Séisme en Nouvelle-Zélande : maintenant, la pluie
Séisme en Nouvelle-Zélande : maintenant, la pluie
Après le séisme qui a dévasté la région de Christchurch en Nouvelle Zélande, de fortes pluies menacent maintenant Waimakariri, au nord de Christchurch. Là bas, les habitants font face à deux problèmes, en plus des destructions : leur eau est contaminée et des embouteillages importants, causés par des badauds venus contempler le désastre, entravent les opérations de réparations. A partir de demain, l'armée et des forces de police supplémentaires limiteront l'accès à la zone pour laisser travailler ceux qui réparent les services publics de base.
Le Ministre de la Défense civile John Carter a déclaré qu'il existait un risque météo sérieux et qu'ils préparaient une éventuelle évacuation. En effet, les constructions qui assuraient une protection contre les inondations des terres basses ont été endommagées par le séisme, ce qui signifie que les rivières en crue peuvent menacer sérieusement les populations. Waimakariri est la région la plus préoccupante selon le gouvernement.
Rappel :
Christchurch, une ville de 350.000 habitants, située sur l'Île du Sud et sa région, ont été touchées samedi très tôt par un séisme de magnitude 7,1, cause de très nombreux dégats matériels, mais heureusement peu de dégats humains. Le coût des dégats atteint les deux milliards de dollars néo-zélandais (1,12 milliard d'euros). L'état d'urgence décrété samedi pour faciliter la coordination des secours n'a pas été levé.
Environ 500 bâtiments ont été endommagés, dont 90 dans le centre-ville. Des répliques du séisme, d'une magnitude de 5,1, continuent de causer des dégats mineurs, dans toute la région, aujourd'hui dimanche. En outre, des vents soufflant jusqu'à 130 km/h sont attendus, ainsi que de fortes pluies, ce qui laisse craindre que les immeubles fragilisés par le séisme ne subissent de nouveaux dégâts.
Environ 300 personnes ont été accueillies dans des centres d'urgence et un millier ont reçu une aide alimentaire.Le courant a été rétabli dans 90% de la région, ainsi que l'eau pour 80% de la population, mais cette dernière est contaminée en raison des dégâts subis par les canaux d'irrigation.
Séisme en Nouvelle-Zélande : maintenant, la pluie
Après le séisme qui a dévasté la région de Christchurch en Nouvelle Zélande, de fortes pluies menacent maintenant Waimakariri, au nord de Christchurch. Là bas, les habitants font face à deux problèmes, en plus des destructions : leur eau est contaminée et des embouteillages importants, causés par des badauds venus contempler le désastre, entravent les opérations de réparations. A partir de demain, l'armée et des forces de police supplémentaires limiteront l'accès à la zone pour laisser travailler ceux qui réparent les services publics de base.
Le Ministre de la Défense civile John Carter a déclaré qu'il existait un risque météo sérieux et qu'ils préparaient une éventuelle évacuation. En effet, les constructions qui assuraient une protection contre les inondations des terres basses ont été endommagées par le séisme, ce qui signifie que les rivières en crue peuvent menacer sérieusement les populations. Waimakariri est la région la plus préoccupante selon le gouvernement.
Rappel :
Christchurch, une ville de 350.000 habitants, située sur l'Île du Sud et sa région, ont été touchées samedi très tôt par un séisme de magnitude 7,1, cause de très nombreux dégats matériels, mais heureusement peu de dégats humains. Le coût des dégats atteint les deux milliards de dollars néo-zélandais (1,12 milliard d'euros). L'état d'urgence décrété samedi pour faciliter la coordination des secours n'a pas été levé.
Environ 500 bâtiments ont été endommagés, dont 90 dans le centre-ville. Des répliques du séisme, d'une magnitude de 5,1, continuent de causer des dégats mineurs, dans toute la région, aujourd'hui dimanche. En outre, des vents soufflant jusqu'à 130 km/h sont attendus, ainsi que de fortes pluies, ce qui laisse craindre que les immeubles fragilisés par le séisme ne subissent de nouveaux dégâts.
Environ 300 personnes ont été accueillies dans des centres d'urgence et un millier ont reçu une aide alimentaire.Le courant a été rétabli dans 90% de la région, ainsi que l'eau pour 80% de la population, mais cette dernière est contaminée en raison des dégâts subis par les canaux d'irrigation.