320-/- ACTUALITES Du Mardi 14 Novembre 2017
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Mardi 14 Novembre 2017
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Mardi 14 Novembre 2017
الثلاثاء 14 نوفمبر 2017م
الثلاثاء 25 صفر 1439 ه
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Algérie - Prévisions météo du Mardi 14 Novembre 2017
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ACTUALITÉ
Djamel Ould Abbés s’engage à lever le gel sur le CHU Ouargla et la boucle du sud
Les retraités de l’armée préparent un sit-in de 10 jours devant l’APN
Des réserves de 60 milliards de mètres cubes : Le Djurdjura regorge d’eau
A son premier jour de grève de la faim : Hadda Hazem plus que jamais déterminée
Abdelkader Saâdallah. Docteur en géosciences : «Des indices prouvent l’existence de réserves de 60 milliards de m3 d’eau dans le massif du Djurdjura»
Le débat autour du projet de loi de finances 2018 se déroule dans un hémicycle vide : Les députés occupés par la campagne électorale
Prévoyant un sit-in demain : L’Unpef exige d’être membre du conseil des programmes
Séminaire de l’initiative des 5+5 défense, hier à Alger : La gestion de la menace aérienne non militaire en débat
En 2013, algériepatriotique révélait ces pratiques : Quand le DRS enrichissait ses «amis» de la presse
On vous le dit
SPORTS

Amical. Algérie – Centrafrique (20h30) : Les Verts à la recherche d’une victoire
ES Sétif : L’énigmatique absence d’Aït Ouameur
LRFC : Fin de mission pour Dehamchi
NA Hussein Dey : Dziri remplace Neghiz
USM Bel Abbès : Rouaï et le football académique
US Biskra : Leknaoui nouvel entraîneur
ECONOMIE

Réduction de la production pétrolière : Quasi-unanimité sur la reconduction de l’accord
Prix du pétrole : La production US limite les gains
Suite à l’amélioration des prix du brut : La fiscalité pétrolière en hausse
Equipements électriques : L’ENIE s’associe à Schneider Electric
Retour de la diaspora : Un impératif en temps de crise
Kamel Haddar . Cofondateur d’iMadrassa : «L’Algérie souffre d’un déficit chronique d’image à l’international»
INTERNATIONAL

Saad Hariri, Ancien Premier ministre de la République libanaise : «Je retournerai bientôt au Liban»
Ils se disputent le contrôle de l’Instance de gestion des élections : Ennahdha et Nidaa Tounès à couteaux tirés
Aprés la passe d’arme avec l’Arabie Saoudite : L’Iran rejette les accusations de Bahrein après l’incendie d’un pipeline
Royaume d’Espagne : Visite du Premier ministre Mariano Rajoy en Catalogne
Selon une représentante des nations unies : Les soldats birmans pratiquent «systématiquement» des viols collectifs de femmes Rohingyas
Wilaya de Boumerdès : 232 t/j de déchets jetées dans la nature
CULTURE

Nouri Nesrouche signe Constantine. Mémoire, patrimoine et passion, à Média Plus : Echanges et chaleur humaine
L’artiste peintre algérien, Choukri Mesli, est décédé : Fondateur de l’art moderne algérien
Chant lyrique : Le spectacle des «Enchanteresses» bien accueilli à Oran
28es Journées cinématographiques de Carthage : En attendant les hirondelles primé
Boufarik : Le cinéaste Mahmoud Zemmouri inhumé dans sa ville natale
Bordj Bou Arréridj : L’œuvre de Fernando Allabar s’invite au club littéraire
RÉGION EST
Logements en souffrance à Constantine : L’ultimatum du wali aux entrepreneurs

Travaux du tramway à Sétif : Le réseau routier congestionné

Grâce à l’initiative de deux jeunes opérateurs d’Annaba : Des fruits et légumes locaux sur les étals des marchés français
La wilaya d’Annaba exporte ses fruits et légumes en France.

Daïra d’El Aouana : 132 milliards pour le désenclavement et les routes

Des écoles et des routes inondées à Skikda : La pluie dénude la gestion des élus-candidats
Djamel Ould Abbès à Batna : La mouhafadha appelle à un «cinquième mandat» !

