Le chef de la police de Los Angeles n'exclut pas la piste criminelle sur le dossier Jackson. En effet, après avoir trouvé de nombreuses ordonnances sous des prêtes-noms, l'ensemble des médicaments, des antalgiques aux noms scientifiques très particuliers, lui aurait été administrés, par voie intraveineuse, de nombreuses fois pour lui permettre semble-t-il, de dormir car il soufrait d'insomnie...
les analgésiques Demerol ou le Promothazine, le Xanax, un puissant antihistaminique à fort effets sédatifs et anti-anxiété, le Diprivan, un sédatif, ne sont pas là pour rassurer. Quel est le rôle des médecins, notamment Conrad Murray qui était là avant que son coeur ne s'arrête de battre ?