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لثلاثاءـ 20 رجب 1435 ه
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Cyber-espionnage: Washington poursuit des militaires chinois La justice américaine a inculpé lundi cinq officiers de l'armée chinoise pour "piratage informatique" et "espionnage économique", une première reflétant... Incidents de Ghardaia : 10 individus écroués Dix individus, présumés impliqués dans les échauffourées qu'a connues samedi Ghardaïa, ont... La Libye s'enfonce dans le chaos, le cabinet propose une sortie de crise Le gouvernement libyen a proposé lundi la "mise en congé" du Parlement contesté pour sortir le pays de la crise aggravée par une attaque armée contre cette... Perturbation du trafic ferroviaire autour d'Alger Les perturbations enregistrées dans le trafic ferroviaire dans la banlieue algéroise (Est et Ouest) sont dues à ''des... Actualité
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Culture
Vestiges en périlLe patrimoine documentaire est en danger. Il n’existe ni liste ni inventaire, encore moins de catalogage concernant les anciens manuscrits. Mozart, c'est génial ! A la veille des deux concerts de l’Orchestre symphonique national (OSN) qui auront lieu le mercredi 21 mai 2014 à 19h30 à Alger, au... |
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Il rencontrera Gaïd Salah, Sellal et le président Bouteflika
Jean-Yves Le Drian à Alger pour le Sahel
le 20.05.14 | 10h00
Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, sera aujourd’hui à Alger pour une visite de deux jours.
M. Le Drian effectuera ainsi sa première visite de travail en Algérie depuis son installation à la tête du ministère de la Défense dans un contexte géopolitique extrêmement tendu en Afrique du Nord et dans la sous-région, avec notamment la persistance du terrorisme au Sahel et la difficulté à réconcilier les Maliens du Nord avec leur gouvernement du Sud. «Elle revêt une très grande importance, on y travaille intensément. Ce sera l’occasion d’un dialogue politique à haut niveau», où seront notamment évoqués «les dispositifs de lutte contre le terrorisme au Sahel» et «la situation au Mali», a indiqué le ministère français de la Défense dans un communiqué.
Il est donc clair que les discussions seront axées sur le Sahel en général et le Mali en particulier, où la France, qui est intervenue militairement il y a plus d’une année, peine toujours à venir à bout des groupes terroristes qui, bien que repliés au nord, constituent une menace sérieuse pour les Maliens mais aussi pour les intérêts de la France dans la région. L’opération Serval, déclenchée il y a seize mois, a certes permis de repousser les groupes et de frapper le cœur de leur base terroriste, mais elle n’a pas pu les éliminer.
L’appui d’Alger, aussi bien politico-diplomatique que militaire, est vivement sollicité par une France qui ne pourrait pas, ne serait-ce que sur le plan financier, maintenir durablement sa présence militaire renforcée dans ce vaste pays à la frontière sud de l’Algérie. Pour neutraliser la menace terroriste au nord du Mali et trouver un terrain d’entente entre les Touareg du MNLA et le gouvernement central malien, la France a indéniablement besoin de l’apport d’Alger qui connaît parfaitement la nature des groupes terroristes, la géographie et la sociologie de la région. Frontalière avec le Mali, l’Algérie œuvre depuis quelques mois à instaurer un dialogue permanent intermalien.
Le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, qui a fait une tournée dimanche dernier dans les pays du Sahel, a plaidé pour ce dialogue qui «doit commencer le plus tôt possible». Il a en effet appelé à la «persévérance» dans cette démarche lors de la 3e session du Comité bilatérale stratégique algéro-malien sur le nord du Mali et la réunion de haut niveau des ministres des Affaires étrangères des pays du Sahel à Bamako. C’est dire que l’Algérie est déjà impliquée dans le processus de règlement de la crise malienne, de sécurisation et stabilisation des pays du Sahel. Elle est courtisée par la France en raison notamment de son expérience en matière de lutte contre les groupes terroristes qui ont comme base arrière ce vaste territoire nord-malien.
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La Libye s'enfonce dans le chaos, le cabinet propose une sortie de crise
le 18.05.14 | 16h44 | mis à jour le 19.05.14 | 21h04
Le gouvernement libyen a proposé lundi la "mise en congé" du Parlement contesté pour sortir le pays de la crise aggravée par une attaque armée contre cette instance et une offensive d'une force para-militaire dans l'Est.
Rendant la situation plus chaotique, les Forces spéciales à Benghazi, une unité d'élite de l'armée régulière, et des officiers de la base aérienne de Tobrouk (est), ont annoncé leur ralliement à cette offensive lancée contre les groupes radicaux par un général dissident accusé de "tentative de coup d'Etat".
Les violences risquent de plonger le pays dans la guerre civile et raviver les rivalités entre des dizaines de milices qui obéissent à leurs propres intérêts, qu'ils soient d'ordre idéologique, régional ou tribal.
Ces milices dominées par les islamistes font la loi depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi en octobre 2011, les autorités de transition ne parvenant pas à former une armée et une police disciplinées.
Les hauts gradés sous Mouammar Kadhafi, bien que certains aient participé à la révolte l'ayant renversé, ont été marginalisés ou écartés par les nouvelles autorités regroupées au sein du Congrès général national (CGN), la plus haute instance politique minée par une lutte d'influences entre islamistes et libéraux.
