Edition du Mercredi 05 Janvier 2011

     

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Dilem du Mercredi 05 Janvier 2011 | Vu 9071 fois


Dilem du Jeudi 06 Janvier 2011 | Vu 494 fois

 

LE RADAR
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Edition du Mercredi 05 Janvier 2011

En toute liberté

les deux faces du syndrome hollandais ?
Mono exportation et dépendance alimentaire :

Les Ă©conomistes se sont dĂ©jĂ  posĂ©s la question de savoir si, pour un pays donnĂ©, l’exportation de ses seules ressources naturelles - dans notre cas celles des hydrocarbures-et l’importation massive, notamment de produits agricoles et alimentaires, ne  renvoient pas Ă  un mĂȘme blocage structurel. 
C’est dans le cadre gĂ©nĂ©ral de cette problĂ©matique qu’a Ă©mergĂ© le concept du “Dutch disease” traduit en français par “syndrome hollandais”. La premiĂšre rĂ©fĂ©rence  d’analyse avait Ă©tĂ© effectivement la Hollande des annĂ©es 1960, dont l’économie Ă©tait caractĂ©risĂ©e par une rĂ©gression quasi gĂ©nĂ©ralisĂ©e de la plupart de ses branches Ă©conomiques, hormis son secteur gazier massivement exportateur. L’explication apportĂ©e par certains Ă©conomistes Ă©tait simple : la surĂ©valuation de la monnaie locale rĂ©sultant des excĂ©dents monĂ©taires en devises obtenus par l’exportation  avait renchĂ©ri les coĂ»ts des produits traditionnellement exportĂ©s alors que ceux des produits importĂ©s diminuaient. On s’est mis alors Ă  acheter au reste du mode la plupart des biens qu’on pouvait produire chez soi. 
Est-on dans la mĂȘme situation en AlgĂ©rie car on y entend souvent parler de la “malĂ©diction des hydrocarbures” en pointant du doigt le manque de diversification de l’économie et surtout la faiblesse persistante de son agriculture ?
Évacuons d’abord le premier Ă©lĂ©ment explicatif donnĂ© plus haut. En effet, hormis la pĂ©riode post indĂ©pendance et celle du dĂ©but de la dĂ©cennie 1970 pendant lesquelles le taux de change du dinar avait Ă©tĂ© maintenu artificiellement Ă©levĂ©, ce sont surtout les dĂ©valuations successives importantes qui ont caractĂ©risĂ© notre monnaie pendant la dĂ©cennie 1990 sur injonction du FMI et de la Banque mondiale. Le rĂ©tablissement de nos Ă©quilibres financiers extĂ©rieurs et la disponibilitĂ© de rĂ©serves de changes significatives dans cette premiĂšre dĂ©cennie 2000 qui vient de s’achever ne se sont pas traduits par une rĂ©Ă©valuation du dinar en dĂ©pit des pressions exercĂ©es par certains milieux,essentiellement ceux proches du nĂ©goce.
J’ai pu trouver une explication plus en rapport avec la situation algĂ©rienne dans un article de W. Max Corden et J. Peter Neary intitulĂ© “Booming sector and De- industrialisation in a small open economy” publiĂ© dans The Economic Journal n° 368 de dĂ©cembre 1982. Ces derniers, qui ne prennent pas en compte la question du taux de change, expliquent la situation par deux facteurs : le dĂ©placement de la main-d’Ɠuvre vers le secteur exportateur plus rĂ©munĂ©rateur et la hausse des revenus engendrant une hausse des prix des facteurs pour les autres secteurs moins compĂ©titifs. On peut retrouver ces deux caractĂ©ristiques au cours de deux pĂ©riodes de l’économie algĂ©rienne. Rappelons-nous en effet l’exode rural des annĂ©es 1970 au profit notamment des nouveaux bassins d’emploi gĂ©nĂ©rĂ©s par l’industrialisation Ă  Arzew, Skikda, Annaba. Beaucoup de “travailleurs de la terre” prĂ©fĂ©raient par exemple un poste de gardien ou de chauffeur dans une usine car mieux rĂ©munĂ©rĂ© et surtout sans alĂ©a. 
