ECOLE NATIONALE PRÉPARATOIRE AUX ÉTUDES D’INGÉNIORAT DE ROUIBA

ECOLE NATIONALE PRÉPARATOIRE

AUX ÉTUDES D’INGÉNIORAT DE ROUIBA

La pépinière de l’élite nationale

Créée le 18 avril 1998, l’Ecole nationale préparatoire aux études d’ingéniorat (ENPEI) est actuellement considérée comme la base arrière des compétences nationales, qu’elles soient militaires ou civiles.

Le 10e anniversaire de la création de l’ENPEI qui sera fêté demain, a été marqué par une visite guidée organisée, hier, à l’enceinte même de l’Ecole, par la Direction générale de l’établissement. Visite dirigée par le Général Halloz Abed, directeur de l’ENPEI.
L’occasion était donc pour la presse nationale, conviée pour la circonstance, de faire un tour d’horizon sur les différents départements de l’Ecole et constater de près son fonctionnement et mode de vie des élèves et personnel y exerçant. Sous la double casquette du ministère de la Défense nationale (MDN) et de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, l’ENPEI a pour mission «phare» d’assurer une formation préparatoire, comme son nom l’indique, pour l’accès aux études d’ingénieur dans des grandes écoles nationales, voire internationales.
D’une capacité d’accueil avoisinant les 400 élèves par promotion, l’Ecole offre, du point de vue des professionnels, une formation, pour le moins que l’on puise dire, parfaite à même de préparer les futures élites du pays aux grandes tâches des temps modernes.
Le «choix carrière» fait la différence de l’ENPEI des autres établissements et autres écoles de formation militaire. Comment ? «A l’issue de la formation de trois ans à l’Ecole, l’élève aura le choix d’opter pour une carrière militaire ou joindre la vie civile pour poursuivre sa formation et exercer ses fonctions», explique le lieutenant-colonel Moulay Meliani Ben Aissa, directeur des études à l’Ecole, qui a accompagné les représentants des médias au long de la visite. Cet officier supérieur fait savoir dans le même registre que «75% des élèves de l’Ecole préfèrent le choix du militaire et rares sont ceux qui optent pour le civil». Discipline, persévérance et formation adéquate sont le triptyque sur lequel s’articule le mode de fonctionnement de l’ENPEI.
A titre d’illustration, l’encadrement de l’Ecole souligne que «l’élève n’a qu’une seule chance pour refaire l’année pendant le cursus. Autrement, il sera exclu de l’Ecole». Espaces sports et animation, départements de physique, impression, salle de dessein industriel, laboratoires et une bibliothèque disposant de quelque 54 000 ouvrages de différentes spécialités, sont entre autres les principales divisions de l’ENPEI visitées par des journalistes. Divisions équipées par des moyens répondant, s’accordent à dire les officiers supérieurs de l’Ecole, aux normes internationales en la matière. «L’Ecole dispose de toutes les commodités nécessaires à la vie internat à même de permettre aux élèves de suivre leurs études dans les meilleures conditions dans un esprit de fraternité, ce qui leur facilite une adaptation avec le milieu d’études, voire professionnel dans le futur», souligne-t-on à ce propos. L’accès à l’Ecole se fait par voie de concours national ouvert à tous les bacheliers des deux sexes, de moins de 19 ans, ayant la mention «assez bien» et plus.
«L’ENPEI s’adresse à tous les Algériens sans exception et les concours d’accès se font dans la totale transparence», insiste à préciser le Général Halloz Abed, à l’issue de la visite.
M. Kechad

Créée le 18 avril 1998, l’Ecole nationale préparatoire aux études d’ingéniorat (ENPEI) est actuellement considérée comme la base arrière des compétences nationales, qu’elles soient militaires ou civiles.

Le 10e anniversaire de la création de l’ENPEI qui sera fêté demain, a été marqué par une visite guidée organisée, hier, à l’enceinte même de l’Ecole, par la Direction générale de l’établissement. Visite dirigée par le Général Halloz Abed, directeur de l’ENPEI.
L’occasion était donc pour la presse nationale, conviée pour la circonstance, de faire un tour d’horizon sur les différents départements de l’Ecole et constater de près son fonctionnement et mode de vie des élèves et personnel y exerçant. Sous la double casquette du ministère de la Défense nationale (MDN) et de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, l’ENPEI a pour mission «phare» d’assurer une formation préparatoire, comme son nom l’indique, pour l’accès aux études d’ingénieur dans des grandes écoles nationales, voire internationales.
D’une capacité d’accueil avoisinant les 400 élèves par promotion, l’Ecole offre, du point de vue des professionnels, une formation, pour le moins que l’on puise dire, parfaite à même de préparer les futures élites du pays aux grandes tâches des temps modernes.
Le «choix carrière» fait la différence de l’ENPEI des autres établissements et autres écoles de formation militaire. Comment ? «A l’issue de la formation de trois ans à l’Ecole, l’élève aura le choix d’opter pour une carrière militaire ou joindre la vie civile pour poursuivre sa formation et exercer ses fonctions», explique le lieutenant-colonel Moulay Meliani Ben Aissa, directeur des études à l’Ecole, qui a accompagné les représentants des médias au long de la visite. Cet officier supérieur fait savoir dans le même registre que «75% des élèves de l’Ecole préfèrent le choix du militaire et rares sont ceux qui optent pour le civil». Discipline, persévérance et formation adéquate sont le triptyque sur lequel s’articule le mode de fonctionnement de l’ENPEI.
A titre d’illustration, l’encadrement de l’Ecole souligne que «l’élève n’a qu’une seule chance pour refaire l’année pendant le cursus. Autrement, il sera exclu de l’Ecole». Espaces sports et animation, départements de physique, impression, salle de dessein industriel, laboratoires et une bibliothèque disposant de quelque 54 000 ouvrages de différentes spécialités, sont entre autres les principales divisions de l’ENPEI visitées par des journalistes. Divisions équipées par des moyens répondant, s’accordent à dire les officiers supérieurs de l’Ecole, aux normes internationales en la matière. «L’Ecole dispose de toutes les commodités nécessaires à la vie internat à même de permettre aux élèves de suivre leurs études dans les meilleures conditions dans un esprit de fraternité, ce qui leur facilite une adaptation avec le milieu d’études, voire professionnel dans le futur», souligne-t-on à ce propos. L’accès à l’Ecole se fait par voie de concours national ouvert à tous les bacheliers des deux sexes, de moins de 19 ans, ayant la mention «assez bien» et plus.
«L’ENPEI s’adresse à tous les Algériens sans exception et les concours d’accès se font dans la totale transparence», insiste à préciser le Général Halloz Abed, à l’issue de la visite.
M. Kechad



17/04/2008
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