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Actualités : 4e MANDAT Bouteflika perd le soutien de l’ONM
L’Organisation nationale des moudjahidine ne soutient pas le candidat Abdelaziz Bouteflika. Le secrétariat national de l’ONM a appelé à la tenue d’un «scrutin présidentiel responsable».
Tarek Hafid - Alger (Le Soir)
L’ONM n’appelle pas à voter pour Abdelaziz Bouteflika. Une première depuis l’intronisation du président-sortant en 1999. Le communiqué sanctionnant la réunion du secrétariat national de l’Organisation nationale des moudjahidine, qui s’est tenue lundi à Alger, ne fait même pas mention de son nom. «L’instance nationale de l’Organisation nationale des moudjahidine s’est réunie le 10 mars 2014 pour débattre des événements qu’a connus la scène nationale dans le contexte pré-électoral du scrutin présidentiel du 17 avril. Au vu de l’importance que représente cet événement national pour l’avenir du pays et pour les attentes des citoyens afin de concrétiser le développement dans tous les domaines, dans le cadre de la sérénité et la stabilité», lit-on dans ce communiqué intitulé «pour un scrutin présidentiel responsable». Les membres du secrétariat appellent à l’instauration de conditions permettant au «peuple algérien d’accomplir son devoir électoral de façon libre et responsable afin qu’il puisse choisir un dirigeant pour lui confier la conduite du pays pour les années à venir». Les moudjahidine ont donc opté pour la neutralité. Mais il semblerait que la mouture initiale du communiqué final était bien plus critique envers Abdelaziz Bouteflika. «Tous les membres du secrétariat national sont contre un quatrième mandat. Cette position a été évoquée avec insistance lors de la réunion de lundi. Le communiqué faisait d’ailleurs clairement référence à la non-reconduction d’un ystème de gouvernance basé sur la corruption, le clientélisme et le régionalisme. Mais ce passage aurait été retiré à la dernière minute par le secrétaire général de l’ONM, Saïd Abadou», confie une source proche de l’instance dirigeante de l’ONM. Selon elle, Saïd Abadou est dans une situation très inconfortable et serait victime de pressions. «Il subit de très fortes pressions de la part du ministre des Moudjahidine, Mohamed-Chérif Abbès, et de Abdelkader Bensalah, président du Conseil de la nation et secrétaire général du RND, le parti auquel appartient Saïd Abadou. Mais au sein de l’ONM, il lui est impossible d’imposer le soutien à un quatrième mandat. Tous les responsables de l’organisation refusent catégoriquement l’instauration d’une monarchie en Algérie et d’aller à l’encontre des principes pour lesquels ils ont lutté durant la guerre de Libération.» Les initiateurs du projet «quatrième mandat» s’engagent, cette fois-ci, sans le précieux appui des anciens combattants. En 2009, pour confirmer son soutien à un troisième mandat, l’Organisation nationale des moudjahidine avait réuni son Conseil national et fait adopter «une motion de politique générale». «Le soutien à la candidature de M. Bouteflika pour la prochaine élection présidentielle ne découle pas d'une attitude sentimentale, due à sa qualité de moudjahid, mais qu'il s'agit d'une exigence nationale que dictent les intérêts suprêmes de la nation. Ce moudjahid a réalisé la réconciliation nationale, restauré la paix et la stabilité dans le pays, comme il a initié une relance économique, sociale et culturelle, de même qu'il a hissé l'Algérie à la place qui lui revient dans le concert des nations.» T. H.
