Edition du Mardi 19 Avril 2011

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   MARDI  19 Avril 2011

 

 

 

 

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TuesdayAVRIL 19 ,2011


MARDI  19 AVRIL 2011

ÇáËáÇËÇÁ 19ÃÝÑíá 2011    mardi 19 avril 2011
 

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Chronique

Discours et réalité
 

“L’enjeu national majeur Ă©tait, au dĂ©but de la dĂ©cennie Ă©coulĂ©e, d'Ă©teindre le feu de la fitna, d’Ɠuvrer au rĂ©tablissement de la paix et de la concorde et de consacrer la rĂ©conciliation nationale.” Ainsi dĂ©butait le discours Ă  la nation du prĂ©sident de la RĂ©publique. Cette fois encore, l’argument de “la paix revenue”, celui par lequel se lĂ©gitime le rĂ©gime Bouteflika et se justifient les retards de mise en Ɠuvre, lui a fait dĂ©faut.
Pendant que des militaires se faisaient massacrer Ă  Azazga, on entendait ce discours magique : “AprĂšs le recouvrement de la paix et de la sĂ©curitĂ©, le lancement de programmes de dĂ©veloppement ambitieux et la levĂ©e de l'Ă©tat d'urgence, j'ai dĂ©cidĂ© de parachever cette dĂ©marche par un programme de rĂ©formes politiques, visant Ă  approfondir le processus dĂ©mocratique.”
En douze ans, l’ordre de prioritĂ© du programme prĂ©sidentiel n’a pas changĂ© : la paix, le dĂ©veloppement, la dĂ©mocratie. Tour Ă  tour concomitants ou successifs, les volets sĂ©curitaire, socioĂ©conomique et politique ont constituĂ© l’ossature immuable du discours officiel, tantĂŽt comme autant de fictives rĂ©alisations, tantĂŽt comme autant de vaines promesses. Dans la premiĂšre version, ils servent Ă  lĂ©gitimer le temps passĂ© au pouvoir ; dans la seconde, ils justifient le temps qui reste Ă  y passer. Dans les deux cas, le programme, rĂ©alisĂ© ou Ă  rĂ©aliser, n’est que prĂ©texte Ă  s’éterniser.
Le dernier discours Ă  la nation n’échappe pas Ă  cette fonction instrumentale de la parole officielle. Malheureuses coĂŻncidences : les faits se sont acharnĂ©s Ă  dĂ©savouer le propos du PrĂ©sident, qu’il s’agisse de la paix dĂ©mentie par les attentats d’Azazga et d’Ammal, de la libertĂ© d’expression contredite par les observations du rapporteur spĂ©cial de l’ONU qui passait par-lĂ  ou des progrĂšs sociaux dĂ©niĂ©s par les actions revendicatives qui se prolongent.
On peut dire, au vu de la distance qui sĂ©pare le discours de la rĂ©alitĂ©, que l’acharnement verbal n’a d’égal que l’obstination des faits. L’abstention Ă©lectorale rĂ©Ă©ditĂ©e aurait pourtant dĂ» convaincre notre pouvoir de la vanitĂ© de cette forme de rĂ©sistance Ă  la demande d’évolution politique.
Alors que le PrĂ©sident a dĂ» remanier la Constitution pour se libĂ©rer de la contrainte d’alternance au pouvoir, il trouve tout de mĂȘme motif Ă  louer le systĂšme : “Le pluralisme politique”, bien que contrariĂ© par l’usage de la fraude d’État, la pratique des “quotas”, le contrĂŽle clientĂ©liste du personnel politique et le monopole du verrouillage, est prĂ©sentĂ© comme une attestation de dĂ©mocratie. Alors que l’État s’apprĂȘte Ă  organiser “le pluralisme audiovisuel” dans le monopole, il trouve dans “la diversitĂ©â€ des mĂ©dias — de papier — un signe dont nous devrions tirer fiertĂ©.
Cette conception restrictive de la démocratie laisse augurer de la qualité des réformes annoncées.
Le discours officiel frappe par sa dĂ©connexion des rĂ©alitĂ©s nationales et des exigences, non seulement du peuple, mais de l’époque, tout simplement. AprĂšs cette intervention, on ne pourra plus dire que “l’AlgĂ©rie n’est pas la Tunisie, ni l’Égypte ni
.” La premiĂšre allocution de crise du PrĂ©sident inaugure le mĂȘme cycle de discours des chefs d’État de ces pays : ils ont tous commencĂ© par contester la nature politique de la crise et par annoncer quand mĂȘme des “rĂ©formes”.
Nous faudra-t-il aussi passer par les Ă©tapes suivantes ?

