112-/-Mardi 22 Avril 2014
الثلاثاء 22 أفريل 2014 م
Mardi 22 Avril 2014
الثلاثاء 21 جمادى الآخرة 1435 ه
|
|
|
**** LE PRINTEMPS EST LA****
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Pourquoi le terrorisme perdure en Kabylie Le terrorisme a encore frappé en Kabylie. Un autre coup, un coup de trop, faisant de cette région une exception, une «tache»... |
Benflis réunit les «Forces du changement»
Ali Benflis a mis en place, avec ses soutiens, un pôle politique appelé les «Forces du changement».
Célébration du printemps berbère du 20 avril 1980 : Les partis politiques condamnent la répression
La marche de la célébration du 34e anniversaire du Printemps berbère du 20 Avril 1980 a été violemment...
Rassemblements et tension à Tizi Ouzou
Au lendemain de la marche du 20 Avril empêchée et réprimée par les forces de sécurité dans la ville de Tizi...
Recul de 7% des exportations d'hydrocarbures
L’Algérie a enregistré un excédent commercial de 2,6 milliards de dollars au premier trimestre 2014 contre 3,36 milliards...
Pourquoi le terrorisme perdure en Kabylie
Le terrorisme a encore frappé en Kabylie. Un autre coup, un coup de trop, faisant de cette région une exception, une «tache»...
L'ANP boucle le périmètre
Hélicoptères, mortiers, tout l’arsenal militaire a été mis en branle par les éléments des forces de...
Le témoignage d'un patriote
Témoin direct de l’embuscade contre les militaires à Iboudrarène, wilaya de Tizi Ouzou, un patriote revient sur «les...
Revoir les moyens de lutte
L’Algérie est l’un des plus grands importateurs d’armes au monde, classée dixième par l’Institut de...
La page Halilhodzic se ferme et celle de Gourcuff s'ouvre
La Fédération algérienne de football (FAF) semble avoir définitivement tourné la page Vahid Halilhodzic. Elle serait...
Une finale inédite pour une relation passionnante
Pour cette finale, le 100e derby toutes compétitions confondues, constitue un fait inédit dans l’histoire des deux clubs (JSK-MCA)...
«Nous sommes appelés à jouer des matchs de la Coupe»
A quelques jours seulement de la reprise officielle de la compétition, les différents clubs peaufinent leur préparation pour...
Recul de 7% des exportations d'hydrocarbures
L’Algérie a enregistré un excédent commercial de 2,6 milliards de dollars au premier trimestre 2014 contre 3,36 milliards...
Les gisements stratégiques restent à définir
La nouvelle loi minière validée par les deux Chambres du Parlement vient enfin d’entrer en vigueur.
Impôts et taxes : Limitation des paiements en espèces
Le seuil maximum du montant pouvant être versé en espèces pour l’acquittement d’impôts et taxes de toute nature est...
L'autodétermination de la RASD ne souffre aucune équivoque
Experts en droit international et universitaires ont plaidé, hier à Alger, pour l’élargissement des prérogatives de la...
Bachar Al Assad sans concurrence
En dépit du contexte de guerre, des manifestations se sont déjà déroulées à Damas et à Homs pour...
Ukraine, le saut dans l'inconnu
La situation évolue de mal en pis en Ukraine. Chaque jour, une partie de cette ancienne république de l’Union soviétique tente...
Un polar intrigant
L’auteur Tarik Djerroud signe un roman policier haletant.
Bourse aux USA : Avoir une idée géniale
Tout ce que vous aurez à faire, c’est de soumettre une idée créative pour un meilleur lendemain en Algérie.
Damas soupçonné d'utiliser des produits chimiques industriels dans ses attaques
le 22.04.14 | 11h48 | mis à jour le 22.04.14 | 18h28
Washington et Paris soupçonnent Damas d'avoir utilisé des produits chimiques industriels dans des attaques, tout en ayant évacué ou détruit près de 80% de son arsenal chimique en vertu d'un accord lui ayant évité des frappes militaires américaines.
Sur le plan intérieur, le régime syrien a fixé au 3 juin l'élection présidentielle, un scrutin déjà dénoncé comme une "farce" par l'opposition et qui devrait conduire à la réélection de Bachar al-Assad.
Et la Croix-Rouge s'est dite "horrifiée" par l'escalade des violences ces derniers jours à Alep (nord), faisant état d'"attaques à tort et à travers contre des civils" et appelant toutes les parties à respecter le droit international et à laisser passer l'aide humanitaire.
Alors que le pays est plongé dans un conflit sans cesse plus complexe, Washington et Paris ont indiqué en pointant Damas du doigt, avoir des éléments sur l'utilisation récente de produits chimiques toxiques.
La Maison-Blanche a fait état d'une attaque de ce type à Kafarzita, un bastion rebelle de la province de Hama (centre).
Le 12 avril, des militants et l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) avaient accusé l'armée d'avoir mené une frappe aux barils d'explosifs ayant provoqué "suffocations et empoisonnements" parmi des habitants de ce village.