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Actualités : Salon de l’automobile d’Alger Des remises pour conjurer le mauvais sort
Il y avait foule dès les premières heures de l’ouverture de de cette 17e édition. Devant les portes des pavillons encore fermées, les visiteurs s’impatientaient et n’hésitaient pas à interpeller les agents de sécurité sur les prix et sur l’importance des remises accordées. C’était le cas notamment devant les stands du groupe Sovac et de Renault pour lesquels des offres alléchantes étaient relayées par la presse nationale des journées durant avant le salon. Des niveaux de remise jamais atteints auparavant. Une démarche soutenue par la plupart des concessionnaires pour faire face à une mévente particulièrement accentuée au cours des premiers mois de l’année en cours. Les départements de marketing redoublent d’ingéniosité pour mettre au point des campagnes innovantes afin d’attirer les clients. Pour cette édition, une décision a été prise par la Safex visant à interdire la vente de véhicules en cash sur les stands. Un courrier a été adressé aux banques présentes sur site pour faciliter les procédures de paiement. Une mesure qui risque, si elle venait à être mise en application, de créer des ralentissements en raison du nombre limité des établissements bancaires domiciliés aux Pins-Maritimes. Pas moins de 59 exposants participent à ce salon sur une superficie globale de 35 123 m2. Une manifestation qui ne cesse de voir son impact évoluer d’année en année et pourrait, selon les observateurs, concurrencer sérieusement la foire internationale qui enregistrait la plus grande audience. Quelque 500 000 visiteurs ont été enregistrés durant le salon 2013. C’est dire l’intérêt accordé par les Algériens à l’automobile en dépit des «efforts» des pouvoirs publics à les en dissuader à travers les nombreux et divers programmes de logement. D’ailleurs, l’ouverture du salon s’est faite sans une inauguration officielle dès lors qu’il ne serait pas de bonne image pour un responsable du gouvernement de s’afficher dans un secteur décrié pour ses consommations excessives de devises. B. B.
Chevrolet Le Colorado affine son style
Le stand de la marque américaine présentait en bonne position la nouvelle Optra qui arrive à Alger en première mondiale. Plus qu’un changement, c’est une rupture de style et une évolution qualitative remarquable. Un style qui gagne en sportivité et en dynamisme et se dote d’une motorisation essence de 1,5 L de cylindrée avec une large palette d’équipements de confort et de sécurité. Un design moderne qui s’inspire de la Cruze tout en se maintenant dans un positionnement avantageux surtout en matière de prix. Elle vient en fait combler le vide entre l’Aveo et la Cruze en offrant aux clients d’accéder à un niveau de confort élevé. L’autre nouveauté de Chevrolet, c’est incontestablement le nouveau pick-up Colorado qui arrive avec un atout majeur, celui d’être entièrement issu du légendaire Isuzu D-Max avec ses qualités de chargement importantes et ses performances. Un choix du constructeur pour offrir aux clients algériens un utilitaire de grande fiabilité à même de faire face à la concurrence d’une autre légende de la catégorie, le Toyota Hilux. Le nouveau Colorado, qui ne garde de l’ancien que le logo, est équipé d’un bloc turbo diesel de 2.5 litres de cylindrée. Il est proposé par Diamal, le représentant de la marque en Algérie, en deux versions, simple et double cabine, 4X2 et 4X4 et avec une benne rallongée et renforcée d’une capacité de chargement de plus de 1 300 kg%u2008? Lors de la conférence de presse, le responsable de zone chez General Motors, M. Farghali, a insisté sur l’importance du marché algérien pour le groupe américain d’où la décision de présenter en première mondiale cette berline aux grandes ambitions dans des marchés comme le nôtre. De son côté, le directeur général de Diamal, Marc Hirscfeild, a souligné les efforts accomplis par son entreprise pour améliorer la qualité des prestations de service et la mise en place d’un système d’écoute clientèle à travers des centres d’appel dédiés chacun à une marque. Il relèvera aussi de meilleures performances dans le domaine du service après-vente et une plus grande disponibilité de la pièce de rechange. B. B.
