Ah ! Une b0nne Nouvelle :Enrico Macias perd 20 millions d'euros dans la crise

Une information judiciaire est ouverte à Paris pour retrouver les fonds placés par le chanteur dans une banque islandaise. L'un des vingt autres plaignants français soupçonne Clearstream de détenir les fonds. Lire la suite l'article

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L'affaire est suffisamment sensible pour ĂȘtre, depuis cet Ă©tĂ©, signalĂ©e au ministĂšre de la Justice. Selon nos informations, une instruction a Ă©tĂ© ouverte fin juillet au pĂŽle financier de Paris pour abus de confiance et escroquerie aggravĂ©e. Les investigations, confiĂ©es Ă  la juge Françoise Dessert, portent sur la disparition de plusieurs millions d'euros que des Français avaient placĂ©s dans des banques islandaises qui ont fait faillite depuis.

Le chanteur Enrico Macias est Ă  l'origine de cette premiĂšre procĂ©dure. D'aprĂšs les premiers Ă©lĂ©ments de l'enquĂȘte, il avait investi 20 millions d'euros dans la banque islandaise Landsbanki sous la forme d'une hypothĂšque sur sa villa de Saint-Tropez. L'opĂ©ration devait ĂȘtre profitable, mais elle a tournĂ© au cauchemar avec la faillite de la banque en octobre 2008. Le chanteur, qui n'a pu ĂȘtre joint jeudi, entend aujourd'hui rĂ©cupĂ©rer ses actifs et surtout Ă©viter la menace d'une saisie pure et simple de sa maison de la CĂŽte d'Azur par les liquidateurs des banques dĂ©funtes. La justice doit dĂ©sormais chercher si ses actifs, qui avaient Ă©tĂ© placĂ©s sous forme d'obligations au sein d'une filiale luxembourgeoise de la banque islandaise, ont littĂ©ralement fondu ou s'ils ont Ă©tĂ© placĂ©s ailleurs.

Le dossier pourrait rĂ©server de nouveaux rebondissements concernant notamment la banque luxembourgeoise Clearstream, rendue cĂ©lĂšbre par l'affaire française des faux listings. DĂ©fendant les intĂ©rĂȘts d'un couple de Parisiens, l'avocat Emmanuel Ludot vient en effet de dĂ©clencher plusieurs procĂ©dures pour retrouver la trace des biens de ses clients. Comme Enrico Macias, ceux-ci avaient acceptĂ© en janvier 2007 d'hypothĂ©quer totalement une villa « de grande valeur » sur la CĂŽte d'Azur en Ă©change d'une ouverture de crĂ©dit de 5 millions d'euros, cette fois Ă  la banque Kaupthing. Ils n'avaient pu utiliser les fonds promis et avaient appris, Ă  la suite de la crise financiĂšre, la disparition de Kaupthing.

Selon Me Ludot, la... lire la suite de l'article sur lefigaro.fr



13/09/2009
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