En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer des services et offres adaptés à vos centres d'intéréts.
La Corée du Nord met en garde les ambassades, installe deux missiles sur sa côte est
le 05.04.13 | 14h22 | mis à jour le 05.04.13 | 21h49
La Corée du Nord, qui a installé un deuxième missile de moyenne portée sur sa...
La Corée du Nord, qui a installé un deuxième missile de moyenne portée sur sa côte est, alimentant les craintes d'un tir imminent, a averti vendredi qu'elle ne pouvait garantir la sécurité des missions diplomatiques à Pyongyang à compter du 10 avril en cas de conflit. "Le discours du gouvernement nord-coréen est de dire qu'à partir du 10 avril, il sera incapable de garantir la sécurité des ambassades et des organisations internationales dans le pays dans l'éventualité d'un conflit", a déclaré à l'AFP une porte-parole du ministère britannique des Affaires étrangères.
Vers la peine de mort pour les meurtriers d’enfants
Enlèvements, torture, viols, assassinats... Le ministère de la Justice, sous la pression sociale, a soumis mercredi au conseil du gouvernement un avant-projet de loi, élaboré en 2006, qui condamne à la peine de mort les assassins d’enfant. Pour l’heure, la proposition ne fait pas l’unanimité.
USMB 6 - CRT 0 : a sens unique L’USM Blida n’a pas trouvé de difficultés pour venir à bout d’une modeste équipe du CR Témouchent...
ESM 3 - ASK 1 : El Haouata enfonce l'ASK Dès l’entame de la partie, les poulains de Redjmi, bien en place sur le terrain, réussissent à surprendre la formation...
Pyongyang veut-il tenter le diable ? Le régime de Kim Jong-un a invité les diplomates occidentaux à quitter le pays avant le 10 avril… Bombe atomique ou...
Ils s’appellent Adrien, Ariane, Yahya, Ksenia, Garance, Wenyan… La soixantaine d’étudiants en première année de l’Ecole supérieure de journalisme de Lille (France) prépare depuis début avril un supplément spécial axé sur des histoires franco-algériennes autour du thème de l’identité, en partenariat avec El Watan Week-end.
Le ministre du Commerce, Mustapha Benbada, est à Genève depuis hier en vue de prendre part au 11e round formel de négociations multilatérales pour l’accession de l’Algérie à l’Organisation mondiale du commerce (OMC). ...
Selon le constat d'un bureau d'études du patronat, une taxe carbone engendrerait une hausse des coûts de production dont les effets récessifs et inflationnistes se feraient sentir au niveau national...
De notre correspondant à ConstantineA. Lemili La solennité des lieux, en l’occurrence la majestueuse salle des réceptions de l’APC, en a rajouté à la gravité et ...
Les exportations algériennes hors hydrocarbures vers les pays de la Grande zone arabe de libre échange (Gzale) ont enregistré, en 2012, une hausse de 21%, alors que les importations ont reculé de 7%, a indiqué, jeudi dernier, l’Agence nationale de promotion du commerce extérieur (Algex)....
Le secrétaire d’Etat chargé du Tourisme a mis l’accent sur le rôle que doivent jouer les autres secteurs d’activité dans le développement du tourisme. ...
Le Groupe pharmaceutique allemand Merck a procédé, mercredi dernier, à l’hôtel Sheraton, Club des Pins, à la signature d’un accord de partenariat avec Novapharm, une entreprise privée opérant depuis plusieurs années dans le domaine des produits pharmaceutiques. ...
Après les câbles de WikiLeaks sur les confidences d’hommes politiques à travers le monde, OffshoreLeaks jette un pavé dans la mare et fait trembler le monde des affaires en révélant leurs combines financières pour échapper au fisc en faisant des placements off shore où des noms de personnalités algériennes figureraient et qui pourraient être révélés dans les prochains jours, alors que l’Algérie vit au rythme des révélation d’affaires de corruption et de malversations....