La deuxiĂšme caractĂ©ristique est plus rĂ©cente, elle date de la dĂ©cennie 1990 au cours de laquelle il avait Ă©tĂ© procĂ©dĂ© Ă  l’ouverture brutale et  tous azimuts du marchĂ© et Ă  la libĂ©ration des prix. RĂ©sultat de l’opĂ©ration : renchĂ©rissement brutal des coĂ»ts des facteurs de production agricole tels que les tracteurs, les engrais et les semences sans omettre les services avec la suppression du rĂ©seau d’appui, celui des CAPCS. La mise en place au cours de la dĂ©cennie 1970 d’une industrie des engrais et celle d’une industrie mĂ©canique agricole devenait de fait sans objet car dĂ©sormais sans marchĂ©.
Mais Ă  prĂ©sent la seule bonne question est celle de savoir si des tentatives ont Ă©tĂ© pour corriger la trajectoire et quel bilan peut-on en faire ? Voyons quelques pistes prĂ©conisĂ©es par certains auteurs. L’économiste français J. P.  Angelier, parlant des dĂ©penses publiques d’éducation, de recherche et d’infrastructures, disait en 2004 que “de telles dĂ©penses doivent contribuer Ă  amĂ©liorer la compĂ©titivitĂ© de l’économie nationale, contrebalançant de la sorte le premier effet nĂ©gatif du syndrome hollandais”. La mise en Ɠuvre de ce  premier segment d’une politique de neutralisation des excĂ©dents monĂ©taires s’est traduite en AlgĂ©rie par la rĂ©alisation de plans quinquennaux orientĂ©s vers les infrastructures (2005-2009) puis vers l’achĂšvement de ces derniĂšres et le dĂ©veloppement du capital humain(2010-2014). Cette politique avait Ă©tĂ© complĂ©tĂ©e par la mise en place d’un Fonds de rĂ©gulation des recettes (FRR) pour soustraire Ă  la consommation une partie des recettes de la fiscalitĂ© pĂ©troliĂšre.
Peut-on affirmer alors que des rĂ©sultats tangibles et durables ont Ă©tĂ© obtenus dans le dĂ©veloppement sectoriel comme celui de l’agriculture qui a bĂ©nĂ©ficiĂ© par ailleurs des ressources publiques apportĂ©es par le Plan national de dĂ©veloppement de l’agriculture (PNDA). RĂ©sultats tangibles, oui lorsque l’on observe que la rĂ©colte de cĂ©rĂ©ales a Ă©tĂ© de 61,2 millions de quintaux en 2009 soit trois fois celle de 2008 et que celle de 2010 a Ă©tĂ© de 45,6 millions de quintaux. RĂ©sultats tangibles aussi lorsque l’on constate que l’AlgĂ©rie a exportĂ© de l’orge pour la premiĂšre fois depuis 43 ans. Mais on ne peut affirmer, pour le moment, que ces rĂ©sultats seront durables. Un de nos meilleurs Ă©conomistes de l’agriculture, Hamid AĂŻt Amara, qui nous a quittĂ©s en 2010 et auquel je rends hommage, avait introduit dans ces derniers Ă©crits la notion de champ datĂ© pour notre sĂ©curitĂ© alimentaire.Il l’avait reliĂ© Ă  l’extinction de la rente des hydrocarbures, estimĂ©e entre 2030 et 2040. Avait-il Ă©tĂ© trop pessimiste ?
En tout cas, pour conclure, c’est la problĂ©matique qui sera traitĂ©e par le sĂ©minaire portant sur la sĂ©curitĂ© alimentaire en AlgĂ©rie organisĂ© par le Centre national d’études et d’analyses pour la population et le dĂ©veloppement CENEAP) les 12 et 13 fĂ©vrier 2011. Affaire Ă  suivre. De trĂšs prĂšs.