Renault La colline des stars
C’est sur la colline des stars que Renault expose ses nouveautés. On y trouve notamment les nouvelles Clio Campus et Mégane, parées de leurs nouveaux atours. La Clio Campus réaffirme de la sorte sa volonté de rester encore en course en arborant une robe sensiblement raffraîchie. Un restylage qui lui offre une seconde jeunesse et lui assure les atouts d’un succès qui se pérennise. Elle ne manquera pas de susciter l’intérêt des clients algériens d’autant que son style se modernise et semble désormais s’inspirer clairement de la ligne de la Clio4. Néanmoins, la Campus reste reconnaissable par son design spécifique et sa face avant qui adopte les nouveaux éléments identitaires de la marque au losange. C’est une nouvelle calandre qui fait son apparition avec en son milieu un logo surdimentionné et des optiques qui gagnent en volume. De son côté, la nouvelle Mégane affiche un style redessiné conforme aux orientations architecturales du constructeur. Un style plus dynamique et un capital séduction nettement renforcé. Elle se distingue surtout par une dotation en équipements de nouvelle technologie. A l’instar des nouveaux véhicules de la marque (Clio et Captur), la gamme Mégane adopte la nouvelle identité de la marque qui bénéficie d’un nouveau bouclier, de nouvelles grilles d’aération et d’un nouveau capot qui intègre le logo Renault agrandi sur fond noir brillant. De nouveaux feux de jour, qui s’étirent sur le côté de caisse, contribuent au dynamisme des différentes silhouettes de la gamme. L’ensemble de la gamme affirme son caractère avec une face avant identique pour les versions berline, break et coupé, tout en laissant à chacune son identité propre. B. B.
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Actualités : L’ASSOCIATION NATIONALE DE SOUTIEN ET DE PROMOTION DES NON-VOYANTS Pour une revalorisation de l’allocation
L’Association nationale de soutien et de promotion des non-voyants «El Irada» dénonce la marginalisation de cette frange de la société et la non-application des lois qui la protègent. Rym Nasri — Alger (Le Soir) Nombreux sont les problèmes dans lesquels se débattent les non-voyants au quotidien. Le président de l’Association «El Irada», Abdelkrim Akkouche, estime que cette frange de la société a été entièrement délaissée. Il évoque l’insuffisance des écoles spécialisées pour les non-voyants ainsi que le manque de livres en braille pour le cycle secondaire et l’université. Il souligne également le problème de l’insertion professionnelle et la marginalisation des non-voyants dans le recrutement. Pourtant, poursuit-il, «la loi oblige les entreprises publiques et privées à embaucher 1% de handicapés parmi les employés. Une loi qui reste toutefois, non-appliquée». Il a, à cet effet, appelé à l’introduction de nouveaux métiers pour les non-voyants. Intervenant hier, à Alger, à l’occasion de la Journée nationale des personnes à besoins spécifiques, Abdelkrim Akkouche, réitère la revendication de son association concernant la pension. «Actuellement, les non-voyants ne bénéficient que d’une allocation forfaitaire de solidarité», précise-t-il. Une allocution qui, d’ailleurs, «saute», une fois le non-voyant recruté. Estimant que 3 000 dinars par mois demeurent insuffisants, le président de l’association «El Irada» appelle à sa révision à la hausse. «Nous demandons à ce que l’allocation soit une vraie pension. Il faut qu’elle soit une pension de handicap qui doit suivre le SNMG», a-t-il ajouté. Il a aussi plaidé pour la gratuité des soins et pour un remboursement à 100% des médicaments pour les non-voyants. Il appelle aussi à l’intégration des non-voyants dans des projets inscrits dans les différents dispositifs d’aide à l’emploi. «Il faut leur accorder la priorité», a-t-il dit. Abdelkrim Akkouche regrette, par ailleurs, que le rabais de 40% sur le loyer stipulé par la loi au profit du non-voyant demeure inappliqué depuis 2002. R. N.
Actualités : Institut national du rein Le retard dans la livraison des équipements freine sa mise en service
Le lancement des activités de l’Institut national du rein est freiné par un retard dans la livraison des équipements, notamment un lot d’imagerie médicale. «Les fournisseurs prennent les marchés et ne livrent pas», a déclaré le professeur Rayane, qui déplorera aussi le retard dans le lancement de l’Agence nationale des organes et des tissus.
