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Les partis de l’opposition, même s’ils réafirment qu’un quatrième mandat pour Bouteflika serait de trop pour le pays, ne montrent pas des signes d’adhésion à l’initiative de Mechati, Benbitour et Soufiane Djilali.
L'ONU devrait adopter en Assemblée un traité sur les ventes d'armes
le 02.04.13 | 07h14
L'Assemblée générale de l'ONU devrait adopter mardi le texte d'un traité...
L'Assemblée générale de l'ONU devrait adopter mardi le texte d'un traité réglementant le commerce international des armes classiques, sur lequel les 193 pays membres avaient échoué à se mettre d'accord par consensus jeudi dernier, selon des diplomates. A l'issue de dix jours de négociations à New York, l'Iran, la Syrie et le Corée du Nord avaient bloqué ce texte jeudi, malgré un soutien massif en faveur du traité de la part des Occidentaux et des pays africains et latino-américains.
Synthèse de Abdelkrim GhezaliLe ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci a affirmé, hier lors de son passage à la Chaîne III, que l’UMA est dans ...
L’affaire Khalifa Bank sera rejugée en appel aujourd’hui au tribunal criminel près la Cour de Blida. Il aura fallu six années pour que la Cour suprême statue sur les pourvois en cassation du procureur général et ceux des condamnés. Ce procès est programmé suite au prolongement de la première session ordinaire de l’année 2013 du tribunal criminel de Blida, dont la durée a été prorogée sur décision du procureur général, Boumediene Bacha, après l’approbation par la Cour suprême, le 19 janvier 2011, des pourvois en cassation introduits par la défense et par le ministère public....
Le Conseil national interprofessionnel de la filière pomme de terre (Cnifpt), a été installé hier, lors d’une rencontre tenue à l’hôtel Sheraton, club des pins. ...
Par Samir Ould AliA lire la Citoyenneté en question (Algérie), le dernier ouvrage du professeur de sociologie à l’Université d’Oran, Mohamed Mebtoul, on comprend pourquoi ...
Par Algérie presse serviceLe mythique bateau «Baba Aroudj» trônant dans le centre de Jijel a été déboulonné, dimanche après-midi, pour être placé dans un atelier d’entretien...
Un projet de médiation familiale est en cours en Algérie, initié par le ministère de la Solidarité nationale et de la Famille. Officiellement, il sera lancé au cours de cette année 2013....
Le président sahraoui, M. Mohamed Abdelaziz, a dénoncé les abus et autres dépassements dont ont été victimes les femmes de son pays, alors qu’elles manifestaient pacifiquement....
Les travailleurs communaux de la wilaya d’Alger ont repris, hier, leur travail après huit jours de grève. La première grève des sections syndicales de l’Ugta depuis 29 ans....
Le procès en appel de l’affaire Khalifa Bank s’ouvre ce matin
Un jugement dans un contexte politique de lutte contre la corruption
01-04-2013
Photo : S. Zoheir
Par Amine Echikr
L’affaire Khalifa Bank sera rejugée en appel aujourd’hui au tribunal criminel près la Cour de Blida. Il aura fallu six années pour que la Cour suprême statue sur les pourvois en cassation du procureur général et ceux des condamnés.
Ce procès est programmé suite au prolongement de la première session ordinaire de l’année 2013 du tribunal criminel de Blida, dont la durée a été prorogée sur décision du procureur général, Boumediene Bacha, après l’approbation par la Cour suprême, le 19 janvier 2011, des pourvois en cassation introduits par la défense et par le ministère public.
L’ouverture du procès en appel se fera dans un contexte marqué par des discours de lutte contre la corruption tenus par les plus hautes autorités du pays. Les affaires Sonatrach et SNC Lavalin ainsi que les personnalités supposées être impliquées font de la lutte contre la corruption une exigence politique et une demande très forte de l’opinion publique. Il survient également au moment où le bureau du procureur d’Alger a été visité et des informations ainsi que des preuves auraient été dérobées. C’est dans ce contexte assez tendu que les juges en charge de cette affaire délicate devront statuer. Ainsi ce n’est pas moins de soixante-quinze accusés et quelque trois cents témoins qui se présenteront à la barre.
