DERNIERES SECOUSSES TELLURIQUES / tremblements de terre ces dernières 24 heures
| Actualités : DJELFA |
Tremblement de terre de 4,9 sur l’échelle de Richter
Tremblement de terre de 4,9 sur l’échelle de Richter
http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2007/01/02/article.php?sid=47670&cid=2
C’est avec un tremblement de terre que la wilaya de Djelfa a accueilli le nouvel an. Une secousse tellurique de 4,9 sur l’échelle de Richter a eu lieu durant la nuit de dimanche à lundi à 00h50.
Son épicentre, selon le Centre de recherche en astronomie astrophysique et géophysique (CRAAG), a été localisé à 30 km au nord-est de la wilaya de Djelfa. Selon ce centre, cette secousse entre dans le cadre de l'activité sismique ordinaire de cette région. En effet, cette wilaya est classée zone à activité sismique régulière. «Il ne s’agit pas de réplique. Cependant, il faut s’attendre à des répliques de faible magnitude variant entre 2 et 3,5 degrés sur l’échelle de Richter», a souligné un technicien du service de permanence du CRAAG. Et une réplique de 3,2 sur l’échelle de Richter a eu lieu, hier, à 10 heures 04. D’après la Protection civile, il n’y aurait pas de dégâts notables à enregistrer. Selon des témoignages, la population n’a pas cédé à la panique. Durant l’année 2006, 22 séismes ont été enregistrés à l'échelle nationale et ce, depuis celui du 10 février 2006, enregistré à 17 km au nord-ouest de Bordj-Bou-Arréridj, selon les données du CRAAG. Au fait, le nord de l’Algérie est connu par son activité sismique. Toute la côte se situe dans une zone tectonique des plus propices aux tremblements de terre. La côte nord de l'Algérie est traversée par une limite de plaques lithosphériques continentales convergentes : la plaque eurasienne, au nord, chevauche la plaque africaine au sud. C'est dans cette faille de chevauchement que se déclenchent les séismes de la région. Pour rappel, un tremblement de terre de magnitude 5,1 sur l'échelle de Richter a été enregistré dans la nuit du 16 décembre dernier vers 20h34 dans la wilaya de Chlef. L'épicentre de ce tremblement de terre a été localisé par le CRAAG au niveau de la localité «Bouchitane», située à 11 km au nord-ouest du cheflieu de la commune de Tadjna qui se trouve dans la partie nord-ouest de la wilaya de Chlef. Ce tremblement de terre qui a été ressenti dans le chef-lieu de la wilaya de Aïn Defla, situé pourtant à 60 km de la ville de Chlef, a rappelé à la population les anciens séismes les plus meurtriers qui ont touché cette région, en particulier celui du 10 octobre 1980 d'une magnitude de 7,1 sur l'échelle de Richter qui a fait 2 633 morts, 8 369 blessés, 348 disparus, des milliers de sinistrés et 70% des habitations détruites, selon le CRAAG. La même wilaya a connu, le 9 septembre1954, un séisme de magnitude 6,7 sur l'échelle de Richter qui a fait 1 243 victimes et causé la destruction de 20 000 habitations, selon la même source.
Meriem Ouyahia
molesoir@yahoo.fr
Actualité (Lundi 18 Décembre 2006)
Un séisme de 5,2 frappe la ville
Panique et dégâts matériels à Chlef
Par : AHMED CHENAOUI
Le séisme qui s'est produit samedi passé à 20h 34 à Chlef, dont l'épicentre a été localisé au lieudit Bouchitane, dans la commune de Tadjena (daïra de Abou El-Hacène), à une quarantaine de kilomètres au nord-est du chef-lieu de la wilaya, était d'une magnitude de 5,1 sur l'échelle de Richter.
Selon le chef de cabinet de la wilaya de Chlef, que nous avons contacté à ce propos hier, ce séisme n'a pas fait de dégâts importants sauf quelques fissurations au niveau des murs de la brigade de la gendarmerie de Tadjena.
Notre source a également fait état de deux blessés parmi les stagiaires du CFPA d'Abou El-Hacène, localité située non loin de l'épicentre, et ce, en raison de la bousculade provoquée lors du séisme.
La même source a indiqué aussi qu'une commission technique chargée du suivi et du contrôle des dégâts causés, composée des différentes parties concernées (APC, daïra, Protection civile et CTC, entre autres), vient d'être installée à Tadjena.
