Actualité | vendredi 25 novembre 2011
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Le Palais dans la peur de l'abstention
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- Sour El Ghozlane : Les vigiles de la cimenterie réclament leurs salaires
- Il y a eu un sit-in. Une grève de la faim. Les vigiles de la société de gardiennage de la cimenterie de Sour El Ghozlane ne veulent...
- Toutes les revendications des agents de sécurité sont prises en charge
- Une cinquantaine de sociétés de gardiennage
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- La sélection nationale olympique entamera demain, à 21h30 (20h30, heure locale), le dernier tour des éliminatoires qualificatives...
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Le maroc vote aujourd'hui : Le Palais dans la peur de l'abstention
le 25.11.11 | 01h00 Réagissez
ImprimerPDF Envoyer à un ami Flux RSS PartagerLe Maroc votera aujourd’hui pour les premières législatives depuis les réformes lancées par le roi Mohammed VI. Le Palais, qui a facilité une voie royale aux islamistes du PJD, craint qu’une forte abstention n’entache la crédibilité des réformes engagées.
Casablanca. De notre envoyé spéciale
«De quoi vous me parlez ? Le vote n’est pas fait pour nous, il est destiné aux riches !», nous lance Hichem, 27 ans, devant son étal de fortune, installé à l’avenue Prince Moulay au centre-ville de Casablanca. Le Maroc organise aujourd’hui ses premières élections législatives après les dernières réformes entreprises par le roi Mohammed VI pour consacrer plus de d’ouverture et de partage du pouvoir en réponse aux révoltes arabes. Si pour le makhzen, le rendez-vous se veut celui d’un Maroc démocratique, dans la rue l’indifférence est palpable. C’est justement le spectre de l’abstention qui hante le Palais. Hichem vit du commerce informel, le soir, l’avenue, très touristique, devient le carrefour des commerçants ambulants, les étals de fortune côtoient les vitrines de luxe et les night-clubs. «Depuis quelque temps, la police ne nous nous dérange plus», indiquent les petites vendeurs. C’est ici que Hichem est venu fourguer ce qu’il a dans son sac : un téléphone portable volé, des montres, des lunettes et des baskets de contrefaçon, une veste et un lecteur MP3. «C’est tout ce que je possède, c’est ma fortune !», nous dit ce jeune téméraire. «Achetez-moi ces baskets, je vous fais un prix. A combien voulez-vous les prendre ?», insiste-t-il.
Méthanol
Hichem et ses comparses hèlent, interpellent et parfois harcèlent les passants. «Pourvu que je vende quelque chose, je ne peux pas rentrer sans rien chez moi, ma mère attend son sandwich», confie-t-il. Mais Hichem a une histoire, celle de beaucoup de jeunes Marocains. Expulsé d’Espagne, il y a un an, où il avait passé deux ans en prison pour trafic de cocaïne, lui-même est aussi consommateur. A son retour au Maroc, il a été placé dans un centre de désintoxication au méthanol. «Le Roi a ouvert plusieurs centres, notamment dans les grandes villes, pour traiter les jeunes toxicomanes, raconte-t-il le regard fuyant. Au centre, nous subissons un traitement avant de nous libérer pour en suivre un autre à distance, des psys nous prennent aussi en charge.Dans le programme, des cours d’éducation religieuse nous sont dispensés et nous faisons ensuite des missions de sensibilisation auprès des autres jeunes.» Mais Hichem ne peut plus se passer de la drogue et de sa vente. Sa bouteille d’eau à la main est remplie d’un étrange mélange : du pastis, des comprimés écrasés, des gouttes «pour les mongoliens» et un produit liquide, bleu. Dans ses chaussettes, ils cachent une boîte de comprimés qu’il propose pour 50 dirhams (500 DA) à ses clients. «Je ne peux pas faire autrement, je dois aider ma mère et mon frère étudiant à l’université. Vous savez, nous sommes très pauvres.» Et de poursuivre : «Pour que je puisse retourner en Espagne où j’ai un enfant, Mohamed Ali, je dois verser à sa mère 50 euros par mois et depuis que je suis ici, j’ai été le voir une seule fois en Tunisie, cela m’a coûté cher.» Son ex-épouse, tunisienne installée en Espagne, était dans l’obligation de divorcer pour ne pas se voir elle aussi expulsée d’Espagne pour complicité de vente de drogue.
La politique n’inspire pas grand monde, on n’y croit plus et chacun vit dans son monde, pense à son projet : «quitter ce pays» ou «retourner en Europe». Voter ou pas, «cela ne changera rien à ma vie et n’apportera pas de solution à mes problèmes. Alors, à chacun sa politique dans la vie», tranche Hichem dans ses rares moments de lucidité. Son voisin d’étal partage la même expérience, Abdeljalil a 23 ans, un autre expulsé d’Espagne. Il vend des téléphones portables étalés dans une boîte en carton. Entre le vrai et le faux, il n’y a pas de différence, il est prêt à arnaquer ses clients, les étrangers en particulier. «Ecoutez, les étrangers ont peur de se faire prendre par la police, donc ils sont prêt à conclure la transaction sans trop tarder, cela nous permet de faire des affaires», explique-t-il.
