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CENTRALE ÉLECTRIQUE DE HADJRET ENNOUS Les explications du P-dg de Sonelgaz
Les sociétés de distribution de l’électricité et du gaz, filiales de Sonelgaz, achètent l’électricité produite par la centrale électrique Hadjret Ennous à un prix «compétitif», dans le cadre d’un contrat de conversion du gaz naturel en électricité. Le contrat qui lie les sociétés de distribution de l’électricité et du gaz... Suite... |
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Réflexion A quoi bon ? |
Par Nour-Eddine Boukrouh noureddineboukrouh@yahoo.fr Pour répondre à cette question, le langage populaire algérien possède une expression : «Pousser un âne mort !» C’est ce qu’on dit à quelqu’un d’assez sot pour vouloir s’attaquer à un obstacle qui paraît si gros qu’il est vain d’essayer de le faire bouger. C’est ce qu’on m’a dit aussi dernièrement : «Tu pousses un âne mort, tu te fais des ennemis pour rien. Ni le pouvoir ni le peuple ne changeront… » Suite... |
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JIJEL Huit militaires assassinés et trois terroristes abattus |
Huit militaires ont été assassinés, deux autres ont été blessés, dont la vie est hors de danger, et trois terroristes abattus hier matin, dans l’attaque d’un poste d’observation (PO) de l’ANP au lieudit Tizrarane, surplombant le tunnel de Dar-El-Oued, situé sur la route nationale dans la commune de Ziama Mansouriah, à une quarantaine de kilomètres à l’ouest de la ville de Jijel. Suite... |
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Les ministres auditionnés à l’APN |
Benmeradi : «Le projet de l’usine Renault avance bien» L’installation de l’usine de fabrication de véhicules du constructeur automobile français Renault n’est plus une utopie. «Rien ne coince avec Renault, les négociations avancent très bien», affirmait, en effet, jeudi dernier à l’APN, le ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion des investissements, Mohamed Benmeradi. Suite... |
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RÉFORMES POLITIQUES Aboudjerra Soltani doute de la volonté du président de la République |
A l’ouverture, hier, au siège de la Mutuelle des matériaux de construction de Zéralda, du «huitième colloque national des cadres de l’information et de l’organique», le chef de file du MSP, Aboudjerra Soltani, a longuement discouru sur ce qu’il a qualifié de «feuille de route», en l’occurrence le communiqué du Conseil des ministres du 2 mai dernier. Un discours qui illustre plutôt le divorce de son mouvement avec l’Alliance présidentielle.Suite... |
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DERNIER CONSEIL DES MINISTRES Bouteflika désavoue le gouvernement et l'Assemblée
«La fraude électorale et le bourrage des urnes, c'est fini ! Que cela soit bien clair !» Cette phrase, et contrairement aux apparences, n'a pas été prononcée par un leader de l'opposition mais est celle de Abdelaziz Bouteflika en personne. Il s'est exprimé, ainsi, lors du dernier Conseil des ministres, lundi. «Le président a tenu, ce jour-là , un langage qui avait surpris tout le monde» Suite... |
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«La fraude électorale et le bourrage des urnes, c'est fini ! Que cela soit bien clair !» Cette phrase, et contrairement aux apparences, n'a pas été prononcée par un leader de l'opposition mais est celle de Abdelaziz Bouteflika en personne. Il s'est exprimé, ainsi, lors du dernier Conseil des ministres, lundi. Kamel Amarni - Alger (Le Soir) - «Le président a tenu, ce jour-là , un langage qui avait surpris tout le monde», nous confie une source proche de la présidence. Selon cette indiscrétion, Bouteflika ouvrait, ce jour-là , les travaux du Conseil des ministres en demandant à Ahmed Ouyahia de lire le communiqué rendu public par la suite. «Une fois qu'Ouyahia a fini son intervention, le président prit la parole et annonça sèchement : vous avez bien entendu ? Eh bien, tout cela sera appliqué à la lettre. Que cela soit