Être Miss France, ce n'est pas de tout repos... Malika Ménard en sait quelque chose ! La société Miss France l'envoie représenter les couleurs, le glamour et la beauté de notre beau pays, de terroir en terroir. C'est simple : Malika n'a pas une seconde pour elle ! Entre séances de dédicaces, foires, défilés, émissions télé, sans parler des shooting photo... C'est simple : toute la presse la veut dans ses pages ! Et même la Poste la réclame puisqu'elle a fait d'elle l'emblème de sa nouvelle collection d'enveloppes prétimbrées ! Lire la suite l'article
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Malika, les 35 heures, elles les explose en même pas trois jours. Fruit d'un planning surchargé. Son emploi du temps ressemble fort à celui d'une ministre : depuis jeudi, elle s'est rendue à Rennes avant de rejoindre Château-Gonthier, en Mayenne, puis direction le Rhône, le Beaujolais, samedi... Et aujourd'hui, elle investira le Salon de l'Etudiant, avant de rejoindre, ce mardi, la ville de Bayeux, celle-là même où elle a été élue Miss Normandie, l'année passée.
Mais surtout, on apprend dans le Parisien de ce matin que les déplacements de Malika sont facturés une véritable petite fortune aux communes et comité locaux qui souhaitent se l'offrir le temps d'un petit coucou de la main, à en croire les informations révélées par le quotidien. Résultat : certains se découragent par manque de fonds, tant les prix pratiqués par Endemol sont excessifs. A titre d'exemple, le Parisien évoque le défilé auquel elle a assisté à Château-Gonthier, ce vendredi. La venue de Malika Ménard a forcé les organisateurs à augmenter de près de 70% le prix du billet d'entrée (10 euros au lieu de 6)... Deviendrait-elle la nouvelle vache à lait d'Endemol ?
Geneviève de Fontenay tire d'ailleurs la sonnette d'alarme au sujet de la surexploitation de sa petite protégée. Pour la présidente du comité Miss France, trop c'est trop : "Elle est très fatiguée, Malika. Ils la pressent comme un citron. Elle va craquer !", déclarait-elle vendredi après-midi au Parisien. "