M. H.
musthammouche@yahoo.fr         



Edition du Mardi 19 Avril 2011

Actualité

La banque d’AlgĂ©rie durcit le dispositif
Lutte contre l’émission de chĂšques sans provision

Par : Meziane Rabhi 


La banque d’AlgĂ©rie, dans une instruction n°01-11 du 9 mars 2011, vient de prĂ©ciser les modalitĂ©s d’application  du rĂšglement n°08-01 du 20 janvier 2008 relatif au dispositif de prĂ©vention et de lutte contre l’émission  de chĂšques sans provision.

L’instruction fixe le dispositif de centralisation des informations relatives aux incidents de paiement de chĂšques pour dĂ©faut ou insuffisance de provision et leur diffusion auprĂšs des Ă©tablissements dĂ©clarant pour consultation et exploitation, notamment lors de la dĂ©livrance du premier chĂ©quier Ă  leur client. Le dispositif s’articule autour des obligations qui s’imposent, aux banques, au TrĂ©sor et aux services financiers d’AlgĂ©rie Poste, Ă  l’occasion de l’ouverture de compte et avant la dĂ©livrance du premier chĂ©quier ; lors de la survenance d’incident de paiement pour absence ou insuffisance de provision et lors de la diffusion de la liste mise Ă  jour des interdits de chĂ©quiers par la centrale des impayĂ©s. La banque d’AlgĂ©rie souligne, dans son instruction, que les banques, le TrĂ©sor et les services financiers d’AlgĂ©rie Poste doivent, prĂ©alablement Ă  la dĂ©livrance du premier chĂ©quier au client, consulter le fichier des interdits de chĂ©quiers de la centrale des impayĂ©s de la Banque d’AlgĂ©rie. Cette consultation obligatoire vise Ă  fournir aux Ă©tablissements des informations sur l’identitĂ© de toute personne frappĂ©e d’interdiction d’émettre des chĂšques et sur la date d’expiration de la mesure prise Ă  son encontre. L’instruction fait Ă©tat de l’obligation de dĂ©clarer Ă  la Banque d’AlgĂ©rie tout incident de paiement pour absence ou insuffisance de provision, dans les quatre jours ouvrables suivant la date de prĂ©sentation du chĂšque, quel que soit son mode de prĂ©sentation au rĂšglement. Chaque incident de paiement doit faire l’objet d’une dĂ©claration sĂ©parĂ©e. Les banques, le TrĂ©sor et les services financiers d’AlgĂ©rie Poste doivent aussi dĂ©clarer toute rĂ©gularisation d’incident de paiement et toute interdiction d’émettre des chĂšques. “Les dĂ©clarations relatives aux incidents de paiement de chĂšques dĂ»ment contrĂŽlĂ©es et validĂ©es devront faire l’objet de remises centralisĂ©es Ă  la Banque d’AlgĂ©rie dans les dĂ©lais rĂ©glementaires requis, sur support magnĂ©tique exploitable et/ou Ă  distance (on line)”, prĂ©cise la Banque d’AlgĂ©rie. DĂšs la survenance du premier incident de paiement de chĂšque pour absence ou insuffisance de provision dĂ»ment constatĂ©e, l’établissement tirĂ© doit adresser Ă  l’émetteur de chĂšque, par lettre recommandĂ©e avec accusĂ© de rĂ©ception, au plus tard le quatriĂšme jour ouvrable suivant la date de prĂ©sentation du chĂšque, une lettre d’injonction. 
Par cette lettre d’injonction, l’établissement tirĂ© informe le titulaire du compte de la nĂ©cessitĂ© de rĂ©gulariser l’incident de paiement dans un dĂ©lai de dix jours Ă  compter de la date d’envoi de la lettre d’injonction, de la dĂ©claration Ă  la centrale des impayĂ©s de la Banque d’AlgĂ©rie de l’incident de paiement et de la remise au bĂ©nĂ©ficiaire ou Ă  l’établissement prĂ©sentateur du chĂšque d’un certificat de non-paiement. À dĂ©faut de rĂ©gularisation de l’incident de paiement, le tirĂ© doit prononcer Ă  l’encontre du titulaire du compte une interdiction d’émettre des chĂšques pour une durĂ©e de 5 ans Ă  compter de la date d’injonction et adresser au titulaire du compte une lettre d’injonction pour rĂ©gularisation de l’incident de paiement par la constitution d’une provision suffisante et disponible avec acquittement de la pĂ©nalitĂ© libĂ©ratoire prĂ©vue par le code de commerce, et ce, dans un dĂ©lai de 20 jours, Ă  compter de l’expiration du premier dĂ©lai lĂ©gal. À dĂ©faut de rĂ©gularisation du premier incident de paiement ou du second incident constatĂ© dans les 12 mois suivant, le premier incident de paiement rĂ©gularisĂ©, des poursuites pĂ©nales sont engagĂ©es Ă  l’encontre de l’émetteur de chĂšque impayĂ© conformĂ©ment aux dispositions du code pĂ©nal.

