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الأحد 24 أوت 2014 م
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Mort de Ebossé : Le camerounais tué par la bêtise humaine
le 24.08.14 | 15h56
Une fois de plus notre football vient d'être endeuillé par la mort non pas d'un supporter dans les gradins ou sur la route mais d'un joueur dont le seul tort est de se trouver sur dans la trajectoire d'un projectile lancé à partir des tribunes alors qu'il regagnait les vestiaires après le coup de sifflet final de l'arbitre du match.
En effet touché au coup par un pavé violemment balancé des gradins Albert Bojongo Dominique Ebossé est mort quelques minutes après son transfert au CHU de Tizi-Ouzou à la suite d'un choc vagal comme nous l'ont précisé des sources médicales. En faite selon ces mêmes sources c'est suite au projectile reçu par le joueur qui a touché son nerf vagal que le joueur avait perdu connaissance avant de perdre la vie.
En fait le choc vagal provient de la stimulation du système nerveux appelé "parasympathique", ou nerf "vague", et chargé notamment de ralentir l'activité cardiaque. La fréquence cardiaque et la tension artérielle baissent brutalement et deviennent difficiles à mesurer. Cette baisse du débit sanguin au niveau du cerveau va se traduire par un étourdissement, voire une perte de connaissance voire même une mort.
C'est donc de cette pathologie que Ebossé est décédé toujours selon les mêmes sources qui nous ont précisé que les efforts des réanimateurs du service des urgences du CHU de Tizi-Ouzou à le remettre en vie ont été vains du fait que le choc était brutal.
La foule nombreuse venu compatir avec les joueurs le jour même du drame et le lendemain dénote de l'estime dont jouissait le camerounais chez les fans kabyles.
Certains ont même accompagné le véhicule funéraire qui transférait la dépouille vers l'hôpital de AIn-Naadja en attendant son transfert définitif vers le Cameroun ce mardi au plus tard le mercredi par vol régulier et non par un vol militaire spécial tel annoncé çà et là .
Par ailleurs nous avons appris que son frère qui réside en France arrivera ce lundi à Alger pour accompagner la dépouille de son frère en compagnie d'une délégation de dirigeants de la JSK conduite par le président de la SSSPA.
Elwatan.com
Décès d'Ebossé : La LFP ferme le stade de Tizi Ouzou
le 24.08.14 | 12h14
Le président de la Ligue de football professionnel (LFP), Mahfoud Kerbadj, a convoqué une réunion extraordinaire du conseil d'administration de la Ligue pour lundi, suite au décès de l'attaquant de la JS Kabylie, Albert Ebossé, touché mortellement par un projectile à l'issue de la défaite samedi face à l'USM Alger (1-2), a annoncé la LFP sur son site officiel.
Avant de se réunir, la Ligue a déjà pris la décision, "à titre conservatoire", de fermer le stade du 1er-Novembre de Tizi-Ouzou jusqu'à nouvel ordre, selon la même source.
La LFP annonce également que les dirigeants de la JSK, les arbitres ayant officié le match ainsi que le commissaire au match devront comparaître lundi devant la commission de discipline pour être auditionnés.
La défaite des Canaris a provoqué le mécontentement des supporters dont certains ont commencé à jeter des projectiles depuis les tribunes du stade du 1er-Novembre à l'issue de la rencontre, touchant mortellement le joueur camerounais.
Ebossé, 24 ans, a été transporté d'urgence à l'hôpital de Tizi Ouzou où il a succombé à ses blessures.
APS
الأحد27 شوال 1435 ه
Décès d'un ressortissant algérien en France
Le MAE demande un complément d'information
le 24.08.14 | 10h00
Le ministère des Affaires étrangères (MAE) a instruit l'ambassade d'Algérie à Paris ainsi que les consulats de la région parisienne à l'effet de recueillir les informations officielles et précises sur les circonstances du décès d'un ressortissant algérien survenu durant son acheminement à l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle à Paris.
