Edition du Jeudi 19 Août 2010Jeudi 19 Août 2010

Jeudi 19 Août 2010


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Actualité
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Tout en relevant que les moyens de la Gendarmerie nationale et de la DGSN ont été renforcés, le chef de l'État estime que les "autorités concernées à tous les niveaux de l'État" ont le devoir de "veiller fermement à la préservation de l'ordre public en toute circonstance

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Par : B. Amira
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Un jeune homme, N. N.,  âgé de 31 ans, a été pris en flagrant délit de corruption aux portes du service central de l'état civil d'Oran. Ce dernier, ne travaillant même pas dans ce service, est pourtant un des personnages qui font partie du décor quotidien.


Par : A. C.
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Avocat du FLN pendant la guerre de libération nationale et premier ministre de la Justice de l'Algérie indépendante, Me Amar Bentoumi, a appelé, hier, à faire du 20 août une journée de solidarité entre les deux peuples algérien et marocain.


Par : Yahia Arkat
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 Le député RCD et vice-président de l'Assemblée populaire nationale (APN), Nordine Aït Hamouda, a remis, hier, des centaines d'archives au directeur du musée historique de la wilaya III


Par : K. REGUIEG-YSSAAD
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Plus de 160 jeunes candidats à l'émigration clandestine ont été portés disparus au cours de l'année en cours, avons-nous appris, hier, de source sécuritaire.

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Le nouveau secrétaire général du Syndicat national des personnels de l'administration publique (Snapap) M. Rabah Smaïl, a animé, hier, au siège de son organisation à Alger, une conférence de presse afin de présenter les documents prouvant la conformité de son élection et celle du bureau national.


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C'est devenu un réflexe chez les contrebandiers et les narcotrafiquants qui, au moment de leur interpellation, recourent aux armes et, à défaut


Par : MaÂlem Hafid
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 Huit personnes ont été placées sous mandat de dépôt, hier, par le procureur près le tribunal de Tébessa, suite aux émeutes qui ont secoué, la veille, les quartiers de la gare et douar El-Gorba relevant de la daïra d'El-Kouif.


Par : M. T.
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Deux mois après la reddition de l'"émir" Touati Othmane, alias Abou El-Abbas, juge de la zone 2 et bras droit de Droukdel, un autre "émir" vient de se livrer aux autorités. I


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Seules 123 boulangeries sur un total de 1 172 et 31 stations de pompage sur les 182 relevant de la Seaal ont été touchées par les récentes coupures d'électricité, selon le P-DG de la Société de distribution d'électricité et de gaz d'Alger.

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Par : B. Badis
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Le site d'ArcelorMittal Annaba a été le théâtre, hier, d'un violent affrontement entre les membres du syndicat d'entreprise avec à leur tête Smaïn Kouadria et ceux du comité de participation.


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 Parce que le mois sacré de Ramadhan est celui de toutes les communications, Allo OTA offre 50% de bonus pour tout rechargement effectué à partir de 250 DA   sans condition ni limite!


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L'Exécutif compte mettre de l'ordre dans les activités des agences de tourisme et de voyages.

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Par : DJAZIA SAFTA
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Le retour aux bancs de l'école pour la rentrée 2010-2011 est fixé pour le 13 septembre, a annoncé le ministère de l'Éducation nationale dans un communiqué rendu public, hier.


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"Mille et une news", la deuxième édition des soirées du journal Algérie News, a rendu un vibrant hommage au chercheur algérien M'hamed Boukhobza, dans la soirée du mardi au mercredi.


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C'est finalement le professeur Ahmed Bastandji, oncologue, pédiatre au CHU d'Annaba, qui a été désigné par la Fédération internationale de thalassémie (TIF) représentant officiel de l'Algérie

 


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Actualité

160 jeunes portés disparus
Bilan de l'émigration clandestine

Par : K. REGUIEG-YSSAAD


Plus de 160 jeunes candidats à l'émigration clandestine ont été portés disparus au cours de l'année en cours, avons-nous appris, hier, de source sécuritaire.

