Edition du Dimanche 05 Septembre 2010

  


Dilem du Dimanche 05 Septembre 2010 | Vu 6486 fois

 

LE RADAR
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 Les odeurs nausĂ©abondes Ă©manant des bennes Ă  ordures, dĂ©bordant de chaque cĂŽtĂ©, incommodent les habitants de la citĂ© des 536-Logements de SbaĂąt (Rouiba)

 


Edition du Dimanche 05 Septembre 2010

RADAR

Le ramassage des ordures en question
CitĂ© 536-logements de SbaÂt (Rouiba)

 Les odeurs nausĂ©abondes Ă©manant des bennes Ă  ordures, dĂ©bordant de chaque cĂŽtĂ©, incommodent les habitants de la citĂ© des 536-Logements de SbaĂąt (Rouiba) et des constructions environnantes, qui ne comprennent pas les raisons de l’absence d’un ramassage rĂ©gulier par les services concernĂ©s de l’APC de ces dĂ©tritus, qui s’amoncellent sur les trottoirs.
Il va sans dire que cela provoque la prolifération des moustiques et autres insectes en tous genres, qui viennent perturber la sérénité de la population.

 

 

 

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Edition du Dimanche 05 Septembre 2010

Actualité

La pharmacie du CPMC confirme leur disponibilité
MĂ©dicaments anticancer

Le ministre de la Santé rassure. La pharmacienne-chef du Centre Pierre-et-Marie-Curie (CHU Mustapha-Pache) le confirme.
Les mĂ©dicaments agissant dans le traitement du cancer, en rupture de stock, sont disponibles depuis une semaine. Les associations de cancĂ©reux demeurent sceptiques. La disponibilitĂ© des produits d’oncologie n’est pas encore perceptible.

Depuis la mi-aoĂ»t, date qui a marquĂ© l’arrivĂ©e des premiers lots de mĂ©dicaments manquants dans les officines et surtout dans les pharmacies d’hĂŽpitaux, le ministre de la SantĂ©, de la Population et de la RĂ©forme hospitaliĂšre ne cesse de le rĂ©pĂ©ter. La pĂ©nurie des 54 mĂ©dicaments, indispensables dans la prise en charge thĂ©rapeutique de maladies chroniques, notamment les cancers, est jugulĂ©e sur au moins six mois. L’État a dĂ©bloquĂ© des sommes importantes — dix milliards de dinars pour ĂȘtre prĂ©cis — pour permettre Ă  la PCH (Pharmacie centrale des hĂŽpitaux) d’importer en urgence les mĂ©dicaments en rupture de stock, depuis plusieurs mois pour certains. À telle enseigne que les associations des malades chroniques sonnaient constamment l’alerte sur l’indisponibilitĂ© d’un produit ou d’un autre. La PCH s’est chargĂ© d’approvisionner rapidement les structures hospitaliĂšres publiques. À ce titre, la pharmacienne-chef du Centre Pierre-et-Marie-Curie du CHU Mustapha-Pache, le Dr Nabchi, atteste que la situation, qui prĂ©valait par le manque de 17 produits essentiels d’oncologie, s’est nettement amĂ©liorĂ©e. “Les mĂ©dicaments sont disponibles en quantitĂ©s suffisantes, depuis une semaine. Nous avons mĂȘme reçu l’Herceptine (premiĂšre thĂ©rapie ciblĂ©e dans le cancer du sein qui, associĂ©e Ă  la chimiothĂ©rapie, augmente le taux de survie des malades, ndlr), sur lequel pesait une grande tension”, affirme notre interlocutrice.
“Le ministre a rĂ©glĂ© la majoritĂ© des problĂšmes. Nous avons commencĂ© Ă  prendre en charge les nouveaux cas, car le traitement est disponible”, poursuit Dr Nabchi. Du cĂŽtĂ© des malades ou des associations qui les reprĂ©sentent, la sortie de crise n’est pas encore tout Ă  fait visible. “Nous n’avons malheureusement aucune information officielle sur les mĂ©dicaments anticancĂ©reux en arrivage. OĂč sont-ils ? Au niveau de la PCH ? Dans les pharmacies des hĂŽpitaux ? En tant qu’association, nous aurions voulu rassurer avec plus de fermetĂ© et d’assurance les personnes dĂ©sespĂ©rĂ©es qui nous sollicitent et attendent une lueur d’espoir de notre part”, tĂ©moignent Mme Hamida Kettab et
Mme Fazilett Dif, coordinatrices de l’association El-Amel. Au-delĂ  de son actualitĂ©, la pĂ©nurie des mĂ©dicaments contre le cancer est, selon nos deux interlocutrices, “un problĂšme rĂ©current et profond puisqu’il dure depuis des annĂ©es ! C’est ce qui nous fait dire qu’il s’agit d’aller au fond du problĂšme pour rĂ©gler les dysfonctionnement structurels qui causent les ruptures de mĂ©dicaments et autres problĂšmes de prise en charge”. Elles sont rejointes dans cet avis, par des responsables dans divers organismes de pharmaciens, comme le Snapo (Syndicat national des pharmaciens d’officines) et l’Unop (Union nationale des opĂ©rateurs pharmaceutiques), qui estiment important de ne pas se limiter Ă  des solutions conjoncturelles, voire ponctuelles, mais qu’il sied de rĂ©organiser complĂštement le secteur du mĂ©dicament. Jusqu’alors, les mesures officielles ne plaident pas en faveur d’un changement positif.
DĂ©jĂ , l’instauration par la loi de finances complĂ©mentaire 2009, du crĂ©dit documentaire comme moyen exclusif de paiement des importations, y compris celles des mĂ©dicaments, est en grande partie responsable de la pĂ©nurie des produits pharmaceutiques. Autres contraintes posĂ©es, la limitation des volumes des importations imposĂ©e aux laboratoires et le gel de l’enregistrement des nouveaux produits. Ă  ce propos, le ministre de tutelle a dĂ©clarĂ© que dĂ©sormais ne seront importĂ©s que les mĂ©dicaments qui ne peuvent pas ĂȘtre fabriquĂ©s localement. Il a affirmĂ©, par ailleurs, que sur les 121 mĂ©dicaments signalĂ©s manquants sur le marchĂ© national, uniquement 54 l’étaient rĂ©ellement. “Ils ne sont pas disponibles sous leur nom commercial, mais ils le sont sous forme de gĂ©nĂ©riques”, soutient-il.

