Edition du Mercredi 10 Novembre 2010

 

 
 
 
 

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LE RADAR
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 L'Association culturelle berbĂšre (ACB) a accueilli hier dans ses locaux Ă  Paris le confrĂšre Brahim Hadj Slimane qui vient de publier un libre sur “Les AnnĂ©es noires du journalisme en AlgĂ©rie”.


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À l’invitation de l’Association algĂ©rienne Milina Projet du lycĂ©e Ghalmi de Boudouaou et en collaboration avec l’Association de la protection de la jeunesse de la wilaya d’Alger et GhardaĂŻa


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 Pour le seul pĂ©chĂ© d’avoir eu une querelle  avec un de ses camarades de classe, le petit  Abderaouf M., Ă©lĂšve  de la 1re annĂ©e primaire Ă  l’école Émir-Abdelkader de Tousnina, dans la wilaya de Tiaret, a eu, derniĂšrement, une correction pour le moins spĂ©ciale de la part de son directeur.


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 Le nouveau wali de BĂ©jaĂŻa a consacrĂ© l’une de ses interventions, lors des travaux en plĂ©niĂšre de la derniĂšre session ordinaire de l’APW


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 La 4e Ă©dition du Grand salon du mariage oriental, l’unique salon de rĂ©fĂ©rence en Europe, se tiendra les 13 et 14 novembre sous la mythique Halle de la Villette Ă  Paris


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Suite Ă  la rĂ©alisation d’infrastructures sportives importantes comme les terrains de football qui ont accueilli la derniĂšre Coupe d'Afrique des nations

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Edition du Mercredi 10 Novembre 2010

Actualité

Madrid appelle Ă  l’intervention du Conseil de sĂ©curitĂ©
Alors que l’instance onusienne dĂ©plore l’attaque marocaine

Par : Merzak Tigrine


La sanglante intervention des forces armĂ©es marocaines contre les Sahraouis du camp de Gdeim-Izik Ă  al-Ayoune, devenue un sujet de prĂ©occupation de la communautĂ© internationale, a fait rĂ©agir de nombreuses instances et capitales, dont Madrid qui a appelĂ© l’organe exĂ©cutif de l’ONU Ă  intervenir.

