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Réfléchir au métier de formateur n'est pas sans intérêt car leurs caractéristiques influenceront à plus ou moins longue échéance le métier d'enseignant.

Alain Bouvier, membre du HCE, nous invite à comparer, dans l'état actuel, les professions d'enseignant et de formateur. Gérard Vergnaud nous interroge sur l'introduction de la notion de compétence dans l'Education Nationale et, en particulier, dans la formation. Marie Françoise Bonicel nous fait découvrir ces "objets, espaces et temps intermédiaires" qui sont utilisés par certains formateurs et c'est Nathalie Colombelle qui propose l'exemple de l'utilisation des poupées russes comme objet intermédiaire et Anne Salomon nous présente leur utilisation dans la formation des enseignants en Belgique. Serge Ginger invite à réfléchir paradoxalement sur l'utilisation de la psychothérapie comme moyen de formation pour les formateurs (et les enseignants). Enfin Didier Martz aborde, dans une vue originale, le tragique du Formateur.

Des regards bien différents mais qui font tous réfléchir à la richesse et à la complexité du métier de formateur. 

Alain Bouvier, membre du HCE, nous invite à comparer, dans l'état actuel, les professions d'enseignant et de formateur. Gérard Vergnaud nous interroge sur l'introduction de la notion de compétence dans l'Education Nationale et, en particulier, dans la formation. Marie Françoise Bonicel nous fait découvrir ces "objets, espaces et temps intermédiaires" qui sont utilisés par certains formateurs et c'est Nathalie Colombelle qui propose l'exemple de l'utilisation des poupées russes comme objet intermédiaire et Anne Salomon nous présente leur utilisation dans la formation des enseignants en Belgique. Serge Ginger invite à réfléchir paradoxalement sur l'utilisation de la psychothérapie comme moyen de formation pour les formateurs (et les enseignants). Enfin Didier Martz aborde, dans une vue originale, le tragique du Formateur.

Des regards bien différents mais qui font tous réfléchir à la richesse et à la complexité du métier de formateur.

Être un formateur ne s'improvise pas, c'est un véritable métier. Il est très différent d'enseigner à des jeunes (même des étudiants!) et à des adultes. Faute de voir la différence on risque d'utiliser les mêmes techniques, d'avoir les mêmes attitudes avec les adultes qu'avec les élèves que l'on a généralement eu auparavant ou en même temps. L'institution, du reste, nous y invite en nous faisant passer d'une fonction à l'autre sans nous y préparer, sans reconnaître par un statut différent la spécificité de ce métier, en nous maintenant même dans les deux fonctions.

Or ce métier de formateur nécessite la connaissance de bien des aspects qu'un enseignant de base n'a pas eu l'occasion d'apprendre.

-Attitude avec des pairs et non avec des élèves qui sont d'une génération différente.

-Réflexion sur la notion de "formation" autre que celle "d'enseignement"

-Connaissance de l'ingénierie de "formation d'adultes" qui n'est pas celle de l'apprentissage.

-Connaissance de procédures d'analyse des besoins, de constitution de programmes et de réponses à des "appels d'offre" etc... qui relient les formateurs aux institutions beaucoup plus qu'un enseignant souvent bien isolé dans sa classe.

 

 



27/06/2006
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