Ce chiffre alarmant renseigne sur l'ampleur du phénomène qui s'est accentué dans la wilaya d'Oran. Les mesures prises par les services de sécurité pour palier l'émigration clandestine ne semblent pas décourager pour autant les jeunes audacieux qui risquent leur vie.
Notre source indique que 67 jeunes, tous âgés de moins de 30 ans, ont été arrêtés cette année. Ils tentaient de quitter le territoire national en empruntant la voie de la mer. La même source affirme que pas moins de 42 tentatives d'embarcation ont été avortées par les différents corps de sécurité à la même période.
En 2009, un nombre de 241 candidats à l'émigration clandestine ont été interceptés en haute mer par les éléments de la Marine nationale. Les programmes sociaux de soutien ont permis à une soixantaine de ces jeunes désoeuvrés de poursuivre une formation professionnelle. Une trentaine parmi eux ont pu réaliser des microentreprises au niveau des localités d'Oran, d'Es-Sénia et de Bir El-Djir.
Dans cet ordre d'idées, une vingtaine de jeunes vont bénéficier d'un programme similaire de création de microentreprise. Selon une source proche du Croissant-Rouge algérien (CRA), une cellule a été mise sur pied à l'effet de recevoir les doléances des familles des jeunes disparus dans des conditions non expliquées. Le chiffre pourrait être revu à la hausse, compte tenu du nombre sans cesse croissant des jeunes qui disparaissent en haute mer, ajoute-t-on de même source. En dépit du tour de vis des pouvoirs publics et la mobilisation des États européens dans la lutte contre l'émigration clandestine, les candidats à cette dernière continuent de prendre le cap vers le Nord à partir des plages oranaises. Pas plus tard que la semaine dernière, deux embarcations ont quitté une plage de Bousfer avec,, à leur bod, une vingtaine de jeunes.
Ces derniers, qui ont réussi la traversée, ont accosté dans la crique de Capo de Gata, une échancrure rocailleuse qui s'ouvre sur un maquis sylvicole peu surveillé par les éléments de la Guardia civile espagnole, apprend-on. Il y a lieu de rappeler que ces jeunes clandestins ont embarqué à bord des zodiacs Mac 40, semi-rigides, difficilement repérables aussi bien par les radars que par contact visuel via les instruments conventionnels (jumelles ou autres). Pour ajouter au marasme des parents, le sort de seize harragas partis en mer depuis le 9 décembre 2009 reste toujours inconnu. Par ailleurs, 23 autres candidats à l'émigration clandestine, dont six mineurs, ont été récemment interceptés au large des côtes d'Oran par les gardes-côtes algériens.


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Actualité

Sonelgaz se défend
Coupures d'électricité et d'eau et pénurie de pain à Alger

Seules 123 boulangeries sur un total de 1 172 et 31 stations de pompage sur les 182 relevant de la Seaal ont été touchées par les récentes coupures d'électricité, selon le P-DG de la Société de distribution d'électricité et de gaz d'Alger.

