Actualité | mercredi 28 novembre 2012

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evant la multiplication des dépassements

La Cnisel avoue son impuissance

le 28.11.12 | 10h00

La campagne électorale a pris fin dimanche. Plusieurs dépassements ont été enregistrés dans diverses wilayas et communes.

La Commission nationale indépendante de surveillance des élections locales (Cnisel) se dit incapable, faute de moyens logistiques, d’apporter la solution. Le président de cette instance évoque même des contraintes politiques imposées par l’administration pour encourager la fraude. Hier, lors d’une conférence de presse, Mohamed Seddiki, président de la Cnisel, a présenté deux rapports : le premier concerne le déroulement de la campagne et le second évalue les journées d’étude autour des activités des commissions locales de surveillance des élections. «Nous avons noté l’utilisation des biens et des symboles de l’Etat par certains lors de leurs meetings populaires», a déclaré Seddiki.

Ce dernier affirme que «la Cnisel n’avait pas eu de réponse sur les cas des candidats poursuivis dans des affaires de corruption et de fraude.» Un parti, en l’occurrence Ahd 54, a dénoncé, dimanche dernier, le début de la fraude avec la complicité des magistrats de la Commission nationale de supervision des élections. Au cours de la campagne électorale, des affiches ont été déchirées, d’autres sont collées de manière anarchique. Des bulletins de vote ont déjà été distribués (comme à Soukh Akras). Ces dépassements ont déjà fait réagir les candidats de certains partis, qui ont organisé des sit-in à Alger-Centre et à Annaba, contre des tentatives de fraude.

Le président de la Cnisel indique que malgré l’assurance de l’administration, du ministère de l’Intérieur entre autres, aucun suivi sur le terrain n’a été concrétisé. Cela a commencé avec l’octroi des numéros aux 52 partis politiques qui participent aux élections. Le tirage au sort a été organisé trois fois à cause d’erreurs techniques. Le point névralgique de toute élection, le fichier électoral, n’a pas été jusqu’à présent remis aux partis et la Cnisel. Pourtant, la loi permet au simple citoyen à le consulter. Par ailleurs, plusieurs cadres et fonctionnaires se sont plaints à la Cnisel du non-respect de la circulaire du Premier ministre qui les autorise à prendre des congés payés au cours de la campagne. Des partis ont même rejeté le vote des militaires à partir de bureaux spéciaux.

Dans un entretien paru au Soir d’Algérie, M. Ould Kablia affirme que les militaires peuvent voter par procuration. Notons dans le même sillage l’interrogation de quelques candidats par les services de sécurité. Cet incident avait d’ailleurs été dénoncé lors des élections législatives du 10 mai 2012. Ces dépassements ont été dénoncés par des partis de l’opposition. Le ministère de l’Intérieur avait indiqué que ce scénario n’allait plus se reproduire. Ce n’était pas le cas.

M. B.
 

Achèvement de l'organisation des marchés informels avant la fin du mois de ramadhan prochain

le 28.11.12 | 15h33

Le ministre de l'intérieur et des collectivités locales,  M. Daho Ould Kablia a affirmé mercredi que l'opération d'organisation  des marchés informels sera "achevée" avant le mois de ramadhan prochain  ajoutant que quelque 8000 commerçants informels seront intégrés dans le secteur  formel avant la fin de l'année 2012. 

"Concernant l'organisation des marchés informels, il est prévu qu'elle  soit réglée avant le mois de ramadhan prochain avec la réhabilitation et l'intégration  avant la fin de l'année de quelque 8000 commerçants", a indiqué M. Ould Kablia          

Il a ajouté que "28000 commerçants seront également intégrés en 2013"  rappelant que le nombre de commerçants qui activaient dans l'informel s'élevait  à 65000 commerçants".          

Le ministre a précisé que la prise en charge de ces commerçants se  fera à travers la réalisation de marchés en constructions "mobiles et légères"  et de "nouveaux locaux" ainsi que l'utilisation "des locaux relevant de l'Office  de promotion et de gestion immobilière (OPGI) et de l'Agence nationale de l'amélioration  et du développement du logement (AADL), situés au rez-de-chaussée des bâtiments".            

Il a par ailleurs ajouté que "plusieurs marchés informels ont été  éliminés avec consentement de ces commerçants, qui ont compris, a-t-il dit,  que "c'est dans leur intérêt d'exercer leur activité dans un cadre légal".           

Pour ce qui est des parking anarchiques, le ministre a estimé que  "la situation diffère d'une commune à l'autre et d'une ville à l'autre" ajoutant  qu'une étude est en cours concernant ce dossier dont le règlement nécessite,  "une coordination entre les APC et les forces de l'ordre qui connaissent mieux  les endroits qui nécessitent un tel ou tel dispositif de sécurité".           

Les gardiens travaillant dans ces parkings auront des autorisations  pour qu'ils accomplissent leur activité qui répondra à "un cahier de charge  définissant les prix, les horaires et la responsabilité de ces personnes quant  au vol et au détérioration des véhicule".           

Ces gardiens seront par ailleurs dotés d'une tenue spéciale et d'un  badge, a encore précisé le ministre.

APS
 

Yacef Saâdi : « On aurait dû dissoudre tout ce qu’on a hérité de la guerre de libération"

le 28.11.12 | 14h54

Yacef Saâdi, quatre-vingt-quatre ans, ancien combattant du FLN et chef de la zone autonome d'Alger lors de la bataille d'Alger en 1957 a déclaré lors du forum du journal arabophone El Wassat, ce mercredi 28 novembre : «même si la France demande  des excuses à l’Algérie  pour ses crimes coloniaux, je ne les accepterai pas».

Selon Yacef Saâdi «l’armée coloniale française a été d’une cruauté inégalable».  Et il cite comme pour se remémorer d’un passé qui ne s’est pas encore achevé : « elle nous arrachait les ongles, nous faisait subir les pires atrocités,… ».  Toutefois Yacef Saadi estime que : «la France a des indemnités à faire à l’Algérie. Tous les biens confisqués aux algériens pendant sa présence en Algérie doivent être dédommagés».

Par ailleurs, selon Yacef Saâdi "l’indépendance de l’Algérie ne s’est réalisée qu’à moitié ». Sans être très clair, il dit que «nous vivons une sorte de néocolonialisme et que les français sont toujours présents en Algérie ».

En tous cas dans les déclarations très sous-jacentes de Yaced Saadi, on sent  une passion omniprésente et pesante par rapport à ce tout ce qui se rapporte au Français colonisateur. Même si ses déclarations s‘avèrent intéressantes, il ne les assume pas pleinement, certainement par souci de ne pas attiser les passions ou toucher à des cercles d’intérêts…Preuve que cinquante ans d’indépendance ne sont pas suffisantes pour se déprendre d’une Libération à la fois douloureuse et héroïque.

En outre, pour lui «ça aurait été mieux si tous ce qu’on a hérité de la guerre de libération nationale soit «dissout» au lendemain de l’indépendance ».

Le conférencier qui occupe aujourd’hui le poste de sénateur est en train de préparer le tome IV de son livre la Bataille d’Alger. «Je vais faire des révélations, beaucoup de révélations …». On a demandé à Y.Saâdi de nous donner le fil de son livre, mais il a préféré encore une fois réserver cela jusqu’à la sortie de son livre prévu dans 6 mois environ.

Hamida Mechaï
 


28/11/2012
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