En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer des services et offres adaptés à vos centres d'intéréts.
Mandela: Obama salue "un géant de l'histoire", Ban Ki-moon sa capacité d'unir
le 10.12.13 | 13h17 | mis à jour le 10.12.13 | 14h28
Le président américain Barack Obama a salué en Nelson Mandela "un géant de...
Le président américain Barack Obama a salué en Nelson Mandela "un géant de l'histoire", lors de la cérémonie d'hommage officielle au père de la Nation arc-en-ciel mardi à Soweto. "C'est difficile de faire l'éloge de n'importe quel homme (...) mais c'est encore plus difficile pour un géant de l'histoire qui a mené une Nation vers la justice", a déclaré Barack Obama, chaleureusement applaudi à son arrivée sur l'estrade. Il a également dénoncé des dirigeants qui se disent "solidaires" avec Mandela mais ne tolèrent pas d'opposition. Même dans la mort, Nelson Mandela a réussi à "unir" des dirigeants aux opinions différentes, a souligné mardi le secrétaire général de l'ONU lors de l'hommage au héros universel de la réconciliation. Le premier président noir d'Afrique du Sud, décédé jeudi, "détestait la haine", a rappelé Ban Ki-moon lors d'une cérémonie à Soweto. "Il a montré la force puissante du pardon, et sa capacité à unir les gens", a-t-il poursuivi. Et aujourd'hui, "il l'a refait". "Regardez ce stade: nous voyons des dirigeants qui représentent de nombreuses opinions et des gens de toutes les classes sociales. Ils sont tous là unis", a constaté M. Ban. Une centaine de chefs d'Etat et de gouvernement se trouvaient dans les tribunes du stade Soccer City de Soweto, venus des Etats-Unis, de Chine, de Cuba, d'Afghanistan ou encore des Territoires palestiniens. Les présidents américain Barack Obama et cubain Raul Castro devaient notamment prendre la parole un peu plus tard. "Nelson Mandela nous a montré le chemin avec un cœur plus grand que ce stade et un sourire contagieux qui (...) a éclairé le monde", a ajouté le secrétaire général de l'ONU. "Ce stade contient des dizaines de milliers de personnes. Mais même une arène grande comme l'Afrique ne suffirait pas à contenir notre douleur." "L'Afrique du Sud a perdu un héros, un père, le monde a perdu un ami cher et un mentor", a-t-il encore dit avant de conclure en xhosa, la langue maternelle de Mandela: Lala ngoxolo (repose en paix) tutwini (mes condoléances), et ndiyabulela (merci).
La Libye va se rabattre sur le marché asiatique pour compenser les...
Les pétroles algérien et nigérian concurrencent le pétrole libyen en Méditerranée.
C’est ce qu’a déclaré le ministre libyen du Pétrole et du Gaz, Abdelbari Al Aroussi, le week-end dernier, à la chaîne de télévision satellitaire Al Naba, selon une information rapportée par l’agence Reuters. «Nous sommes confrontés à un gros problème parce que le pétrole de l’Algérie et du Nigeria est entré dans le marché méditerranéen», a indiqué le ministre, en ajoutant : «Nous avons commencé à chercher de nouveaux marchés en Asie de l’Est pour compenser la perte.» Abordant la question du blocage des terminaux pétroliers, il a espéré que «les ports d’exportation commenceront bientôt» sans confirmer des informations pour leur réouverture ce mardi.
Revenant sur la crise qui affecte le secteur de la production du pétrole, le ministre a déclaré que la Libye a perdu 9 milliards de dinars libyens (l’équivalent de 7,29 milliards de dollars) en recettes pétrolières après que la production ait chuté de 1,4 million de barils par jour en juillet à environ 250 000 barils/jour actuellement. Cette situation gêne le gouvernement libyen dans la préparation du budget pour 2014. «Nous avons un problème maintenant. Comment sommes-nous censés préparer le budget ?» a-t-il affirmé, en précisant que «la planification initiale avait tablé sur une production d’environ 1,3 million de barils par jour».