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UNE NOUVELLE PHASE D’INSTRUCTION OUVERTE CE DIMANCHE Vers une affaire Sonatrach III ?
Le magistrat instructeur du Pôle judiciaire spécialisé du tribunal de Sidi M’hamed a commencé, dimanche, à auditionner plusieurs personnes dans le cadre d’une nouvelle affaire en relation avec la compagnie pétrolière nationale. Selon des sources proches de cette juridiction, cette phase aurait débuté dimanche avec l’audition d’un ex-vice-président de la Sonatrach qui était ...Suite
Plusieurs personnes ont été convoquées, depuis dimanche, par le juge d’instruction du Pôle judiciaire spécialisé du tribunal de Sidi M’hamed. La justice semble s’engager vers l’ouverture d’une affaire «Sonatrach III». Tarek Hafid - Alger (Le Soir) - Le magistrat instructeur du Pôle judiciaire spécialisé du tribunal de Sidi M’hamed a commencé, dimanche, à auditionner plusieurs personnes dans le cadre d’une nouvelle affaire en relation avec la compagnie pétrolière nationale. Selon des sources proches de cette juridiction, cette phase aurait débuté dimanche avec l’audition d’un ex-vice-président de la Sonatrach qui était accompagné d’un membre de sa famille. Hier, lundi, c’était au tour de Abdelmadjid Attar, ancien président- directeur général du groupe durant les années 1990, à s’être présenté au tribunal de Sidi M’hamed. Abdelmadjid Attar a été aperçu au moment où il faisait son entrée dans le siège du tribunal. Rappelons qu’au courant de la semaine écoulée, son bureau avait été perquisitionné par les services de sécurité. «D’autres personnes devraient être auditionnées dans le cadre de cette affaire. C’est notamment le cas de Nouria Meliani, architecte et directrice d’un bureau d’études. Proche de Réda Hemche, elle a déjà été placée sous contrôle judiciaire dans le cadre de marchés de gré à gré. Nouredine Cherouati, ex-Pdg de la Sonatrach, ainsi qu’un membre de sa famille sont également concernés», notent nos sources. Pour l’heure, il y a très peu d’informations au sujet de ce dossier. Pour certains, il est fort possible que ce soit une affaire «Sonatrach III». En fait, la procédure engagée par le magistrat instructeur du Pôle spécialisé du tribunal de Sidi M’hamed paraît totalement différente des précédentes affaires. En plus de hauts cadres ayant occupé des postes sensibles dans la hiérarchie du groupe national d’hydrocarbures, la justice s’intéresse également à certains de leurs proches. «Pour l’heure, le juge d’instruction n’a encore rien décidé au sujet des qualifications et des statuts juridiques des personnes convoquées», assurent par ailleurs nos sources. De nouvelles informations au sujet de cette nouvelle affaire pourraient être rendues publiques prochainement par le parquet de la cour d’Alger. Au courant du mois de février dernier, le procureur général Belkacem Zeghmati avait annoncé par voie de presse «l’élargissement du champ des investigations» dans le cadre de l’affaire «Sonatrach II». T. H.