bien clair pour tout le monde, que les réformes politiques que j'ai annoncées, je les mènerai jusqu'au bout. J'irai plus loin que vous ne l'imaginez !» Devant des ministres médusés et surpris, Bouteflika s'élancera dans une dissertation de près de quarante- cinq minutes. «Je sais très bien que beaucoup, y compris parmi vous ici, doutent encore de la sincérité de ces réformes. Eh bien, non seulement je vais les réaliser, mais ce sera en profondeur. Aussi bien pour la Constitution que les autres lois.» Selon toujours notre source, Bouteflika marquera un temps d'arrêt, puis fixera du regard «un membre influent du gouvernement » (qu'il se refuse de nommer), et attaquera encore : «Nous avons choisi de ne pas soumettre le projet de révision de la Constitution à l'actuelle Assemblée et vous savez tous pourquoi. Je veux que la révision de la Constitution soit l'œuvre d'une Assemblée réellement représentative et légitime.» Et après ce suprême désaveu pour l'actuelle législature, élue, rappelons-le, à l'issue d'une législative marquée par une abstention sans précédent et cette fraude constante à toutes les élections en Algérie, Bouteflika revient à la charge : «Les prochaines élections de 2012 seront transparentes et totalement libres. Je dis bien, totalement libre !» Ne lâchant pas du regard «sa victime», il poursuit : «Il y aura une surveillance à tous les niveaux avec la présence massive d'observateurs internationaux. Vous avez bien compris : la fraude électorale et le bourrage des urnes, c'est fini ! Que cela soit bien clair !» Cet aveu fait, Bouteflika passe à la menace : «Je ne veux plus, je dis bien plus jamais, que l'on vote à la place des gens. S'il y a 20% seulement de votants, eh bien il n'y aura pas davantage ! Il n'est plus question que quiconque touche ni au taux de participation ni aux résultats.» «Ni le FIS, ni aucun nouveau parti ne sera agréé» Bouteflika ne cessera décidément pas d'étonner en ce lundi 20 mai. Poursuivant son propos sur le même sujet des élections législatives et locales de 2012, il indiquera clairement aux membres du gouvernement que, «cette fois, il est impératif que tout le monde participe à ces élections. Mais quand je dis tout le monde, il faut exclure spontanément l'éventualité que cela comprenne ceux qui ont mis le pays à feu et à sang. Je sais que ces gens-là tentent de revenir sous couvert d'autres sigles à travers des dossiers d'agrément déposés au niveau du ministère de l'Intérieur. Je ne serai pas celui qui réhabiliterait le FIS». Selon notre source, Bouteflika faisait allusion, ici, à l'ex-émir de l'organisation terroriste, Madani Mezrag, qui aurait déposé un dossier dans ce sens. «Ceci dit, je ne veux pas donner l'impression de privilégier un courant sur un autre. Par voie de conséquence, il n'y aura donc pas d'agrément ni pour ceux-ci, ni pour aucun autre nouveau parti.» A rappeler que le 16 avril dernier, le ministre de l'Intérieur, Daho Ould-Kablia, annonçait que ses services avaient reçu 42 demandes d'agrément de nouveaux partis politiques. «Il faut s'attendre au pire en Libye» Bouteflika clôturera sa longue intervention faite en début des travaux du Conseil des ministres en abordant la situation prévalant dans le monde arabe. Pour la première fois depuis cinq mois, il s'exprimera sur tout et dans le détail. «Le président a commencé par faire remarquer que nous vivons, depuis janvier, une véritable tempête dont il faut bien se méfier. Puis, il analysera les révoltes arabes, pays par pays, de la Tunisie au Maroc en passant par l'Égypte, le Yémen, la Syrie, etc.» Avant de s'attarder sur le cas libyen. «De tous ces pays, c'est sans conteste la Libye qui encourt le plus grand danger.» Selon Bouteflika, «il faut s'attendre au pire en Libye où tous les scénarios restent possibles». Nos voisins du Sud-Est ne sont à l'abri, selon Bouteflika, «ni d'une guerre civile, ni d'une division pure et simple du pays». Et dans tous les cas, «l'Algérie est directement concernée par l'évolution de la situation dans ce pays». K. A.
