) FUS Rabat (Maroc)-Union Douala (Cameroun) Séwé San Pedro (Côte d’Ivoire)-Al-Hilal (Soudan) AFAD Djékanou (Côte d’Ivoire)-Coton Sport (Cameroun) Casa Sport (Sénégal)-Stade Malien (Mali) Kano Pillars (Nigeria)-AC Léopards (Congo) ASFA Yennenga (Burundi)-ES Sétif (Algérie) Coupe de la CAF ENPPI (Egypte)-Gor Mahia (Kenya) Petro Atletico (Angola)-SuperSport Utd (Afrique du Sud) Lobi Stars (Nigeria)-Liga Muculmana (Mozambique) Widad Casablanca (Maroc)-AS Douanes (Togo) ASEC (Côte d’Ivoire)-Rail Kadiogo (BUR) DC Motema Pembe (RD Congo)-Lydia Academic (BUR) USMA (Algérie)-Panthère Ndé (Cameroun) Heartland (Nigeria)-US Bitam (Gabon) Al Ahly Shandy (Soudan)-Dedebit (Ethiopie) Ismaily (Egypte)-TCO Boeny (Madagascar) CS Sfaxien (Tunisie)-Gamtel (Gambie) Diables Noirs (RD Congo)-Panter (Guinée-équatoriale) Recreativo Caala (Angola)-US Bougouni (Mali) Etoile Sahel (Tunisie)-Onze Créateurs (Mali) Barrack Young Controllers II (Libéria)-Azam (Tanzanie) FAR Rabat (Maroc)-Al-Nasr (Libye).
La 17e et avant-dernière journée du championnat de superdivision de basket-ball, jouée mardi, a été conforme aux prévisions avec la victoire du NB Staouéli et du CSMBB Ouargla qui restent encore en lice pour la 4e place du groupe B, tout comme l’O Batna et l’IRBB Arréridj qui se disputent le dernier ticket du groupe A .
Groupe B CRM Birkhadem-CSMBB Ouargla 50-57 NB Staouéli-AB Skikda 60-53 US Sétif-NA Hussein-Dey 93-74 OM Bel-Abbès-CSM Constantine 55-75 CRB Témouchent-WA Boufarik 67-74.
COUPE D'ALGÉRIE SENIORS MESSIEURS (QUARTS DE FINALE) Les favoris sur du velours La Coupe d’Algérie aborde, ce vendredi les quarts de finale chez les seniors messieurs. Un tour où les ténors de la balle haute devront assurer. Ce tour dominé par l’affiche POC-MBB, programmée à la salle OMS de Douéra, devrait permettre aux formations de l’élite de passer sans encombre aux demi-finales. En somme, l’intérêt de ces demi-finales réside dans la découverte que feront les puristes invités à suivre l’évolution des équipes comme l’IB Metlili-Chaâmba, le MCB Laghouat ou encore l’OMK Milia.
Start Vendredi 15 mars A Douéra (15h30) : PO Chlef-MB Béjaïa A Djelfa (10h30) : IB Metlili-Chaamba-NRBB Arréridj A Boussaâda (15h) : MCB Laghouat-ES Sétif A Béjaïa (15h) : OMK Milia-GS Pétroliers.