Le procès des deux présumés terroristes impliqués dans l’assassinat de 500 personnes, ouvert hier au tribunal criminel d’Alger, a été reporté pour la quatrième fois. L’audience aura lieu le 5 mai prochain. Rym Nasri - Alger (Le Soir) - L'affaire de deux présumés terroristes impliqués dans l'assassinat de plus de 500 personnes a suscité beaucoup de curiosité de l'assistance. La salle était pleine à craquer. Dans le box des accusés, les deux présumés coupables, K. Djillali et A. Ali, la trentaine, scrutent l’assistance des yeux. Le premier à être interrogé par le juge, A. Ali, demande le renvoi du procès. Il indique qu’il refuse l’avocat qui lui a été désigné d’office. «Je n’ai pas besoin qu’on me désigne un avocat. D’ailleurs, il n’est venu me voir en prison qu’une seule fois. J’ai ma famille et je veux prendre un avocat tout seul», dira-t-il. Et au juge de répondre : «Cela fait une année, nous sommes à la 4e audience et vous n’avez pas cherché à prendre un avocat. Ce n’est qu’une manœuvre pour ne pas être jugé». «Accordez-moi encore un peu de temps, monsieur le président, ce n’est pas une affaire de trois ou quatre ans de prison, c’est une affaire de condamnation à mort», lance l’accusé. «Une année ne vous a pas suffi !», répond le juge. D’ailleurs, poursuit-il, «où est-elle votre famille ? Il n’y a personne, elle vous a délaissé ». L’accusé a alors fait comprendre qu’il refusait de répondre, «je ne veux pas que vous me jugiez», rétorque-t-il avec arrogance au président du tribunal. «Je ne suis pas Khalifa ni Abderrahmane Achour, Je suis un fils du peuple, un fils des pauvres. Tout le dossier est falsifié et les documents sont faux. Je suis innocent et n’ai commis aucun des faits retenus contre moi», dit-il. Le juge l’interrompt et lui demande de se taire, «n’évoque pas ces personnes, elles ne sont pas à ta portée». Se retournant vers les avocats présents dans la salle, il s’interroge «Il refuse l’avocat désigné d’office et ne veut pas prendre un avocat à titre personnel. Que voulez-vous qu’on fasse ? Qu’on le juge sans défense ? Non, c’est contraire à la procédure». Quant au deuxième accusé, K. Djillali, affirme son accord d’être défendu par l’avocat désigné d'office par le ministère public. L’avocat de la défense a, pour sa part, demandé au parquet de lui faciliter la tâche en lui permettant de récupérer les jugements de la cour de Chlef dans de brefs délais. C’est ainsi que le juge a décidé de renvoyer le procès au 5 mai prochain. Impliqués dans l'assassinat de plus de 500 personnes entre les années 1996 et 2004, les deux présumés terroristes auraient, selon une source judiciaire, tué des civils et des militaires, et violé et égorgé plus de 60 femmes dans les régions de Boumerdès, Médéa, Khemis, Tiaret, Chlef, Relizane et Blida. R. N.
Entre amélioration de la semence, consolidation des structures de la pyramide de production, modernisation des cultures, extension de la superficie exploitée et rénovation et, création de nouvelles chambres froides de stockage et de distribution, le Conseil national interprofessionnel de la filière pomme de terre lance un plan Marshall à concrétiser dans l’avenir immédiat.
Mehdi Mehenni - Alger (Le Soir) - Le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa, a procédé hier lundi, à l’installation officielle du Conseil national interprofessionnel de la filière pomme de terre (CNIFPT). Après un processus de structuration et de coordination au niveau local qui a duré une année, la filière a élu le président de son conseil national, en l’occurrence Bachir Sraoui. Dans son intervention, Rachid Benaïssa a souligné que le CNIFPT qui «est constitué de l’ensemble des professionnels de la filière pomme de terre (producteurs, transformateurs, stockeurs…) fait office d’un espace de coordination, de dialogue et de concertation et, vise à professionnaliser davantage la filière et à consolider la dynamique enclenchée depuis la mise en œuvre de la politique de renouveau agricole et rural». De son côté, le président du conseil national interprofessionnel de la filière pomme de terre, a annoncé le programme tracé à court terme. Il s’agit, en effet, de l’amélioration de la production nationale de la semence en matière de quantité et de qualité, la consolidation des structures de la pyramide de production, la révision du dispositif de régulation du Syrpalac et la modernisation des techniques et outils de culture pour notamment, la plantation et l’arrachage. Ce dernier a aussi fait savoir que le conseil ambitionne l’extension de la superficie exploitée, à travers la recherche de nouvelles zones de production dans les Hauts-Plateaux et le Sud. C’est d’ailleurs, dans ce sens, que le ministre a suggéré aux membres du conseil, lors de la rencontre, de tenter l’expérience à Tamanrasset, qui a déjà connu quelques réussites dans la production de la pomme de terre. «Nous avons connu quelques exploits de production de la pomme de terre dans le Sud durant ces dernières années, et l’élargissement de la production dans ces régions est donc très possible et permettra du moins, une autosuffisance locale», a-t-il signifié. 1 million de mètres cubes de chambres de stockage à l’échelle 2014 Le ministre de l’Agriculture a fait savoir, par ailleurs, que dans le cadre du programme tracé par la Société de gestion des participations des productions animales (SGP Proda), sa filiale Frigomed a rénové depuis 2010, pas moins de 100 000 m3 de ses propres chambres froides de stockage et 200 000 autres m3 appartenant à d’autres propriétaires. Le ministre qui a annoncé une plateforme de logistique pour la réalisation de 11 nouvelles chambres froides dans les grandes villes, a fait savoir que six unités seront bientôt réceptionnées dont trois au sud du pays. Benaïssa a aussi déclaré que des travaux de réalisation de 29 chambres de distribution seront bientôt entamés, précisant que son secteur ambitionne d’atteindre un million de mètres cubes de chambres froides de stochage et de distribution d’ici 2014. Des appels d’offres seront immédiatement lancés, toujours selon le ministre. M. M.