Ouyahia et Belkhadem reçus par Bensalah Sitôt désigné par Abdelaziz Bouteflika pour conduire les consultations avec les partis politiques et les personnalités nationales au sujet des «réformes politiques», le président du Sénat, Abdelkader Bensalah, est, déjà , à pied d'œuvre. Nommé à peine lundi, Bensalah a reçu, dès mercredi dernier, deux chefs de parti et pas des moindres : Abdelaziz Belkhadem et Ahmed Ouyahia, respectivement secrétaires général du Front de libération nationale (FLN) et du Rassemblement national démocratique (RND). «Les rencontres ont eu lieu au Sénat, où Bensalah a reçu, séparément et en tête-à tête, d'abord Belkhadem puis Ouyahia, pendant trois heures pour chacun d'entre eux», nous confie une source digne de foi. Si rien n'a filtré sur ces rencontres, notre source précise toutefois que «Belkhadem et Ouyahia, tout comme les futurs interlocuteurs de Bensalah ont soumis à ce dernier des mémorandums détaillés portant leurs propositions respectives par rapport à tous les chantiers de réformes engagés, notamment la révision constitutionnelle». Toujours selon notre source, et contrairement à ce que l'on pensait, «c'est Bensalah, et non pas les commissions qui seront installées prochainement, qui détient les clés du processus et qui chapeautera tout. Il a obtenu le feu vert et les pleins pouvoirs du président et il sera le seul à avoir accès à lui». Homme de confiance et fidèle parmi les plus irréductibles à Bouteflika, Abdelkader Bensalah, deuxième personnage de l'Etat, est l'un des rares responsables politiques à bénéficier de la confiance des deux grands pôles du pouvoir en Algérie : La présidence et l'armée. D'ailleurs, avant même l'arrivée de Bouteflika au pouvoir, Bensalah a eu à conduire les missions les plus délicates et dans des moments les plus cruciaux, pour le pouvoir tout comme pour le pays, dans les années 1990. L'homme a eu, entre autres, à présider la fameuse CDN, la Commission du dialogue nationale qui devait pallier le terrifiant vide institutionnel, en 1994, dans une conjoncture marquée par une déferlante terroriste sans précédent, un isolement international étouffant et une crise économique paralysante. Il aura, par la suite, à présider au Conseil national de transition, le CNT, un Parlement désigné dans les mêmes conditions. Sa fidélité au pouvoir fera de lui, par la suite, l'homme désigné pour une tâche des plus impopulaires : prendre la tête du parti que le pouvoir créera dans l'urgence, pour gagner et régner, sitôt né, à savoir le RND. Ce sera également lui que le pouvoir choisira, sous Zeroual, pour présider la première Assemblée pluraliste de l'Algérie indépendante de 1997. C'est dire que, cette fois ci encore, le rôle de Bensalah sera déterminant pour l'avenir du pouvoir et du pays. K. A.
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Salah Goudjil répond à Daho Ould Kablia |
Dans une interview publiée ce mardi 3 mai, par le quotidien arabophone Echourouk, Monsieur Ould Kablia, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, a eu à répondre à des questions se rapportant au Mouvement du redressement et de l'authenticité du FLN. Ses commentaires risquant d'être mal interprétés, nous estimons nécessaire d'apporter, à l'attention de l'opinion publique, les précisions suivantes : Suite... |
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JUSTICE Belaïz évite les questions qui fâchent |
Les nombreux confrères qui ont effectué, jeudi dernier, un long périple à travers trois wilayas avec le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Belaïz, dans l'attente d'une éventuelle information qui colle à l'actualité nationale effervescente, sont restés sur leur faim. Suite... |
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Réflexion L'ONU et le despotisme |
Par Nour-Eddine Boukrouh noureddineboukrouh@yahoo.fr Le monde arabe est composé pour moitié de républiques despotiques et pour moitié de monarchies absolues. Monarques et présidents à vie se ressemblent, comptent le même nombre d'années au pouvoir en général, et ont en commun d'être impitoyables envers leurs peuples. Les monarchies n'ont pas évolué vers le système républicain, ce sont les républiques qui ont dégénéré en système monarchique : «Avancez à l'arrière !» comme disent les receveurs de nos transports publics. Suite... |