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Edition du Mardi 19 Avril 2011

Actualité

Des syndicalistes dénoncent les dérives de deux responsables aux douanes
Ils ont Ă©crit une lettre au ministre des Finances

“NĂ©potisme, rĂ©gionalisme et favoritisme” caractĂ©risent l’institution des douanes qui traverse une vĂ©ritable crise, selon une lettre signĂ©e par des syndicalistes adressĂ©e au ministĂšre des Finances. 
Ils mettent en cause, selon la missive, deux responsables au niveau central. Le directeur des ressources humaines et le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de la section syndicale. Ils les accusent de complicitĂ© dans les dĂ©rives que connaĂźt l’institution.     “Depuis son installation, ce dernier (le DRH) rĂšgne en maĂźtre absolu des lieux, faisant fi de tous les lois et rĂšglements rĂ©gissant l’administration des douanes, son implication dans l’affectation aux postes sensibles des fonctionnaires issus de sa rĂ©gion malgrĂ© leur niveau de compĂ©tence limitĂ©, son ingĂ©rence dans les prĂ©rogatives des responsables des services extĂ©rieurs crĂ©ant ainsi un dĂ©sordre hiĂ©rarchique”, lit-on dans la lettre. Il lui est reprochĂ© Ă©galement, en sa qualitĂ© de prĂ©sident des commissions paritaires, d’avoir accaparĂ© “des pouvoirs de rĂ©vocation, de promotion et de mutation” malgrĂ© les avis diffĂ©rents des membres desdites commissions. Les syndicalistes appellent le ministre Ă  mettre en place une commission d’enquĂȘte sur “les graves manquements et anomalies constatĂ©s”. 
Sa complicitĂ© avec le patron de la fĂ©dĂ©ration syndicale se manifeste par des recommandations de ce dernier accordant le droit au DRH de sanctionner les reprĂ©sentants syndicaux lĂ©gaux.  Ainsi les signataires de la lettre prĂ©conisent le recours dans un premier temps Ă  une action de rue en organisant un rassemblement devant le siĂšge de la direction gĂ©nĂ©rale Ă  Alger. Les signataires dĂ©noncent ainsi ces deux responsables de gĂ©rer les recrutements sur le seul critĂšre rĂ©gionaliste. 
Ils Ă©numĂšrent, Ă©galement, une sĂ©rie de d’anomalies, de dĂ©rapages et de dĂ©passements commis par les deux responsables qui ont transformĂ© les douanes en “douar privĂ©â€. 
Les reprĂ©sentants lĂ©gaux des travailleurs n’ont pas Ă©tĂ© associĂ©s Ă  l’élaboration du statut particulier, texte qui n’est toujours pas promulguĂ© malgrĂ© sa publication, il y a plus de six mois, relĂšvent-ils. Il est reprochĂ© au secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral sa prise de dĂ©cision unilatĂ©rale tout en relevant un vice de forme dans le renouvellement des commissions paritaires. Il s’est rendu coupable, selon eux, de harcĂšlement et de suspension de syndicalistes. Cela va jusqu’au chantage et Ă  la manipulation qu’il exerce sur ces syndicalistes des sections contestataires. Le but, est-il notĂ©, est de provoquer la division afin d’affaiblir le syndicat des douanes. Le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral s’est mĂȘme substituĂ© Ă  la Centrale UGTA dans la convocation et la crĂ©ation de coordinations dont il s’assure l’allĂ©geance et le soutien ainsi que la dĂ©signation de la commission des Ɠuvres sociales en violation de la loi. Et enfin, sa compromission avec l’administration dans les recrutements, les mutations et les promotions. 