 


Edition du Mercredi 05 Janvier 2011

Actualité

Les familles des marins algĂ©riens rassurĂ©es par l’armateur
Affaire du navire “Blida”

Par : Azzeddine Bensouiah


Les familles des 17 marins algĂ©riens, retenus dans le navire “Blida”, probablement entre les mains de pirates somaliens, ont Ă©tĂ© reçues, hier Ă  Hydra, par les responsables de IBC, la compagnie algĂ©rienne propriĂ©taire du bateau et pour laquelle les marins en question travaillent.
C’est la compagnie qui a pris attache avec les familles juste aprĂšs la confirmation de la disparition du navire, tient Ă  prĂ©ciser Nacer Mansouri, le P-DG de IBC, qui s’est montrĂ© particuliĂšrement disponible Ă  discuter avec la presse, mĂȘme s’il en avait gros sur le cƓur concernant la publication par un quotidien arabophone de la liste des marins disparus. “Il y avait erreur dans la transcription des noms des marins, au moins Ă  90%. Vous n’avez pas le droit de faire ça, de jouer avec le drame de familles”.
Une cellule psychologique a été mise en place en vue de prendre en charge les familles affectées et un contact permanent a été établi avec ces derniÚres, en vue de leur fournir toutes les informations en possession de la compagnie, ainsi que pour leur venir en aide sur tous les plans (psychologique, social ou financier).
Pour ce qui est des derniers dĂ©veloppements de l’affaire du navire “Blida”, M. Mansouri dira, d’emblĂ©e :“On n’a toujours aucune nouvelle,” tout en confiant :“On s’y attendait quelque peu. Ce n’est pas le premier navire, ni le dernier arraisonnĂ©.” En contact permanent avec la cellule de crise installĂ©e au niveau du ministĂšre des Transports, les responsables de IBC ont tenu Ă  rassurer les familles des marins, en leur indiquant que depuis dix ans que le phĂ©nomĂšne de la piraterie sĂ©vit dans le golfe d’Aden, jamais il n’y a eu atteinte Ă  la vie des otages. 
M. Mansouri ira plus loin : il y a 600 otages qui sont chez les pirates depuis prĂšs de dix annĂ©es, sans que des violences Ă  leur encontre soient signalĂ©es. En plus, confiera-t-il, dans les rançons demandĂ©es par les diffĂ©rentes factions de pirates, gĂ©nĂ©ralement, on rançonne le navire ou sa cargaison, rarement, Ă  l’exception de deux cas seulement, les personnes.
LĂ©galement, les marins algĂ©riens appartiennent Ă  IBC, ils sont assurĂ©s contre ce genre d’incidents. Le navire, lui, a Ă©tĂ© affrĂ©tĂ© par la compagnie jordanienne, CTI, pour une durĂ©e de cinq ans. Il en est Ă  sa troisiĂšme annĂ©e. Les Jordaniens, de leur cĂŽtĂ©, ont fait appel Ă  un sous-traitant grec pour les Ă©quipements. Le navire devait rallier le port de Mombassa, au Kenya, en partance de Oman. Il transportait du ciment. M. Mansouri avoue que l’arraisonnement du navire — si arraisonnement il y a —, est Ă©tonnant “c’est loin de la zone dite dangereuse, oĂč les pirates avaient l’habitude d’opĂ©rer. C’est tout prĂšs des cĂŽtes omanaises, dans les eaux internationales”. Il suppose que les pirates ont dĂ» naviguer au moins trois jours pour y parvenir.
Il affirme que le dernier message reçu de la part des membres de l’équipage remonte Ă  samedi dernier Ă  15h40 et qui disait : “Il y a quatre hommes armĂ©s Ă  bord”. L’équipage avait, en outre, contactĂ© la force europĂ©enne se trouvant dans le golfe. Mais sans aucune autre indication. Dans ce genre de situation, dira-t-il, il faudrait attendre, au moins une semaine, pour que les pirates se manifestent, le temps de traĂźner le navire jusqu’à leur zone de repli.
Mais, notre interlocuteur n’a pas manquĂ© d’attirer l’attention sur le fait que ces pirates soient des “professionnels”, en insistant sur le fait que, malgrĂ© la prĂ©sence de forces armĂ©es, amĂ©ricaines et europĂ©ennes, notamment, dans la zone, ils ont tenu le coup pendant dix ans. C’est qu’ils doivent, selon lui, ĂȘtre bien organisĂ©s et chapeautĂ©s par des hommes d’affaires qui traitent les questions des rançons et leurs placements.

www.liberte-algerie.com

 


 

 

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Bamako: un homme a fait exploser une bonbonne devant l'ambassade de France


Des militaires maliens (Photo Sia Kambou/AFP/Archives)

Un homme armĂ© a fait exploser une bonbonne de gaz devant l'ambassade de France Ă  Bamako, mercredi en dĂ©but de soirĂ©e, blessant lĂ©gĂšrement deux personnes, avant d'ĂȘtre arrĂȘtĂ©, a appris l'AFP de sources officielle et sĂ©curitaire maliennes.