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JIJEL Sanglant attentat terroriste à El Kennar |
Cinq militaires sont morts et cinq autres ont été blessés dans l'explosion d'une bombe au passage d'un convoi militaire hier matin vendredi vers 7h15 sur la RN 43, au lieu-dit l'Abattoir, à proximité d'un embranchement menant vers la localité de Fzaza devant de la commune d'El Kennar, située à une vingtaine de kilomètres à l'est du chef-lieu de la wilaya de Jijel. Suite... |
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HÔPITAUX Grève illimitée des praticiens à partir du 16 mai |
Le ministre de la Santé, Djamel Ould Abbès, ne coule pas un magistère heureux. Loin de là . Les médecins praticiens de la santé publique, généralistes et spécialistes, ont décidé de lui faire subir la terrible épreuve du débrayage illimité. Ça sera à compter du 16 mai prochain. Suite... |
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COUPE DE LA CAF (1/8es DE FINALE RETOUR) JS KABYLIE 3 - FC MISSILE (GABON)) 0 (JSK QUALIFIÉE AUX TAB 3-0) Impossible n'est pas kabyle |
Tizi-Ouzou, stade du 1er-Novembre, temps chaud, affluence assez nombreuse, terrain bon, arbitrage de M. Yakhouba Keita assisté de MM. Aboubacar Doumbouya et Moustapha Touré (Guinée). 4e arbitre Touré Sékou Ahmed (Guinée). Commissaire au match : Mohamed Hazzaz (Maroc). Suite... |
Actualités : HÔPITAUX Grève illimitée des praticiens à partir du 16 mai
Le ministre de la Santé, Djamel Ould Abbès, ne coule pas un magistère heureux. Loin de là . Les médecins praticiens de la santé publique, généralistes et spécialistes, ont décidé de lui faire subir la terrible épreuve du débrayage illimité. Ça sera à compter du 16 mai prochain. Sofiane Aït-Iflis - Alger (Le Soir) - Cette fois-ci, la manœuvre du ministre de la Santé, qui a cru trouver la parade à la grogne des blouses blanches en faisant avaliser sa «feuille de route» par des syndicats maison, semble vouée à l'échec. La démarche de Djamel Ould Abbès a produit l'effet contraire de ce qu'elle poursuivit. Les praticiens de la santé publique, organisés dans l'intersyndicale formée par le Syndicat national des praticiens spécialistes de la santé publique (SNPSSP) et le Syndicat national des praticiens de la santé publique (SNPSP), enclencheront en effet une grève illimitée à partir du 16 mai, dont le préavis réglementaire sera déposé le lundi 8 mai. Une grève qui sera accompagnée d'actions de protestation, entre autres des sit-in et des marches à Alger. La nature et la date de l'organisation de ces actions de protestation seront arrêtées ultérieurement, ont informé hier en conférence de presse conjointe les responsables des syndicats SNPSSP et SNPSP. Ces derniers, en l'occurrence Yousfi et Merabet, ont, par ailleurs, dressé un réquisitoire au vitriol à l'encontre du ministre de la Santé qu'ils ont accusé d'aller à l'encontre des directives du président de la République et du dernier Conseil des ministres qui a prôné le dialogue social. Au passage, les deux responsables syndicaux sont tombés à bras raccourcis contre les syndicats des hospitalo-universitaires qui se sont prêtés à la manœuvre du ministre. Yousfi et Merabet, qui ont donné rendez-vous à la presse hier vendredi à la mi-journée, sortaient en fait des conseils nationaux de leurs syndicats (le mercredi pour le SNPSSP et le jeudi pour le SNPSP) assortis d'une réunion de coordination des bureaux exécutifs. Outre dénoncer les agissements d'Ould Abbès, qualifiés de malsains, les bureaux exécutifs réunis ont avalisé les résolutions des deux conseils nationaux, à savoir une grève illimitée, de l'agitation syndicale, un soutien indéfectible au mouvement des médecins résidents ainsi qu'un appui à la grève des étudiants dans les filières médicales. L'intersyndicale de la santé a dénoncé également la répression qui s'abat sur la contestation sociale en générale. Rappelons que les praticiens de la santé publique militent pour la promulgation du statut particulier amendé, du régime indemnitaire en fonction du statut amendé, la mise en conformité des primes d'intéressement gelées depuis 2002, le logement de fonction et les mesures incitatives pour les médecins exerçant dans les zones enclavées. S. A. I.