F.-Zohra B. - Alger (Le Soir) Les spécialistes sont, encore une fois, revenus hier sur la problématique des maladies rénales et des dons d’organes. Intervenant hier, dans le cadre du forum du quotidien DK News, le professeur Rayane a évoqué l’importance de la sensibilisation sur les dons d’organes et notamment des reins. Ceci notamment concernant le prélèvement sur des cadavres. «Les personnes doivent s’exprimer de leur vivant, comme l’Etat doit fournir soit des cartes de donneurs soit des registres de refus de dons au niveau des APC. Cette sensibilisation relève des prérogatives de l’Agence nationale des organes et des tissus, cependant elle n’a pas encore commencé à activer.» Les présents ont aussi précisé que 10% de la population est atteinte de pathologies rénales, appelant à la prévention et au dépistage. Le professeur annoncera aussi qu’il y a de 3 000 à 4 000 nouveaux cas d’insuffisances rénales chroniques terminales par an. Toutefois et selon le professeur, plus de la moitié de ces malades meurent chez eux ayant atteint la phase terminale de la maladie sans les traitements adéquats. Les spécialistes présents diront également que 18 000 patients sont actuellement dialysés en Algérie et 432 traités par dialyse péritonéale. Pour ce qui est des greffes, 1 100 ont été réalisées depuis la première en 1986. Les présents noteront aussi que le coût annuel pour un malade dialysé est de 936 000 DA. Concernant l’Institut national du rein qui peine à démarrer, le professeur Rayane a précisé que 60% des équipements ont été reçus et reste un lot d’imagerie médicale non livré par les fournisseurs qui ont été mis en demeure. F.-Z. B.
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Sports : Ligue 2 (23e journée) Un round à blanc ?
Sauf coup d'éclat à l'extérieur, ou revers inattendu à domicile, la 23e journée de Ligue 2 de football, prévue vendredi, ne devrait pas connaître de grands changements au classement général, aussi bien dans le peloton de tête que chez les équipes mal-classées. Le hasard du calendrier a, en effet, voulu que la plupart des clubs concernés par le maintien, ou par l'accession, aient la chance d'évoluer à domicile au cours de cette 23e journée, faisant qu'en cas de victoire, le classement général devrait rester pratiquement le même que lors de la précédente journée. Le leader Bélabbésien, ainsi que ses trois premiers poursuivants, à savoir : l'USM Blida, l'ASM Oran et le NA Hussein-Dey vont tous recevoir sur leurs propres terrains. Un avantage qui, avec le soutien du public, devrait leur permettre, sauf surprise, d'engranger chacun les trois points de la victoire. Si c'est le cas, ces quatre clubs devraient conserver le même classement, avec juste un bonus de trois points supplémentaires, pour chacun d'entre eux. Ce qui semble faisable, face à des adversaires prenables, sauf peut-être pour l'USMBA et le NAHD, qui auront probablement dur à faire face au MSP Batna et l'USM Annaba. Deux candidats au maintien, qui n'ont pas encore «sauvé leur peau» et qui pourraient donc poser quelques problèmes à leurs adversaires du jour. Cependant, la hiérarchie devrait être respectée chez les équipes du bas de tableau puisque, là, l'ordre actuel ne devrait en aucun cas être chamboulé. D'ailleurs, l'écart qui sépare les actuels candidats au maintien est supérieur à trois points, comme c'est le cas entre l'ESM (16e avec 8 points), le CAB (15e, avec 20 points) et l'USMAn (14e, avec 24 points). Ce qui fait que même en cas de revers inattendu de l'un d'entre eux, ou même une victoire à l'extérieur, leur classement restera toujours le même. Le seul avantage pour ces clubs sera la réduction de l'écart qui les sépare les uns des autres actuellement et qui, dans leur cas, sera d'une importance capitale car, dans la course au maintien, chaque point compte, surtout dans cette dernière ligne droite du parcours. Les autres matchs concernent les équipes du milieu de tableau, notamment, MCS (10e) - ASK (11e), OM (7e) - ABS (9e) et USC (6e) contre l'USMM Hadjout (12e). Mais là encore, on devrait assister à de chaudes empoignades, entre des équipes qui, ou bien chercheront à se rapprocher du peloton de tête, ou alors, éviter de chuter dangereusement dans la zone de turbulences.
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Vendredi 14 mars (15h)
- à Sidi Bel-Abbès : USMBA-MSP Batna
- à Saïda : MCS - AS Khroub
- à Alger : NA Hussein-Dey-USM Annaba
- à Blida : USMB-AB Merouana
- à Médéa : OM-A Bou-Saâda
- à Oran Bouakeul : ASMO-ES Mostaganem
- à Batna : CAB-WA Tlemcen
- à Oum Bouaghi : US Chaouia-USMM Hadjout.