Signalons, enfin, que ce séisme a provoqué une grande panique samedi au niveau de la population locale à Chlef, particulièrement chez les habitants des immeubles qui ont passé plusieurs heures de la nuit à la belle étoile.
"Je venais tout juste de m'allonger après une rude journée de travail lorsque mon appartement a tremblé et le lustre de ma chambre n'a pas arrêté de balancer rapidement. J'ai réalisé qu'il s'agissait d'un séisme et sans tarder, j'ai demandé à tout le monde de sortir. Dans la cage d'escalier, c'était la panique, car tous les voisins du bloc voulaient sortir en même temps. Hommes, femmes et enfants se bousculaient afin de se mettre hors de l'immeuble", dira ammi Mohamed qui habite la cité Egeco, dans la périphérie ouest de Chlef.
Contrairement aux habitants des immeubles qui ont vraiment paniqué, ceux du préfabriqué n'ont pas eu à s'inquiéter et affirment leur attachement à leurs habitations. "On n'échangera pas nos chalets contre n'importe quelle autre construction en dur. Au moins nous sommes en sécurité dans ce genre de logements qui nous épargnent des séismes", lancent de nombreux habitants du site en préfabriqué d'Ouled Mohamed.
AHMED CHENAOUI
:ACTIVITES SISMIQUES
Le nord de Chlef ébranlé par une secousse de moyenne intensité
Le nord du territoire de la wilaya de Chlef a été ébranlé dans la nuit de samedi à dimanche, aux environs de 20h35, par une secousse tellurique considérée de moyenne intensité par le Centre régional d'astronomie, d'astrophysique et de géophysique (CRAAG), qui l'a située autour de 5,1 degrés sur l'échelle de Richter.
Toujours selon le centre spécialisé, l'épicentre de la secousse était localisé entre les communes de Bouzghaïa et de Tadjna, deux régions à caractère rural, au nord de la wilaya de Chlef, relativement moins peuplées par rapport aux grandes agglomérations urbaines de la région. Les brigades de la Protection civile qui se sont aussitôt rendues sur les lieux proches de l'épicentre, n'ont eu à déplorer aucune perte humaine, tout en faisant état de dégâts légers causés à quelques dizaines de vieilles habitations, concentrées dans leur ensemble entre les localités de Tadjna et Bouzghaïa et certaines clôtures en pierre et terre cuite, se sont mêmes écroulées sous l'intensité de la secousse. Par ailleurs, dans les centres urbains de la wilaya, tels Chlef-ville, Ténès et Boukadir où le tremblement de terre était ressenti, la Protection civile dresse un constat de "plus de peur que de mal", qui s'était dégagé juste après la secousse téllurique, où de nombreuses familles prises de panique, se sont ruées vers l'extérieur, avant de regagner plus tard leurs foyers. Sur les ondes de Radio Chlef, le wali de la wilaya, M. Mohammed El ghazi a, quant à lui, rassuré la population, et lui a présenté le point sur la situation. Il convient de rappeler que la wilaya de Chlef est reconnue comme région à forte activité sismique. Le dernier séisme meurtrier ayant frappé la région, a eu lieu le 10 octobre 1980 et avait une magnitude de 7,4 degrés sur l'échelle de Richter, et a fait près de 2 500 morts.
A. Atba a
http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2006/12/18/article.php?sid=47175&cid=2
21/10/06
Un séisme de magnitude 5,3 sur l'échelle de Richter a secoué la ville de Tiaret (320 km au sud-ouest d'Alger) et ses environs, fort heureusement sans dégâts enregistrés, et dont d'épicentre est situé à quelque 30km au sud-ouest du chef-lieu de wilaya. Selon les responsables du CRAAG de Bouzaréah ce tremblement qui est survenu durant la nuit d'avant-hier, plus exactement à 23h 52, a été fortement ressenti par la population de la capitale des Rustumides et celles des villages et villes situés sur un rayon de 80 km à la ronde, provoquant ainsi une panique surtout chez ceux qui habitent des immeubles et des quartiers vétustes.
A Tiaret-ville, comme à Sougueur, Bouchekif, Essabaïne et autres localités limitrophes, des centaines de gens affolés ont quitté en trombe leur domicile pour s'agglutiner dans des espaces libres.
Cette secousse tellurique qualifiée par le CRAAG de moyenne intensité a été suivie vers 4h 44 d'une réplique de 2,2 degrés.
