MARDI 16 JUIN 2009

MARDI 16 JUIN 2009

ÇáËáÇËÇÁ 16 ĂŒĂŠĂ‡Ă€ 2009

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Le dicton météorologique du jour::

"De juin vent du soir

Pour le grain est de bon espoir"

Le proverbe du jour:

"Quand on serre trop l'anguille, on la laisse partir" (proverbe français)

La citation du jour:

"Nul ne mĂ©rite d'ĂȘtre louĂ© de bontĂ© s'il n'a pas la force d'ĂȘtre mĂ©chant" (La Rochefoucauld)

 

 

 

lehic.dz@hotmail.com

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Pause-Café
La harga vue autrement

Tous les jours que Dieu fait, ils partent
 Par dizaines ; bientÎt par centaines, ils quittent le bateau algérien en dérive
 pour mourir souvent en Méditerranée. Suite...


LE MINISTRE CHÉRIF ABBAS EST CATÉGORIQUE :
«Le dossier des faux moudjahidine est clos»

C’est en des termes clairs et sans fioriture aucune que le ministre des Moudjahidine, en visite de travail et d’inspection dans la wilaya d’El-Tarf, ce samedi, a rĂ©vĂ©lĂ© que «le dossier des faux moudjahidine est clos», une maniĂšre de signifier que la polĂ©mique n’a plus lieu d’ĂȘtre. Et d’ajouter, pour mieux enfoncer le clou et couper l’herbe sous le pied aux rĂ©visionnistes, que «les listes Ă©tablies des moudjahidine ont Ă©tĂ© vĂ©rifiĂ©es et ne souffrent aucune anomalie». Suite...


 
 

 

 

 


ActualitĂ©s : MOUSSA BENHAMADI L’A AFFIRMÉ
Vers la gratuité du téléphone fixe


Dans une interview accordĂ©e Ă  l’hebdomadaire Les Afriques , le PrĂ©sident-directeur gĂ©nĂ©ral d’AlgĂ©rie TĂ©lĂ©com estime que la gratuitĂ© des communications tĂ©lĂ©phoniques est aujourd’hui une «option essentielle». Pour Moussa Benhamadi, le manque Ă  gagner engendrĂ© par cette prestation pourrait ĂȘtre amorti grĂące Ă  l’Internet haut dĂ©bit.
Tarek Hafid - Alger (Le Soir) - «L’accĂšs tĂ©lĂ©phonique gratuit Ă  l’abonnĂ© est une option essentielle. Si on ne parvient pas Ă  offrir cet accĂšs gratuit, on risque d’en payer le prix», a indiquĂ© le P-dg d’AlgĂ©rie TĂ©lĂ©com dans un entretien publiĂ© par Les Afriques. Selon Moussa Benhamadi, la solution pour pallier le manque Ă  gagner de la tĂ©lĂ©phonie gratuite passe par le dĂ©veloppement de l’Internet haut dĂ©bit. «Il faudrait arriver Ă  financer le manque Ă  gagner de la tĂ©lĂ©phonie fixe par l’accĂšs Ă  Internet haut dĂ©bit (
) Nous sommes en cours de migration de notre rĂ©seau tĂ©lĂ©phonique classique vers le rĂ©seau IP, il faut prĂ©parer l’avenir. Nous avons lancĂ©, Ă©galement, une opĂ©ration qui permet Ă  tout citoyen de rĂ©cupĂ©rer une ligne fixe qu’il a rĂ©siliĂ©e, en contrepartie d’un abonnement Internet gratuit pendant une annĂ©e», a-t-il soulignĂ©. Benhamadi reste toutefois confiant, estimant qu’aucun opĂ©rateur ne peut rivaliser avec AlgĂ©rie TĂ©lĂ©com en matiĂšre de tĂ©lĂ©phonie fixe. Pour lui, la vente d’une nouvelle licence fixe est inutile. «Une deuxiĂšme licence fixe en AlgĂ©rie n’est plus viable. Aucun opĂ©rateur ne peut rivaliser sur notre marchĂ© avec AlgĂ©rie TĂ©lĂ©com, qui dispose d’un rĂ©seau trĂšs important. » Il reconnaĂźtra toutefois que son entreprise perd des sommes considĂ©rables Ă  l’international sur le rĂ©seau de tĂ©lĂ©phonie IP (via Internet). «C’est du vol, beaucoup de trafic tĂ©lĂ©phonique qui devait revenir Ă  l’AlgĂ©rie a Ă©tĂ© dĂ©tournĂ©. En juin 2008, 16 millions de minutes ont Ă©tĂ© comptabilisĂ©es contre 30 millions en juin 2009. On a pu, donc, rĂ©cupĂ©rer 14 millions de minutes en l’espace d’une annĂ©e. La Banque d’AlgĂ©rie, en tant qu’institution chargĂ©e du rapatriement des devises, perd beaucoup d’argent dans ce trafic gris (
). Nous perdons au moins 10 millions de dinars par mois sur la base d’un prix de 5 DA la minute.» En plus des pertes financiĂšres, la tĂ©lĂ©phonie sur IP poserait Ă©galement des problĂšmes d’ordre sĂ©curitaire. «Ce trafic peut ĂȘtre un moyen de blanchiment d’argent, de financement du terrorisme ou du banditisme. Cela pĂ©nalise l’économie nationale et pose des problĂšmes de sĂ©curité». Revenant sur le litige qui oppose AlgĂ©rie TĂ©lĂ©com Ă  l’Eepad, Benhamadi a indiquĂ© que l’opĂ©rateur privĂ© n’avait versĂ© que 50 millions de dinars au lieu des 430 millions de dinars prĂ©vus initialement. «Il n’est plus de notre ressort d’accorder un Ă©chĂ©ancier supplĂ©mentaire Ă  l’Eepad. Le 26 mai 2009, l’Eepad n’a prĂ©sentĂ© qu’un chĂšque de 50 millions de dinars sans s’acquitter des 430 millions de dinars prĂ©vus dans le dernier Ă©chĂ©ancier».
T. H.