Sour El Ghozlane : Les vigiles de la cimenterie réclament leurs salaires
le 25.11.11 | 01h00 Réagissez
ImprimerPDF Envoyer à un ami Flux RSS PartagerIl y a eu un sit-in. Une grève de la faim. Les vigiles de la société de gardiennage de la cimenterie de Sour El Ghozlane ne veulent pas céder. Avec la direction, le bras de fer n’est pas terminé.
«Nos responsables nous traitent comme des esclaves. Le salaire des vigiles ne dépasse pas les 17 000 DA. Nous n’avons pas le droit à des indemnités, alors que parfois nous assurons la garde seize heures par jour.» Après un sit-in au début du mois de novembre et une grève de la faim, les vigiles recrutés par la Société de gardiennage SGS-CO, assurant la sécurité de la cimenterie de Sour El Ghozlane, au sud de Bouira, ont repris le travail, de peur des représailles.
Ils sont issus de plusieurs wilayas du pays : Khenchela, Souk Ahras, Chlef… Parmi eux, certains affirment qu’ils ont été recrutés sans contrat et sans couverture sociale. Documents à la main, Bessalah Abdelwahab, vigile dans la même société, raconte que de nombreux agents de sécurité auraient subi des pressions de la part de leur direction qui «réplique par des sanctions, à chaque fois qu’un agent réclame ses droits».
Hogra
Ils se disent privés de leurs droits, et même de leurs salaires qui n’auraient pas été versés depuis le mois d’août dernier. Ils réclament le versement de leurs revenus ainsi que des indemnités, en plus de meilleures conditions de travail. Rencontrés à la cimenterie de Sour El Ghozlane, plusieurs vigiles avouent qu’ils achètent eux-mêmes leurs tenues de travail. «Notre direction n’a pas daigné nous “renouveler’’ cette tenue qui nous a été remise en 2008», témoigne l’un d’entre eux. «C’est de la hogra…», crient-ils. Ahmed, un vigile issu de la wilaya de Souk Ahras, père de douze enfants, lance : «Cela fait exactement seize ans que je travaille comme agent de sécurité sur ce site. Et à ma grande surprise, quand j’ai demandé un certificat de travail, la direction m’a notifié que j’avais une année d’exercice…»
Sanctionnées
Pour ces vigiles, «le calvaire» ne s’arrête pas là. Ils dénoncent également les sanctions infligées par leurs responsables à l’encontre de plusieurs d’entre eux. «C’est parce que nous avons signalé des dépassements au wali de Bouira sur des affaires de corruption à la cimenterie», plaide un employé. Des vigiles auraient été sanctionnés pour ne pas avoir appliqué les instructions émanant des services de sécurité de la wilaya et même d’une instruction du wali de Bouira, qui stipule de ne pas laisser les travailleurs étrangers sortir seuls de l’usine, témoignent-ils. Ils réclament également le versement des primes d’intéressement et autres primes du comité de participation qui n’auraient pas été versées depuis 2006. «Où est passé donc l’argent (les primes de bénéfice) destiné aux travailleurs de cette société ?», s’interrogent-ils. Le montant de ces indemnités avoisinerait les 8 milliards de centimes. Contactée (voir interview ci-dessous), la direction assure que les salaires ont bien été payés. Mercredi, soit une semaine après cet entretien, sur le site, les représentants des employés maintenaient que les revenus de septembre et d’octobre n’avaient toujours pas été versés.
Amar Fedjkhi
WEEK-END SPORTSJO 2012. Algérie – Sénégal (J-1)
Les Verts fin prêts
le 25.11.11 | 01h00 Réagissez
ImprimerPDF Envoyer à un ami Flux RSS PartagerLa sélection nationale olympique entamera demain, à 21h30 (20h30, heure locale), le dernier tour des éliminatoires qualificatives aux Jeux olympiques 2012 de Londres, en affrontant le Sénégal, à Tanger (Maroc), en match de la première journée du groupe A.
Tanger. De notre envoyé spéciale
Arrivés lundi à Tanger, les Verts s’entraînent régulièrement dans les deux stades réservés aux participants. Le match s’annonce décisif déjà pour la bande à Azzedine Aït Djoudi, qui doit gagner pour bien entamer la compétition et prendre une sérieuse option pour la qualification au carré d’as avant d’affronter la sélection du pays organisateur, le Maroc, trois jours plus tard. Décidée à aller au bout de son rêve et accrocher la deuxième participation de son histoire aux JO-2012, 32 ans après la première et dernière participation des Verts à Moscou en 1980, la sélection nationale compte frapper d’entrée face aux Lions de la Teranga qui seront amoindris par l’absence de trois professionnels, sans compter l’effet de la fatigue qui pourrait avoir raison des joueurs, la sélection du Sénégal est arrivée hier matin, soit à 48 heures seulement du match.