Les services de la Protection civile de la ville secouée et ceux et de la santé publique ainsi que les autorités locales ont déclaré qu'aucun dégât apparent n'est enregistré, mais sont restés en alerte maximale pour parer à d'éventuelles situations qui peuvent découler de ces répliques.
http://www.depechedekabylie.com/read.php?id=29255&ed=MTMzNQ==
Nadir Touati
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ce matin à Hawai La dernière Edition du 16/10/2006 |
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Au Japon, au Bengladesh, en Indonésie… La ville portuaire du sud-est du Bangladesh, Chittagong, et ses alentours ont été secoués ce matin par un séisme de magnitude 4,1 sur l'échelle ouverte de Richter. La secousse tellurique, qui a duré 21 secondes, s'est produite à 13h 03 locales et son épicentre localisé à 191 km de l'observatoire sismique de Chittagong. Par ailleurs, plusieurs séismes de moyenne intensité ont été enregistrés dans la nuit de samedi à dimanche près des îles Tonga, dans le Pacifique. Ces séismes avaient tous un épicentre situé dans l'océan, à environ 260 km au sud-ouest de la capitale de l'archipel. Face à l'augmentation de l'activité sismique dans la région, le Centre national de gestion des catastrophes naturelles des îles Fidji a, par ailleurs, annoncé son intention de réduire les délais dans lesquels une alerte au tsunami peut être lancée. Au Japon, une secousse tellurique de 5 degrés sur l'échelle de Richter a été enregistrée samedi matin dans la préfecture de Chiba et ses environs. La secousse, survenue à 6h 38 (21h 38 GMT), a été ressentie au centre de Tokyo. Les autorités n'ont fourni, pour le moment, aucun bilan sur les pertes humaines et les dégâts matériels et aucune alerte au tsunami n'a été lancée. En Indonésie, un séisme de magnitude 5,3 sur l'échelle de Richter a été enregistré dans la nuit de vendredi à samedi dans la province de Java (centre de l'Indonésie). Cette secousse tellurique a été ressentie sur la côte sud de Java où un tsunami provoqué par le séisme, en juillet dernier, a coûté la vie à plus de 500 personnes | |
Indonésie
Séisme de magnitude 5,1 dans l'est du pays
Par : EL MOUDJAHID Le: mardi 10 octobre 2006
L'est de l'Indonésie a été secoué hier par un séisme de magnitude 5,1 degrés sur l'échelle ouverte de Richter mais sans faire de victimes ni de dégâts, a déclaré l'agence de météorologie et de géophysique à Jakarta. Selon cette source, le séisme a été localisé à 188 km au sud-est de la ville de Manado située sur l'île de Sulawesi.
"Le séisme s'est produit à 61 km sous la mer, mais aucune information concernant d'éventuels victimes ou tsunami n'a été rapportée pour l'heure", ajoute-t-on.
Les tremblements de terre et les éruptions volcaniques sont fréquents en Indonésie, un immense archipel formé de milliers d'îles et d'îlots, situé sur la "ceinture de feu" du Pacifique.
Vendredi 6 octobre 2006, 21h43
Algérie: séisme de magnitude 4 au large de la Kabylie
ALGER (AP) - Un séisme de magnitude 4,0 sur l'échelle ouverte de Richter s'est produit vendredi en fin d'après-midi en mer au large de Tigzirt, en Kabylie, à l'est d'Alger.
Selon le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG), l'épicentre de la secousse a été localisé à 18 km au nord-est de la ville de Tigzirt. Le séisme s'est produit à 18h22 locales (17h22GMT).
Ce léger séisme a provoqué un début de panique à Tigzirt même et dans le reste de la Kabylie, où certaines familles se sont même précipitées hors de leurs maisons, alors qu'elles étaient attablées, dans l'attente de la rupture du jeûne du Ramadan prévue dans les minutes qui suivaient.