Alors que la situation sur le terrain est encore floue, car Rabat a verrouillĂ© le passage vers al-Ayoune en empĂȘchant tous les mĂ©dias ou observateurs dĂ©sireux de s’y rendre, notamment les journalistes espagnols et le dĂ©putĂ© français Jean-Paul Lecocq refoulĂ©s de l’aĂ©roport de Casablanca, l’ONU s’est saisie du dossier d’autant plus que cette agression des forces marocaines contre les civils sahraouis a coĂŻncidĂ© avec le nouveau round de discussions informelles entre le Maroc et le Front Polisario.
Mais avant mĂȘme que l’instance onusienne ne rĂ©agisse, la ministre espagnole des Affaires Ă©trangĂšres, Mme Trinidad Jimenez, a appelĂ©, lundi depuis La Paz oĂč elle effectue une visite officielle, Ă  “l’intervention du Conseil de sĂ©curitĂ©â€ de l’ONU dans la crise provoquĂ©e par l’agression perpĂ©trĂ©e lundi par les forces armĂ©es marocaines contre le camp sit-in de Gdeim-Izik causant des morts et des centaines de blessĂ©s parmi les sahraouis. “Il s’agit d’une question d'Ă©tendue internationale que le gouvernement (espagnol) ne peut traiter bilatĂ©ralement avec Rabat et pour laquelle on doit convoquer le Conseil de sĂ©curitĂ©â€, a dĂ©clarĂ© la nouvelle chef de la diplomatie espagnole dans une dĂ©claration Ă  la presse en Bolivie, appelant au passage les parties en conflit au “calme et au dialogue”. Par ailleurs, le ministĂšre français des Affaires Ă©trangĂšres a indiquĂ© hier que la France a regrettĂ© la “surprenante” dĂ©cision marocaine de refoulement lundi d'un dĂ©putĂ© français qui voulait se rendre au Sahara occidental et a demandĂ© des explications Ă  Rabat. Le porte-parole du Quai d'Orsay, Bernard Valero, a dĂ©clarĂ© lors d’un point de presse : “Nous regrettons cette dĂ©cision de refoulement et nous en avons informĂ© l'ambassadeur du Maroc en France.” “Nous lui avons demandĂ© des explications sur cette dĂ©cision surprenante envers un membre de notre reprĂ©sentation nationale”, a-t-il affirmĂ© avant d’ajouter que : “Le directeur de cabinet du ministre s'est entretenu avec le dĂ©putĂ© communiste Jean-Paul Lecoq”, a prĂ©cisĂ© le porte-parole. Dans le mĂȘme ordre d’idĂ©es, il a ajoutĂ© : “Nous dĂ©plorons les heurts qui ont opposĂ© les forces de l'ordre marocaines hier Ă  un groupe de civils Ă  al-Ayoune”, et “nous soulignons l'importance qui s'attache Ă  tout mettre en Ɠuvre pour Ă©viter de nouvelles violences”. Le responsable français estimera que “plus que jamais, il convient d'accĂ©lĂ©rer les efforts en vue d'une solution politique”. À New York, oĂč s’ouvrait une rĂ©union de deux jours pour discuter de l'avenir du territoire du Sahara occidental, les Nations unies ont regrettĂ© l’ “incident meurtrier” dans un camp au Sahara occidental, et ont appelĂ© les parties Ă  faire preuve de retenue. “Les informations disponibles actuellement sur les raisons de cette opĂ©ration, le niveau de force employĂ©, la rĂ©action des personnes du camp, le nombre de victimes parmi les manifestants et les forces de sĂ©curitĂ©, sont vagues et contradictoires. Manifestement, il y a un certain nombre de morts et de blessĂ©s que nous regrettons”, a dit, lundi lors d'une confĂ©rence de presse, le porte-parole du SecrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de l'ONU, Martin Nesirky.          “Nous appelons les parties impliquĂ©es Ă  faire preuve de la plus grande retenue dans les heures et les jours qui viennent”, a-t-il ajoutĂ©. La mĂȘme source a soulignĂ© qu’il Ă©tait “hautement fĂącheux” que l'opĂ©ration ait affectĂ© “l'atmosphĂšre dans laquelle ces pourparlers sont menĂ©s”.


Edition du Mercredi 10 Novembre 2010

En toute liberté

Développement industriel : priorité au secteur pharmaceutique ?