 

 

 

 

 



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Edition du Dimanche 05 Septembre 2010

Actualité

Plus de 1 400 locaux commerciaux fermés par les brigades de contrÎle
Plus de 20 000 infractions enregistrées durant le mois sacré

Les brigades de contrĂŽle et de la rĂ©pression des fraudes du ministĂšre du Commerce ont effectuĂ© durant les 20 premiers jours du mois de Ramadhan plus de 90 100 interventions Ă  travers le territoire national, donnant lieu Ă  la fermeture de 1 465 locaux commerciaux, a-t-on appris hier auprĂšs du ministĂšre. Selon un bilan Ă©tabli par la direction du contrĂŽle Ă©conomique et de la rĂ©pression des fraudes obtenu par l'APS, le nombre d'infractions constatĂ©es s'est Ă©levĂ© Ă  20 779, alors que le nombre des procĂšs-verbaux de poursuite judiciaire Ă©tait de 20 175. La mĂȘme source a prĂ©cisĂ© que la valeur des marchandises saisies par ces brigades, dont le nombre avoisine les 1 800 unitĂ©s, a atteint 15,1 millions de dinars, soulignant que la valeur des transactions commerciales sans facturation, qui a Ă©tĂ© mise au jour, a dĂ©passĂ© 2,2 milliards de DA. Pour ce qui est du contrĂŽle de la qualitĂ© des marchandises, il a Ă©tĂ© enregistrĂ© 51 232 interventions qui ont permis aux agents de contrĂŽle relevant des 48 wilayas du pays de constater 10 229 infractions, l'Ă©tablissement de 9 800 procĂšs-verbaux de poursuite judiciaire et la fermeture de 678 locaux commerciaux, ajoute-t-on. Ces opĂ©rations ont donnĂ© lieu Ă©galement, selon le bilan du ministĂšre, Ă  la saisie d'une marchandise impropre Ă  la consommation ou non conforme Ă  la rĂ©glementation en vigueur d'une valeur de 13,4 millions de DA. Sur le nombre total des infractions relatives Ă  la qualitĂ© des produits constatĂ©es durant les 20 premiers jours de Ramadhan, 48% Ă©taient liĂ©s Ă  l'absence de l'hygiĂšne, soit
4 956 infractions, suivies par la vente de produits impropres Ă  la consommation avec 1  046 infractions, soit 10%. Quant au dĂ©faut d'Ă©tiquetage, l'absence de l'autocontrĂŽle dans des unitĂ©s de production et l'opposition aux agents de contrĂŽle reprĂ©sentent 15% du nombre global des infractions Ă  la qualitĂ© des produits, selon les donnĂ©es du ministĂšre. S'agissant du contrĂŽle des pratiques commerciales, 10 555 infractions ont Ă©tĂ© enregistrĂ©es et 10 375 procĂšs-verbaux de poursuite judiciaire ont Ă©tĂ© Ă©tablis ainsi que la fermeture de 787 locaux selon le bilan qui fait Ă©tat de la saisie de quantitĂ©s de marchandises Ă©valuĂ©es Ă  1,7 million de DA.