Le SNPSP intentera une action en justice contre Ould Abbès Le Syndicat national des praticiens de la santé publique a décidé d'ester le ministre de la Santé en justice pour empiétement sur la loi. C'est ce qu'a indiqué hier M. Merabet qui rappelle que le ministre est passé outre les décisions de la commission mixte installée le 24 janvier 2011. «Le ministre s'est rendu coupable de la transgression de l'accord du 25 janvier 2011 qui prévoit que le régime indemnitaire sera fonction du statut particulier», a dit Merabet qui, aussi, a informé de la constitution de tout un dossier à présenter à la justice. S. A. I.
Sports
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WA BOUFARIK Hommage à Kouadri |
Un vibrant hommage sera rendu aujourd'hui à l'ancienne gloire du football boufarikois, Mustapha Kouadri. L'initiative prise par des anciens joueurs du WA Boufarik, à leur tête Dahdouh Mohamed, se veut comme une reconnaissance, un hommage et un soutien en direction de M. Kouadri. Suite... |
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Sports : COUPE DE LA CAF (1/8es DE FINALE RETOUR) JS KABYLIE 3 - FC MISSILE (GABON)) 0 (JSK QUALIFIÉE AUX TAB 3-0) Impossible n'est pas kabyle
Tizi-Ouzou, stade du 1er-Novembre, temps chaud, affluence assez nombreuse, terrain bon, arbitrage de M. Yakhouba Keita assisté de MM. Aboubacar Doumbouya et Moustapha Touré (Guinée). 4e arbitre Touré Sékou Ahmed (Guinée). Commissaire au match : Mohamed Hazzaz (Maroc). Buts : Tedjar (s.p, 11', 33'), Yahia-Chérif (60') JSK. Avts: Yahia-Chérif (12'), Douicher (70'), El-Orfi (89') JSK. JSK : Asselah, Remache, Ziti, Douicher puis El-Orfi (75'), Rial, Naïli, Younès, Saïdi, Tedjar, Yalaoui puis Lamhène (83'), Yahia-Chérif. Entr. : Belhout. FC Missile : Loussouke, Moussono, Ngara, Montana, Pongui, Nko puis Kanga (73'), Gael, Momo, Alliday, Ngame Essono, Dane puis Mbenintsa (46'). Entr. : Dragan Sinamovic. L'euphorie générée par le trophée national, remporté dimanche dernier contre l'USMH, n'a pas détourné les Kabyles de leur lourde mission qui les attendait, moins de cinq jours plus tard, face aux Gabonais du FC Missile. Hier, lors de la seconde manche de la coupe de la CAF, les joueurs de Belhout ont réussi à remonter leur — important — handicap de Libreville (trois buts) et s'offrir une méritoire qualification pour les huitièmes de finale-bis de la seconde compétition organisée par la confédération africaine. Après quarante-cinq minutes de jeu, les Canaris avaient accompli la moitié du chemin. A peine onze minutes que le premier arbitre assistant, Aboubacar Doumbouya signalait le fauchage de Yahia-Chérif, bien lancé par Younès, dans la surface de vérité par le portier gabonais. Chargé d'exécuter la sentence, Saâd Tedjar envoyait le cuir au fond des bois de Loussouke. L'exmeneur de jeu du Paradou AC reviendra vingt minutes après, en signant un but d'anthologie. Le stratège kabyle enroulera le cuir sous l'équerre gauche de la cage de Loussouke (33'). La mission devenait alors possible. Surtout qu'en face, les joueurs de Dragan Sinamovic ne parvenaient pas à faire trembler les filets d'Asselah. A deux reprises, au moins, le portier de la JSK, se voyait débordé par les essais des attaquants gabonais (18' et 29'). Le remplaçant Mbenintsa (55') donnera des sueurs froides à la galerie kabyle en voyant son pointu frôler de peu le montant gauche (55'). C'est l'action qui secouera les protégés de Belhout qui répondront, d'abord, par un bolide de Saïdi qui passera de peu à côté (58'), avant que Yahia-Chérif n'accompagne le cuir, adressé sur corner par le même Saïdi, d'une pichenette au fond des bois de Loussouke. La JSK se remettait alors à croire davantage de passer l'écueil des Missile gabonais, il est vrai, mis sur orbite par un malhonnête arbitrage, à Libreville, du Camerounais Mokoukou. Pour Younès et compagnie, la grosse demi-heure qui restait à jouer semblait suffisante pour décocher le mortier et atteindre la cible. Les tentatives de Saïdi et consorts, aussi nombreuses soient-elles, n'étaient pas assez ajustées pour démonter le verrou gabonais. Il fallait donc une série de tirs au but favorable aux Canaris pour que la cause soit entendue. B. M.