Devant la nĂ©cessitĂ© admise par tous d’un redĂ©ploiement industriel rapide et significatif, pourquoi en effet devrait-on donner la prioritĂ© au secteur pharmaceutique ? Autant pour des raisons Ă©conomiques que pour des raisons politiques et sociales. Il s’agit de contribuer Ă  Ă©loigner le spectre de la pĂ©nurie dans l’aspect le plus sensible des besoins sociaux, celui de l’accĂšs aux soins. Tout le monde se rappelle la grave crise financiĂšre qu’a traversĂ©e l’AlgĂ©rie au dĂ©but de la dĂ©cennie 1990.
Ce qui subsiste des effets de cette crise dans l’inconscient collectif, aprĂšs le chĂŽmage massif, aura Ă©tĂ© l’incapacitĂ© temporaire du pays Ă  payer la facture de l’importation des mĂ©dicaments de premiĂšre nĂ©cessitĂ© et celle des cĂ©rĂ©ales.
C’est pourquoi le dĂ©veloppement d’une production locale de mĂ©dicaments revĂȘt un caractĂšre stratĂ©gique et mĂȘme urgent.
Sur un marchĂ© estimĂ© actuellement  Ă  2 milliards de dollars pour atteindre 3 milliards de dollars en 2015, avec un taux de croissance annuelle de 10%, la production nationale publique et privĂ©e ne couvre en valeur que 25% de la demande, selon une Ă©tude prĂ©sentĂ©e derniĂšrement par le docteur Rachid Guebbi. NĂ©anmoins, la branche pharmaceutique peut, dans une perspective dynamique, ĂȘtre un des moteurs de la croissance industrielle globale prĂ©vue de participer, rappelons-le, Ă  10% du PIB en 2014, contre 5% actuellement.
Il s’agira de fixer pour cette branche une sĂ©rie d’objectifs intermĂ©diaires. Par exemple, celui de faire passer la production nationale publique et privĂ©e en tĂȘte dans la couverture des besoins nationaux en mĂ©dicaments. Actuellement, c’est le laboratoire français Sanofi Aventis qui est le premier fournisseur de notre marchĂ© des mĂ©dicaments avec 320 millions de dollars.
Le groupe public algĂ©rien Saidal ne vient qu’en troisiĂšme place, avec 149 millions de dollars. L’objectif suivant pourrait ĂȘtre celui de passer de 20% de couverture actuellement Ă  50%, en y ajoutant des quantitĂ©s exportables sur les marchĂ©s arabes et africains. Cet objectif me paraĂźt d’autant rĂ©aliste que l’Union nationale des opĂ©rateurs pharmaceutiques (UNOP) avait annoncĂ©, il y a quelque temps, qu’il Ă©tait possible de couvrir les besoins nationaux Ă  hauteur de 65% en 2012.
Mais, pour ce faire, la politique publique du mĂ©dicament devra ĂȘtre non seulement lisible et stabilisĂ©e, mais validĂ©e par les professionnels et les acteurs de la branche dans un dialogue permanent avec les pouvoirs publics. Des avancĂ©es ont Ă©tĂ© faites dans ce domaine lorsque ces derniers ont pris la dĂ©cision d’interdire l’importation des mĂ©dicaments fabriquĂ©s localement. Mais il faut rappeler que les hĂ©sitations et les changements de cap en matiĂšre d’obligation faite aux importateurs d’avoir Ă  investir dans la production ont freinĂ© le dĂ©veloppement de la branche.
Il faut Ă©galement noter les lenteurs persistantes en matiĂšre de procĂ©dures d’enregistrement des mĂ©dicaments, lenteurs que signalent de façon rĂ©currente les investisseurs locaux. Certains de ces derniers ajoutent mĂȘme que quelquefois, les procĂ©dures d’enregistrement des mĂ©dicaments importĂ©s aboutissent plus rapidement. Dans tous les cas, il faudra amĂ©liorer la rĂ©activitĂ© des administrations en charge de ces dossiers.
La mise en place annoncĂ©e d’une agence du mĂ©dicament devrait promouvoir la rĂ©gulation d’un marchĂ© sensible en termes de fixation et de respect des rĂšgles du jeu, mais aussi en termes de veille et de surveillance. D’autres mesures d’accompagnement du secteur ont Ă©tĂ© prises. On peut citer, par exemple, la suppression de la taxe sur l’activitĂ© professionnelle (TAP). On peut ajouter Ă©galement les garanties d’État pour accompagner les investissements importants du groupe public Saidal pour les cinq prochaines annĂ©es.
Mais, en vĂ©ritĂ©, cette branche souffre des mĂȘmes problĂšmes que ceux de l’ensemble du secteur industriel. Il s’agira d’en identifier les plus importants pour les rĂ©duire progressivement mais fermement.
De ce point de vue, l’“Étude sur la compĂ©titivitĂ© du monde arabe 2010”, publiĂ©e rĂ©cemment par le World Economic Forum (WEF), est riche en enseignements pour nous. Ainsi, on peut y relever, s’agissant de l’AlgĂ©rie, les trois principaux freins Ă  la pratique des affaires sur les 16 indiquĂ©s.
Par ordre dĂ©croissant de gravitĂ©, il y a “l’inefficience de l’administration publique” (21,1 sur une base de 30), ensuite “l’accĂšs au financement” (16,4 sur une base de 30) et enfin la “corruption” (13,8 sur une base de 30).
La poursuite et l’intensification du traitement de ces trois contraintes, Ă  la portĂ©e des pouvoirs publics, amĂ©lioreront notre indice de compĂ©titivitĂ© globale.
Cela de sorte Ă  passer, pour utiliser les concepts des auteurs du rapport en matiĂšre de stade de dĂ©veloppement, d’une Ă©conomie tirĂ©e par les facteurs Ă  une Ă©conomie tirĂ©e par  l’efficience. La derniĂšre Ă©tape Ă©tant de devenir une Ă©conomie tirĂ©e par l’innovation. Cela paraÎt bien loin.
Mais, en conclusion, j’ai quand mĂȘme le sentiment que, de toutes les branches industrielles, celle de la pharmacie est celle qui peut arriver le plus rapidement au dernier stade de dĂ©veloppement, car elle implique obligatoirement “efficience et innovation”, et aussi intĂ©rĂȘts croisĂ©s des partenariats dans un monde globalisĂ©.

