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SIDI-BEL-ABBÈS
Bataille rangée entre deux tribus à Bir-El-Hammam |
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La localité de Bir-El-Hammam, au sud de la wilaya de Sidi-Bel-Abbès, a été secouée, dans la soirée de mercredi dernier, par une bataille rangée entre deux tribus. Suite... |
Actualités
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GROUPE FERPHOS
Chakib Khelil s’en mêle |
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Un mois, jour pour jour, depuis la révélation à l’opinion publique de l’affaire dite «groupe Ferphos», le ministère des Mines et de l’Industrie via son plus haut responsable, M. Chakib Khelil, a réagi. Suite... |
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LA RENTRÉE SCOLAIRE SOUS LE SIGNE DE LA PROTECTION DE LA NATURE
Une surcharge des classes anormale |
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C’est à partir de la Bibliothèque nationale d’El-Hamma que le ministre de l’Education nationale, Boubekeur Benbouzid, accompagné de Rachid Benaïssa, ministre de l’Agriculture et du Développement rural, a donné hier le coup d’envoi de la rentrée scolaire 2008/2009. «Une école, un enfant, un arbre, un double cadeau pour la nature et l'enfance», tel est le slogan choisi cette année pour la rentrée scolaire qui, rappelons- le, sera difficile en raison du nombre important des élèves qui rejoignent les bancs de l’école avec un pic au niveau du moyen. Suite... |
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Les assurances de Boubekeur Benbouzid |
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Hôte hier des colonnes du quotidien arabophone Echourouk , le ministre de l’Education nationale, Boubekeur Benbouzid, n’a formulé que des assurances à propos du déroulement de la rentrée scolaire 2008-2009. Suite... |
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DISSOLUTION DES EPLF
Le million de logements sérieusement compromis |
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Plus de 50 000 logements en cours de réalisation par les EPLF inscrits dans le cadre du programme d'un million de logements risquent de ne jamais être habités par leurs bénéficiaires. Le déficit accusé par les EPLF s'élève à 35 milliards de dinars. Le coût social de la dissolution de ces entités est colossal. Il est traduit par la perte de 2 500 emplois directs et près de 100 000 emplois par le truchement de la sous-traitance. La CNEP-Banque ainsi que l'ingérence des pouvoirs publics seraient derrière la débâcle que connaît le groupe. Suite... |
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DISSOLUTION DES EPLF
Le million de logements sérieusement compromis
Plus de 50 000 logements en cours de réalisation par les EPLF inscrits dans le cadre du programme d'un million de logements risquent de ne jamais être habités par leurs bénéficiaires. Le déficit accusé par les EPLF s'élève à 35 milliards de dinars. Le coût social de la dissolution de ces entités est colossal. Il est traduit par la perte de 2 500 emplois directs et près de 100 000 emplois par le truchement de la sous-traitance. La CNEP-Banque ainsi que l'ingérence des pouvoirs publics seraient derrière la débâcle que connaît le groupe. Suite... |
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Tiaret : Des blessés suite à des violences tribales
La région de Aïn Dheb, à 70 km au sud de Tiaret, a renoué ce week-end avec les violences tribales. Celles-ci interviennent quelques mois seulement après celles ayant mis aux prises des nomades de Sidi (...)
L’éducation en panne à El Tarf
Je ne suis pas du tout satisfait de ce résultat et je veux qu’on en tire des leçons », s’était exclamé le wali d’El Tarf le 10 juillet dernier à l’annonce des résultats du bac où El Tarf avait obtenu un (...)
Chlef : Absence énigmatique d’un SG
Cela fait plus de quatre mois que la wilaya de Chlef est sans secrétaire général, après la nomination du titulaire du poste à Tindouf. L’intérim est assuré tantôt par le DAL, tantôt par le chef de daïra (...)
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CHRONIQUE MAROCAINE
LES SOUCIS DU ROI |
| A la Une |
LA VIOLENCE DANS LES STADES REPREND DE PLUS BELLE
DÉMISSION TOUTE DES RESPONSABLES |
Au nom de la FAF, des Ligues et du MJS… Amen !