Par Kader Bakou Nous sommes ce que nous aimons ! Cliquer sur «like » (j’aime) sur facebook, un geste anondin, mais qui révèle notre personnalité. Des chercheurs de l’université de Cambridge et de Microsoft Research, l’expliquent dans la revue Proceedings of the national Academy of Science. L'équipe a collecté des données provenant des «likes» d'utilisateurs de Facebook et ont pu déterminer le sexe, le groupe ethnique, les opinions politiques et les croyances religieuses des intéressés avec un taux de réussite supérieur à 80%. Ce n’est pas du jeu ! Par exemple, le modèle a pu correctement identifier les Afro-Américains et les Américains caucasiens, dans 95% des cas. Les opinions politiques (démocrate ou républicain) ont pu être exactement déduits, avec un taux de réussite de 85%. Les traits de personnalité sont prédictibles avec la même marge d'erreur que celle des tests classiques de personnalité. Enfin, les chercheurs sont parvenus à identifier assez fréquemment les enfants de divorcés, les personnes qui se droguent et tant d’autres «détails» privés. Ce n’est pas encore Big Brother, car ces données ont été récupérées grâce à l'application MyPersonality (ma personnalité) qui permet aux utilisateurs d'effectuer des tests psychométriques et aux chercheurs de collecter ces données pour les étudier, avec l'accord explicite des intéressés. «Les mêmes informations pourraient être obtenues en utilisant d'autres données numériques des moteurs de recherche, des courriers électroniques et à partir aussi de téléphones portables», font, en outre, remarquer les chercheurs. Restons candides et pensons que ceci ne servira qu’au ciblage des internautes par les marketeurs et les publicitaires. Par ailleurs, le «j’aime» sur Facebook ne reflète pas toujours nos opinions politiques et autres. Souvent, des gens cliquent sur un «Like » parce que leurs amis (es) l’ont fait ou parce que la photo ou le sujet ont été publiés ou partagés par leurs amis(es). Parfois, on ne lit même pas le texte jusqu’à la fin. Ceci sans parler des «j’aime» par politesse. Enfin, les chercheurs de l’université de Cambridge et de Microsoft Research, eux-mêmes relativisent les résultats et les conclusions auxquels ils sont arrivés. Sommes-nous vraiment ce que nous «aimons» ? K. B. bakoukader@yahoo.fr
Un leader de la contestation au sud du pays qui s’appelle…
… Bel Abbès ? Ça sent la manipulation à plein nez !
Peut-on continuer de gérer un pays avec un extincteur ? Si oui, transférons immédiatement la présidence de la République au siège de la Direction générale de la Protection civile et intronisons tout de suite Monsieur Lehbiri chef de l’Etat, sans élection et sans perte de temps. Parce que très honnêtement, en faisant beaucoup d’efforts pour rester le plus neutre possible, je ne vois pas de différence notable entre le châtelain et ses services annexes et une compagnie de pompiers sur la brèche. Quoique ! En me grattant un peu le menton, en triturant ma barbichette, si ! Oui ! A la réflexion, si ! Il existe tout de même une différence de taille, laquelle si je n’en faisais pas cas ici porterait injustement préjudice à la Protection civile algérienne et au métier de pompier à travers le monde. Un cliché tenace réduit le métier de pompier à celui qui intervient pour éteindre un feu, sauver des vies une fois un incident survenu. C’est une approche qui date furieusement. C’est une vision éculée du job ! En vérité, ce métier a évolué grandement. Et tous les pompiers en exercice en Algérie pourront vous le confirmer, leur mission n’est pas que réactive, elle a aussi pris au fil des ans une dimension préventive. Ainsi, les débroussaillages, les traçages et retraçages des lignes de servitude et coupe-feu dans les massifs et forêts, les rappels à ramonage des cheminées, les élagages d’arbres potentiellement dangereux ou encore les vérifications systématiques de la conformité des édifices aux normes d’évacuation, tout cela concourt à retarder au maximum le recours ultime aux extincteurs. L’extincteur ne doit être que le dernier maillon en bout de chaîne, quand tous les autres moyens ont été épuisés. Tout le contraire du mauvais pompier, du piètre pompier qui dirige la caserne d’El Mouradia. Lui ne jure que par l’extincteur. Lui ne dégaine que la bombonne rouge, ne sait que la dégoupiller pour asperger tout ce qui bouge de subventions, d’aides urgentes à l’emploi et de promesses ruisselantes et à la mousse frelatée, périmée. Du coup, si ce n’est que cela la gouvernance, je trouve, d’abord, que nos responsables, ministres et autres gros pontes devraient tomber le costume et endosser la tenue ignifugée. Et ensuite, je propose d’ériger l’extincteur en totem national, en emblème de tous nos ratages. Pschitt ! Pschitt ! Pschitt ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue. H. L.