Actualité | mercredi 19 octobre 2011
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Téléphonie: l'Algérie maintient l'achat de Djezzy L’Algérie maintient sa position relative à l’acquisition de l’opérateur téléphonique Djezzy, a...
Education nationale : 2700 enseignants contractuels titularisés Désormais, tous les ingénieurs, les diplômés en économie ou en langues pourront rejoindre dès la semaine...
Cinéma : Le film «Un jour à Alger» en compétition au Cinemed de Montpellier Le court métrage du réalisateur Raouf Benia entre en compétition parmi 23 autres courts métrages à...
Medicaments: 420 millions USD d'investissements étrangers en 2011 Les investissements étrangers en matière d’industrie du médicament en Algérie s’élevaient à... Actualité Des assises sur fond de contestation et de division Très attendues, les assises de la compagnie Air Algérie se tiendront (les 22-23 octobre) sur fond de contestation du récent... Lorsque la radio ose l'inconcevable Le premier secrétaire du Front des forces socialistes a été l’invité de l’émission «100%... L'action des cheminots se radicalise Au troisième jour de la grève des cheminots, toutes les régions couvertes par la Société nationale des transports... Démonstration de force des travailleurs contestataires Plus de 1000 personnes ont répondu à l’appel au rassemblement de contestation lancé par l’union locale... Sports «Il ne faut pas vivre prisonnier du passé» Avant la reprise des entraînements de son équipe, lundi soir, au stade Mohamed Boumezrag, le coach de l’ASO Chlef, Nourredine... MC Alger : Al Ghanoudi attendu ces jours-ci La piste de l’attaquant libyen, Mahmoud Al Ghanoudi, est sérieusement relancée, apprend-on de source proche du MC Alger. WA Tlemcen : Le Widad prépare l'USMA Revigoré par la récente victoire obtenue face à l’éternel rival oranais, le Widad de Tlemcen à travers ce... Economie Le rachat de l’opérateur de téléphonie mobile Djezzy par le gouvernement algérien semble prendre une nouvelle tournure. L'Algérie plus que jamais vulnérable à un choc externe Les menaces de récession qui pèsent actuellement sur l’économie mondiale inquiètent sérieusement le gouvernement... Algérie- Portugal : Lisbonne plaide la cause de ses entreprises Pour limiter les effets dévastateurs au plan social de la crise financière internationale qui touche de plein fouet son économie... International Un premier groupe de détenus palestiniens libéré Un groupe de 477 détenus palestiniens, dont 27 femmes, ont été libérés hier par l’Etat hébreu en... «Quoi de plus de joyeux que cette liberté que nous vivons ?» Défenseur acharné des droits de l’homme, Kamel Jendoubi a payé par de longues années d’exil en France son... Appel à la reconnaissance du «crime d'Etat» Une marche a été organisée à Paris pour appeler l’Etat français à reconnaître sa... Culture «On doit rectifier, via le cinéma, l'histoire de l'Afrique du Nord» Dans cette interview, Rachid Bouksim, directeur du Festival international du film amazigh d’Agadir, estime que la 5e édition du Finifa... Amekti, un jeu de cartes en tamazigh Amekti est un jeu de cartes destiné aux enfants et aux adultes (de 4 à 90 ans). Rupture des stocks de médicamentsLe malade otage des bureaucratesle 19.10.11 | 01h00 Les pénuries cycliques de médicaments continuent d’affecter de nombreux malades. Les incessantes et pressantes demandes des professionnels de la santé, des pharmaciens et des parlementaires pour l’ouverture d’une enquête indépendante sur ces ruptures répétitives ne semblent pas avoir eu l’écho souhaité. «Nous exhortons le ministère de la Santé de mener un travail d’investigation en vue de localiser les failles qui ont mené à la rupture de médicaments dans les officines à l’échelle nationale», a déclaré M. Belambri, président du Snapo. «Il faut qu’une enquête indépendante du ministère de la Santé détermine précisément les responsabilités de cette catastrophe», a clamé le professeur Djidjli, président du Syndicat national des professeurs et docents. Il s’agit là d’une des revendications du syndicat.