Le dernier séisme d'importance enregistré dans la région est le tremblement de terre de Boumerdes, en mai 2003. D'une magnitude de 6.9, il avait fait près de 3.000 morts. AP
ham/jp
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Beaucoup de gens ont été surpris par les deux dernières secousses telluriques ayant eu lieu ces derniers jours à l'ouest d'Alger. Les citoyens les ont, en fait, fortement ressenties, étant donné qu'ils étaient à un moment de repos puisque la première s'est produite durant la rupture du jeûne et l'autre en plein prière d'El Fedjr. |
encore une secousse cette fois à Bejaia
Apres celle toute récente de ZEMMOURI
Secousse tellurique de 3,9 degrés à Béjaïa
http://www.infosoir.com/edit.php?id=52174
l Une secousse tellurique de magnitude 3,9 degrés sur l'échelle ouverte de Richter a été enregistrée vendredi à Kherrata, dans la région de Béjaïa, a indiqué ce samedi le Centre algérien de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (Craag). L'épicentre de cette secousse, ressentie à 18h 44 (17h 44 GMT) a été localisé à 17 km au nord-ouest de Kherrata, a précisé le Craag, ajoutant qu'elle était une réplique au séisme du 20 mars qui avait frappé cette région. Un séisme de magnitude 5,8 avait secoué cette région, le 20 mars, faisant 4 morts, une soixantaine de blessés et détruisant une quarantaine de maisons au village de Laalam.
ENCORE UNncore une eE SECOUSSE
AUJOURD'HUI
et ça tremble encore
Hier le18/8/06 la terre a bougé non loin de l'épicentre du séisme du 21/5/2003
Stressons en choeur et encore
. Secousse tellurique de 3,6 à Zemmouri l Une secousse tellurique de magnitude 3,6 sur l'échelle ouverte de Richter a été enregistrée, hier, vendredi, à 23h08 à Zemmouri, dans la wilaya de Boumerdès, a indiqué un communiqué du Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (Craag). L'épicentre de cette secousse a été localisé à 15 km au nord-ouest de Zemmouri, a précisé la même source
SECOUSSE DE 3,6 SUR L'ÉCHELLE DE RICHTER 
La panique s'empare des Algérois
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Actualité (Dimanche 23 Juillet 2006) Une secousse tellurique de 3,6 sur l'échelle de Richter
Séisme dans la baie d'Alger Par : Djilali B. Lu : (835 fois) |
Selon le CRAAG, l'épicentre du seisme se situe en pleine mer dans la baie, à 4 kilomètres à l'est de la capitale. La secousse na fait ni dégat, ni blessés. - - Il était un peu plus de 14h hier. Alger, qui travaille, se vide d'un seul coup. Bureaux, cafés et immeubles sont désertés. La panique, qui s'est emparée de la population, a été accentuée par l'incompréhension d'une déflagration entendue sur un rayon de plusieurs kilomètres. |
Séisme de 3,6 degrés à Alger : aucun dégât
Dimanche 23 Juillet 2006
Une secousse tellurique d'une magnitude de 3,6 sur l'échelle ouverte de Richter a été enregistrée hier à 14h22 à Alger. Selon le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG), l'épicentre de cette secousse a été localisé à 4 km à l'est d'Alger (dans la baie d'Alger). Aucun dégât matériel et humain n'a été signalé, ont indiqué les services de la Protection civile de la wilaya d'Alger
http://www.depechedekabylie.com/read.php?id=24909&ed=MTI1OA==
SECOUSSE DE 3,6 SUR L'ÉCHELLE DE RICHTER
La panique s'empare des Algérois
23 juillet 2006 - Page : 24
Des citoyens de tout âge se sont précipités hors des maisons et des lieux de travail pour sauver leur peau.
Une panique générale s'est emparée des populations de l'Algérois, suite à la secousse ressentie hier à 14h22 dans la capitale et sa périphérie. La secousse d'une magnitude de 3,6 sur l'échelle de Richter, selon le responsable du laboratoire de sismologie au Craag (Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique), M.Hamadache, que nous avons contacté immédiatement, a été localisée en pleine mer, à 4km à l'est d'Alger.
En effet, des citoyens de tout âge se sont précipités hors des maisons et des lieux de travail pour sauver leur peau d'une éventuelle catastrophe. Dans l'affolement, un citoyen s'est jeté du balcon de son domicile situé au premier étage d'un immeuble à Kouba.
Evacué sur le champ par les éléments de la Protection civile, le malheureux s'en est sorti avec plusieurs fractures dans différentes parties du corps. Un désordre total a régné dans les escaliers des bâtiments et les longs couloirs des administrations, où les bousculades ont produit leur lot de désagréments. Les catastrophes qui ont frappé le pays ont montré, à maintes reprises, la forte solidarité qui liait les Algériens. Toutefois, le désordre et la désorganisation sont aussi caractéristiques de ces situations. La récurrence des séismes et des incidents sismiques ont développé auprès des Algériens, en particulier les habitants du Centre, des comportements de la nature de «sauve qui peut». Le 22 mars dernier, la région de Kherrata (45km à l'est de Béjaïa), a vacillé suite à une secousse tellurique d'une intensité de 5,8 sur l'échelle de Richter. Le bilan a été de 4 morts et 68 blessés. Le 21 mai 2003, un séisme d'une magnitude de 6,8 frappe Boumerdès et toute la région du Centre.