O Médéa - ES Mostaganem 3-0 CS Constantine - CA Batna 2-0 CR Témouchent - US Biskra 1-1 Paradou AC - NA Hussein Dey 0-1 RC Kouba - AB Merouana 6-0 USM Bel-Abbès - SA Mohammadia 2-1 MSP Batna - ASM Oran 2-1 JSM Skikda - MO Constantine 2-1
CLASSEMENT
Touche pas à mon Chibani ! |
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Par Hakim Laâlam Email : laalamh@yahoo.fr |
C'est officiel ! Al Zawahiri remplace Ben Laden à la tête d'Al Qaïda. Une nouvelle saluée comme il se doit par les…
… poissons !
Les retraités pourraient bien se retrouver à battre le pavé cette semaine. Les Chibanis menacent de faire eux aussi grève, sit-in ou marche si leurs pensions ne sont pas revalorisées. Que va faire le pouvoir antiémeutes qui habite le Palais et nos cauchemars depuis plus de 12 ans ? Je ne sais pas ! Très franchement, je ne sais pas comment va réagir le châtelain à cette manif' des retraités. Par contre, en tant qu'être humain, je souhaiterais qu'il ne fasse pas les choses suivantes : frapper, matraquer les retraités. Des personnes âgées, je le rappelle. Ce qu'il a pourtant fait avec les médecins résidents et les étudiants. Je ne voudrais pas non plus le voir bloquer nos anciens dans des bus, à l'entrée de la capitale. Ce qu'il a pourtant fait l'autre jour encore avec les étudiants, les marcheurs du samedi et les supporters de la JSK. Médicalement, je rappelle au régime que les vieux supportent moins bien que les jeunes le fait d'être bloqués dans un autobus, sur une aire d'autoroute non aménagée par Amar Ghoul, par temps de grosses chaleurs. S'il devait arriver malheur et que ces retraités soient victimes de malaises graves, nous n'aurions même pas les moyens de les envoyer se faire soigner d'urgence au Val-de-Grâce. Ce qu'il a pourtant fait avec… lui-même, l'autre fois. Je ne voudrais pas voir non plus les retraités séquestrés dans leurs maisons de retraite. Ce qu'il a pourtant fait ou tenté de faire avec les médecins contenus par la «force publique» dans les limites de leurs hôpitaux-mouroirs. J'espère qu'il ne fera pas non plus subir aux retraités des ponctions sur pensions. Ce qu'il a pourtant fait de longues semaines avec les enseignants contractuels, ajoutant même à cette recette une pincée de menaces de licenciements. J'espère également qu'il ne brandira pas à la face de quelques retraités à la crinière bien grise 40 000 flics à la crinière bien bleue. Ce qu'il a pourtant fait et continue de faire pour mater hebdomadairement le danger «majeur» que représentent 40 obstinés, des accros à la marche, des ennemis avérés de la fluidité de la circulation au carrefour du 1er- Mai, à Alger-Centre. Et enfin, j'espère que le châtelain a bien conscience qu'un jour ou l'autre, on devient tous des retraitables. Des personnes qui y voient moins bien. Des personnes qui ont besoin qu'on leur écrive en gros caractères pour qu'elles puissent déchiffrer. Des personnes qui sont plus lentes. Des personnes qui ont une diction plus heurtée. Des personnes dont les mains tremblent de plus en plus. Des personnes qui récupèrent beaucoup moins vite qu'avant d'un effort soutenu. Des personnes qui soulèvent avec beaucoup de peine des objets dont le poids n'excède pas parfois celui d'une feuille de papier 21/27. Des retraitables, quoi ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue. H. L. www.tacervellesarrete.blogspot.com |
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