Toutes ces contraintes sont omises par les responsables du ministère de la Santé, qui ne cessent d’avancer que «les programmes à l’importation des produits finis ont été tous signés. Il n’y a pas de raison qu’il y ait des ruptures». Ils omettent de préciser à quelle date ces programmes ont été justement délivrés, sachant que les procédures d’importation fixées par les cahiers des charges sont claires. L’obligation d’ouverture de lettres de crédit, le délai fixé pour faire les commandes, le contrôle des échantillons, le dédouanement et toutes autres procédures exigées par la loi font que le produit ne peut être sur le marché que dans les trois mois, voire plus, qui suivent la signature des programmes. Lesquels n’ont été signés par la direction de la pharmacie qu’en avril, mai, juin et juillet 2011, alors qu’habituellement, les procédures pour l’importation sont entamées dès le mois de décembre. Djamila KourtaMedicaments: 420 millions USD d’investissements étrangers en 2011Les investissements étrangers en matière d’industrie du médicament en Algérie s’élevaient à 420 millions USD en 2011, a déclaré mardi 18 octobre à Alger le ministre de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière, M. Djamel Ould Abbès. Le ministre a qualifié ces investissements de «très importants», soulignant qu’ils venaient en tête des investissements hors hydrocarbures. Ould Abbès intervenait en marge de l’inauguration de l’usine Dar Al-Arabya des laboratoires jordaniens Hikma spécialisée dans la production d’antibiotiques (pénicilline) implantée dans la nouvelle ville de Sidi Abdallah, Il s’agit d’investissements directs réalisés par des entreprises européennes d’une valeur de 320 millions dollars et d’autres dans le cadre de partenariat entre les entreprises algériennes relevant du secteur privé et des entreprises indiennes, égyptiennes, jordaniennes, turques et saoudiennes estimés à plus de 100 millions dollars.
APSLes trains de la SNTF bloquésL’action des cheminots se radicaliseAu troisième jour de la grève des cheminots, toutes les régions couvertes par la Société nationale des transports ferroviaires (SNTF) ont été touchées par le débrayage entamé dimanche.
Fatima Arab Le ministre des Finances n’exclut pas un effondrement des prix du pétroleL’Algérie plus que jamais vulnérable à un choc externe Les menaces de récession qui pèsent actuellement sur l’économie mondiale inquiètent sérieusement le gouvernement algérien. Intervenant hier en marge de la présentation du projet de loi de finances pour 2012, le ministre des Finances, Karim Djoudi, n’a pas écarté l’impact qu’une nouvelle crise pourrait avoir sur l’Algérie. Même si une telle baisse peut paraître à première vue conjoncturelle, elle a de quoi inquiéter les autorités, d’autant que le budget de l’Etat, dépendant largement des ressources de la fiscalité pétrolière, enregistre de graves déséquilibres. Des déséquilibres qui se sont accentués ces dernières années et qui se traduisent par le creusement du déficit budgétaire. Le projet de LF pour 2012 table d’ailleurs sur un déficit de 25% du PIB. Un creusement du déficit justifié notamment par l’augmentation des dépenses de fonctionnement, lesquelles atteindront dans le projet de budget pour 2012 4608,3 milliards de dinars, en hausse de 7% par rapport à 2011. Le ministre des Finances explique d’ailleurs cette hausse effrénée des dépenses de fonctionnement par trois facteurs principaux. Il s’agit en premier lieu de l’augmentation des revenus de la Fonction publique et de l’application des régimes indemnitaires avec paiement des rappels à compter de 2008. M. Djoudi estime le coût financier de cette dernière opération à 2600 milliards de dinars. Il évoque également l’effort engagé par le Trésor public pour le soutien des prix des produits de large consommation et pour lequel une enveloppe de 240 milliards de dinars a été allouée. Enfin, le premier argentier du pays met en avant les dépenses de fonctionnement induites par la réception des projets d’équipements. Il a précisé dans ce sens que l’année 2012 verra la réception de 851 projets d’investissements publics pour lesquels il faudra dégager les moyens pour les faire fonctionner, à travers notamment la création de 65 000 nouveaux postes budgétaires. Il va sans dire que le coût de la paix sociale commence à peser sur les équilibres budgétaires, et ce, en l’absence d’une stratégie économique à long terme. Melissa Roumadi |