158-/-ACTUALITES Du Lundi 08 Juin 2015
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Lundi 08 Juin 2015>
الإثنين 08 جوان 2015 م
الإثنين 20 شعبان 1436 ه
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الإثنين 20 شعبان 1436 ه
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MAZ |
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Ce que coûtent les subventions à l'Etat A l’heure où la conjoncture économique semble de plus en plus incertaine, la question des subventions refait surface et commence... |
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Coup de filet au port d'Oran
Des responsables dans plusieurs banques publiques et privées et un cadre supérieur de l’ANDI ont été...
Nouria Benghabrit de Laghoua : « L'ONEC va prendre en considérartion l'erreur signalée à l'examen de la langue arabe»
La ministre de l’Education nationale, Nouria Benghabrit, a affirmé lors de sa visite à la wilaya de Laghouat ce dimanche pour...
Baisse de près de 6,5% des immatriculations et réimmatriculation des véhicules
Le parc automobile national, qui devrait atteindre plus de 5,4 millions de véhicules, a enregistré durant le premier semestre...
Seize harragas secourus après avoir dérivé pendant 2 jours au large d'Annaba
Seize (16) jeunes candidats à l'émigration clandestine, dont l'embarcation de fortune dérivait pendant 2 jours, ont...
Actualité
L'appel lancé aux syndicats et au mouvement associatif
Le siège du MSP a abrité, samedi dernier, une réunion des partis et personnalités politiques composant l’Instance de... Un gouvernement aux couleurs du FLN
Au FLN, les portes du CC sont grandes ouvertes pour des personnalités sans passé. Cinq personnes arrêtées et l'argent n'a pas été retrouvé
Des rebondissements dans l’affaire du hold-up du bureau de poste d’Al Adjiba, 25 km à l’est de Bouira. Les services de la... Ghardaïa : Violents affrontements à Berriane
Dans la localité de Berriane, à 45 km au nord du chef-lieu de la wilaya de Ghardaïa, des affrontements ont éclaté, dans...
Sports
Jack Warner, la clé de la boîte de Pandore !
USM Bel Abbès : Bechlagem succède à Amroun
Le président de l’USM Bel Abbès, Yahia Amroun, a déposé officiellement, samedi, sa démission auprès des... Affaire MCM - ESB : L'ES Berrouaghia relégué
Le MC Mekhadma s’est maintenu en division nationale amateur (DNA), suite à sa victoire, samedi, au stade de Laghouat, face à...
Economie
Les incohérences d'un système à deux vitesses
En cette période de chute des recettes des hydrocarbures, le poids des transferts sociaux sur les dépenses de l’Etat se fait... Les parents pauvres des transferts sociaux
Si les chiffres des dépenses sociales de l’Etat peuvent donner le tournis, certains indicateurs permettent cependant de relativiser ces... Ramadhan : Des aides de 8 milliards de dinars
L’évaluation par le ministère de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme de l’enveloppe...
International
Grosse panique dans l'Etat hébreu
Le gouvernement de droite à la tête de l’Etat hébreu subit des revers du mouvement BDS, qui mène une campagne de boycott... Arabie Saoudite : Prison et coups de fouet confirmés pour le blogueur Badaoui
La Cour suprême d’Arabie Saoudite a confirmé la peine de 10 ans de prison et de 1000 coups de fouet contre le blogueur saoudien... Plongée dans le goulag nord-coréen
Beaucoup ne connaissent quasiment rien de la Corée du Nord. A part les saillies tonitruantes de son jeune dirigeant, Kim Jong-un, et celles de son...
Culture
Hommage au comédien Saïd Hilmi à Alger : Souvenirs, émotions et retrouvailles
Organisé par l’APC d’Alger-centre, cet hommage entre dans le cadre de la célébration de la Journée internationale... A la frontière de la noirceur et de la solitude
Anis Djaâd, journaliste et cinéaste, continue d’explorer les drames humains et les mécaniques du désespoir avec finesse. ////////////////////////////////////
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Exclusif : Un rapport confidentiel dresse l’état des lieux
Ce que coûtent les subventions à l’Etat
le 08.06.15 | 10h00
A l’heure où la conjoncture économique semble de plus en plus incertaine, la question des subventions refait surface et commence à accaparer toutes les attentions. De près de 254 milliards de dinars en 1999, les transferts sociaux sont passés à 1731 milliards de dinars en 2015. Les différentes subventions représentent près de 20%
du budget général de l’Etat.