Le cataclysme a provoqué 2278 morts. Beni Ourtilane de son côté, a été frappé le 10 novembre 2000 par un séisme de 5,5 qui a fait 2 morts. La liste des catastrophes induites par des tremblements de terre en Algérie est encore très longue car le pays est situé sur une zone qui connaît une activité sismique, des plus denses. Depuis 1365, la date du séisme qui a provoqué une destruction totale de la ville d'Alger, le territoire national a été secoué plus de 21 fois par des séismes destructeurs. La prise en compte de cette réalité dans l'éducation et la formation de l'algérien est un impératif. Et ce, afin que la panique ne fasse pas plus de victimes que la catastrophe elle-même.
http://www.lexpressiondz.com/T20060723/ZA4-3.htm
Farouk DJOUADI
Séisme de 3,6 ressenti à 14h22 à Alger
Grosse frayeur sans dommage
Les habitants d'Alger ont été secoués hier par un séisme d'une magnitude de 3,6 sur l'échelle de Richter. Plus de peur que de mal, diront les uns.
L'horloge indiquait 14h22 quand une impressionnante « détonation » fut entendue. « Une bombe », se prononce un collègue. « C'est l'explosion d'un bâton de dynamite dans le tunnel du métro », renchérit un autre. Les rumeurs les plus folles circulaient dans les couloirs de la maison de la presse Tahar Djaout. Des habitants du quartier vulnérable de Belcourt, au tissu urbain vétuste, se sont précipités vers l'extérieur. Les taxiphones sont pris d'assaut par des hommes, des femmes et des filles terrifiés, voulant s'enquérir de la situation des parents et proches en l'absence du réseau de téléphonie mobile, en dérangement des suites de la secousse. Les Belcourtois ne sont pas les seuls puisque même à Saïd Hamdine, Bir Mourad Raïs, Bouzaréah, Hydra et presque partout ailleurs, selon des échos qui nous sont parvenus, hommes, femmes et enfants ont préféré quitter leurs maisons et élire domicile sur les grands espaces, parkings ou dans les jardins publics. La peur d'un certain 21 mai 2003, lorsqu'un séisme a ébranlé Boumerdès et une partie de la capitale, faisant 2300 morts et plus de 10 000 blessés, est encore présente dans les esprits. Lors de notre tournée dans les rues d'Alger, quelques familles, qui ont quitté précipitamment leurs demeures, sont retournées chez elles quelque temps après. Sur les balustrades du front de mer du Kettani, à proximité de la DGSN, des couples, des familles et des personnes en solo contemplaient le bleu de la mer et le va-et-vient des navires comme si de rien n'était. Pas le moindre mouvement de panique ni des enfants en pleurs, avons-nous constaté. Idem pour le front de mer de Bordj El Kiffan, à l'est d'Alger, où des familles goûtaient aux délices des glaces alors que des centaines de baigneurs étaient allongés sur le sable fin de cette plage. Le préposé au parking sur ce front de mer que nous avons interrogé a indiqué que des locataires d'un hôtel d'à -côté ainsi que des habitants d'une villa coloniale ont abandonné leurs demeures avant de les regagner quelque temps après. Au niveau de la principale place ou bien des quartiers de cette commune, aucun mouvement de panique n'a été enregistré. Il y avait plus de peur que de mal. Fort heureusement d'ailleurs.
http://www.elwatan.com/spip.php?page=article&id_article=47265
et ça tremble encore
Hier le18/8/06 la terre a bougé non loin de l'épicentre du séisme du 21/5/2003
Stressons en choeur et encore
.Secousse tellurique de 3,6 à Zemmouri l Une secousse tellurique de magnitude 3,6 sur l'échelle ouverte de Richter a été enregistrée, hier, vendredi, à 23h08 à Zemmouri, dans la wilaya de Boumerdès, a indiqué un communiqué du Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (Craag). L'épicentre de cette secousse a été localisé à 15 km au nord-ouest de Zemmouri, a précisé la même source