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Sports : Championnat national jeunes Vers un nouveau système de compétition la saison prochaine
La Fédération algérienne de football (FAF) compte instaurer un nouveau système de compétition pour les championnats des jeunes catégories, à partir de la saison 2014-2015. La proposition a été faite mardi par certains présidents de club au président de la FAF, Mohamed Raouraoua, qui s'est engagé à revoir le système qui régit actuellement les championnats des jeunes catégories, précise la même source. Le nouveau système devrait prévoir l'instauration de championnats par «Zones» avec trois groupes, pour chaque catégorie. Ce dossier sera évoqué lors de la réunion qui regroupera en fin de saison les présidents des clubs professionnels et Mohamed Raouraoua, avec à l'ordre du jour le bilan général de la saison footballistique 2013-2014, qui prendra fin le week-end du 16 et 17 mai.
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Sports : UNE DÉCISION AUX RETOMBÉES POSITIVES POUR LE CLUB Enfin, un nouveau siège pour la JSM Tiaret !
La JSM Tiaret aura bientôt son propre siège, c’est du moins ce que nous apprend officiellement le président Chadli Mohamed. En effet, contraint à une instabilité criante depuis des années en raison de l’absence d’un vrai local, le club du Sersou devrait accéder dans les tout prochains jours à sa «nouvelle maison» qui n’est, en fait, que l’ancien local de Mobilis, situé face au siège de la daïra. «La mise à notre disposition d’un tel acquis par le wali de la wilaya dénote, sans conteste, de l’intérêt que portent les autorités à ce prestigieux club, ce qui devrait par conséquent, nous encourager à mieux nous mobiliser», a tenu à souligner le même président. Il s’agit, en fait, d’un espace idoine sur tous les plans, susceptibles de contribuer de façon indubitable à l’amélioration des conditions de travail, d’autant que le président mise gros sur l’organisation administrative de l’association avec, en prime, la création de plusieurs cellules inhérentes pour l’essentiel à la communication, le recrutement, outre évidemment la formation et le suivi des jeunes catégories. Cela dit, l’image de la JSMT que voudrait voir le président, ses collaborateurs et tous les fidèles est celle qui doit incarner entre autres, la modernisation à tous les compartiments, une mission qui requiert bien entendu du temps mais aussi l’adhésion de chacun plus particulièrement celui qui se sent en mesure d’apporter le plus escompté. Par ailleurs, si l’équipe est passée à côté de son objectif cette année, cela n’est nullement un drame aux yeux du premier responsable de l’association, qui tient plus que jamais à rassurer les supporters d’une saison prometteuse. Déjà en matière de renforcement de l’ossature, Mohamed Chadli a sa petite idée, puisqu’il a d’ores et déjà entamé ses pourparlers avec des éléments du terroir évoluant en division une, dans la mesure où celui-ci n’a pas d’autres alternatives que l’accession en division supérieure, a-t-il affirmé. «Nous sommes disposés à mettre le paquet pour faire nos adieux au championnat où nous stagnons depuis des années, c’est pourquoi je lance un appel pressant à tous pour la concrétisation de ce rêve qui est celui de toute une région», conclut-il. Mourad Benameur
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Culture : Le coup de bill’art du Soir Marina Vlady et l’Algérie
Par Kader Bakou Quel est le lien entre l’Algérie et le chanteur russe Vladimir Vyssotski ? Dans l’émission «Chahed wa chawahed» (Témoin et témoignages) diffusée dimanche soir par la Télévision algérienne, Ali Haroun a déclaré que Marina Vlady avait soutenu la Révolution algérienne. «Des réunions de chefs de willaya se tiendront dans les bureaux de la maison de production cinématographique dirigée par Serge Reggiani et Roger Rigault. D'autres réunions du même ordre se dérouleront à Villiers-le-Bel, dans la résidence de la comédienne Hélène Duc et de son époux René Catroux, le fils du général (…) Combien de gens de théâtre, tels Georges Berger, Jean-Marie Beoglin, Jacques Mignot, Marina Vlady ont apporté dans ce domaine