Le recours au mode de la concession pour la gestion des déchets dans la capitale n’est pas écarté. C’est ce que la secrétaire d’Etat chargée de l’environnement, invitée hier du Forum du quotidien Liberté , a laissé entendre, dans le contexte de la récente grève des agents communaux à Alger. Chérif Bennaceur - Alger (Le Soir) - Tout en comprenant les motivations socioprofessionnelles et salariales de la grève, Mme Dalila Boudjemaâ estime, cependant, que ces revendications font l’objet de négociations. Pour autant, et dans la mesure où la gestion des déchets relève de la responsabilité des APC, Mme Boudjemaâ estime que la commune se retrouve «dépassée», contrainte notamment en termes financiers. En ce sens, l’invitée de Liberté a relevé 30% seulement de taux de recouvrement au niveau communal des taxes d’enlèvement des ordures ménagères (500 à 1 000 DA/ménage/ an), avec un déficit de 3 000 DA/ménage/an. Certes, la grève n’a pas eu d’impact grave puisque «heureusement» l’entreprise Netcom, un établissement public sous tutelle de la Wilaya d’Alger et qui compte un effectif de 3 000 agents, a pu intervenir pour la collecte des déchets et que le service minimum a été assuré. Néanmoins, la secrétaire d’Etat considère de facto que l’entreprise Netcom est appelée à assurer une gestion des déchets de manière «sérieuse», davantage professionnalisée et répondant aux normes internationales. Voire, la nécessité de «filialiser » cette profession, de la restructurer s’impose selon la secrétaire d’Etat qui indique que des réunions se tiendront les prochains jours entre les cadres de son département et des représentants des collectivités locales en vue de maturer «une feuille de route» en matière de gestion des déchets urbains. Estimant que l’«idéal» serait de permettre à une entreprise privée d’apporter son savoir-faire, Dalila Boudjemaâ indique que ces réunions devraient toutefois étudier les différentes alternatives potentielles (création d’une société par actions, gestion déléguée…), déterminer leurs coûts et leurs modalités. Il s’agit, selon elle, de réfléchir «au cas par cas», sans focaliser sur un mode précis mais sans toutefois rejeter tacitement le mode de la concession, adopté par ailleurs pour la distribution de l’eau et l’assainissement. La décharge d’Ouled Fayet réhabilitée fin 2013 Auparavant, la secrétaire d’Etat l’environnement avait longuement explicité la stratégie développée par son département en matière de gestion et valorisation des différents types de déchets. Dans ce cadre, Dalila Boudjemaâ a assuré que la décharge d’Ouled Fayet ouest d’Alger) sera définitivement réhabilitée» et fermée d’ici la fin 2013. Certes, le dépôt d’ordures s’y poursuivra encore mais de manière limitée, en attendant que le centre d’enfouissement technique de Hamici (Zeralda), d’une capacité de 10 millions de tonnes et au fonctionnement moderne, soit opérationnel. «Nous veillerons à ce que les travaux avancent», relève la secrétaire d’Etat même si elle précise que son département ministériel ne «gère» pas les CET dont l’administration est dorénavant dévolue à des Epic de wilaya. Par ailleurs, Dalila Boudjemaâ avait estimé que le développement du tri et de la valorisation des déchets représente un potentiel de 760 000 tonnes par an de matières recyclables et un marché de 3,5 milliards de dinars par an. Tout en indiquant que son département œuvre à développer ce segment industriel, l’hôte de Libertéa relevé que l’engouement des investisseurs est assez manifeste. Et cela, même si des projets privés se retrouvent bloqués au niveau de certaines collectivités locales ou mal maturés. En ce sens, la secrétaire d’Etat relève la nécessité de revoir la nomenclature des projets régis par le dispositif Ansej, sur la base de leur rentabilité environnementale et d’un maillage optimal. Par ailleurs, Dalila Boudjemaâ a indiqué que son département est «conscient» des risques d’ordre environnemental, découlant de l’utilisation de la technique de la fracturation hydraulique pour l’exploration des gaz non conventionnels. Selon elle, des techniques alternatives peuvent être développées même si le développement des gaz de schiste et autre n’est envisageable que sur le moyen et long terme. C. B.