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Edition du Mardi 19 Avril 2011

 

Actualité

Des visiteurs de qualité au stand Djezzy au Sicom
CommuniquĂ© d’OTA


 

 Le stand Djezzy connaĂźt une grande affluence au 20e salon international de l’informatique, de la bureautique et de communication (Sicom) qui a ouvert ses portes le 17 avril et qui est placĂ© sous le haut patronage du ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication et celui de la Communication.
En effet, dĂšs l’ouverture du stand Djezzy, c’est un dĂ©filĂ© ininterrompu d’hommes d’affaires, de VIP qui visitent le stand oĂč les meilleures solutions entreprises sont prĂ©sentĂ©es par une Ă©quipe aussi professionnelle qu’accueillante et dynamique. Ainsi, la fameuse offre CrĂ©dit Flotte a Ă©tĂ© trĂšs apprĂ©ciĂ©e par les chefs d’entreprise qui ne la connaissaient pas. Ils ont compris tout le bĂ©nĂ©fice qu’ils pouvaient retirer en termes d’économie et de gestion optimale de leur budget de tĂ©lĂ©phonie mobile. La solution Black Berry, dont Djezzy est le pionnier en AlgĂ©rie, a Ă©tĂ© Ă©galement apprĂ©ciĂ©e par les visiteurs. La solution Djezzy offre le Black Berry dans toute sa dimension et son efficacitĂ©, car elle intĂšgre aussi le roaming ainsi qu’un certain nombre d’options indispensables Ă  tout responsable qui voudrait rester connectĂ©, oĂč qu’il soit, Ă  son entreprise. D’autres solutions sur mesure, convenant Ă  nombre de gestionnaires exigeants, ont Ă©tĂ© exposĂ©es par les Ă©quipes du leader de la tĂ©lĂ©phonie mobile. 
Un certain nombre d’invitĂ©s reconnus pour leur fidĂ©litĂ© ont pu bĂ©nĂ©ficier d’un cadeau souvenir signĂ© des mains de l’artiste Boumahdi Mohamed. D’ici le 23 avril, date de la clĂŽture du Sicom, les Ă©quipes de Djezzy sont au service de tout patron d’entreprise dĂ©sireux de connaĂźtre les offres et les solutions lui permettant d’avoir Ă  la fois un avantage sur la concurrence et d’ĂȘtre toujours Ă  la pointe de ce qu’il y a de mieux en matiĂšre de tĂ©lĂ©phonie mobile.     



19/04/2011
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Edition du Mardi 19 Avril 2011