une aide multiforme. N'est-ce pas la puissante Jaguar de Françoise Sagan qui permit plusieurs liaisons rapides et sûres», écrit Ali Haroun dans son livre La 7e Willaya (Le Seuil 1986). En juin 2013, au Forum d’El Moudjahid, l'ancien membre de la Fédération de France du FLN a encore cité Marina Vlady, Jacques Bercq, Henri Marot, Françoise Sagan et Serge Reggiani, parmi les personnalités des arts et de la culture qui avaient apporté leur aide à la Révolution algérienne. Marina Vlady, de son vrai nom Catherine Marina de Poliakoff-Baïdaroff, est une actrice, chanteuse et écrivain française née en 1938 à Clichy, dans la banlieue de Paris. Elle est la fille d'immigrés russes : Vladimir de Poliakoff, chanteur d'opéra, et Militza Envald, danseuse étoile. Vladimir de Poliakoff est arrivé en France en 1915, s'engageant afin de combattre l'Empire allemand. Militza Envald le rejoint en 1919, fuyant les conséquences de la Révolution socialiste de 1917. Marina Vlady se marie en 1969 avec Vladimir Vyssotski. Né le 25 janvier 1938 à Moscou et mort le 25 juillet 1980 dans la même ville, Vyssotski est un auteur-compositeur-interprète et un acteur de théâtre et de cinéma soviétique. A travers le monde, il est surtout connu comme chanteur. Il n’a jamais chanté en Algérie où pourtant il a beaucoup d’admirateurs, surtout parmi les anciens étudiants en URSS et en Russie. Grâce à ces «apôtres» (les anciens étudiants), ses chansons, grâce à l’internet, connaissent aujourd’hui une meilleure diffusion en Algérie. Marina Vlady est comme un lien invisible qui unit Vyssotski à l’Algérie. K.%u2008B. bakoukader@yahoo.fr
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Fermeture générale pour inventaire de stabilisation ! |
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Par Hakim Laâlam Email : hlaalam@gmail.com |
Barakat les alliances contre nature ! Pour faire barrage à Abdekka, je ne suis tout de même pas obligé d’embrasser sur la bouche…
… Mokri, Djaballah et Younsi !
D’ici le 17 avril, ça va être plutôt difficile à réaliser. Saisir tous les téléviseurs dans tous les foyers, les emmener dans un atelier central pour en bloquer les tuners sur la seule diffusion des «gentilles chaînes qui caressent dans le sens des diodes dominants», je demande à voir. D’autant plus qu’après la saisie de tous nos postes télés, il faut aussi penser à nous confisquer nos Smartphones, nos téléphones dits intelligents. Même en décentralisant l’opération et en nous ordonnant d’aller faire la queue dans nos mairies respectives afin d’y laisser en dépôt nos appareils, ça m’apparaît un peu juste. Et nos connexions internet ? Comment vont-ils s’arranger pour les couper, résilier tous nos abonnements ? C’est d’autant plus délicat à imaginer que beaucoup d’entre nous ont acquis des clés USB 3G. Une clé USB, c’est petit, ça peut se cacher n’importe où. A moins de confisquer aussi tous nos ordinateurs. Domestiques et portables, bien sûr ! Sans oublier les tablettes, évidemment. Mon Dieu, les trois opérateurs qui en distribuent en ce moment comme des petits-pains vont s’arracher les cheveux jusqu’à la puce ! Qu’est-ce qu’ils pourraient faire d’autre en plus des tablettes, et le tout avant le 17 ? Ah ! Oui ! Surveiller nos couffins ! Je m’explique ! Au cas où des pervers de la communication comme nous s’arrangeraient pour aller acheter du bois, du charbon et des allumettes et s’amusent à allumer des feux sur les terrasses de leurs immeubles pour s’échanger des infos par nuages de fumée interposés. John Wayne n’est plus très loin lorsqu’on aborde ce genre de virage. Et le massacre des Indiens itou ! Deux vénérables mammys qui discutent à partir de leurs balcons, et hop ! Deux balles entre les deux yeux, et le problème est réglé. Plus de mémés ! C’est connu et c’est même répertorié dans tous les bons manuels anti-subversion : deux grands-mères qui papotent sur leurs balcons, c’est une menace contre la stabilité de tout un pays, voire un appel au printemps ! Une saison maudite dans la contrée des télés muselées. Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue. H.%u2008L.
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