Interrogé à ce sujet par l'APS, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Abdelaziz Benali Cherif, a indiqué que «dès l'information du décès d'un ressortissant algérien survenu durant son acheminement à l'aéroport Roissy-Charles-de Gaulle à Paris, en vue de l'exécution d'une mesure d'expulsion du territoire français, connue, le ministère des Affaires étrangères qui suit de très près cette affaire, a immédiatement instruit l'ambassade d'Algérie à Paris, ainsi que les consulats de la région parisienne, à l'effet de recueillir les informations officielles et précises sur les circonstances de ce décès et sur l'identité exacte de ce citoyen, et d'engager, dans le cadre de la mission de protection consulaire, toutes les démarches que requiert ce genre de situation». Le porte-parole a souligné à cette occasion, que le «strict respect de la dignité des Algériens à l'étranger, le respect des dispositions conventionnelles, notamment en matière de réadmission, figurent parmi les éléments constitutifs de l'action consulaire algérienne».
APS
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Dégringolade des cours dU pétrole
La soutenabilité des budgets se lézarde
le 24.08.14 | 10h00
La dégringolade des cours du brut ne semble pas troubler la quiétude des pays membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP). Depuis quelques jours, les prix du brent sur le marché londonien flirtaient à peine avec le seuil des 100 dollars le baril.
Lundi dernier, les prix du pétrole tombaient à leur plus bas niveau depuis près de 14 mois, affectés par une offre surabondante, une baisse de la demande et l’apaisement des tensions géopolitiques. Le baril de brent de la mer du Nord pour livraison en octobre valait alors 101,23 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, tandis que sur le marché new-yorkais le baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en septembre valait 95,96 dollars.
Les cours ont remonté la pente, terminant la semaine à 102,15 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE) de Londres. Les pays de l’OPEP gardent bien leur sang-froid face au dévissage des cours. Les tensions géopolitiques ont revivifié les craintes des investisseurs et tiré les cours vers le bas. Les pays de l’OPEP se sont gardés jusqu’ici d’ajouter une ombre au tableau des appréhensions, affichant inlassablement une belle quiétude de façade.
Cependant, l’équilibre budgétaire de plusieurs membres de cette organisation est d’ores et déjà mis à rude épreuve. Si le prix des 100 dollars le baril est loin d’occuper les esprits des Saoudiens, les membres africains de l’OPEP tablent sur un affermissement des prix en automne, sous l’effet de la reprise de la demande mondiale du pétrole. Pour l’heure, l’appétit mondial progresse à pas de tortue, pénalisé par une reprise économique fragile, ne permettant pas d’atteindre une demande suffisante face à l’augmentation de l’offre.
En attendant de voir les membres de l’OPEP se réunir en novembre afin d’examiner la politique de production, certains analystes n’écartent pas le recours de certains pays à des coupes informelles à même de soutenir les prix. Des pays comme l’Arabie Saoudite, le Koweït et les Emirats arabes unis ne se gêneraient pas de serrer quelque peu le robinet afin de soutenir les prix.
Un pareil procédé a été usité par le passé lorsqu’il a été nécessaire de faire place à la reprise de la production libyenne. Quoi qu’il en soit, la rentabilité du baril du pétrole est déjà au cœur des débats pour bon nombre de pays producteurs, membres de l’OPEP. Un baril de pétrole à 100 dollars serait insuffisant pour financer le budget de plusieurs pays. Certains membres de l’OPEP, dont l’Algérie, se sont embarqués dans un insoutenable train de dépenses.
L’année dernière, la rentabilité moyenne d’un baril de pétrole pour couvrir les besoins des dépenses des pays de l’OPEP était estimée à 106 dollars. Sept des douze membres de l’OPEP, dont l’Algérie, l’Irak, l’Iran et le Nigeria, ont besoin d’un prix de pétrole supérieur à 106 dollars pour soutenir le budget. Pour les cinq autres pays de l’organisation, dont essentiellement les pays du Golfe et l’Angola, le baril du pétrole est actuellement suffisamment rentable pour soutenir le budget. Face à une telle situation, des gouvernements des pays OPEP continuent à afficher un certain volontarisme. La frénésie des dépenses fait son retour dans bon nombre de pays.
Ali Titouche
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CONSEIL DES MINISTRES MARDI, RÉUNION DU CPE JEUDI Abdelaziz Bouteflika présidera, ce mardi, une réunion du Conseil des ministres, la troisième du genre depuis la présidentielle du 17 avril dernier. Une réunion qui va donner le véritable coup de starter à la rentrée politique et sociale. «C’est d’ailleurs la première fois que Suite... |
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