Mais la télévision officielle syrienne avait accusé le Front al-Nosra, branche syrienne d'Al-Qaïda, d'avoir attaqué Kafarzita au "chlore toxique".
Des militants anti-régime ont également évoqué d'autres attaques au chlore, la plus récente ayant eu lieu lundi, selon eux, dans la province d'Idleb (nord-ouest).
Après une attaque dévastatrice en août près de Damas, la Syrie s'était engagée à détruire son arsenal d'armes chimiques d'ici au 30 juin. A ce stade, près de 80% de cet arsenal a été évacué ou détruit, selon la mission conjointe de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) et l'ONU.
Mais d'après Hamish de Bretton-Gordon, un expert en armes chimiques interrogé par l'AFP, le chlore est un produit très largement utilisé dans le civil et Damas n'a donc pas eu à en communiquer ses stocks.
Sa toxicité est assez faible, mais il reste "très efficace dans ce type de guerre; dans des zones urbaines, les armes chimiques s'introduisant dans tous les coins et recoins", a-t-il ajouté.
- 'Parodie de démocratie' -
La lutte antiterroriste inefficace
Pourquoi le terrorisme perdure en Kabylie
le 22.04.14 | 10h00
Le terrorisme a encore frappé en Kabylie. Un autre coup, un coup de trop, faisant de cette région une exception, une «tache» dans l’espace Algérie débarrassé pourtant de la vermine terroriste depuis déjà plus d’une décennie.
Le discours sur le retour de la paix devient caduc lorsque l’on constate que des Algériens continuent de tomber sous les balles des terroristes. Où est donc cette paix tant chantée qui, pour les Algériens de Kabylie, n’a aucun sens et aucune réalité ? Il est indécent de voir que des Algériens sont assassinés aux portes d’Alger et que l’on continue de dire que le terrorisme a été vaincu ou que les Algériens sont satisfaits du retour de la paix. S’il est heureux de constater que le reste du pays soit sain et sauf, force est de souligner que ce reste ne saurait vivre en paix alors qu’une partie de lui souffre encore de ce mal.
Cette interrogation est légitime : pourquoi la Kabylie demeure-t-elle sujette à ces attaques malgré le déploiement d’un dispositif sécuritaire impressionnant ? Pourquoi cette région est-elle toujours victime d’actes de kidnapping de civils et d’attentats contre des militaires, alors que le monde «reconnaît une expertise» algérienne dans la lutte contre le terrorisme ?
L’excuse de la densité des maquis kabyles peut-elle encore justifier cette incapacité à venir à bout du terrorisme dans cette région ? Il y a de quoi en douter, puisque la Kabylie jouit d’une géographie qui n’est pas éloignée de celle des montagnes de Jijel ou Chréa ou encore les Babors à Sétif, où le terrorisme n’a plus cours, et, heureusement, depuis des années.
Des milliards de dollars sont dépensés à la faveur de chaque exercice budgétaire pour l’achat d’équipements militaires, mais des groupuscules terroristes continuent de sévir dans les montagnes au vu et au su de tous.
Les habitants de la région, qui n’ont aucunement servi d’arrière-garde à ces groupes et qui même au plus fort des années de terreur, ayant mis une barrière aux discours et actes de violence, s’interrogent aujourd’hui, et légitimement d’ailleurs, sur la présence inefficace des services de sécurité qui même «informés» par les villageois n’ont pas mis fin à cette présence bien douteuse des terroristes dans la région. On en vient à se demander s’il existe réellement une volonté d’en finir avec le terrorisme en Kabylie.
Les faits sont là et sont têtus et prouvent que le laxisme l’emporte sur la vraie lutte contre ce «terrorisme résiduel» comme aiment à le qualifier certains hommes du pouvoir bien à l’abri dans leur tour d’ivoire algéroise.
On parle de terrorisme résiduel comme d’une fatalité avec laquelle il faut vivre du moment que cela n’atteint pas les centres du pouvoir. Mais ce terrorisme avec lequel on semble «s’accommoder» ressemble, disent les habitants de la région, à une sanction. Le bastion des luttes démocratiques, qu’est la Kabylie, se sent en effet sanctionné et puni pour son engagement politique par cette longue présence terroriste.
La gestion par la peur et la terreur étant connue pour avoir pour effet de mater toute velléité d’action subversive.
A quoi peuvent bien servir ces dizaines de casernes militaires implantées un peu partout dans la région, si ce n’est pas pour éradiquer le phénomène terroriste ? Une présence bien installée dans le temps qui semble avoir plus un effet psychologique sur les populations locales, se sentant surveillées et mises sous contrôle.
Nadjia Bouarich
|
|
|
%u0627%u0644%u062B%u0644%u0627%u062B%u0627%u0621 22 %u0623%u0641%u0631%u064A%u0644 2014 %u0645 %u0627%u0644%u062B%u0644%u0627%u062B%u0627%u0621 21 %u062C%u0645%u0627%u062F%u0649 %u0627%u0644%u0622%u062E%u0631%u0629 1435 %u0647 -- @belprof