Ecole régionale des sports olympiques de Biskra : Une superbe infrastructure encore sous-exploitée
Rencontre wali-société civile à Souk Ahras
Djamel Ould Abbés s’engage à lever le gel sur le CHU Ouargla et la boucle du sud
le 14.11.17 | 17h50
Promettez la concrétisation de projets tant espérés depuis l’indépendance à une salle chauffée à blanc toute une matinée dans l’attente d’un invité dont l’avion n’a pu décoller d’Alger à cause d’une panne, vous obtiendrez un burnous et une allégeance éternelle pour le FLN.
Houria Alioua
Des réserves de 60 milliards de mètres cubes
Le Djurdjura regorge d’eau
le 14.11.17 | 12h00

Abdelkader Saâdallah, professeur chercheur en géologie, installé en Norvège, a annoncé, en septembre dernier, les résultats de son étude, lors d’une conférence à la faculté des sciences de la Terre de l’USTHB : une reserve de 60 milliards de mètres cubes d’eau, soit 60 fois le volume du grand complexe hydraulique de Beni Haroun, le plus important d’Algérie, estimé à 1 milliard de mètres cubes.
Le mot Djurdjura signifie en berbère «tas de pierres». L’annonce de l’existence de réserves aquifères importantes dans ce massif de la chaîne de l’Atlas devrait changer le regard sur la région : de la pierre donc, mais aussi d’immenses réservoirs d’eau.
Le professeur chercheur en géologie, Abdelkader Saâdallah, installé en Norvège, a annoncé, en septembre dernier, les résultats de son étude, lors d’une conférence à la faculté des sciences de la Terre de l’USTHB : 60 milliards de mètres cubes d’eau, soit 60 fois le volume du grand complexe hydraulique de Beni Haroun, le plus important d’Algérie, estimé à 1 milliard de mètres cubes.
L’annonce a fait réagir des citoyens mais aussi les autorités. Invité du forum d’El Moudjahid, le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib, a affirmé qu’il y a eu un débat «très intéressant» entre le chercheur et les experts du département. «Je peux dire que scientifiquement cette étude est très sérieuse et très intéressante», estime M. Necib, précisant que l’étude nécessite un «approfondissement» pour confirmer l’existence de cette réserve. «Nous sommes prêts à mettre les moyens nécessaires à cet effet», a-t-il poursuivi.
Le géophysicien distingue deux phases dans son travail de prospection nécessitant la mise en place d’importants moyens : un volet recherche approfondie et un autre de recherche pratique pour l’exploitation. «Les deux volets sont étroitement liés. Dans notre programme de recherche proposé par les deux universités, celles de Tizi Ouzou et de Constantine, nous avons tenu compte de ces deux aspects.
Les premiers résultats dans un délai de 1 à 2 ans vont aboutir notamment à un programme d’une demi-douzaine de forages superficiels (moins de 50 m de profondeur) pour estimer l’épaisseur de la couverture étanche que nous nommons ‘‘l’Eocène molassique’’ depuis son apparition dans la région de Haizer sur une petite distance vers l’Ouest et sur trois côtés : supérieur, flancs nord et sud», indique-t-il (voir entretien). L’étude du géoscientifique pose le problème de l’existence de réserves d’eau non conventionnelles et leur exploitation. Dans la région du Djurdjura et dans les autres massifs du pays.
Les réserves perchées exploitables
Au-delà du massif du Djurdjura lui-même, «il y a, précise l’expert, la question vitale de la recherche des réservoirs perchés. La question à laquelle les géoscientifiques doivent répondre immédiatement : est-ce que les conditions minimales sont réunies pour l’existence de réservoirs perchés dans les régions comme les Aurès, l’Ouarsenis, Babors, Zaccar et d’autres ? Et cela par des études de cartographies géologique et structurale sans avoir recours, dans un premier temps, à des prospections électriques».
Dans un contexte de sécheresse, les réserves qui pourraient être découvertes à l’avenir peuvent être exploitées avec moins de frais pour les autorités. Quand on connaît la situation actuelle du barrage de Taksebet (30% de taux de remplissage) et au-delà, dans les autres wilayas du pays, les autorités ont montré leur intérêt pour l’étude du scientifique qui permet, à terme, l’exploitation des «réserves perchées».
Pour M. Saâdallah, la méthode, qui consiste à aller vers les bassins des plaines pour puiser jusqu’à épuisement les ressources hydriques, pour ensuite les pomper sur des dénivelés de plusieurs centaines de mètres de hauteur pour alimenter les villes et villages des sommets des montagnes, comme si l’énergie est inépuisable et gratuite, n’est plus possible.
Les réservoirs perchés permettent d’alimenter en eau par gravité sans dépense énergétique, précise l’expert. Le chercheur est partisan des «techniques simples», compatibles avec le développement local, pour augmenter la recharge des nappes souterraines par les eaux de ruissellement, au lieu de les diriger vers des barrages en béton «d’un coût excessif et d’une durée de vie limitée par l’envasement extrême».
Nadir Iddir