Le directeur du projet national de déminage, le colonel Hassan Gherabi, a indiqué avant-hier que 159 110 mines antipersonnel ont été détruites depuis l’adhésion de l’Algérie, le 27 novembre 2004, au processus d’Ottawa....
Par Algérie presse serviceLe mensuel Afrique Asie a consacré un dossier spécial à l’Algérie, dans son édition du mois d’avril intitulé «Algérie les grands défis», ...
Le groupe de partis politiques et d’organisations nationales pour la défense de la souveraineté et de la mémoire, a, dans une déclaration, appelé à des solutions concrètes et radicales aux problèmes soulevés par les jeunes lors des manifestations qu’a connues le pays dernièrement, et réitéré son appel à réviser les réformes politiques dans le pays. ...
Un volume global de 286 000 tonnes de déchets a été enlevé à Blida, depuis le lancement de la campagne de réhabilitation de l’environnement et des espaces publics de la wilaya en septembre dernier...
Le retour de la formule location-vente a redonné de l’espoir à beaucoup de citoyens aux revenus moyens qui rêvent d’accéder à un logement. L’Agence nationale de l’amélioration et du développement du logement (Aadl) compte mettre en chantier prochainement un programme global de 230 000 logements. Les projets de construction des premiers logements de ce nouveau programme ont déjà été lancés à la fin du mois de mars dernier....
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a signé six décrets portant ratification de traités et protocoles passés avec des pays étrangers et des organisations...
De notre correspondant à Constantine A. Lemili Est-il est question d’une semonce du wali de Constantine à l’endroit des membres de l’assemblée populaire communale de Constantine, une ...
Evénement mondial, le Startup Weekend est un point d’essor formidable pour de nombreux entrepreneurs et startups pour se trouver une équipe, réunir des compétences clés et… ...
Offshore Leaks fait trembler le monde des affaires
Des personnalitésalgériennes seraient impliquées dans des scandales dans des paradis fiscaux
Par Abdelkrim Ghezali
Après les câbles de WikiLeaks sur les confidences d’hommes politiques à travers le monde, OffshoreLeaks jette un pavé dans la mare et fait trembler le monde des affaires en révélant leurs combines financières pour échapper au fisc en faisant des placements off shore où des noms de personnalités algériennes figureraient et qui pourraient être révélés dans les prochains jours, alors que l’Algérie vit au rythme des révélation d’affaires de corruption et de malversations. Cette bombe a été révélée, jeudi dernier, par le journal britannique The Guardian, ainsi que plusieurs autres journaux dans le monde. Les noms de personnalités et de dirigeants actionnaires de sociétés dans des paradis fiscaux, dont le président d’Azerbaïdjan et un proche du président français, François Hollande. D’après le journal, des documents secrets obtenus par le consortium d’investigation américain (Icij) après une enquête de longue haleine montrent ainsi que trois sociétés auraient été créées en 2008 aux îles Vierges britanniques, un paradis fiscal situé
+++++++++++++
+
CESSION DE DJEZZY ET LANCEMENT DE LA 3G, SELON BENHAMADI Dans moins d’un mois
S’exprimant en marge d’une rencontre d’évaluation organisée par une commission sectorielle de l’Assemblée populaire nationale (APN), Moussa Benhamadi a ainsi déclaré que le lancement de la 3G «se fera juste après l’acquisition de Djezzy par l’Etat, dans deux à trois semaines». Le ministre des TIC a déclaré précisément que «pour préserver les intérêts de l'Etat et parce que Djezzy sera, dans trois semaines au plus tard, une société algérienne à hauteur de 51%, mais aussi pour ne...Suite