Selon une source sécuritaire à Bamako jointe par l'AFP, l'homme serait "de nationalité tunisienne", "venu d'un pays voisin" du Mali.

Mercredi 05 janvier 2011, 22h58
L'AFP n'a pu établir mercredi soir si son action était une tentative d'attentat ou un acte isolé.

Dans un communiqué officiel de quelques phrases, le ministÚre malien de la Sécurité a simplement annoncé dans la soirée: "vers 18H00 (locales et GMT), ce mercredi, un individu de nationalité étrangÚre a fait exploser une bonbonne de gaz devant l'ambassade de France à Bamako, faisant deux blessés légers parmi les passants".

"L'individu également armé d'un pistolet n'a pas pu faire usage de son arme. Maßtrisé par les forces de sécurité, il est actuellement interrogé par la brigade anti-criminelle de Bamako", a ajouté le ministÚre.

De son cÎté, une source sécuritaire avait auparavant déclaré à l'AFP que les "deux" personnes blessées étaient de nationalité malienne.

Sous couvert de l'anonymat, cette source avait relaté: "Un homme a jeté un explosif devant l'ambassade de France. Il était armé d'un pistolet automatique, d'un engin explosif et d'une grenade. Il a aussi tiré plusieurs coups de feu contre le portail de l'ambassade".

Un important dispositif de sécurité avait été déployé aux abords des bùtiments diplomatiques.

A Paris, le ministÚre français des Affaires étrangÚres n'a fait état que d'un "blessé trÚs léger".

"Il y a eu une explosion qui n'était pas accidentelle devant l'ambassade de France qui a fait un blessé trÚs léger, de nationalité malienne, parmi son personnel", a déclaré la porte-parole adjointe du ministÚre, Christine Fages, sans donner davantage de détails.

"Une enquĂȘte est en cours", a-t-elle ajoutĂ©, en se refusant Ă  tout autre commentaire alors qu'il lui Ă©tait demandĂ© si l'ambassade de France Ă©tait spĂ©cifiquement visĂ©e et si cette explosion pouvait avoir un lien avec l'affaire des otages français retenus dans le nord-est du Mali par Al-QaĂŻda au Maghreb islamique (Aqmi).

Aqmi séquestre actuellement dans le Sahara cinq Français, un Togolais, un Malgache, enlevées en septembre 2010 à Arlit, site minier stratégique du géant du secteur nucléaire français Areva dans le nord Niger.

En août 2009, dans la capitale de la Mauritanie, voisine du Mali, un jeune homme s'était fait exploser prÚs de l'ambassade de France, blessant légÚrement deux gendarmes français et une Mauritanienne. La branche maghrébine d'Al-Qaïda avait revendiqué cet attentat suicide perpétré par un kamikaze mauritanien.

Aqmi avait ensuite de nouveau désigné la France comme cible aprÚs une opération franco-mauritanienne le 22 juillet 2010 contre une base de l'organisation au Mali, dont le but était de libérer un otage français, Michel Germaneau, 78 ans. Mais l'otage n'avait pas été libéré et Aqmi avait eL

