attentat suicide a batna contre bouteflika algerie
attentat suicide a batna contre bouteflika algerie
envoyé par adeloul18
Attentat à la voiture piégée en AlgérieAttentat à la voiture piégée en Algérie aujourd'hui 8/9/2007 Un attentat à la voiture piégée contre une caserne a fait seize morts et une vingtaine de blessés à Dellys, sur la cÎte est de l'Algérie, selon des sources sécuritaires locales. Parmi les victimes, 15 garde-cÎtes de la marine algérienne et un civil, ont annoncé des sources médicales à l'AFP. L'auteur de l'attentat connu
L'auteur de l'attentat terroriste perpétré jeudi à Batna serait un certain Abou Mokdad, selon des temoignages concordants. «Il s'agirait, selon plusieurs témoignages concordants, d'un certain Abou Mokdad, ùgé d'environ 28 ans», a déclaré a l'APS, Yazid Zerhouni, ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, en marge de la visite du président de la République, Abdelaziz Bouteflika à Batna. 22 morts et 107 blessés dans un attentat suicide à BatnaLe terroriste kamikaze visait le président Bouteflika |
22 morts et 107 blessĂ©s dans un attentat kamikaze Ă Batna Al-QaĂŻda cible Bouteflika La ville de Batna en liesse et affublĂ©e de ses plus beaux atours a Ă©tĂ© endeuillĂ©e de la façon la plus cruelle par les partisans du retour de lâAlgĂ©rie aux annĂ©es les plus sombres de son histoire contemporaine.
En fin dâaprĂšs-midi, avant-hier, alors que les foules accou-raient de toute la wilaya et des rĂ©gions limitrophes pour accueillir le prĂ©sident de la RĂ©publique, en visite officielle, un kamikaze se fait exploser, entraĂźnant, selon un dernier bilan, 22 morts et 107 blessĂ©s. Depuis ce jeudi 6 septembre, plus que pour tout autre attentat prĂ©cĂ©dent, il nâest plus question pour le terrorisme post-GIA de cibler des catĂ©gories prĂ©cises parmi les AlgĂ©riens, mais de frapper dans le tas afin de commettre le plus de pertes possibles en vies humaines et en dĂ©gĂąts matĂ©riels. Jusque-lĂ , lâex-GSPC, aussi bien avant son adhĂ©sion Ă Al-QaĂŻda que depuis, a, Ă plusieurs reprises, annoncĂ© quâil nâhĂ©sitera plus Ă cibler les citoyens qui sâimpliqueraient dâune maniĂšre ou dâune autre avec les forces de sĂ©curitĂ© qui le combattent. Les victimes civiles dont le seul tort a Ă©tĂ© dâĂȘtre prĂ©sentes ou de passage Ă proximitĂ© des lieux, censĂ©s ĂȘtre pour lui une cible planifiĂ©e, ne se comptent plus. Par Par Hassen ZENATI AFP -
Vendredi 7 septembre, 00h07
ALGER (AFP) - Un attentat suicide qui visait jeudi le cortÚge du président algérien Abdelaziz Bouteflika mais ne l'a pas atteint, a fait au moins 15 morts et 74 blessés à Batna (est algérien) parmi la foule venue le saluer, selon la télévision algérienne. [commentaire]3pacID:13861[/commentaire]
[commentaire]Vendor: SmartAdServer, Format: Inline [/commentaire] Le kamikaze, un présumé islamiste dont on ignore l'identité, s'est fait exploser dans le centre de Batna. Sa mort n'était pas officiellement confirmée jeudi soir.
Il avait dissimulé la bombe dans un sac en plastique qu'il portait et s'était joint à un rassemblement prÚs d'une mosquée, attendant l'arrivée du président Bouteflika qui achevait une visite d'inspection dans ce département de l'est algérien.
Le chef de l'Etat n'Ă©tait pas sur les lieux au moment de l'attentat.
Repéré par la population en raison de son état d'excitation, l'assaillant a actionné précipitamment sa bombe au sein de la foule, avant l'arrivée du président sur les lieux, selon des témoins.
La ville de Batna était en état de choc aprÚs l'attentat qui a provoqué la panique parmi la population accourue pour accueillir M. Bouteflika. Celui-ci s'est rendu dans la soirée sur les lieux de l'explosion, accueilli par des sympathisants qui ont scandé son nom et crié "vive la réconciliation nationale".