Par Maâmar Farah Jeudi, j'ai évoqué l'hypocrisie de tous ces responsables qui ont fait et font de l'arabisation une «tâche sacrée» alors que leurs enfants, étudiant à l'étranger, en sont dispensés. Et le comble de l'hypocrisie est que, s'ils sont intraitables sur l'arabisation, «tâche d'édification nationale» et «élément capital du recouvrement de l'identité nationale», ils parlent seulement le français à la maison ! C'est pour ces raisons, et beaucoup d'autres, que l'arabisation est un échec lamentable, pareil aux autres faillites... La preuve : tous ces jeunes qui s'entassent dans les tribunes pour supporter le Mouloudia, l'Entente ou le Widad n'ont jamais sorti une seule banderole en arabe ! Et l'autre preuve est ce discours qui a fait un buzz sur internet. Celui de M. Sellal à Doha... maamarfarah20@yahoo.fr «A quoi sert un quatrième mandat pour un président qui ne parle qu'une fois l'an, n'assiste plus aux sommets et fait lire ses discours par des responsables et des conseillers ?» (Tata Aldjia)
La téléphonie mobile de 3e génération sera lancée après l’acquisition de Djezzy d’ici deux à trois semaines. C’est la date que le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication a annoncée jeudi dernier. Chérif Bennaceur - Alger (Le Soir) - S’exprimant en marge d’une rencontre d’évaluation organisée par une commission sectorielle de l’Assemblée populaire nationale (APN), Moussa Benhamadi a ainsi déclaré que le lancement de la 3G «se fera juste après l’acquisition de Djezzy par l’Etat, dans deux à trois semaines». Le ministre des TIC a déclaré précisément que «pour préserver les intérêts de l'Etat et parce que Djezzy sera, dans trois semaines au plus tard, une société algérienne à hauteur de 51%, mais aussi pour ne pas priver cet opérateur d'accéder au marché de la téléphonie mobile de troisième génération, nous avons décidé du report du lancement de la 3G». Comment Benhamadi justifie le report A ce propos, le ministre des TIC a reconnu de facto, le retard pris lancer ce service alors qu’il est déjà opérationnel ailleurs, notamment en Afrique. «Nous avons reporté le lancement de la téléphonie mobile de troisième génération et avons attendu plus d'une année, compte tenu de l'importance de l'opération d'acquisition de la société Djezzy pour le secteur et l'économie nationale», dira Moussa Benhamadi. Selon l’hôte de l’APN, le ministère n'était pas en mesure de lancer la 3G en septembre 2011 (date limite fixée précédemment) «pour la simple raison que l'Etat avait décidé d'acquérir, à hauteur de 51%, Djezzy qui compte plus de 16 millions d'abonnés ». En ce sens, il a rappelé que la législation algérienne interdisait à tout opérateur d'accéder au marché de la téléphonie mobile de troisième génération «si ce dernier est en état de mise en vente ou connaît un changement des principaux actionnaires, cas de Djezzy actuellement». Le communiqué de l’ARPT, objectif selon le ministre Toutefois, M. Benhamadi a indiqué que le «processus administratif a été enclenché», en ajoutant que les «dossiers administratifs et techniques concernant le lancement de la 3G ont été élaborés». A ce propos, le ministre des TIC a affiché de la sérénité par rapport au communiqué rendu public, mardi dernier par l’autorité de régulation sectorielle et qui affirmait que l’ARPT n’avait pas encore été saisie sur ce dossier, évoquant tacitement une précipitation ministérielle dans cette affaire. Il s’agit d’une «démarche objective qui rappelle les procédures administratives permettant l'ouverture de cette nouvelle technologie en Algérie», observe Moussa Benhamadi, cherchant certainement à clarifier le rapport avec l’Autorité sectorielle. L’ARPT en attente de saisine Dans un communiqué, celle-ci précisait en effet, qu’elle attendait d’être saisie «officiellement» par le ministère de la Poste et des TIC sur ce dossier. Il «reste maintenant, aux fins de respecter la procédure écrite et formelle édictée par les textes