Edition du Dimanche 05 Septembre 2010

Actualité

Les hémophiles nécessitent une meilleure prise en charge
Le prĂ©sident de l’association l’a rĂ©affirmĂ© hier Ă  Alger

Les hĂ©mophiles ont besoin d’une meilleure prise en charge, avec notamment la mise en place de structures dotĂ©es des Ă©quipements nĂ©cessaires pour le traitement de ces malades “trĂšs vulnĂ©rables”, a soulignĂ© hier Ă  Alger M. Noureddine Ben Ikhlef, prĂ©sident de l’Association algĂ©rienne d’hĂ©mophilie (AAH). “Une meilleure prise en charge des hĂ©mophiles est indispensable, car ils sont quotidiennement confrontĂ©s Ă  des difficultĂ©s pour l’acquisition de mĂ©dicaments ou pour recevoir leurs traitements”, a affirmĂ© M. Ben Ikhlef, lors d’une rencontre de solidaritĂ© avec ces malades. Le prĂ©sident de l’AAH a fait part d’“un manque de structures capables de prendre en charge les 1 500 hĂ©mophiles que compte le pays, et parmi lesquels figurent 700 cas sĂ©vĂšres”, expliquant que “ces malades doivent toujours se dĂ©placer au centre de BouzarĂ©ah pour recevoir des traitement dans des conditions difficiles”. Il a Ă©galement notĂ© que “de nombreux malades ont Ă©tĂ© affectĂ©s par l’hĂ©patite C, suite Ă  des contaminations lors de traitements, et dont le nombre est de 300”. Évoquant toujours les difficultĂ©s des hĂ©mophiles, M. Ben Ikhlef a relevĂ© que “plusieurs enfants atteints de cette maladie, en particulier ceux des wilayas de l’intĂ©rieur du pays, Ă©chouent dans leurs Ă©tudes pour avoir ratĂ© les cours Ă  cause des dĂ©placements rĂ©pĂ©titifs pour se soigner”. Il a rappelĂ© Ă  cet Ă©gard “la nĂ©cessitĂ© d’apporter une assistance Ă  ces malades, avec en premier lieu la crĂ©ation d’un centre national autonome dotĂ© de tous les services (dentaire, analyses mĂ©dicales, rĂ©Ă©ducation, radiologie...) et des moyens qui permettent une rĂ©elle prise en charge des patients”. Par ailleurs, cette rencontre de solidaritĂ© a Ă©tĂ© marquĂ©e par la projection d’un film documentaire sur l’hĂ©mophilie, afin de faire connaĂźtre Ă  l’assistance la maladie et comment la traiter. Des dons ont Ă©tĂ© Ă©galement distribuĂ©s Ă  70 familles nĂ©cessiteuses, dont plusieurs comptent en leur sein des hĂ©mophiles.


www.liberte-algerie.com

 
 


05/09/2010
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