NOVEMBRE 2008: derNieres news De ROUIBA

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Mardi 2 décembre, 337e jour de l'année

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Le dicton météorologique du jour:

"Quand décembre est froid,

Quand la neige tombe,

En année féconde

Tu peux avoir foi".

Le proverbe du jour:

"Le sang est la sueur des héros" (proverbe bantou)

La citation du jour:

"Il faut avoir de grosses illusions bien grasses: on a moins de peine Ă  les nourrir" (Jules Renard)

El Watan 

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bien Ă  vous

 

 Les bénéficiaires dans l'expectative

RĂ©gularisation du lotissement Cadat (Rouiba)

Les bénéficiaires dans l'expectative

Les quelque 1200 bénéficiaires de lots de terrain au niveau du lotissement Cadat, dans la commune de Rouiba, sont toujours dans l'expectative de voir un jour se régler d'une maniÚre définitive le problÚme de la régularisation administrative de leurs parcelles de terrain.



 

Le site, qui s'Ă©tend sur une superficie avoisinant les 17 hectares, paraĂźt Ă  premiĂšre vue viabilisĂ© et prĂȘt Ă  accueillir les travaux des nouvelles constructions. Cet Ă©tat de fait sera confirmĂ© par le P/APC de Rouiba M. Lakrouz, qui dira Ă  ce propos : « Le lotissement a Ă©tĂ© totalement viabilisĂ© durant le mandat 2002/2007, le problĂšme, qui entrave la rĂ©gularisation de cette assiette fonciĂšre est le fait que l'on trouve dans certains cas deux, voire trois dĂ©cisions d'attribution pour un seul lot. Â» Cette situation est assurĂ©ment le rĂ©sultat d'une anarchie qui a prĂ©valu des annĂ©es durant au niveau de l'APC de Rouiba.

Pendant plusieurs mandats, ce lotissement avait fait l'objet par les responsables locaux de plusieurs opĂ©rations d'attribution. Initialement, le lotissement, qui a pris naissance durant l'annĂ©e 1987, avec trois autres sites, Ă  savoir celui appelĂ© lotissement du LycĂ©e, El Merdja et Houch Rouiba, Ă©tait dĂ©signĂ© pour ĂȘtre loti en parcelles de 300 m2. Vers le dĂ©but des annĂ©es 1990, la composante communale d'alors a procĂ©dĂ© Ă  l'attribution de ces terrains « sans toutefois qu'il y ait de dĂ©libĂ©ration ni mĂȘme d'actes administratifs enregistrĂ©s et publiĂ©s Â», assure M Lakrouz. Nous apprendrons Ă©galement de notre interlocuteur que certains responsables Ă  la tĂȘte de l'APC « ont mis leur grain de sel Â» durant une pĂ©riode qui s'est Ă©talĂ©e sur une vingtaine d'annĂ©es, ce qui a compliquĂ© davantage la situation administrative de ce lotissement, dont les lots sont actuellement revendiquĂ©s par plusieurs bĂ©nĂ©ficiaires.

Ces derniers se sont constituĂ©s en association pour dĂ©fendre leurs droits, ils ont Ă©tĂ©, nous assure-t-on au niveau de l'APC, reçues Ă  maintes reprises par l'actuel P/APC, qui leur a signifiĂ© que ce problĂšme ne relĂšve dĂ©sormais plus de l'APC, dĂšs lors que les prĂ©rogatives d'attribution en matiĂšre de foncier ont Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©es des collectivitĂ©s locales aux wilayas depuis 2003. « Nous nous sommes rĂ©unis plusieurs fois avec les bĂ©nĂ©ficiaires pour essayer de trouver une issue favorable Ă  ce problĂšme, nous avons par ailleurs informer les responsables au niveau de la wilaya dĂ©lĂ©guĂ©e, qui ont reçu les reprĂ©sentants de ces bĂ©nĂ©ficiaires Â», soutient M. Lakrouz. Bien que ce soit maintenant le fait accompli, notre interlocuteur indique toutefois que « la solution serait peut-ĂȘtre dans le fait de revoir complĂštement la formule d'attribution en modelant encore ces parcelles, pour servir Ă  des constructions semi-collectives, voire collectives Â». Les citoyens attributaires de ces lots attendent depuis une vingtaine d'annĂ©es la rĂ©gularisation administrative dĂ©finitive de ce bien pour pouvoir enfin entamer des travaux de construction.

29-11-2008

Par K. Saci

 

Commune de Rouiba

De nouveaux quartiers en vue

La direction du logement de la wilaya a initié un vaste programme d'habitat au niveau de cette localité. Ainsi, plus de 6000 logements sont prévus sous diverses formules à travers plusieurs sites retenus à cet effet. En premier lieu, il s'agit d'un ensemble de 1000 unités LSP dont les chantiers sont déjà lancés par tranches au quartier El Merdja.



