François Hollande serait en tête, selon les premières estimations

           

 

Présidentielle française:

François Hollande serait en tête, selon les premières estimations

 

Les premiers sondages à la sortie des bureaux de vote annoncent François Hollande en tête de l'élection présidentielle française avec entre 52,5 et 53% des voix, selon le site de la Rtbf.be.

 

La participation à 17h était de 71,96%, soit plus qu'au premier tour (70,59%) mais moins qu'en 2007 (73,87%).

Le nom du président sera officiellement connu à 20h ce soir mais nous vous donnerons en primeur tous les résultats.

Toutefois, trois grands instituts de sondages annoncent donc le candidat socialiste François Hollande en tête avec entre 52,5 et 53% des voix. Ces résultats ne tiennent coptent cependant que des votes du matin. 

La participation à la mi-journée était cependant en baisse par rapport à l'élection de 2007, qui avait suscité une mobilisation exceptionnelle. A la même heure, elle s'était établie à 75,11%.

L'institut de sondage Ifop-Fiducial prévoit une participation totale de 81,55% dimanche et Harris Interactive 81%.  Les bureaux de vote, ouverts depuis 06H00 GMT, devaient fermer à 18H00 GMT pour les derniers d'entre eux. C'est à cette heure que les médias publieront sur la base d'estimations le nom du prochain président français, le sortant Nicolas Sarkozy ou son adversaire socialiste François Hollande, favori des sondages. 

Au premier tour, le 22 avril, le taux de participation avait été de 79,47% pour l'ensemble de la journée. En 2007, il avait été de 83,97% pour le second   tour. 

http://www.rtbf.be/ 

Elwatan.com

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L'info en continu20120506.jpg

06/05/2012

 


Quelle France pour les Français et ses partenaires internationaux ?

le 06.05.12 | 10h00

| © AFP
 

Donné favori par les sondages d’opinion, François Hollande a montré, lors du face-à-face avec Sarkozy, une stature d’homme d’Etat. Y aura-t-il, aujourd’hui, en sa faveur le verdict des urnes ?

Le Président qui dirigera la France pendant les cinq prochaines années sera connu ce soir à 20h. Les électeurs français auront à s’exprimer aujourd’hui sur la France qu’ils veulent : une France «forte», retranchée dans ses frontières nationales, sociales, ethniques, culturelles, religieuses, telle que portée par le président sortant, Nicolas Sarkozy, ou une France de «rassemblement» de tous les Français, respectueuse de sa diversité et de sa pluralité, telle que la veut le candidat du «changement maintenant», le socialiste François Hollande. Le choix des Français est de ce fait déterminant, d’abord pour eux-mêmes et pour tous les étrangers qui vivent avec et parmi eux, ensuite pour leurs voisins européens et ceux de la rive sud de la Méditerranée, plus particulièrement le Maghreb et l’Afrique subsaharienne.  

«Le combat électoral, où l’islam et l’immigration ont beaucoup été mis en avant, n’a pas contribué à grandir l’image de la France, non seulement dans les pays musulmans ou africains, mais également chez nos partenaires occidentaux. S’il est réélu président, Nicolas Sarkozy devra faire face aux conséquences des déclarations qu’il a faites comme candidat. Si François Hollande est élu, l’une de ses priorités devra être de tourner cette page. Dans un monde globalisé où l’image est devenue l’un des facteurs principaux de puissance, comment la France veut-elle apparaître au reste du monde ?», analyse le politologue Pascal Boniface (qui vient de publier Le monde selon Sarkozy, éditions Jean-Claude Gawsewitch) dans une tribune publiée par Le Monde.

Tous les sondages dessinent avec constance, depuis plusieurs mois, un rapport de force en faveur du candidat socialiste François Hollande. S’ils se confirment, ce soir la victoire ne sera que plus belle et surtout si elle est signe d’un désaveu net et sans appel du président sortant. Pour que ce soit possible, l’espoir doit l’emporter sur la peur. Réponse ce soir, à la fermeture des bureaux de vote.
 

Nadjia Bouzeghrane

 

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Des dizaines de travailleurs de l'éducation nationale arrêtés à Alger

 

le 06.05.12 | 10h17

 

Des dizaines de travailleurs de l'Education nationale ont été arrêtés ce dimanche à Alger. Ils s'apprêtaient à participer à un sit-in auquel à appelé l'Union nationale des personnels de l'Education de la formation (UNPF) à la place du 1er mai mai, devant le siège cette organisation.

 

"Plus de 1200 bus qui arrivaient tot le matin de plusieurs wilayas ont été refoulés avant même d'arriver à Alger", nous confiera un porte-parole de l'UNPEF. "Les environs de la place du 1er mai (Alger) ont été encerclés pour empecher les protestataires d'affluer au siège de l'UNPEF'" a-t-il-ajouté. L'UNPEF estime le nombre de travailleurs qui allaient venir assister au sit-in à 32 000 personnes.

"On estime le nombre d'arrestations à 300" travailleurs", nous dira un représentant du syndicat. Lors du rassemblement , une enseignante s'approche de nous et nous confie que " 3 bus qui transportaient des enseignants venus de Tizi Ouzou ont été refoulés"."Des milliers d'enseignants et travailleurs de plusieurs wilayas du pays se sont déplacés à Alger", affirme Messaoud Amraoui membre l'UNPEF

Les slogans scandés par l'assistance interpelle le ministre de l'education sur le statut particulier: "Ministre règle nos problèmes ou dégage","Ouyahia ne signe pas(le statut particulier), le gouvernement ne reviendra pas"...

Fortement contesté à cause de son caractère "inégalitaire" par les différents corps de l'éducation, le report de la signature du statut particulier demeure la hantise des différents syndicats et en particulier l'UNPEF qui avec ce rassemblement , deuxième en son genre, en l’espace d’une semaine compte exercer la pression sur la tutelle et le gouvernement afin de négocier une nouvelle fois les amendements du statut particulier.

Les négociations des syndicats de l'éducation avec la tutelle sur les amendements du statut particulier qui ont eu lieu entre mars et avril  ont fini par échouer. Et l'UNPEF, l'une des reprsentations syndicales ne cesse depuis de monter au créneau après une année soclaire faite de plusieurs menaces de grève, de sit-in, de rassemblements...

Pour rappel et dans le cadre des protestations initiées par l'UNPEF, les corps communs et les agents de sécurité du secteur de l'éducation sont toujours en grève depuis maintenant quinze jours et eux aussi ont été présents en force lors du rassemblement national à Alger.

 

Hamida Mechaï

 



06/05/2012
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