La 25e journée du championnat de Ligue 1 se déroulera en deux parties, la première aura lieu le samedi 6 avril et la seconde le mardi 16 avril. Cette programmation est imposée par les engagements des clubs algériens sur le plan international, précise-t-on. Trois clubs algériens, l'ES Sétif et la JSM Béjaïa sont engagés en Ligue des champions d'Afrique, et l'USM Alger en coupe de l'UAFA et en Coupe de la Confédération africaine.
Le championnat national de lutte catégorie cadets qui s’est déroulé dans la wilaya de Bordj-Bou-Arréridj a connu une grande réussite, le niveau de ce tournois fut aussi d’un niveau appréciable, et ce, grâce à une grande participation, avec 230 athlètes issus de 13 ligues de wilaya. Fidèle à sa réputation, l’ASSN a été représentée par 3 athlètes qui se sont distingués de fort belle manière dans la spécialité lutte gréco-romaine et lutte libre. C’est ainsi que la Sûreté nationale a pu empocher deux médailles en or et en bronze. Très satisfait de la participation de ses athlètes, le DTS Merzak B. estime que la catégorie des cadets de l’ASSN est un véritable réservoir pour l’EN. M. M.
Par Kader Bakou Inspirée par les travaux de l’économiste britannique Thomas Malthus (1766-1834), le malthusianisme est une doctrine ou une politique prônant la restriction démographique. En effet, dans son Essai sur le principe de population(1798) Malthus constate : «La population croît en progression géométrique (1, 2, 4, 8, etc.) et double ainsi tous les vingt-cinq ans, alors que la production des subsistances nécessaires à l'alimentation humaine n'augmente qu'en progression arithmétique (1, 2, 3, 4, etc.).» Il considère donc l'augmentation de la population comme un danger pour la survie de l’humanité et préconise la réduction (volontaire) du taux de natalité (par le mariage tardif, notamment). Si nous supposons que la «théorie du complot» est vraie, ce qui se passe depuis de nombreuses années dans le «monde» arabo-musulman ne serait-il pas une mise en application d’une forme débridée du malthusianisme ? On comprendra alors pourquoi l’Occident arme des Arabes et des musulmans pour aller combattre d’autres Arabes et d’autres musulmans. En biologie, la sélection naturelle est un mécanisme qui explique l’adaptation des espèces aux milieux au fil des générations et du temps. Cette théorie permet d’expliquer et de comprendre comment l’environnement influe sur l’évolution des espèces et des populations, en sélectionnant les individus les plus adaptés. En résumé, la sélection naturelle est le fait que les traits qui favorisent la survie voient leur fréquence s'accroître d'une génération à l'autre. Chez les êtres humains, la «sélection naturelle», c’est d’arriver, à titre individuel et collectif, à vivre en harmonie et en bonne intelligence avec l’environnement (la nature) et avec les autres peuples et ethnies. Et si nous regardions les événements et la violence qui fait rage dans le «monde» arabo-musulmans, du point de vue de la sélection naturelle ? Dans ce cas, on en confluerait que les Arabo-musulmans, qui n’ont pas su s’adapter à la vie, sont constamment en conflit avec autrui (quand ils ne se battent pas entre eux). Toujours du point de vue de la sélection naturelle, c’est une espèce qui va vers son extinction... K. B. bakoukader@yahoo.fr
Le bureau de wilaya de Constantine de la Fédération nationale des travailleurs retraités (FNTR) s’est réuni le 10 mars dernier à l’effet de relancer la mobilisation pour la satisfaction de leurs revendications, notamment la revalorisation 2013 des pensions. Le secrétaire général de ce bureau a déclaré à cette occasion : «Nous comptons, au niveau de la wilaya, plus de 87 000 retraités et seulement 8 000 adhérents à la FNTR. Il s’agit, parallèlement, de sensibiliser les retraités à adhérer en masse à leur organisation. Et cela leur permettra d’activer dans un cadre pour s’organiser et constituer une force de proposition pour faire entendre leurs voix, défendre leurs droits et donner du poids à leurs revendications.» Les retraités de Constantine demandent une revalorisation des pensions de retraite à hauteur de 20%, et ce, à compter de mai 2013.