www.liberte-algerie.com


Edition du Mercredi 10 Novembre 2010

Actualité

11 morts, 723 blessés et des dizaines de disparus
Bilan sahraoui de l’agression contre le camp de Gdeim-Izik

Par : R. I./Agences


 Le bilan “encore provisoire” de l’agression violente contre le camp sit-in de Gdeim-Izik fait Ă©tat de “11 morts, plus de 723 blessĂ©s et 159 disparus” parmi les Sahraouis, a indiquĂ© un communiquĂ© du ministĂšre sahraoui des territoires occupĂ©s et de la diaspora, publiĂ© hier. Le bilan provisoire “risque de s’alourdir vu les dimensions de l’agression barbare exĂ©cutĂ©e par les forces armĂ©es royales appartenant Ă  plusieurs corps, notamment les DĂ©tachements d’intervention rapide (DIR) venant du mur de la honte et appartenant au secteur de Guelta, de Haouza et du sous-secteur d’Amgala en plus de 6 bataillons des mĂȘmes troupes marocaines et de la gendarmerie de guerre en plus des unitĂ©s de Mokhaznis (gardes mobiles) et des forces de la police”, a dĂ©plorĂ© le communiquĂ© parvenu Ă  SPS. Par ailleurs, aussi Ă©trange que cela puisse paraĂźtre, une source officielle Ă  Rabat a annoncĂ© la mort d'une autre personne, portant Ă  six le nombre des victimes marocaines dont cinq parmi les forces de l'ordre, dans l’attaque contre les civils sahraouis.

www.liberte-algerie.com

 


   
 
 
 

 

http://www.linternaute.com/actualite/depeche/afp/17/718222/obama_plaide_pour...

 A LA UNE 

Obama plaide pour la tolérance religieuse en louant l'Indonésie


Le président Obama serre les mains d'étudiantes indonésiennes à l'Université de Jakarta, le 10 novembre 2010 (Photo Jim Watson/AFP)

Le président américain Barack Obama a érigé mercredi en modÚle de tolérance et de démocratisation l'Indonésie, un grand pays d'Islam méconnu sur la scÚne internationale qu'il voit "jouer un rÎle important au XXIÚ siÚcle".

Au cours de sa courte visite à Jakarta, M. Obama, tout sourire, n'a cessé d'exprimer son bonheur de retrouver l'Indonésie, 39 ans aprÚs l'avoir quittée enfant.

Mercredi 10 novembre 2010, 08h41
"Ce pays est une partie de moi", a-t-il insisté mercredi, en truffant ses interventions d'expressions en indonésien, une langue qu'il avait un peu apprise lors de ses quatre années à Jakarta à la fin des années 1960.

Le président américain a déploré que l'Indonésie, quatriÚme pays le plus peuplé au monde, soit si mal connu et apprécié à l'étranger, en dehors "des ßles de Bali et de Java".

