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Panel

POUR TENIR UNE PRÉSIDENTIELLE SOUS UN CLIMAT APAISÉ : Le Panel pose à nouveau des conditions

L’Instance de dialogue et de médiation a exposé, hier, son bilan préliminaire, avant l’élaboration de son document final, que le panel de Karim Younès devrait soumettre au chef de l’État, comme il l’avait annoncé, mercredi dernier.

S’adressant aux journalistes, l’ex-président de l’Assemblée populaire nationale a indiqué, sur le bilan de ses rencontres politiques avec des acteurs de la scène politique et des membres de la société civile, que son instance a tenu pas moins de 300 rencontres avec des acteurs politiques et des organisations de la société civile au niveau national et plus de 1300 au niveau des wilayas, depuis le début de sa mission, selon Karim Younès. Quant au contenu politique des rencontres de Karim Younès en compagnie des membres de la commission politique conduite par Ammar Belhimer,au terme de leurs échanges avec des partis politiques, il évoque les idées qui se dégageaient de ces rencontres. Selon Saïd Mokadem, un des membres de l’Instance de dialogue de Karim Younès, dont celle relative, «à la nécessité de l’organisation de la présidentielle, comme étant la voie la plus courte pour sortir le pays de l’impasse politique » selon le Panel. Indiquant que l’organisation de la présidentielle, «comme choix à moindre coût politique et économique», celle-ci est néanmoins, précise le Panel, doit être «assortie de conditions posées par les interlocuteurs du panel», à savoir, cite-t-il «la décrispation du climat politique, à travers des mesures d’apaisement, avec notamment la libération des détenus d’opinion » précise-t-on. À cela s’ajoute comme condition préalable à l’élection présidentielle, «le départ du gouvernement Bedoui» condition qui a été mise sur la table par les interlocuteurs lors de leur rencontre avec Karim Younès et ses collaborateurs. Autre point mis sur la table, celui relatif à la mise en place de l’autorité devant être chargée de l’organisation du processus électoral, depuis le dépôt des dossiers des candidatures à la proclamation du résultat du scrutin de la présidentielle en question outre , selon l’annonce de Saïd Mokadem, de deux propositions de lois devant être soumises «prochainement» aux acteurs du dialogue, l’une sur la composante de la dite-autorité et la seconde relative à la loi électorale.
Des points dont Karim Younès a pris compte dans son rapport préliminaire, qui ont été relevés, faut-il le rappeler, par les différents acteurs de la scène politique, notamment au lendemain de la démission de l’ex-président A.Bouteflika, sous la pression du mouvement populaire pacifique du 22 février, pour le changement du système politique en place, mouvement qui vient, pour rappel de tenir, avant-hier, son 28e vendredi de mobilisation, à travers le pays.
Rappelons que les points retenus dont fait part le panel, au terme de ses rencontres précitées, dont la prise de mesures d’apaisement, la libération des détenus du mouvement du 22 février et le départ du gouvernement de Nourredine Bedoui ont été les préalables avancés par Karim Younès pour qu’il puisse entamer sa mission. Le patron du Panel avait présenté, le 1er août dernier, sa démission, en réaction à la non satisfaction des préalables pour qu’il puisse entamer sa mission, avant qu’il se rétracte sur sa décision de retrait, à la demande de ses collègues du panel.
Karima Bennour

 

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LES JEUNES ACTEURS ALGÉRIENS DE L’INNOVATION EN CONFÉRENCE LE 14 SEPTEMBRE À ALGER : En quête d’un écosystème favorable à l’émergence des startups

D’année en année, l’Algérie se met au mode digital. Ainsi, le concept de numérisation a révolutionné la vie quotidienne dans notre pays : le travail, la communication, le loisir, la façon avec laquelle les Algériens se déplacent, consomment et achètent notamment.

Sur le net, derrière les écrans notamment, des jeunes startupeurs mettent au point plusieurs solutions électroniques pour faciliter la vie à leur e-clients. Leur nombre est en grande augmentation. Mais nombreuses sont les startups qui se retrouvent en difficulté, et estiment que l’écosystème à leur émergence reste défavorable. Quelles sont les principales difficultés à l’essor des startups dans notre pays ? Quelles solutions d’accompagnement nécessaires pour les startupeurs afin de les aider à s’en sortir ? Ce sont des questions auxquelles des centaines d’acteurs de l’écosystème entrepreneurial algérien devront trouver des réponses, lors de la deuxième édition de la Conférence des startups, prévue le 14 septembre prochain, à Alger. En effet, la Capitale accueillera ce rendez-vous au Centre international des conférences (CIC), Abdellatif Rahal, lieu à la hauteur de cette rencontre digitale par excellence. Une conférence qui se déroulera toute une journée et qui devra accueillir plusieurs centaines d’acteurs de l’écosystème algérien, dont propriétaires de Startups, incubateurs publics et privés, agences et programmes de soutien à l’entrepreneuriat. Aussi, des chefs d’entreprise, des décideurs du privé et du public, des représentants d’institutions gouvernementales, des opérateurs économiques, associations opérant dans le domaine, des universitaires et des étudiants y sont attendus. L’objectif de cette conférence est de « façonner un écosystème favorable à l’émergence de startups en Algérie », indique les organisateurs.
Selon les organisateurs, cette initiative verra l’ouverture de débats et la mise en place d’ateliers pratiques. Elle réunira les opérateurs économiques, les décideurs du pays, les startupeurs ainsi que plusieurs institutions publiques. Il y a lieu de noter que, selon les organisateurs, un sondage visant à identifier, localiser et recenser tous les obstacles auxquels sont confrontées les Startups, faire suggérer et proposer les solutions pratiques qui puissent motiver et donner une dynamique adéquate au développement des Startups en Algérie, déterminer les éventuelles réformes et modifications à apporter aux lois et textes d’application en vigueur suit son cours.« le manque de synergie entre les parties prenantes : Gouvernement, Universités et Créateurs de Startup, constitue une autre difficulté au développement des startups en Algérie.
Les jeunes porteurs de projets auront également l’occasion de découvrir, durant les ateliers organiser durant la conférence nationale, les modalités de création des startups, les mesures incitatives et de soutien aux startups en matière d’assistance en ce qui concerne leur exonération des différentes opérations fiscales et parafiscale. Enfin il y a lieu de noter que selon l’avis de plusieurs experts du domaine « c’est l’esprit d’entrepreneur qui reste à développer, car on est sur un marché qui n’est pas assez mature». Les experts soulignent également que le manque de synergie entre les parties prenantes : Gouvernement, Universités et Créateurs de Startup, constitue une autre difficulté au développement des startups en Algérie et demeure une autre difficulté à l’essor de startups dans notre pays.
Mohamed Amrouni

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01/09/2019
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