 

Un autre projet est envisagĂ© prĂšs du lotissement Cadat dans le cadre de la rĂ©alisation de 250 + 300 logements retenus sous la mĂȘme formule, a indiquĂ© notre source. Par ailleurs dans le volet de la rĂ©sorption de l'habitat prĂ©caire, un chantier de 2000 logements RHP a reçu rĂ©cemment le coup de starter au quartier Souachet. Ce projet devrait Ă©ventuellement endiguer sensiblement l'importante masse des bidonvilles et des habitations vulnĂ©rables existants Ă  la pĂ©riphĂ©rie du centre urbain. Concernant le chapitre des logements AADL, un projet de rĂ©alisation de 2000+1000 unitĂ©s est Ă  l'ordre du jour sur le site de HaĂŻ R'mel. L' assiette fonciĂšre a Ă©tĂ© choisie, et les Ă©tudes sont dĂ©jĂ  ficelĂ©es a ajoutĂ© notre source. NĂ©anmoins, cette nouvelle dynamique urbaine, en termes d'accroissement du parc immobilier local par la crĂ©ation de nouveaux quartiers, gĂ©nĂ©rera indĂ©niablement dans les annĂ©es Ă  venir des besoins immenses en matiĂšre d'infrastructures d'accompagnement. A dĂ©faut de voir se rĂ©pĂ©ter Ă©ternellement le phĂ©nomĂšne des citĂ©s-dortoirs, il est impĂ©ratif et urgent d'anticiper donc sur la problĂ©matique de la fonctionnalitĂ© urbaine des agglomĂ©rations projetĂ©es. En ce sens, il est primordial de cerner leurs exigences en matiĂšre d'Ă©quipements publics et de commoditĂ©s Ă  mĂȘme de garantir aux futurs locataires un cadre de vie dĂ©cent, d'une part, et de prĂ©venir la tension qui devrait Ă©ventuellement surgir sur les infrastructures existantes actuellement au niveau du centre urbain de cette commune, d'autre part.

26-11-2008

Par Rachid Zerabib

 

La motion de retrait rejetée par la tutelle

Retrait de confiance au P/APC de Rouiba

La motion de retrait rejetée par la tutelle

Les élus de la commune de Rouiba, en application de l'article 55 de la loi 90/08 relative à la gestion des communes, ont procédé, la semaine derniÚre, au retrait de confiance au P/APC.



 

Cette dĂ©cision, prise par 6 Ă©lus sur les 11 que compte l'assemblĂ©e, vient de connaĂźtre, selon le P/APC, un revirement de situation aprĂšs que deux des signataires de la motion se furent rĂ©tractĂ©s. Les six initiateurs de la motion de retrait sont issus du FNA, RND, FLN, du MNND et un indĂ©pendant. Les Ă©lus frondeurs reprochent au prĂ©sident de prendre des dĂ©cisions sans consulter ses pairs, et d'ĂȘtre la principale cause du freinage de l'essor du dĂ©veloppement de la commune. S'y ajoutent, relĂšvent-ils, « des irrĂ©gularitĂ©s dans l'attribution de 300 logements LSP, ainsi que l'abstention du P/APC Ă  attribuer des dĂ©lĂ©gations de signature au profit de ses adjoints Â». Le P/APC, M. Lakrouz, s'en dĂ©fend toutefois : « Ce ne sont lĂ  que de pure s affabulations Â», assĂšne-t-il. Et d'ajouter : « L'attribution de logements LSP est soumise Ă  une rĂ©glementation draconienne et, tout est vĂ©rifiable. Â» Quant Ă  la dĂ©lĂ©gation de signatures pour les collaborateurs du P/APC, ce dernier dira : « En rĂ©fĂ©rence aux articles de la lois 90/08 du 07/04/1990 relatives Ă  la gestion des communes, la dĂ©lĂ©gation de signature pour les trois adjoints du prĂ©sident n'est aucunement un droit, et, par voie de consĂ©quence, je peux dĂ©lĂ©guer un signataire, comme je peux ne pas le faire. Â» Par ailleurs, nous apprendrons de notre interlocuteur que le retrait en question a Ă©tĂ© rejetĂ© par la tutelle pour son contenu invĂ©rifiable, d'une part, et des vices de forme, de l'autre. Selon le P/APC, il n'y a pas eu, conformĂ©ment aux dispositions de la loi, dĂ©libĂ©ration sur le retrait en question. En outre, la rĂ©union des Ă©lus, qui ont dĂ©clenchĂ© ce mouvement infructueux, s'est dĂ©roulĂ©e non pas dans l'enceinte du siĂšge de l'APC, mais dans un local situĂ© Ă  l'extĂ©rieur, chose qui est en porte-Ă -faux avec la rĂ©glementation. MĂȘme si le retrait n'a pas Ă©tĂ© avalisĂ© par les pouvoirs publics, cette situation renseigne, nĂ©anmoins, sur une crise patente au niveau de l'APC. Alors que la commune de Rouiba connaĂźt des problĂšmes, notamment en matiĂšre de logement, d'urbanisation anarchique, de chĂŽmage, les protagonistes devraient, en principe, passer outre la question des intĂ©rĂȘts personnels et Ɠuvrer pour ceux de la population locale qui attend une amĂ©lioration de son cadre de vie.
 