Le P-DG de la Société de
distribution d'électricité et de gaz d'Alger (SDA), filiale du groupe Sonelgaz, M. Boussourdi, estime que les coupures d'électricité dont ont été victimes, récemment, les boulangers et les stations de pompage et de forage d'eau ne sont pas la seule cause des perturbations enregistrées dans la fabrication de pain et la production d'eau. Selon les chiffres qu'il a avancés, sur les 1 172 boulangers recensés dans la capitale, seuls 123, soit 11%, ont été touchés par ces coupures de courant durant plus d'une heure. En outre, 31 stations de pompage relevant de la Seaal, en activité à Alger, ont été touchées par ce problème sur un total de 182, soit un taux de 17% seulement. "Avec de telles statistiques et données, peut-on dire que les coupures sont à l'origine de la pénurie de pain ou des perturbations sur le réseau d'alimentation en eau potable à Alger ?", s'est interrogé
M. Boussourdi, qui qualifie ces chiffres de minimes tout en promettant de prendre en charge le phénomène.
Pour le P-DG, l'incident s'est produit dans la nuit du vendredi à samedi derniers et qui a été provoqué par un orage intense engendrant des perturbations sur le réseau. Les mêmes dégâts ont été signalés à Boumerdès, qui dépend de la SDA, où seules 56 stations ont été concernées sur 168 et 76 boulangers sur un total de 179. Idem à Tipasa, avec 34 boulangers ayant fait l'objet de coupures sur 170. Le P-DG de la SDA a souligné que son entreprise a contracté des polices d'assurance pour faire face à la détérioration des équipements de sa clientèle. En termes plus clairs, c'est à la compagnie d'assurance d'indemniser les clients en fonction des résultats de l'expertise.
En revanche, explique-t-il au cours d'une conférence qu'il a animée hier, si le client sent que sa production est sensible ou stratégique pour le bien du consommateur, il n'a qu'à contracter une police d'assurance. Mieux, il lui serait préférable d'installer une deuxième ligne électrique de secours qu'il utilisera en cas de défaillance de la première. M. Boussourdi tient à préciser, par ailleurs, qu'à l'issue de la réunion tenue avec les boulangers en 2009, il n'a jamais été question, tel que rapporté par l'association des boulangers, d'offrir ou de vendre des groupes électrogènes à ces commerçants. "Ce n'est pas notre vocation", indique-t-il. Ces coupures d'électricité, faut-il le préciser, ont comme conséquence directe le manque d'eau puisque les stations de pompage fonctionnent avec de l'énergie électrique.
Du coup, ce sont des milliers de citoyens qui sont privés d'eau potable. La Société des eaux et de l'assainissement d'Alger (Seaal) a, rappelle-t-on, dégagé toute sa responsabilité quant à ces coupures. La société indique que la forte perturbation de l'alimentation en eau potable enregistrée dans des communes d'Alger ces derniers jours, résulte de "difficultés rencontrées pour transporter durablement, l'énergie électrique jusqu'aux ouvrages (le pompage,…".
Ce qui a poussé d'ailleurs, le P-DG de la SDA a apporter des précisions dans ce sens, au cours de sa rencontre, hier, avec la presse. Le premier responsable de la SDA a évoqué également la problématique des agressions par des individus sur le réseau électrique qui a atteint des proportions alarmantes. Rien qu'en 7 mois, c'est-à-dire entre janvier et juillet derniers, 109 agressions ont été déplorées dans la capitale suite à des travaux divers, de construction et différents jets de pierres... Un seul acte de ce genre, regrette-t-il, peut occasionner des coupures de courant à quelque 10 000 abonnés. Pour réduire un tant soit peu toutes ces perturbations et faire face aux incidents qui surgissent quotidiennement sur le réseau de l'électricité et celui du gaz, la SDA poursuit son programme d'investissement. Depuis 2009 à ce jour, elle a installé des postes de haute tension dans les communes de Birkhadem, Dély-Ibrahim et Mazafran. Un autre poste de même capacité sera mis en place prochainement dans la commune de Draria.

www.liberte-algerie.com

  

 


 


Dilem du Jeudi 19 Août 2010 | Vu 317 fois

LE RADAR
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L’Union de cyclisme internationale (UCI) vient d’adresser un nouveau rappel à l’ordre au bureau actuel de la Fédération algérienne de cyclisme pour lui rappeler que “les statuts de votre fédération ne sont pas toujours conformes aux statuts et règlements de l’UCI”.