Source de cet article :
http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2009/06/15/article.php?sid=84530&cid=2
 


Actualités : NOM DE DOMAINE INTERNET «.DZ»
Comment encourager l’hĂ©bergement sous ce site ?


Sur les 45 000 sites web algĂ©riens, seuls 2 380 sont enregistrĂ©s sous le nom de domaine «.DZ». Comment convaincre les clients hĂ©bergĂ©s Ă  l’étranger de s’enregistrer en «.DZ»? Mais surtout comment dĂ©velopper ce nom de domaine ? C’est la problĂ©matique posĂ©e par le Centre de recherche sur l’information scientifique et technique (Cerist), qui a organisĂ©, hier, une journĂ©e d’information sur les noms de domaines Internet «.DZ».
Salima Akkouche - Alger (Le Soir) - Faible dĂ©bit, manque de fiabilitĂ©, et souvent le site recherchĂ© n’est pas accessible. «Se mettre en ligne» est compliquĂ© notamment quand il s’agit du site «.DZ». C’est ce qu’ont soutenu les directeurs d’institutions et d’administrations qui se sont exprimĂ©s, hier, lors de la journĂ©e d’information sur le nom de domaine Internet «.DZ». Ces derniers estiment que si les administrations ou les citoyens prĂ©fĂšrent surfer sur des sites Ă©trangers, au lieu du site national «.DZ», c’est parce que ce dernier prĂ©sente beaucoup de contraintes. L’AlgĂ©rie a-t-elle fonctionnĂ© en marge de cette rĂ©volution ? Oui, d’aprĂšs le prĂ©sident de l’association des providers, M. Kahlene. Ce dernier dira que l’AlgĂ©rie est, trĂšs loin, derriĂšre la Tunisie et le Maroc dans ce domaine. Ainsi au moment oĂč le premier compte prĂšs de 13 000 sites web et le second quelque 50 000 Ă  60 000 sites, dans notre pays on ne dĂ©nombre que 2 380 sites sous une identitĂ© nationale. Comment promouvoir ce nom de domaine ? M. Kahlene, qui a appelĂ© l’ensemble des institutions concernĂ©es Ă  s’impliquer davantage dans le dĂ©veloppement du contenu, dira qu’il faudra pour une premiĂšre Ă©tape proposer aux clients dont les sites sont hĂ©bergĂ©s Ă  l’étranger que sans les rapatrier, ils peuvent les doubler avec une identitĂ© nationale. «De la sorte, nous arriverons Ă  doubler le nombre d’enregistrement, sous le nom .DZ», a-t-il estimĂ©. De son cĂŽtĂ© Mme El Maouhab, directrice de la Division rĂ©seaux au Cerist, dira que les outils existent pour le dĂ©veloppement et la promotion de ce nom de domaine. «Il faut se mettre autour d’une table pour dire ce qu’il faut faire», a-t-elle proposĂ©. La prĂ©sidente de l’AutoritĂ© de rĂ©gulation de la Poste et des tĂ©lĂ©communications estime qu’il faut une campagne de sensibilisation «plus agressive » et rĂ©flĂ©chir Ă  allĂ©ger les procĂ©dures d’acquisition du «.DZ». Soulignons que cette journĂ©e s’inscrit dans une action d’information et de vulgarisation pour promouvoir l’identitĂ© algĂ©rienne sur Internet et garantir la pĂ©rennitĂ© de l’infrastructure basĂ©e sur l’identification des noms de domaines. La gestion des enregistrements des noms de domaines sous «.DZ» est une activitĂ© qui a Ă©tĂ© initiĂ©e par le Cerist avec l’introduction d’Internet en AlgĂ©rie en 1994. L’enregistrement auprĂšs de l’ICANN (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers) a Ă©tĂ© opĂ©rationnel en mai 1995. Toutes les entitĂ©s Ă©tablies dans le pays, ayant une reprĂ©sentation lĂ©gale en AlgĂ©rie ou disposant d’un document justifiant les droits de propriĂ©tĂ© de nom dans le pays peuvent se faire attribuer un nom de domaine sous le domaine «.DZ».
S. A.



Source de cet article :
http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2009/06/15/article.php?sid=84531&cid=2
 
     

 



16/06/2009
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