Possibilité d’une deuxième session du bac
الثلاثاء 10 ديسمبر 2013 م
الثلاثاء 06 صفر 1435 ه
AFFAIRE CHAKIB KHELIL ET ENQUÊTE DU JUGE FRANÇAIS TRÉVIDIC Les sujets qui fâchent Tayeb Louh
Le ministre de la Justice a refusé, hier, de se prononcer sur l’affaire Chakib Khelil. Tayeb Louh, interrogé en marge d’une séance plénière du Sénat, a confirmé à demi-mot l’autorisation accordée au juge antiterroriste français Marc Trévidic pour enquêter en...Suite
Le ministre de la Justice a refusé, hier, de se prononcer sur l’affaire Chakib Khelil. Tayeb Louh, interrogé en marge d’une séance plénière du Sénat, a confirmé à demi-mot l’autorisation accordée au juge antiterroriste français Marc Trévidic pour enquêter en Algérie.
Tarek Hafid - Alger (Le Soir)
Le ministre de la Justice refuse d’aborder les sujets sensibles. Impossible, hier, en marge d’une séance plénière consacrée aux questions orales, d’obtenir des réponses claires à propos de l’existence d’une coopération entre les justices algérienne et américaine dans le traitement du dossier Chakib Khelil. L’information avait été annoncée la veille par l’ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique. Il a également refusé de se prononcer sur une éventuelle «révision» de la procédure de mandat de dépôt international introduite auprès d’Interpol. En guise de réaction, les journalistes ont eu droit à un «cours» sur la séparation des pouvoirs et l’Etat de droit… Autre sujet sensible : l’enquête menée en Algérie par Marc Trévidic, le magistrat français en charge du dossier de l’assassinat des moines de Tibhirine. Le ministre a tout juste confirmé l’autorisation accordée au juge antiterroriste. «Cela entre dans le cadre d’une coopération internationale. Cela concerne des juridictions spécialisées», a indiqué Tayeb Louh. Mais il refusera, là encore, de dire si le magistrat Marc Trévidic avait obtenu l’autorisation d’exhumer et d’autopsier les têtes des sept moines trappistes et rencontrer des témoins. Plusieurs médias, notamment français, avaient annoncé une première visite à Alger du juge à la fin du mois de novembre ainsi qu’une seconde visite prévue pour le mois de janvier 2014. Une information qui, jusqu’à présent, n’avait pas été confirmée par des responsables algériens. T. H.
Le département de la justice s’est dit nullement concerné par la mesure d’interdiction des manifestants, rentrant dans le cadre de la célébration de la Journée internationale contre la corruption. Selon une source autorisée, la gestion des manifestations publiques relève de la compétence du ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales, «à qui revient le droit, conformément à la loi, de gérer ce genre de dossier». Abder Bettache - Alger (Le Soir) La question portée à l’attention du ministère de la Justice fait suite au refus exprimé à des associations et autres militants anti-corruption, voulant célébrer la Journée internationale de la lutte contre la corruption. Par ailleurs et sur un autre registre, nos multiples tentatives de disposer du point de vue du département de l’intérieur, sont restées vaines. Les responsables en charge de ce dossier étaient injoignables. Cela dit, il reste à savoir si la ou lesdites associations ont officiellement introduit une demande pour l’organisation de leurs festivités et à quel niveau le refus leur a été signifié. «Une interrogation qui mérite réponse et ce, dans un but précis, «pour situer les responsabilités», ajoute notre source. Il n’en demeure, que du côté du département de la justice, la Journée mondiale de la lutte contre la corruption a été célébrée hier par l’organisation d’une journée d'étude à l’Ecole supérieure de la magistrature, sise à Ben Aknoun. Une journée d’information, destinée aux élèves magistrats et lors de laquelle, il a été expliqué «l’importance de la célébration de cette journée» et autre «enjeux de la lutte contre la corruption». Lors de cette rencontre, il a été expliqué que le «combat contre la corruption n’est pas l’apanage des pays industrialisés». En d’autres termes, et selon les organisateurs, les pays en développement, dont l’Algérie, sont de plus en plus nombreux à exprimer leur volonté de lutter contre ce problème, faisant écho des initiatives internationales, comme la Convention des Nations unies de 2003 contre la corruption. Les efforts déployés peuvent paraître réels mais les avancées concrètes restent encore faibles. «La corruption ne respecte pas les frontières, ne fait pas de distinctions économiques et gangrène toutes les formes de gouvernement. A long terme, aucun pays ne peut se permettre de supporter les coûts sociaux, politiques ou économiques qu'induit la corruption», ajoute-t-on. A. B.