Or, cet immense archipel, vibrante dĂ©mocratie depuis 1998, peut ĂȘtre "une source d'inspiration" pour le monde.

Le président Obama reçoit une récompense pour sa mÚre, Stanley Ann Dunham, du président indonésien Susilo Bambang Yudhoyono, le 9 novembre 2010 à Jakarta (Photo Jim Watson/AFP)

"MĂȘme si ce pays de mon enfance a beaucoup changĂ© (...) l'esprit de tolĂ©rance qui est inscrit dans la constitution et symbolisĂ© par vos mosquĂ©es, Ă©glises et temples, perdure", a-t-il saluĂ© lors d'un discours devant quelque 6.000 personnes enthousiastes Ă  l'UniversitĂ© d'IndonĂ©sie. "C'est pour cela que l'IndonĂ©sie jouera un rĂŽle si important au cours du XXIĂš siĂšcle".

PrÚs de 90% des 240 millions d'Indonésiens sont musulmans. La plupart d'entre eux pratiquent un islam modéré mais des organisations radicales défendent l'instauration de la "charia" (loi islamique), certaines d'entre elles par la violence.

Il a citĂ© l'exemple donnĂ© par son beau-pĂšre, qui avait Ă©pousĂ© sa mĂšre rencontrĂ©e Ă  HawaĂŻ aprĂšs sa sĂ©paration d'avec son pĂšre kenyan. "Bien que mon beau-pĂšre ait Ă©tĂ©, comme la plupart des IndonĂ©siens, Ă©levĂ© comme musulman, il croyait fermement que toutes les religions devaient ĂȘtre respectĂ©es".

Le président Obama et sa femme Michelle, accompagnés par le Grand imam Ali Mustafa Yaqub, visitent la mosquée Istiqlal, le 10 novembre 2010 à Jakarta (Photo Adek Berry/AFP)

Accompagné de son épouse Michelle, les cheveux dissimulés par un foulard, M. Obama a visité dans la matinée la mosquée Istiqlal, un bùtiment monumental dessiné par un architecte chrétien en plein centre de la capitale.

Des responsables religieux ont salué ce geste. "Je suis vraiment fier qu'il soit venu. De nombreux jeunes Indonésiens considÚrent l'Amérique comme un ennemi. Cette visite devrait leur permettre de changer d'opinion", a espéré Horizi Achmad Mawardi, un professeur de théologie de 53 ans.

M. Obama a affirmé que la lutte contre l'extrémisme n'était "pas de la responsabilité de la seule Amérique". "Ceux qui veulent construire ne doivent pas céder face aux terroristes qui cherchent à détruire", a-t-il dit, en citant Al-Qaïda.

"Nous devons tous battre Al-QaĂŻda et ses affiliĂ©s, qui n'ont aucun titre Ă  ĂȘtre les leaders d'aucune religion, certainement pas une grande, une religion mondiale comme l'islam", a encore lancĂ© Barack Obama.

Il a estimĂ© que les Etats-Unis Ă©taient "sur la bonne voie" depuis son discours prononcĂ© au Caire en 2009 dans lequel il avait plaidĂ© "pour un nouveau dĂ©part" avec le monde musulman. "Un seul discours ne peut mettre fin Ă  des annĂ©es de dĂ©fiance (...) Mais nous avons fait des progrĂšs, mĂȘme si nous avons encore beaucoup de travail".

Le président américain a réaffirmé sa détermination à "faire tout son possible" pour surmonter "les immenses obstacles (qui) demeurent" dans la recherche de la paix entre Israéliens et Palestiniens.

AprÚs l'Inde et l'Indonésie, M. Obama devait arriver dans la soirée en Corée du Sud pour un sommet du G20 qui s'annonce délicat en raison des nombreuses critiques sur la politique monétaire américaine.

Il se rendra ensuite au Japon, ultime étape de sa tournée de huit jours en Asie.

 

 
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10/11/2010
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