de loi (loi n° 2000- 03 du 5 août 2000 fixant les règles relatives à la poste et aux télécommunications et décret n° 01-124 du 9 mai 2001 relatif à procédure applicable à l’octroi de licences de télécommunications), poursuivre le processus qui consiste à ce que l’ARPT soit saisie officiellement aux fins de consultation, par ministre en charge des télécommunications, conformément aux textes sus-évoqués, du projet définitif de dossier d’appel à la concurrence». Ajoutant de la confusion au débat, l’ARPT indique en outre, dans son communiqué que les travaux menés jusqu’ici sur le dossier 3G «l’ont été dans le cadre d’un groupe de travail mixte informel MPTIC/ARPT au sein duquel les propositions émanant de chacune des parties ont été discutées». L’Autorité explique les procédures à respecter «Selon ces textes, le ministre en charge des télécommunications élabore le dossier d’appel à la concurrence comprenant l’appel à la concurrence, le règlement d’appel à la concurrence et le cahier des charges», relève l’autorité de régulation, qui explique qu’une fois élaboré, ce dossier est transmis formellement selon une procédure écrite, à l’autorité de régulation aux fins de consultations. Celle-ci (ARPT) émet un avis sous forme écrite et le transmet au ministre en charge des télécommunications qui peut ou non tenir compte dudit avis. L’ARPT précise que le ministre en charge des télécommunications «décide alors de lancer l’appel d’offres, en transmettant à l’autorité de régulation le dossier définitif d’appel à la concurrence lequel comprend, pour rappel, l’avis d’appel à la concurrence, le règlement d’appel à la concurrence et le cahier des charges». «L’autorité de régulation lance, alors, officiellement pour le compte du gouvernement l’appel d’offres, qui, au travers d’un calendrier précis qu’elle décide, aboutit au choix du ou des candidats», ajoute le communiqué. La cession de Djezzy finalisée ? En avançant ainsi une date pour le lancement, Moussa Benhamadi entend prouver le sérieux de son département et démontrer qu’il assume ses responsabilités, ce que les précisions de l’ARPT ont semblé pourtant remettre en cause. Par ailleurs, les propos du ministre des TIC laissent entendre que la cession de Djezzy à l’Etat algérien a été enfin finalisée et qu’elle sera effective d’ici deux à trois semaines. En d’autres termes, Orascom Télécom Algérie sera détenue au moins à 51% par l’Etat algérien même si le montant de la transaction ainsi que les modalités juridiques de cession restent à connaître. Voire, les difficultés subies par l’opérateur en matière de commerce extérieur ont été donc surmontées, permettant Djezzy d’être prêt techniquement au développement de la 3G. Certes, des informations ont circulé récemment sur l’aboutissement des négociations enclenchées depuis plus d’une année entre le ministère des Finances et la société russe Vimpelcom, propriétaire de Djezzy. Toutefois, aucune réaction officielle n’avait encore émané de la partie algérienne. En avançant un calendrier, le ministre des TIC a-t-il anticipé sur l’annonce de la date de cession de Djezzy — une question sur laquelle ministère des Finances est censé être le seul habilité à se prononcer — ou a-t-il été en ce sens mandaté ? La question mérite réponse. C. B.
De notre bureau de Bruxelles, Aziouz Mokhtari Chakib Khelil, l’infante d’Espagne, Cahuzac, Sarkozy, Bettencourt, Lagarde, Tapie, Berlusconi, etc., sera-ce la naissance d’une internationale de la justice ?
Le classico MC Alger-JS Kabylie constitue l'affiche phare de la vingt-cinquième journée du championnat d'Algérie de Ligue 1 professionnelle, qui sera amputée du match du leader, l'ES Sétif, face au CR Belouizdad, tandis que le dauphin, l'USM El Harrach, effectuera un périlleux déplacement à Oran pour croiser le fer avec le MC Oran qui joue sa survie.