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Pages : 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7
Crise belge: les indépendantistes flamands rejettent une base de compromis
(Photo Eric Lalmand / AFP/archives)
(Mercredi 05 janvier 2011, 23h14) L'espoir d'une sortie rapide de crise en Belgique, aprĂšs 206 jours d'une crise politique record empĂȘchant la formation d'un gouvernement, s'est Ă©vanoui mercredi avec le rejet par les indĂ©pendantistes flamands d'une Ă©bauche de compromis sur une rĂ©forme du pays. Lire
Bamako: un homme a fait exploser une bonbonne devant l'ambassade de France
(Photo Sia Kambou / AFP/Archives)
(Mercredi 05 janvier 2011, 22h58) Un homme armĂ© a fait exploser une bonbonne de gaz devant l'ambassade de France Ă  Bamako, mercredi en dĂ©but de soirĂ©e, blessant lĂ©gĂšrement deux personnes, avant d'ĂȘtre arrĂȘtĂ©, a appris l'AFP de sources officielle et sĂ©curitaire maliennes. Lire
De fortes pluies font cinq morts en Guadeloupe
(Photo Sylvere Selbonne / AFP)
(Mercredi 05 janvier 2011, 22h39) Cinq personnes ont pĂ©ri dans la banlieue de Pointe-Ă -Pitre en Guadeloupe, aprĂšs que leur voiture a Ă©tĂ© emportĂ©e par un torrent provoquĂ© par les pluies diluviennes qui se sont abattues sur l'Ăźle, oĂč s'est aussitĂŽt rendue la ministre de l'Outre-mer Marie-Luce Penchard. Lire
La Chambre passe à droite, les réformes d'Obama dans le collimateur
(Photo Brendan Smialowski / AFP/Getty Images)
(Mercredi 05 janvier 2011, 22h35) Les adversaires rĂ©publicains de Barack Obama ont pris mercredi le contrĂŽle de la Chambre des reprĂ©sentants, dĂ©terminĂ©s Ă  faire machine arriĂšre sur les rĂ©formes du prĂ©sident, avec en ligne de mire la reprise de la Maison Blanche en 2012. Lire
Mediator : un rapport commandité par Servier confirmait les risques
(Photo Fred Tanneau / AFP/Archives)
(Mercredi 05 janvier 2011, 22h27) Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e par un cardiologue pour le compte du laboratoire Servier en 2009 montre clairement le lien entre la prise de Mediator et les atteintes des valves cardiaques, a indiquĂ© mercredi Le Figaro sur son site internet. Lire
CĂŽte d'Ivoire: Gbagbo maintient le blocus du QG de Ouattara Ă  Abidjan
(Photo Issouf Sanogo / AFP)
(Mercredi 05 janvier 2011, 22h17) Le camp de Laurent Gbagbo a annoncĂ© mercredi le maintien du blocus du QG de son rival Alassane Ouattara Ă  Abidjan, liant sa levĂ©e au dĂ©part des ex-rebelles qui le sĂ©curisent, et a rĂ©futĂ© toute idĂ©e d'"amnistie" pour M. Gbagbo, offerte s'il acceptait de cĂ©der le pouvoir. Lire
Dakar 2011: Coma prend la tĂȘte, Sainz contrĂŽle
(Photo Daniel Garcia / AFP)
(Mercredi 05 janvier 2011, 21h56) Marc Coma (KTM), vainqueur de la 4e Ă©tape du Dakar, entre Jujuy (Argentine) et Calama (Chili), a pris d'un souffle la tĂȘte du classement motos, alors que Carlos Sainz (Volkswagen), Ă©galement le plus rapide mercredi, a lĂ©gĂšrement distancĂ© ses poursuivants. Lire
Renault secoué par la mise à pied de trois de ses cadres
(Photo Miguel Medina / AFP/Archives)
(Mercredi 05 janvier 2011, 20h48) Renault Ă©tait secouĂ© mercredi par la mise Ă  pied de trois de ses cadres de haut niveau, une mesure exceptionnelle liĂ©e Ă  des soupçons de diffusion d'informations touchant Ă  son programme phare de vĂ©hicules Ă©lectriques. Lire
Darfour: libération de l'employé hongrois de la Minuad enlevé en octobre
(Photo Ashraf Shazly / AFP/archives)
(Mercredi 05 janvier 2011, 20h22) L'employĂ© civil hongrois de la mission de paix ONU-Union africaine enlevĂ© en octobre au Darfour, rĂ©gion de l'ouest du Soudan thĂ©Ăątre d'une guerre civile, a Ă©tĂ© libĂ©rĂ© mercredi "en bonne santĂ©", ont annoncĂ© les Casques bleus. Lire
Australie: la Grande BarriÚre de corail menacée par les inondations
(Photo Torsten Blackwood / AFP)