Par K. Saci

Zone industrielle de Rouiba

Le spectre de la paralysie totale resurgit de nouveau

Par : Madjid T., Liberté, 18 novembre 2008

C’est la nomination d’un autre directeur retraitĂ© au niveau de la Snvi qui a fait dĂ©border le vase. Une dĂ©cision perçue comme une provocation Ă  l’endroit des syndicalistes qui n’ont jamais cessĂ© de dĂ©noncer le rappel d’anciens dirigeants au dĂ©triment des jeunes compĂ©tences et des diplĂŽmĂ©s.

Le spectre de la paralysie totale de la zone industrielle de Rouiba resurgit encore une fois, Ă  la faveur de la menace rĂ©itĂ©rĂ©e, hier Ă  Rouiba, par le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de l’union locale, UGTA, Mokdad Messaoudi, lors d’un sit-in ayant rassemblĂ© des dizaines de syndicalistes de la Snvi au niveau du siĂšge de l’UER (UnitĂ© Ă©tudes et recherches). “Il n’est pas exclu qu’une autre marche de protestation des travailleurs de la zone de Rouiba soit organisĂ©e avant la fin de l’annĂ©e”, a indiquĂ© M. Messaoudi. C’est la nomination d’un autre directeur retraitĂ© au niveau de la Snvi qui a fait dĂ©border le vase. Une dĂ©cision perçue comme une provocation Ă  l’endroit des syndicalistes qui n’ont jamais cessĂ© de dĂ©noncer le rappel Ă  des postes de responsabilitĂ© d’anciens dirigeants d’entreprises retraitĂ©s au dĂ©triment des jeunes compĂ©tences et des diplĂŽmĂ©s. “Le hic est que la plupart de ces responsables ont conduit les entreprises qu’ils ont dirigĂ©es Ă  la faillite”, dit M. Messaoudi qui n’a pas manquĂ© de dĂ©noncer l’exclusion et la marginalisation des jeunes cadres capables de faire sortir les entreprises de la situation lamentable dans laquelle elles se trouvent.
L’orateur a rappelĂ© Ă  l’assistance que le problĂšme des dirigeants retraitĂ©s figurait en tĂȘte des revendications portĂ©es par les 3 000 travailleurs qui ont marchĂ© Ă  Rouiba le 24 mai 2006. “Mais n’empĂȘche qu’on continue Ă  recruter des gens qui ont failli Ă  leurs missions et qui perçoivent des doubles salaires alors que les jeunes cadres sont au chĂŽmage”, martĂšle M. Messaoudi qui a qualifiĂ© ces nominations de “parachutage de dirigeants Ă  l’algĂ©rienne”.
Le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral du syndicat d’entreprise de la SNVI, M. Benmouloud, n’y est pas allĂ© avec le dos de la cuillĂšre pour dĂ©noncer Ă  son tour le double emploi de certains dirigeants d’entreprise “retraitĂ©s” au dĂ©triment des compĂ©tences. “Ces dirigeants ont trouvĂ© l’astuce, ils bĂ©nĂ©ficient de la retraite proportionnelle avec tous les avantages que cela implique et sont recrutĂ©s en CDD comme cadres dirigeants pour mettre en faillite d’autres entreprises”, lĂąche Benmouloud. Ce dernier cite l’exemple de l’unitĂ© Snvi oĂč “certains directeurs retraitĂ©s”, nommĂ©s ces derniers temps, sont en train de mener l’entreprise Ă  la banqueroute. “Mais la faute revient Ă  la direction gĂ©nĂ©rale qui a pris la dĂ©cision de placer ces gens Ă  de tels postes de responsabilitĂ©â€, dit-il. Et d’ajouter : “C’est pour cela que la Snvi traverse une situation extrĂȘmement difficile avec seulement 40% des objectifs.” M. Benmouloud revendique un plan de sauvetage pour la Snvi qui est en chute libre. “La Snvi n’a jamais connu une telle situation depuis l’indĂ©pendance, et elle ne peut continuer Ă  fonctionner comme cela”, soutient le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral du syndicat d’entreprise qui cite l’exemple de la direction technique de l’entreprise qui, dit-il, n’a jamais Ă©tĂ© stable.
Le mĂȘme responsable s’interroge sur l’absence d’une commission d’hygiĂšne et de sĂ©curitĂ© au niveau de l’UER comme il a dĂ©noncĂ© “les lenteurs enregistrĂ©es dans la prise en charge de certains problĂšmes ayant fait l’objet de discussions entre le syndicat et la direction en prĂ©sence de l’inspection du travail”.
Il promet un autre rassemblement pour la semaine prochaine si aucune solution n’est envisagĂ©e pour remĂ©dier Ă  cette situation.
Par ailleurs, les syndicalistes de l’UER ont dĂ©noncĂ©, lors de ce rassemblement, “les conditions lamentables de travail et d’hygiĂšne observĂ©es au niveau de leur lieu de travail”, comme ils ont sĂ©vĂšrement critiquĂ© leurs responsables, leur reprochant de “ne pas avoir respectĂ© leurs propres engagements, notamment en ce qui concerne la confirmation Ă  leur poste de travail de certains employĂ©s”.

M. T.



02/12/2008
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