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Des habitants de Hussein-Dey nous ont appelés pour nous signaler que l’eau qui coule dans leurs robinets ces derniers temps “a un goût fade”


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Le ministre des Affaires religieuses à beau se répandre en déclarations pour expliquer que la viande importée d’Inde est conforme aux rites islamiques, l’Institut Pasteur a beau essyer de rassurer que cette viande répond aux normes de qualité, il se trouve toujours des grincheux pour chercher à prêcher le contraire. Comme pour cet imam de la mosquée Okba-Bnou-Nafaâ de Slim, (M’sila) lequel, dans un prêche, a recommandé aux fidèles de ne pas consommer cette viande au prétexte qu’elle n’est pas hallal.

 


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 Pour sa grille du Ramadhan, Berbère Télévision tente de varier son menu. Jeudi à 21h30 (heure algérienne), il sera question d’histoire


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Un Chinois a fait breveter un lit de son invention qui assure, selon lui, une protection totale à son occupant en cas de séisme.


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L’année dernière, l’ambassade de Chine à Alger a été le cadre (somptueux) de dix mariages collectifs de Chinois vivant en Algérie.


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Le ministre de l’Éducation nationale, M. Boubekeur Benbouzid, a souligné hier que le manque d’enseignants de français ne dépasse pas actuellement le 1% au niveau national et cela en marge d’une rencontre avec les directeurs de l’éducation des wilayas du Sud


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 Le groupe Amor Ben Amor, à travers son entreprise de conserve CAB, spécialisée dans la transformation des produits en conserve (tomate, h’risa et abricot)

 


Edition du Jeudi 19 Août 2010

Editorial

Le syndrome du sachet noir

Il sera facile de jeter la pierre aux sociétés de ramassage des ordures ménagères, mais loin s’en faut les coupables sont bien les algériens que rien n’intéresse hormis leur territoire intra-muros.

L’Algérien aime-t-il la saleté ? À simple question, réponse tranchante : oui.
Sinon comment expliquer ces amoncellements d’ordures qui s’érigent comme des stèles dans la plupart des villes, centres urbains compris ? Et sans que ce spectacle ne dérange personne, comme s’il faisait partie de notre paysage quotidien. Ce syndrome du sachet noir qui consiste à laisser un sachet de détritus quelque part pour que le lendemain on en trouve une dizaine, même si l’endroit n’est pas approprié, se généralise à tel point que tous les espaces en sont occupés.
Il sera facile de jeter la pierre aux sociétés de ramassage des ordures ménagères mais loin s’en faut les coupables sont bien les algériens que rien n’intéresse, hormis leur territoire intra-muros, c’est-à-dire chez eux. Il utilise un cendrier chez lui mais écrase sa cigarette du pied au bureau ! Il utilise la poubelle chez lui mais jette sa canette de soda par-dessus bord, en pleine autoroute.
Le problème est plus grave, il dépasse l’incivisme et a gangrené la mentalité. L’algérien ne se considère chez lui que chez lui ; l’extérieur, pensant ne pas pouvoir se l’approprier comme espace de proximité et de partage, devient un “bien vacant”, libre d’y faire ce que l’on veut. Ce que, paradoxalement, il ne fait pas quand il se trouve dans un pays étranger où il devient plus méticuleux que les autochtones.
De l’autre côté du décor, demeure la responsabilité des pouvoirs publics qui va des maires aux walis qui se rejettent la balle, oubliant qu’ils sont les premiers responsables de la cité et qu’ils ont le pouvoir de prendre des arrêtés, aussi coercitifs fussent-ils. Les banderoles suspendues en guenilles “Pour une ville propre” relèvent plus de l’humour noir que de la provocation et les journées de pseudo-sensibilisation de folklore.
Cette saleté, qui prend possession de la ville en gangrenant les rues, est devenue un véritable fléau qui peut entraîner des maladies ailleurs disparues.
Faut-il attendre un conseil du gouvernement ou des ministres qu’il inscrive à son ordre du jour ce point pour que la machine se mette en branle ? Ce n’est pas impossible.

O. A.
abrousliberte@gmail.com


www.liberte-algerie.com



 

 

 



19/08/2010
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