Le Mouloudia d'Alger, qui reste sur une belle série de victoires en championnat, tout auréolé d'une qualification pour les demi-finales de la Coupe d'Algérie, décrochée haut la main face au CS Constantine (3- 0), accueillera la JS Kabylie avec l'objectif de consolider sa troisième place ou de déloger l'USM El Harrach. Les hommes de Djamel Menad sont décidés à engranger les trois points de la victoire pour rester dans le sillage des deux premiers, d'autant que les joueurs visent la seconde place, synonyme d'un participation à la Ligue des champions la saison prochaine. Pour le néo-International A', Mehdi Kacem, la rencontre d’aujourd’hui au stade 5-Juillet est une «bonne occasion» pour confirmer la bonne forme affichée par le club depuis plusieurs semaines. «Le MCA est en meilleure position par rapport à la JS Kabylie qui n'a pas d'objectifs en cette fin de saison. Cependant, il faut aborder ce match avec la ferme détermination de le gagner et poursuivre la route vers une qualification pour la Ligue des champions, surtout que le second, l'USMH, se déplace à Oran. Il ne faut pas rater cette occasion en or pour prendre la deuxième place», a indiqué Kacem Mehdi. De son côté, la JS Kabylie, qui est en train de réaliser une saison très moyenne, espère bien réussir une performance face à son rival de toujours, le MC Alger, pour se relancer dans la course pour une compétition africaine ou arabe. Pour l'entraîneur Nasser Sandjak, son équipe s'est bien préparée pour le classico et jouera pour la victoire. «Tous les joueurs sont concentrés sur cette rencontre. Nous sommes en train de mettre en place la stratégie adéquate pour passer l'écueil du MC Alger. Certes, le match s'annonce difficile mais nous sommes décidés à nous imposer et je pense que nous avons les moyens d’atteindre cet objectif», a déclaré Sandjak. L'autre affiche de cette journée verra le dauphin du leader, l'USM El Harrach, se rendre à Oran pour affronter le MC Oran dans une confrontation qui promet beaucoup. Les Harrachis sont conscients qu'un faux pas face aux Hamraoua conjugué à une victoire du MC Alger contre la JSK, et le club se retrouvera à la troisième place. En prévision de ce difficile déplacement, les partenaires de Azzedine Doukha ont disputé et perdu un match amical face au leader de la Ligue 2, le RC Arbâa (3-2). Une défaite qui est loin d'entamer le moral des protégés de Boualem Charef. Pour le buteur Al Amali, «ce n'est qu'un match amical». «Il faut retenir les leçons et essayer de montrer un meilleur visage face au MC Oran. Ce sera un match très difficile contre un adversaire qui joue pour le maintien. Notre objectif est de revenir avec un résultat positif d'Oran», a-t-il déclaré. Quant au MC Oran, qui demeure sur une éclatante qualification contre le WA Tlemcen (3-1) en Coupe d'Algérie, est condamné à s'imposer pour s'éloigner de la zone rouge. De son côté, le CS Constantine, qui a vécu une semaine difficile après son élimination de la Coupe d'Algérie, tentera de renouer avec le succès à l'occasion de la réception du CA Bordj Bou Arréridj pour rester dans le groupe de tête et espérer décrocher une participation à une compétition arabe l'an prochain. Au bas du classement, le WA Tlemcen et l'USM Bel Abbès sont dos au mur et se doivent de réagir pour espérer sauver leur peau. Les Zianides se rendront Béchar pour affronter la JS Saoura, intraitable à domicile, l'USMBA accueillera le MC El- Eulma qui n'a pas encore assuré son maintien.
En prévision du Mondial 2013 de leur catégorie, prévu du 14 au 28 juillet en Bosnie-Herzégovine, notre équipe nationale des moins de 21 ans (ex-juniors garçons) a achevé, le week-end dernier, sa préparation au complexe sportif de Ghermoul. En regroupement depuis le 26 mars dernier, sous la direction de Fodhil Hassen Khodja, les jeunes sélectionnés ont effectué durant ces sept jours, des entraînements dans la salle Harcha et celle de Baraki. Pour avoir une idée sur les capacités de ses jeunes capés, le coach intérimaire a programmé deux rencontres amicales, en 3x25 minutes, à la salle Harcha, face à des équipes seniors de la division nationale une. Lundi dernier, cette sélection s’est inclinée face aux seniors du HBC El-Biar (29- 26) puis, le lendemain devant ceux du CRB Baraki (24-18). Rappelons que les Verts se sont qualifiés à ce Mondial après s’être classés à la 5e position au championnat d’Afrique qui a eu lieu en Côte d’Ivoire en août 2013, sous la férule du duo Daoud-Rouabhi Nabil. O. K.