(Mercredi 05 janvier 2011, 20h14) Les inondations sans prĂ©cĂ©dent qui touchent le Queensland, dans le nord-est de l'Australie, s'Ă©tendaient mercredi Ă  une quarantaine de villes et menacent dĂ©sormais la Grande BarriĂšre de corail en raison des dĂ©tritus et pesticides rejetĂ©s en mer. Lire
Le porte-parole d'Obama quitte la Maison Blanche, cap sur 2012
(Photo Saul Loeb / AFP/archives)
(Mercredi 05 janvier 2011, 19h07)  Le porte-parole de Barack Obama, Robert Gibbs, a annoncĂ© mercredi qu'il allait quitter la Maison Blanche, mais qu'il continuerait Ă  travailler pour le prĂ©sident amĂ©ricain en vue de sa rĂ©Ă©lection en 2012. Lire
La CGT boycotte les voeux du président de la République, une premiÚre
(Photo Bertrand Langlois / AFP/Archives)
(Mercredi 05 janvier 2011, 18h54) Pour la premiĂšre fois, la CGT, son secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral Bernard Thibault en tĂȘte, boycotte les voeux du prĂ©sident de la RĂ©publique aux partenaires sociaux jeudi Ă  l'ElysĂ©e, signe d'un climat de dĂ©fiance envers Nicolas Sarkozy renforcĂ© par les tensions sur les retraites. Lire
Porte-Ă -porte et battues continuent pour retrouver la cavaliĂšre disparue
(Photo Ho / AFP)
(Mercredi 05 janvier 2011, 18h15) "Je voulais savoir si vous aviez des Ă©lĂ©ments sur la disparition de cette personne", demandent inlassablement les gendarmes devant chaque porte en prĂ©sentant des photos de la cavaliĂšre disparue dimanche en forĂȘt et toujours pas retrouvĂ©e mercredi. Lire
Woerth donne une version contestée de la vente de l'hippodrome de CompiÚgne
(Photo Julien Barbare / AFP/Archives)
(Mercredi 05 janvier 2011, 18h13) L'ancien ministre Eric Woerth a assurĂ© mercredi que Matignon avait tranchĂ© en mars 2010 sur la cession par l'Etat de l'hippodrome de CompiĂšgne (Oise), une version contestĂ©e par des plaignants et pas totalement confirmĂ©e par les services du Premier ministre. Lire
Procédure de sauvegarde à La Tribune: un répit, mais situation périlleuse
(Photo Thomas Coex / AFP)
(Mercredi 05 janvier 2011, 17h51) En graves difficultĂ©s financiĂšres, le journal La Tribune a Ă©tĂ© placĂ© pour six mois en procĂ©dure de sauvegarde mercredi, une mesure qui lui permet de gagner un peu de temps mais qui illustre la situation pĂ©rilleuse dans laquelle se trouve le seul concurrent des Echos. Lire
L'authentification de la tĂȘte d'Henri IV contestĂ©e par un historien
(Photo / BMJ/AFP/Archives)
(Mercredi 05 janvier 2011, 16h28) L'authentification de la tĂȘte du roi Henri IV, annoncĂ©e par des scientifiques et des historiens Ă  la mi-dĂ©cembre, est contestĂ©e par l'historien et journaliste Philippe Delorme, dans un article publiĂ© mercredi par l'Express. Lire
Pakistan: des milliers de personnes aux funérailles du gouverneur du Pendjab
(Photo Arif Ali / AFP)
(Mercredi 05 janvier 2011, 16h13) Des milliers de Pakistanais ont bravĂ© mercredi Ă  Lahore (est) les menaces de violences pour assister aux funĂ©railles du gouverneur du Pendjab, assassinĂ© la veille, le crime politique le plus important dans le pays depuis l'assassinat de Benazir Bhutto fin 2007. Lire
Sarkozy demande aux ministres de ne pas se laisser détourner de leur tùche en 2011
(Photo Eric Feferberg / AFP)
(Mercredi 05 janvier 2011, 15h58) Nicolas Sarkozy a profitĂ© mercredi du premier Conseil des ministres de l'annĂ©e pour demander au gouvernement de ne pas se laisser dĂ©tourner de sa tĂąche "en participant Ă  des polĂ©miques" ou en "anticipant des Ă©chĂ©ances Ă©lectorales encore lointaines". Lire
Les Champs-Elysées, toujours plus grignotés par les enseignes de mode
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(Mercredi 05 janvier 2011, 15h28) La prestigieuse avenue des Champs-ElysĂ©es se transforme plus que jamais en une vitrine de la mode avec l'arrivĂ©e annoncĂ©e de nouvelles marques, comme Banana Republic, que la flambĂ©e des loyers ne dĂ©courage pas. Lire
 