Affirmant œuvrer pour éviter la guerre, le gouvernement a proposé que "le CGN, après l'adoption du budget 2014, se mette en vacances parlementaires, jusqu'à l'élection d'un nouveau Parlement", dans un délai de trois mois.
Cette initiative, qui figure dans une lettre ouverte publiée sur le site du gouvernement, prévoit également un nouveau vote au Congrès pour donner la confiance à un nouveau Premier ministre, Ahmed Miitig, élu à l'issue d'un vote chaotique et controversé début mai.
On ignore pour le moment si cette initiative serait acceptée alors que le Congrès accapare tous les pouvoirs et que le gouvernement se plaint d'un manque de prérogatives.
- Violence -
Le CGN a provoqué la colère de forces politiques et militaires et d'une grande partie de la population, en décidant de prolonger jusqu'en décembre 2014 son mandat arrivé à expiration en février.
Sous la pression de la rue qui lui reproche de n'avoir pas su mettre fin à l'anarchie, le CGN a décidé ensuite d'organiser des élections anticipées, sans toutefois fixer de date.
Son siège à Tripoli est régulièrement la cible d'attaques de groupes armés, la dernière en date ayant été menée dimanche par les puissantes milices de la région de Zenten (ouest), considérées comme le bras armé du courant libéral en Libye et qui réclament la dissolution du CGN.
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Transport ferroviaire : La SNTF s'alarme du phénomène de vol de câbles électriques'
le 20.05.14 | 18h26
Le phénomène du vol de câbles électriques et le caillassage des trains des banlieues du grand Alger a pris des proportions ''alarmantes'' ces dernières semaines, au point que le trafic ferroviaire a été fortement ''perturbé'', indique mardi une source proche de la direction générale de la Société nationale des transports ferroviaires (SNTF).
Depuis quelques semaines, ''le vol de câbles haute tension (16.000 volts) et la destruction de caténaires a pris des proportions alarmantes'', précise la même source à l'APS.
''Il s'agit de câbles de très haute tension servant à faire marcher les trains électriques qui sont la proie de ces prédations'', ajoute t-on. Le vol de câbles électriques et ''des caténaires découpés en morceaux est enregistré au niveau de la banlieue est, entre Réghaïa et Thénia'', précise la même source. Les services de sécurité ont été saisis par la direction générale de la SNTF, indique t-on.
''Au début, il y avait des équipes de techniciens envoyés sur place pour réparer les dégâts. Mais, devant la fréquence infernale des vols et l'agression de nos agents par des énergumènes, nous avons cessé les réparations, et on est revenu au diesel'', explique t-on.
A la direction générale de la SNTF, ''on est inquiet de la propagation de ce phénomène de vols de câbles en cuivre, qui empêche les autorails à énergie électrique de fonctionner, et risque de s'étendre à la banlieue ouest vers El Affroun''.
Lors de manifestation contre un projet de centre d'enfouissement technique (CET) au mois de février dernier, des riverains de la voie ferrée près de Réghaïa avaient en signe de protestation contre ce projet déboulonné les poteaux servant de supports aux caténaires électriques, ce qui avait bloqué le trafic ferroviaire sur cette voie. Le rétablissement du trafic avait repris graduellement, avec des trains fonctionnant au diesel.
''Toutes les autorités ont été informées de cette situation, qui pénalise la société'', indique t-on à la direction générale de la SNTF, qui déplore également le caillassage depuis ''nombreuses années'' des trains à l'entrée des villes des banlieues est et ouest d'Alger.
Les vitres des trains sont régulièrement remplacées par des ''vitres blindées importées pour protéger les voyageurs. Mais, l'entreprise ne peut indéfiniment remplacer ces vitres'', ajoute t-on.
Mort du journaliste Jean-Louis Hurst
Le «déserteur» pose ses valises définitivement à Alger
le 20.05.14 | 10h00
Il avait l’Algérie chevillée au cœur. Militant inlassable, son histoire personnelle et celle de son pays d’adoption sont indissociables.
Paris (France)
De notre correspondant
«Ses sentiments fraternels à l’égard des Algériens ne se sont jamais démentis, sans jamais rien demander en retour. Nulle gloriole officielle, aucune tentative de récupération de son action de solidarité envers les Algériens, ses frères, ne réussit à ternir son parcours. C’est en terre d’Algérie, conformément à ses dernières volontés, qu’il reposera définitivement aux côtés de Heike, sa compagne de combat pour l’Algérie, son épouse, la mère de sa fille Annik, qui vit le jour en Algérie en 1964. Nous serons nombreux aux côtés de notre sœur Annik pour la soutenir en ces tristes circonstances. Nous serons présents pour accueillir la dépouille de Jean-Louis et les cendres de Heike», témoigne Boussad Ouadi, éditeur-libraire.
Retour sur un passé engagé. Auteur du livre Le Déserteur, publié et interdit en 1960, «porteur de valises» du FLN, Jean-Louis Hurst, né en 1935, découvre le nationalisme algérien grâce à un ami, employé de son père. Sous-lieutenant dans l’armée française en 1957, le jeune communiste juge trop tiède la position de son parti et s’engage pour la libération de l’Algérie.
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L’OPPOSITION SOUS LE 4e MANDAT L’élection présidentielle a bouleversé la physionomie de la scène politique algérienne. Le passage en force de Abdelaziz Bouteflika a mis un terme au clivage islamistes/démocrates et conduit à la constitution de Suite... |
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