Pension de retraite et calculs de la CNR Mon père est retraité depuis octobre 2008. Il avait 16 ans de cotisations auprès de la Cnas, il a toujours bénéficié des revalorisations de sa pension (5%, 7%, 75% SNMG...) jusqu’à 2012 où il bénéficié de la décision du gouvernement (Conseil des ministres du 18 décembre 2011) de revaloriser les pensions de retraites des salariés et non-salariés, et de relever à 15 000 DA toutes les pensions et allocations de retraites inférieures à ce montant. Mais n’a pas bénéficié de l’autre revalorisation de 9% (arrêté ministériel du 18 juillet 2012). Maintenant il perçoit 15 524,35DA (augmentation de 3,5%, et non pas de 9%) : normalement d’après mes calculs cela devrait être 16 350 DA. Berrouba Abdelkader
Dernière minute ! Chakib Khelil frappé d'une ISTN ! Une interdiction de sortie du territoire…
… Nord-américain
On l'appelle déjà «scandale de l'affaire Sonatrach 3» ! Eh oui, ça va vite dans l'addition des scandales Sonatrach. Nous en sommes donc au volet trois de la saga. Avec une seule question posée dans ce troisième épisode : à qui incombe la faute d'avoir laissé s'envoler Super Chakib d'un aéroport algérien vers l'étranger ? Tous les regards sont tournés en ce moment vers les services en charge de l'ordre et de la sécurité dans cette aérogare. Trop facile ! Car avant les policiers, il serait peut-être bon de voir du côté du chauffeur ayant amené Super Chakib à l'aéroport. Même si, là aussi, la cible est trop évidente. Car certains n'hésitent pas à pointer du doigt l'agent de la compagnie aérienne qui a délivré le billet d'avion à Super Chakib. C'est une piste, mais elle ne mérite d'être réellement creusée que si le juge d'instruction découvre que Khelil n'a pris qu'un aller simple, sans retour. D'autres personnes estiment qu'il faut convoquer le guichetier de la banque de Super Khelil qui a accepté que ce dernier retire de l'argent pour payer son billet d'avion. Même si d'autres affirment que Super Chakib a retiré des espèces à un DAB, un distributeur automatique. Auquel cas, c'est le responsable de la monétique à l'ouest du pays qui doit répondre de son acte, il aurait dû anticiper et mettre tout le réseau en HS, en hors service. Quand bien même la monétique et les distributeurs auraient une grande part de responsabilité dans cette affaire Sonatrach 3, ne devrait-on pas nous montrer prudents et chercher les coupables de cette évasion ailleurs ? Dans cet ordre d'idées, je ne comprends pas que le buraliste et l'opérateur téléphonique auquel est abonné Super Chakib ne soient pas entendus par le juge. Le buraliste pour avoir vendu les journaux dans lesquels depuis des semaines, voire des mois les plumitifs crient de toute leur encre que Khelil va tomber incessamment sous peu. Et l'opérateur qui a permis au même personnage de recevoir le «fameux» coup de fil lui ordonnant de décamper au plus vite. Mais alors, si le buraliste et l'opérateur téléphonique passent tous deux aux aveux, nous pourrons alors en conclure que l'affaire Sonatrach est quasiment close. Les journaux ayant traité du cas Khelil seront fermés. Et l'opérateur téléphonique verra sa licence 3G bloquée. C'est ce que j'appelle une affaire rondement menée. Ah ! J'aime quand les gros bonnets tombent enfin ! Les gros bonnets en laine acrylique, bien sûr ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue. H. L.