Les recours déposés après l’AGE de la FAHB tardent à être étudiés par la tutelle Des membres de la FAHB nous ont contactés pour s’interroger sur le «silence radio» de la Commission nationale des candidatures au niveau du ministère de la Jeunesse et des Sports, quant à l’étude des recours déposés à son niveau. Ils se demandent pourquoi ladite structure ministérielle tarde à rendre son verdict alors l’AGE de la FAHB s’est déroulée le 14 mars dernier. Affaire à suivre. O. K.
Distribution des tâches au bureau fédéral Les membres du nouveau bureau fédéral connaissent désormais leurs fonctions depuis jeudi dernier, après la réunion tenue à l’hôtel Le Mas des Planteurs (ex-Samitel) de Ouled Fayet. Parmi les principales nominations, il y a celle de Nouar Brahim qui devient le premier vice-président et Ahmed Chaouch qui sera le 2e vice-président. La Commission nationale d’arbitrage sera dirigée par Alioui qui sera secondé par Benabderrahmane pour la formation et Abdouzi pour les désignations. Le sponsoring sera géré par Hamidou. Deux membres Daoudi et Benamor, représentant la région du Sud algérien, donc des habitués du Sahara, héritent du beach handball. Le sport scolaire revient à Hadadj alors que le sport féminin sera sous la férule de Si Hamida. Les affaires de règlement et de discipline seront gérées par Alloui. Enfin, la commission restante, celle du suivi des ligues a été attribuée à l’ex-président de la FAHB, M. Rahmouni. O. K.
Dans l’attente des nominations d’entraîneurs nationaux La question des nominations des futurs entraîneurs des différentes équipes nationales alimente les discussions au niveau de cette corporation. Selon Abdeslem Benmeghsoula, directeur technique national, cité par l’APS, la liste des sélectionneurs de toutes les catégories sera finalisée dans une dizaine de jours avant d’être entérinée par le bureau fédéral. Mais en attendant, les supputations vont bon train dans le milieu handballistique. Aussi, les postes de coaches des équipes nationales seniors sont très prisés. Aux dernières nouvelles, pour le Sept national messieurs, le duo Gharbi Rabah-Bouanani serait le mieux placé sur la «short-list» de 4 ou 5 entraîneurs où figureraient des coaches établis à l’étranger, comme Boudrali, Kamel Akkeb, Machou. Pour les dames, Ouchia Kamel serait en bonne position. Quant aux catégories jeunes, il y aurait, entres autres, Hiouani, Bechkour, Kheraifia. Pour le poste d’entraîneur des gardiens de but, deux noms circuleraient, en l’occurrence Mouici et El Mouahab. O. K.
Le jeune comédien Idir Benaïbouche a présenté à Alger un one man show intitulé Jeunesse, état d'urgence, à travers lequel il a tenté de cerner la réalité d'un environnement peu favorable à une jeunesse en quête d'épanouissement. Dirigé par Nadjib Faouzi Oulebsir, Idir Benaïbouche, jouant sur son propre texte, a confié que ce spectacle était «un pur produit social et le fruit d'une longue observation de la société algérienne qu'il fallait bien analyser et synthétiser». Constitué de différents tableaux séparés par un très court entracte musical, le spectacle, présenté à l'espace Plasti, a enchaîné, dans la dérision, des situations familiales et sociales montrant le fils ou le jeune en général subir l'exclusion et le regard des autres. Evoquant les tares et les excès de la société à travers des exemples familiaux, le comédien a su mettre le public présent face à son vécu, dans toutes ses contradictions, à l'exemple du père qui n'excelle dans l'exercice du «parfait dictateur» qu'une fois à la maison. S'attaquant à l'hypocrisie des individus par la voix de quelques personnalités publiques, l'artiste a usé de quelques imitations réussies qui ont suscité l'adhésion de l'assistance. Dans un décor nu qui imposait la force du verbe, le spectacle s'est limité à des critiques — parfois superficielles — de pas moins de 23 personnages pouvant représenter un microcosme social. Faisant montre d'une fraîcheur remarquable, l'artiste a imposé une qualité de jeu variée avec un engagement physique conforme aux exigences mimiques des différents personnages interprétés. Jeunesse, état d'urgence est, en définitive, un spectacle à travers lequel Idir Benaïbouche s'est évertué à cerner le désarroi d'une jeunesse désenchantée et sans encadrement, capable de canaliser son énergie. Déjà distribué dans sept courts métrages et ayant participé à plusieurs téléfilms et pièces de théâtre comme assistant metteur en scène ou comédien, Idir Benaïbouche s'installe, à 27 ans, dans les débuts d'une carrière prometteuse.