En cette période de chute des recettes des hydrocarbures, le poids des transferts sociaux sur les dépenses de l’Etat se fait lourdement ressentir, même si l’Etat s’accroche au système des subventions. Un système dont les largesses ont été décriées bien avant l’avènement de cette crise pétrolière.
Entre les limites et les aberrations de cette politique, beaucoup a été dit. Cependant, la position du gouvernement n’a pas changé et les améliorations tardent à venir pour un système généralisé à toutes les catégories de la société quels que soient leurs revenus.
A chaque sortie médiatique sur cette épineuse question, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, défend bec et ongles ce choix considéré d’ailleurs comme le socle de la politique sociale du pays.
L’essentiel étant de préserver la paix sociale quitte à fragiliser le budget de l’Etat. «Nous ne reculerons jamais, nous resterons foncièrement sur cette voie», a martelé le Premier ministre à maintes reprises précisant que l’Algérie «ne peut pas ne pas aller dans cette direction». Avant que les ressources financières du pays ne s’amenuisent, Sellal évoquait comme argument les repères macroéconomiques positifs. Or, ce n’est plus le cas aujourd’hui.
Mais aussi, différentes études montrent que cette stratégie de subventions profite beaucoup plus aux plus aisés de la société au détriment des couches vulnérables. Ces dernières ne bénéficient qu’occasionnellement d’aides spécifiques, comme c’est le cas actuellement avec l’approche du Ramadhan. Des changements s’imposent. Avec une dépense dédiée à la population la plus aisée qui correspond à 7 fois celle destinée aux couches défavorisées, des données récentes du ministère des Finances montrent la concentration excessive du revenu national au profit d’une minorité rentière. Elles soulignent surtout l’urgence d’aller vers cette réforme pour aller vers plus d’équilibre, d’efficience et d’efficacité.
Et ce, d’autant que les résultats de l’enquête de 2011 de l’Office national des statistiques (ONS) sur la consommation des ménages confirment cette tendance. En effet, la moitié de la population la moins aisée ne s’alloue que 28% de la part des dépenses annuelles globales. Parallèlement, les catégories qui ne sont pas réellement dans le besoin se voient attribuer 71% des dépenses globales. L’écart est donc énorme et ne fait que creuser davantage les inégalités sociales dans un pays où les distorsions régionales sont déjà importantes. Ce qui fait aussi grimper les dépenses d’année en année.
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Méziane Mériane : « C’est pas la faute à Benghebrit »
le 08.06.15 | 15h28
Erreur dans le sujet d’examen de l’arabe, fuite des sujets sur les réseaux sociaux, laxisme de la part des surveillants….Méziane Meriane, porte parole duSyndicat national des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Snapest) énumère les erreurs enregistrées lors du premier jour du baccalauréat 2015 sans pour autant endosser la responsabilité à Nouria Benghebrit.
Quel constat faites-vous de ces deux premiers jours du bac ?
Le premier jour a enregistré deux incidents regrettables. Le premier c’est la fuite du sujet sur les réseaux sociaux parce qu’on a laissé l’élève en possession de son téléphone portable, ce qui est interdit. Le second est l’erreur qu’il y avait sur le sujet de l’arabe. Les responsables de cette erreur sont le professeur qui a préparé le sujet, l’inspecteur et la commission préparatoire au niveau de l’Onec.
Et ce n’est pas la première fois qu’une telle erreur se produit..
Ce n’est malheureusement pas la première fois que cela se produit. Ils ont toute la latitude de vérifier les sujets mais ne le font pas. Cela s’est produit soit par négligence soit par incompétente mais dans les deux cas c’est impardonnable. On demande une commission d’enquête pour que des sanctions puissent être faites pour qu’il n’y ait plus ce genre d’erreurs.
Revenant à la fuite du sujet d’examen sur les réseaux sociaux. Selon l'inspecteur général au niveau du ministère de tutelle il n’est pas possible de contrôler tout les élèves. Qu’en pensez vous ?
Moi je dis que lorsqu’on a envie de contrôler on le fait. Il y a un vrai laisser aller. Il faut établir un livre banc avec toutes les erreurs qu’on ne devrait plus jamais recommencer, comme se tromper dans la distribution des feuilles de brouillons qui doivent être différentes d’un candidat à l’autre. Notre problème c’est qu’on ne prend pas les choses au sérieux, on ne travaille pas avec amour. Ce laisser aller a pris naissance dans la société. C’est, désormais, un problème sociétal.
Certains pointent du doigt Mme La ministre de l’Education nationale. En est-elle responsable ?