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nsuite annoncé l'avoir tué.
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Bamako: un homme a fait exploser une bonbonne devant l'ambassade de France


Des militaires maliens (Photo Sia Kambou/AFP/Archives)

Un homme armĂ© a fait exploser une bonbonne de gaz devant l'ambassade de France Ă  Bamako, mercredi en dĂ©but de soirĂ©e, blessant lĂ©gĂšrement deux personnes, avant d'ĂȘtre arrĂȘtĂ©, a appris l'AFP de sources officielle et sĂ©curitaire maliennes.

Selon une source sécuritaire à Bamako jointe par l'AFP, l'homme serait "de nationalité tunisienne", "venu d'un pays voisin" du Mali.

Mercredi 05 janvier 2011, 22h58
L'AFP n'a pu établir mercredi soir si son action était une tentative d'attentat ou un acte isolé.

Dans un communiqué officiel de quelques phrases, le ministÚre malien de la Sécurité a simplement annoncé dans la soirée: "vers 18H00 (locales et GMT), ce mercredi, un individu de nationalité étrangÚre a fait exploser une bonbonne de gaz devant l'ambassade de France à Bamako, faisant deux blessés légers parmi les passants".

"L'individu également armé d'un pistolet n'a pas pu faire usage de son arme. Maßtrisé par les forces de sécurité, il est actuellement interrogé par la brigade anti-criminelle de Bamako", a ajouté le ministÚre.

De son cÎté, une source sécuritaire avait auparavant déclaré à l'AFP que les "deux" personnes blessées étaient de nationalité malienne.

Sous couvert de l'anonymat, cette source avait relaté: "Un homme a jeté un explosif devant l'ambassade de France. Il était armé d'un pistolet automatique, d'un engin explosif et d'une grenade. Il a aussi tiré plusieurs coups de feu contre le portail de l'ambassade".

Un important dispositif de sécurité avait été déployé aux abords des bùtiments diplomatiques.

A Paris, le ministÚre français des Affaires étrangÚres n'a fait état que d'un "blessé trÚs léger".

"Il y a eu une explosion qui n'était pas accidentelle devant l'ambassade de France qui a fait un blessé trÚs léger, de nationalité malienne, parmi son personnel", a déclaré la porte-parole adjointe du ministÚre, Christine Fages, sans donner davantage de détails.

"Une enquĂȘte est en cours", a-t-elle ajoutĂ©, en se refusant Ă  tout autre commentaire alors qu'il lui Ă©tait demandĂ© si l'ambassade de France Ă©tait spĂ©cifiquement visĂ©e et si cette explosion pouvait avoir un lien avec l'affaire des otages français retenus dans le nord-est du Mali par Al-QaĂŻda au Maghreb islamique (Aqmi).

Aqmi séquestre actuellement dans le Sahara cinq Français, un Togolais, un Malgache, enlevées en septembre 2010 à Arlit, site minier stratégique du géant du secteur nucléaire français Areva dans le nord Niger.

En août 2009, dans la capitale de la Mauritanie, voisine du Mali, un jeune homme s'était fait exploser prÚs de l'ambassade de France, blessant légÚrement deux gendarmes français et une Mauritanienne. La branche maghrébine d'Al-Qaïda avait revendiqué cet attentat suicide perpétré par un kamikaze mauritanien.

Aqmi avait ensuite de nouveau dĂ©signĂ© la France comme cible aprĂšs une opĂ©ration franco-mauritanienne le 22 juillet 2010 contre une base de l'organisation au Mali, dont le but Ă©tait de libĂ©rer un otage français, Michel Germaneau, 78 ans. Mais l'otage n'avait pas Ă©tĂ© libĂ©rĂ© et Aqmi avait eL'internaute >  ActualitĂ© 

 



06/01/2011
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