Et ça repart! La violence est dans les stades. Multiforme et amplifiée. Mostaganem et Arzew ont eu leur lot ce week-end footballistique. Heurts. Peur. Blessés par dizaines. La violence dans le football s’incruste dans les moeurs des galeries sportives. Deuxième nature de la balle ronde ? Il faut le croire. Quand les responsables sont veules. La rue gère le football. Avec le seul mode où elle excelle : la fronde et la violence. La FAF et ses satellites font le dos rond. En attendant de se renouveler. Pour un autre mandat-eldorado. La violence, disent-ils, est affaire de police. Entendre par là casques bleus contre casse-cou. Qui paie la facture? La FAF devient tour de Babel. Parmi ses sept péchés capitaux, c’est le foot qu’on fornique le plus! Le MJS tient la chandelle. Pour les noceurs d’hier. D’aujourd’hui. De toujours. Alors les noces continuent forcément. Dans le sang. Trop souvent. Depuis Réghaïa- Harrach, il y quelque temps. Drean-Harrach. Oran-Tlemcen. CABBA-CRB. Cas d’exemples seulement. Qui ne finissent pas. Ne finiront jamais. Sur tous ces stades d’Algérie. En amont. En aval. A l’horizontal. Et même dans les entrailles. Fichtre ! Ca pourrit. «Et ça fait bien», pensent Haddadj. Malek. Et tous les coreligionnaires de la chapelle de la Mamelle. Un championnat à blanc pour dépassionner les débats, tempérer les ardeurs et réfléchir sain ? Qui dérange petits calculs et gros intérêts ? Honni soit qui bien y pense! De ces mômes qui laissent leur vie au sortir d’un match de foot, à Hachemi Djiar, ministre de la Jeunesse et des Sports qui louvoie entre chien et loup, en passant par tous ces puristes pleurant les vertus du football. Honni soit qui bien y pense ! 3 journées de championnat seulement. Les feux de la violence embrasent les stades. Les enjeux sont pourtant loin. Demain, Oran va brûler de nouveau, et Batna et Annaba et Sétif et Blida… Massacrez, massacrez, il en restera toujours quelque chose !
Par N. BOUTELDJA
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L'ÉTAT DU MONDE
IRAK OU L'AUTOPSIE D'UNE OCCUPATION |
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GÉNÉRALISATION DU PRÉSCOLAIRE
Les classes préparatoires surchargées |
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ÉDITORIAL
PARTEZ, MESSIEURS ! |
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La violence, qui a marqué - déjà - ce début de championnat, est un peu la goutte qui fait déborder le vase, la vase dans laquelle les gérants du football l’ont enfoncé. Incapables d’envisager quoi que ce soit, improvisant quand il faut décider fermement, tergiversant quand il faut trancher et faisant surtout montre d’un laxisme, voire d’une complicité dans la gestion dictatoriale des clubs où les inamovibles boss font la loi, laissant faire ces magnats du football comme s’ils étaient les propriétaires des clubs qu’ils dirigent. La récente claque de Pékin est venue confirmer tout le chaos dans lequel se débat le sport algérien. Après plusieurs journées de championnat, l’on ne sait pas si le RC Kouba va évoluer en DI ou DII par la grâce d’un président de la FAF qui en a fait une affaire d’amour-propre, refusant d’obtempérer à une institution internationale habilitée à trancher. Pour rappel, on décide de donner raison au club d’El Harrach et c’est un membre de la LNF, qui, toute honte bue, vient déclarer qu’il a cédé à la pression et «sous la menace» ( sic), ensuite on crie à l’ingérence étrangère… Les boss des clubs font la pluie et le beau temps, recrutant et limogeant au gré des humeurs, dépensant, sans les justifier, des sommes colossales sans aucun contrôle, tout cela sous l’oeil bienveillant des instances qui ont donc lamentablement échoué dans une gestion pitoyable et qui, comble du comble, ont fait bloc contre la proposition d’un championnat à blanc dans l’optique d’un juste assainissement. Allez, Messeiurs, c’est par ici la sortie… |
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