M. Bouteflika, immédiatement informé de l'attentat, s'était auparavant rendu au chevet des victimes à l'hÎpital de la ville, et a fustigé peu aprÚs "les criminels" dans une intervention à la télévision.
Il a confirmé la politique de réconciliation nationale dont il est le promoteur et qui offre la grùce présidentielle aux islamistes acceptant de se se "repentir" et de se rendre.
Cette politique a bénéficié à quelque 2.000 islamistes qui ont été libérés de prison, tandis que quelque 300 militants armés se sont rendus.
"Je ne renoncerai pas un seul instant au projet politique bùti sur la réconciliation nationale et la sécurité pour tous les Algériens", a affirmé sur place le chef de l'Etat.
Auparavant, il s'était adressé à un groupe de moudjahidine (vétéran de la guerre de libération nationale - 1954/1962) réunis au siÚge du département, pour réaffirmer que "la réconciliation nationale était un choix stratégique du peuple algérien, un choix irréversible".
Le président Bouteflika a également souligné que les actes terroristes n'avaient "absolument rien de commun avec les nobles valeurs de l'islam".
Les autorités ont durci ces derniers mois leur discours contre les islamistes armés qui refusent de se rendre dans le cadre de cette politique de réconciliation. "lls doivent se rendre ou périr", a déclaré récemment le ministre de l'Intérieur Yazid Zerhouni.
Cet attentat intervient prÚs de cinq mois aprÚs une attaque kamikaze qui avait visé le 11 avril le palais du gouvernement à Alger et un commissariat de la banlieue est, faisant au moins 30 morts et plus de 200 blessés.
En juillet, dix militaires avaient été tués et 35 blessés dans un attentat suicide au camion piégé contre une caserne de l'armée à Lakhdaria (100 km à l'est d'Alger).
Ces attentats suicide avaient été revendiqués par Al-Qaïda au Maghreb, la branche du réseau terroriste d'Oussama ben Laden dans les pays d'Afrique du Nord (ex-Groupe salafiste pour la prédication et le combat -GSPC- algérien).
Ce nouvel attentat intervient aussi une semaine avant le début du ramadan (mois du jeûne musulman) particuliÚrement propice au jidhad (guerre sainte) selon les islamistes armés |
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22 morts et 107 blessés dans un attentat dans les AurÚs"Le kazmikaze portait la bombe sur lui. Il s'était joint à un rassemblement en vue de l'arrivée du président Abdelaziz Bouteflika qui achevait une visite d'inspection dans un département de l'est algérien. Le chef de l'Etat ne se trouvait pas sur les lieux au moment de l'attentat. «Se rendre ou périr» Découvert par la population, l'assaillant a précipité son action avant l'arrivée du président sur les lieux, selon des témoins. Immédiatement informé de l'attentat, le président algérien s'est rendu au chevet des victimes à l'hÎpital de la ville. La ville de Batna était en état de choc aprÚs l'attentat qui a provoqué la panique parmi la population accourue pour accueillir le chef de l'Etat. Les autorités ont durci ces derniers temps leur discours contre les islamistes armés qui refusent de se rendre dans le cadre de la politique de réconciliation nationale soutenue par M. Bouteflika. «lls doivent se rendre ou périr», a déclaré récemment le ministre de l'Intérieur, Yazid Zerhouni. Cet attentat intervient prÚs de cinq mois aprÚs une attaque kamikaze meurtriÚre qui avait visé le 11 avril le Palais du gouvernement à Alger et un commissariat de la banlieue est, faisant au moins 30 morts et plus de 200 blessés. En juillet, dix militaires avaient été tués et 35 blessés dans un attentat suicide au camion piégé contre une caserne de l'armée à Lakhdaria (100 km à l'est d'Alger). Ces attentats suicide avaient été revendiqués par Al-Qaïda au Maghreb, la branche du réseau terroriste d'Oussama ben Laden dans les pays d'Afrique du Nord (ex-Groupe salafiste pour la prédication et le combat -GSPC- algérien). Ce nouvel attentat intervient aussi une semaine avant le début du mois de jeûne musulman du ramadan, que les extrémistes islamistes considÚrent comme particuliÚrement propice au jidhad (guerre sainte). |