Madame la ministre n’a rien à avoir. Elle n’est pas au courant des sujets. Le bac se déroule depuis des années selon les mêmes règles. Le problème c’est que les directives ne sont pas appliquées.
Propos recueillis par Mina Adel
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Erreur de sujet au baccalauréat: la tutelle prendra les "mesures disciplinaires nécessaires"
le 08.06.15 | 14h11
Le ministère de l'Education nationale prendra les "mesures disciplinaires nécessaires" après l'erreur relevée dimanche dans l'un des sujets du baccalauréat, a affirmé lundi à Alger l'inspecteur général du ministère, Medjadi Messeguem, assurant que l'erreur n'a pas eu "d'incidences" sur le sujet.
"C'est une erreur qui a été avérée et qui est inadmissible comme souligné par la ministre. Nous allons enquêter sur cela et s'il s'avère qu'il y a eu une faute professionnelle, nous allons prendre les mesures disciplinaires qui s'imposent", a indiqué M.Messeguem, lors de son passage à la chaîne III de la radio nationale.
Au premier jour de l'examen du baccalauréat entamé dimanche, les élèves des filières technologiques et scientifiques ont été confrontés à une erreur dans le sujet de la langue arabe lorsque un poème de Nezzar Kebbani a été attribué par erreur à Mahmoud Derouiche.
"Il n'y a pas eu d'effet sur le sujet puisque les questions qui suivaient le poème étaient indépendantes de la biographie du poète", a rassuré ce responsable, soutenant que son département allait "revoir tout le dispositif général d'élaboration des sujets en déroulant une seconde fois tout le processus depuis l'élaboration du sujet jusqu'à sa finalisation".
Il sera également question de "vérifier tous les documents et les personnes impliquées dans l'élaboration du sujet", a-t-il ajouté, exprimant "l'étonnement" de la tutelle qu'une telle erreur ait pu se produire étant donné que l'élaboration des sujets de baccalauréat "dure au moins deux ans et passe par des commissions pluridisciplinaires".
"Le problème qui se posera néanmoins, se situe au niveau des centres de correction où des directives seront adressées pour prendre cet aspect en charge", a observé le représentant du ministère de l'Education nationale.
Confirmant, par ailleurs, la fraude annoncée au moyen de l'utilisation de la technologie de la téléphonie (3G) et les réseaux sociaux, M.Messeguem a précisé que la tutelle a été informée de ce fait qui a concerné un sujet des sciences islamiques et que celle-ci va s'atteler à en vérifier "la source" et le procédé.
Interpellé sur l'éventualité de "triches" et de "complicités" ayant facilité l'acte, M.Messeguem a rétorqué qu'une une "fouille systématique prendrait du temps" pour des centres d'examen dotés de 700 candidats et que l'interdiction des téléphones et autres appareils électroniques est "plus une mesure dissuasive" que les élèves réussissent parfois à contourner en prenant des "dispositions".
Soutenant l'impératif d'une révision de l'élaboration du dispositif général, l'intervenant a reconnu que celui-ci est "très lent et bureaucratique" et que c'est au niveau du "contrôle que les choses n'ont pas fonctionné".
"Ce qui veut dire que quelque part, il y a des failles qu'il faut corriger. l'Office national des examens et concours fonctionne depuis 20 ans, a pris de l'âge et ses fonctionnaires ont pris certaines habitudes", a-t-il dit, concluant qu'il s'agit d'un "dossier à réformer dans les plus brefs délais".
APS
Ramadhan : Des aides de 8 milliards de dinars
le 08.06.15 | 10h00
L’évaluation par le ministère de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme de l’enveloppe financière dédiée à l’opération est estimée à plus de 8 milliards de DA au profit de 1,7 million de personnes nécessiteuses», avait déclaré récemment la ministre en charge du secteur.
Le montant englobe entre autres l’apport du ministère de la Solidarité nationale (700 millions de dinars), les Collectivités locales, le Fonds de la Zakat, le CRA et des donateurs. De son côté, le Croissant-Rouge algérien (CRA) a ciblé près de 10 000 familles nécessiteuses à travers les 48 wilayas du pays. Les lots alimentaires comprennent des produits de première nécessité d’une valeur de 7000 dinars.
Mais là encore, le ciblage des familles nécessiteuses pose problème. Pour le CRA, les listes des bénéficiaires éligibles à l’obtention du couffin du Ramadhan établies par les Assemblées populaires communales (APC) sont loin de refléter la réalité, mais répondent plutôt «à des fins politiques au détriment de la misère humaine». D’où la nécessité d’assurer une traçabilité de manière à gérer le dossier dans la transparence.
Samira Imadalou
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