Les Verts, en revanche, se présenteront au grand complet, demain soir, puisque le meneur de jeu, Amir Saâyoud, et l’attaquant, Mohamed Chellali, seront opérationnels, apprend-on de source proche du staff technique. Aït Djoudi a, par ailleurs, réussi à se procurer les deux dernières rencontres de son adversaire du jour face à l’Egypte (1-1) puis (0-0). Le sélectionneur national a visionné les deux matches avec son staff technique puis avec les joueurs, hier après-midi. Au cours de cette séance, Aït Djoudi a révélé à son groupe les points forts et les points faibles de son adversaire. Des défaillances notamment en défense que le coach national compte exploiter pour espérer arracher une première victoire dans ce tournoi final et effectuer une bonne entame.
Aït Djoudi tient son onze
Le coach de la sélection olympique, Azzedine Aït Djoudi, nous a révélé mercredi soir qu’il avait déjà ficelé son onze rentrant face au Sénégal. Un onze que le sélectionneur de l’EN espoirs ne semble pas avoir eu beaucoup de peine à arrêter, notamment après s’être rassuré sur l’état de santé de ses deux joueurs vedettes, à savoir Mohamed Chellali et Amir Saâyoud qui seront de la partie demain soir. «Je suis déjà soulagé de disposer de tous mes joueurs. Le onze de départ je l’ai en tête, même si je ne compte le révéler à mes joueurs que le jour du match. Dans l’ensemble, tout va bien et les joueurs sont très motivés. Il ne reste que quelques détails tactiques qu’on réglera lors des deux dernières séances d’entraînement», nous dira le sélectionneur national, qui ne manquera pas de mettre l’accent sur la nécessité de débuter ce tournoi par un succès. «Dans ce genre de compétition en mini-championnat, il est évident qu’il est important d’arracher un succès dès le premier match.»Tarek Aït Sellamet
Echos de Tanger
le 25.11.11 | 01h00 Réagissez
ImprimerPDF Envoyer à un ami Flux RSS Partager- Après deux jours de biquotidien, les poulains d’Azzedine Aït Djoudi sont revenus à une séance par jour hier. Les Verts se sont entraînés, hier de 19h à 20h, heure algérienne, au niveau de l’annexe du grand stade de Tanger, alors que la dernière séance aura lieu ce soir à l’heure du match (21h30 heure algérienne), sur le terrain principal qui abritera la confrontation Algérie-Sénégal.
- Les rencontres de ce tournoi seront retransmises dans leur intégralité sur la chaîne sportive marocaine Erriyadia. Les fans des Verts pourront ainsi suivre les exploits des coéquipiers de Saâyoud et autre Chellali par satellite, à défaut de les voir sur l’ENTV faute d’un accord avec le groupe Five Sports, détenteur des droits de retransmission de ce premier championnat d’Afrique des U23.
- Pour leur séjour en terre marocaine, les joueurs de la sélection olympique bénéficieront de 100 dollars par jour comme frais de mission. Ils ont déjà perçu 300 dollars en attendant de recevoir le reste après le match face au Sénégal.’édito
L’Algérie a les moyens de ses ambitions
le 25.11.11 | 01h00 Réagissez
ImprimerPDF Envoyer à un ami Flux RSS PartagerCe grand rassemblement de sportifs arabes est organisé selon une périodicité qui varie entre quatre et cinq ans, en fonction de paramètres liés à des situations politiques et socioéconomiques qui prévalent dans le pays organisateur.
L’Algérie a accueilli la 10e édition en 2004 à Alger, et la manifestation n’a pas été un succès populaire comme l’avaient escompté les organisateurs à l’époque. Il faut avouer que les Jeux sportifs arabes font face à une rude concurrence de la part d’autres jeux zonaux et continentaux (Jeux africains, méditerranéens et surtout les Jeux olympiques). Ils sont loin d’être une référence dans le domaine sportif. Depuis la première édition organisée par l’Egypte (Alexandrie 1953), ils ont tendance à éprouver des difficultés à capter l’intérêt et l’attention des observateurs. Qualifiés souvent de jeux de seconde zone, ils ont le mérite d’exister et surtout de rassembler des milliers de jeunes sportifs arabes avides d’exploits et de reconnaissance. Sur ce plan, les comités nationaux olympiques ont un grand rôle à jouer pour la promotion de ces joutes.
Cela commence d’abord par la sélection et la participation des meilleurs athlètes, eux seuls capables de valoriser cette manifestation sportive. Les responsables du sport algérien, plus particulièrement les dirigeants des fédérations, misent beaucoup sur Doha 2011 pour dégager la future élite qui représentera le sport algérien lors des grands rendez-vous programmés en 2012. Les fédérations, dont les disciplines sont engagées aux Jeux de Doha, fondent de grands espoirs sur leurs sportifs. L’Algérie a les moyens de ses ambitions. La première et plus importante consiste, à l’avenir, à déloger l’Egypte de la première place au classement général (toutes éditions confondues). Participer pour participer n’est plus de mise au niveau de la tutelle qui, selon ses responsables, a mis tous les moyens pour faire des Jeux de Doha une réussite, comme le souhaitent tous ceux qui rêvent de voir plus souvent les athlètes algériens sur le podium. Les Algériens relèveront-ils le défi à Doha ?
Yazid Ouahib