Le procès de la phalange dite d’El Farouk, rendue tristement célèbre par les attentats kamikazes ayant ciblé le siège de l’ONU à Alger en 2007 et l’Académie interarmes de Cherchell en 2011 ainsi que par l’attaque contre le bus des travailleurs de BRC et la tentative d’assassinat de l’ancien chef du gouvernement, Abdelaziz Belkhadem, s’ouvre aujourd’hui au tribunal criminel d’Alger. A moins qu’il ne soit reporté — treize sur les quinze terroristes appartenant à ce groupe sanguinaire demeurent en fuite —, l’on s’attend à des révélations sur l’activité de cette phalange écumant les maquis environnants de la capitale, la cible essentiellement et qui a réussi une série d’attentats des plus spectaculaires. A l’exception de Khaled, fils de l’inénarrable Ali Belhadj (ex-dirigeant du FIS dissous), les membres du groupe, très peu connus ou peu médiatisés comme le sont les sinistres Abderrazak El Para, Hassan Hattab, Mokhtar Belmokhtar ou encore Abdelmalek Droukdel, se comptent plutôt parmi les jeunes recrues d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) et les plus instruits. Deux seulement de ces terroristes comparaîtront demain devant le tribunal, à savoir Mohamed Salah Khaled et Brahim Gouri. Les autres (Toufik Rouache, Belkacem Sid Ali, Ahmed Tazerout, Mohamed Bouletouak, Rabah Tarfi, Noureddine Halouane, Mohamed Serradj, Rabah Guetitouche, Youcef Bendjemaâ, Khaled Belhadj, Youcef Maldji, Smaïl Skili et Abdelmalek Gouri) seront jugés par contumace. Gouri Brahim et Gouri Abdelmalek Malek, eux, ont déjà été condamnés à des peines allant jusqu’à la peine capitale dans le cadre d’autres affaires liées au terrorisme. Les inculpés répondront ainsi des chefs d’inculpation de formation d’un groupe terroriste armé, homicide volontaire avec préméditation, tentative d’homicide et utilisation d’explosifs. L. H.
La commission de la coupe d’Algérie de la FAF a rendu public, hier, le programme des seizièmes de finale de l’épreuve de la catégorie séniors prévues les 20 et 21 décembre prochains. Aussi, ce tour sera entamé le vendredi 20 décembre avec six affiches dont le choc de la Ligue 1 entre le MCO et la JSMB. Le lendemain, ce seront dix matches qui auront lieu. Un fait mérite d’être signalé dans la désignation des stades devant abriter ce tour. Contrairement aux trente-deuxièmes de finale qui a vu la commission fédérale programmer un match du club premier tiré sur un terrain neutre, quiproquo qui a failli conduire au retrait des gars de l’USMH, finalement éliminés par le RCA, le match NC Magra-ES Ben Aknoun que devait abriter le stade communal de Magra (désigné pour le match précédent entre le NCM et le DRB Tadjenanet) sera joué sur le terrain du stade Opow de M’sila.
M. B.
Start
Vendredi 20 décembre
à Annaba Chabou (14h30) : JS Pont Blanc-USMM Hadjout
à El-Khroub (14h30) : ASK-MO Constantine
à Aïn M’lila Démène-Debbih (14h30) : CRB Aïn Fekroune-RC Arbaâ
à Alger 20-Août-1955 (15h) : Hydra AC-A. Bou-Saâda
à Alger Omar-Hamadi (16h): MCA-CRB Ben Badis
à Oran Zabana (17h) : MCO-JSM Béjaïa
Samedi 21 décembre
à Tiaret (14h30) : JSMT- O Médéa
à Oum El-Bouaghi (14h30) : US Chaouia-AS Aïn M’lila
à M’sila (14h30) : NC Magra-ES Ben Aknoun
à Saïda (14h30) : MCS-USM Bel-Abbès
à Batna (15h) : ES Bouakal-ORB Oued Fodda
à Tizi-Ouzou 1er-Novembre (15h) : US Béni Douala-MSP Batna
à Alger 20-Août-55 (15h30) : JSM Chéraga-WM Tébessa