Sport

Les kabyles Ă  l’arrachĂ©
Coupe d’AlgĂ©rie demi-finale : JSK 2 – MCO 1

DĂ©cidĂ©ment, il n’y a que la Coupe d’AlgĂ©rie, Ă©preuve populaire par excellence, qui est capable de susciter autant d’ambiance et de ferveur dans une ville. MalgrĂ© la distance et les alĂ©as de la route, ils Ă©taient des milliers de supporters oranais Ă  avoir littĂ©ralement envahi la ville de Tizi Ouzou, dĂšs les premiĂšres heures de la matinĂ©e provoquant ainsi un boucan terrible au centre-ville de Tizi Ouzou pour planter le dĂ©cor d’une journĂ©e pas comme les autres et tout cela sous le regard complice et bon enfant des citoyens de Tizi Ouzou et des supporters locaux quelque peu surpris dans leur sommeil matinal. En tout cas, c’était de bonne guerre pour vivre pleinement cette vĂ©ritable finale avant la lettre entre la JSK et le MCO.
Dans l’hystĂ©rie qui a prĂ©cĂ©dĂ© l’arrivĂ©e des supporters hamraouis dans la ville des genĂȘts, l’on a malheureusement enregistrĂ© un accident regrettable qui a coĂ»tĂ© la vie Ă  un supporter oranais qui Ă©tait juchĂ© sur le toit d’un bus et qui a tragiquement percutĂ© le fronton d’un tunnel au centre-ville. C’est dire que les supporters oranais ont alors ralliĂ© le stade du 1er-Novembre dans la douleur et l’émotion alors que les supporters kabyles partageaient amplement leur compassion.
Ce regrettable incident aura jetĂ© l’émoi dans toute la ville de Tizi Ouzou et cela aura quelque peu dĂ©teint sur l’intĂ©rĂȘt de la rencontre encore que les vingt-deux acteurs ont finalement investi tous leurs efforts dans cette demi-finale explosive entre deux spĂ©cialistes de Dame Coupe, puisque les deux clubs pouvaient se targuer d’avoir disputĂ© Ă  eux deux la bagatelle de quatorze finales de Coupe d’AlgĂ©rie (8 pour la JSK et 6 pour le MCO), chacune des deux formations ayant dĂ©jĂ  remportĂ© quatre trophĂ©es par le passĂ© tout en aspirant Ă  amĂ©liorer cette annĂ©e encore un palmarĂšs fort Ă©logieux du cĂŽtĂ© kabyle comme du cĂŽtĂ© oranais. Et pour mordre dans cette farouche empoignade, les deux Ă©quipes en prĂ©sence entrĂšrent dans le vif du sujet dĂšs le coup d’envoi sifflĂ© par l’arbitre international, M. Bichari. Ce fut la JSK qui porta prĂ©cocement le danger dans le camp oranais et le gardien Fellah est obligĂ© de sortir le grand jeu pour enrayer deux occasions de but de Hamiti et Tedjar. Sur le corner qui s’on est suivi, le dĂ©fenseur Khelili rĂ©ussira Ă  battre Fellah d’une belle tĂȘte croisĂ©e (9’).
La JSK met la grosse pression, face Ă  une dĂ©fense oranaise quelque peu fĂ©brile, Hamiti aurait pu doubler la mise, si sont tir n’avait pas Ă©tĂ© dĂ©viĂ© par Ouasti, qui a failli prendre son propre gardien Ă  contre pied (15’). Le MCO ne baisse pas les bras et rĂ©pond du tac au tac pour obtenir aussitĂŽt l’égalisation tant espĂ©rĂ©e. Sur un coup franc direct, Ă  la limite de la surface de rĂ©paration, Burradja a transpercĂ© la muraille kabyle, et l’infortunĂ© Berrefane laissera le cuir lui filĂ© entre les jambes (23’). C’était l’égalisation inespĂ©rĂ©e pour les oranais qui retrouvĂšrent ainsi leur Ă©quilibre et leur sĂ©rĂ©nitĂ©. SecouĂ©s par ce triste coup du sort, les Canaris s’en iront assiĂ©ger littĂ©ralement le camp adverse pour rater plusieurs occasions de reprendre l’avantage. Tedjar, encore lui, adressĂ© un coup-franc puissant sur lequel l’excellent Fellah se jetait pour dĂ©vier miraculeusement la balle en corner (27’). Sur le corner, Fellah ratait sa sortie et Rial avait mal ajustĂ© sa reprise de tĂȘte alors que la cage Ă©tait bĂ©ante (28’). Tedjar, Ă©gale Ă  lui-mĂȘme, profitait encore d’une belle remise de Hamiti mais sa tentative du pied gauche Ă©choua dans les dĂ©cores.
Les oranais procĂšdent par des contres trĂšs dangereux, mais ce fut la JSK qui ratait encore deux belles occasions de but, sur deux reprises de tĂȘtes du capitaine Rial mal cadrĂ©es (41’), (43’).
En seconde pĂ©riode, les deux coachs, Belhout et ChĂ©rif-El-Ouzzani, tentent plusieurs rĂ©ajustements dans leurs Ă©chiquiers respectifs, et c’est finalement la JSK qui affichera beaucoup plus de panache et dĂ©termination pour l’emporter grĂące Ă  une reprise de tĂȘte victorieuse de son buteur habituel Hamiti, qui parviendra Ă  propulser la JSK vers sa 9e finale. *****