Les autorités sont formelles. On ne peut pas lancer sa télé comme ça, sans précautions, sans restrictions. Eh oui, forcément !>br> Avant de lancer sa propre télé, faut d'abord vérifier qu'il n'y a…
… personne en bas de votre immeuble !
Nous revoilà donc face à un nouveau casse-tête ! Et celui-là, c'est casse-tête de chez casse-tête ! Chakib Khelil aurait l'intention de rentrer en Algérie. Et mince ! Comment allons-nous nous dépatouiller avec ça ? Et tout d'abord, par où il veut rentrer en Algérie, le Chakib ? Par Oran ou par Alger ? Sait-on au moins si les autorités aéroportuaires ont reçu des consignes pour l'autoriser… ou pas à entrer chez nous ? On ne le sait pas, je m'en doutais un peu ! Franchement, laisser les pauvres policiers de l'aéroport face à ce dilemme, c'est pas sympa du tout. Leur responsable pourra toujours laisser passer Super Chakib lorsqu'il sera descendu d'avion, et qu'il se sera présenté devant le pupitre du préposé à la vérification des passeports. Eh oui ! Jusqu'à preuve du contraire, il n'y a aucune consigne particulière pour interdire à Super Chakib de rentrer en Algérie. Du moins, je le crois. De toutes les manières, tant qu'aucune IETN, une Interdiction d'Entrée sur le Territoire National, n'aura été transmise aux services de surveillance de nos frontières, ces derniers sont théoriquement couverts. Théoriquement, seulement. Parce que j'entends d'ici les éternels râleurs, surtout ces gens de la presse qui commenteront ce retour : «Voyez comme ce pays va mal ! L'Algérie est devenue un véritable gruyère. On y entre de partout, quand on veut et de la manière qu'on veut ! Qui a permis à Chakib Khelil de rentrer aussi impunément au pays ? Qui a couvert son retour ?» En même temps, je comprends un peu la position des journaux. On ne peut pas leur interdire de se poser des questions. Sauf si on augmente leurs pages de pub bien sûr. Mais concrètement, ils ont le droit de se demander comment un responsable pareil peut avec une telle facilité traverser nos frontières et accéder au pays, sans être inquiété. C'est tout de même troublant ! Qu'il en sorte, qu'il quitte benoîtement l'Algérie, passe encore, mais qu'il y revienne, là c'est franchement bizarre, voire tordu. Oui, d'accord ! J'admets fort volontiers que pour revenir au pays, il faut qu'il l'ait au préalable quitté. Logique ! Mais, et je suis désolé d'insister là-dessus, ça fonctionne aussi dans l'autre sens. Pour le quitter ce pays, il aurait fallu qu'il y soit juste avant. Je vous avais prévenu ! Nous sommes en pleine tourmente avec ce casse-tête. Qui était là, en premier, en Algérie ? Le pétrole ? Ou Chakib Khelil ? Et si le pétrole doit quitter l'Algérie, les gens de l'aéroport le laisseront-ils sortir normalement ? Quoi ? Si le pétrole voulait revenir chez nous ? Là, par contre, pas de doute possible ! Une fois sorti, il ne revient jamais. Ou plutôt si. Il revient, mais totalement transformé. Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue. H. L.